• l’année dernière
Thomas Binet reçoit Xavier Denamur, propriétaire de quatre restaurants

---
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry

———————————————————————

▶️ Suivez le direct : https://www.dailymotion.com/video/x75...
Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/

———————————————————————

Nous suivre sur les réseaux sociaux

▪️ Facebook : / sudradiooffi. .
▪️ Instagram : / sudradiooff. .
▪️ Twitter : / sudradio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
———————————————————————


##OSEZ_ENTREPRENDRE-2023-10-29##

Category

🗞
News
Transcription
00:00 Franchise directe, le leader mondial de la mise en relation entre franchiseurs et
00:04 futurs franchisés présente...
00:07 Sud Radio, oser entreprendre, Thomas Binet.
00:11 Entrepreneur ré-entrepreneur. Bonjour Thomas Binet.
00:14 Bonjour Jean-Marie.
00:14 On parle de quoi aujourd'hui ?
00:15 On va parler des indiscrets du magazine Entreprendre,
00:17 on va découvrir les nouvelles de la semaine du monde des entreprises.
00:20 Notre grand témoin, on reçoit Xavier Denamur, restaurateur.
00:23 On va parler de l'entrepreneuriat dans la restauration
00:25 et on va voir que ce n'est pas un long fleuve tranquille
00:27 et les essentiels de l'entrepreneuriat, on reparlera
00:30 et on parlera de reprise d'entreprise.
00:32 Oui, ça c'est une bonne question en tout cas.
00:34 Thomas, en partenariat avec le magazine Entreprendre,
00:36 vous nous faites donc rentrer dans les coulisses des entreprises.
00:38 On commence par parler de ce qu'on appelle le marché de la seconde main.
00:42 Oui Jean-Marie, alors quel est le point commun entre Vinted,
00:44 vente ou échange de vêtements ?
00:46 Le bon coin eBay, et bien il symbolise le marché de la seconde main.
00:49 Et d'ailleurs si cette tendance se poursuivait,
00:51 le marché du neuf pourrait dépasser d'ici neuf à dix ans.
00:54 En France, la simple vente de vêtements d'occasion, c'est plus d'un milliard d'euros.
00:57 64% des Français ont acheté au moins un produit d'occasion
01:01 au cours des douze derniers mois.
01:02 L'économie circulaire, comme on l'appelle,
01:04 centrée sur le local et la réutilisation,
01:06 touche dans plus en plus de monde.
01:08 Mais ne soyons pas hypocrite, le financier
01:10 est quand même la première des motivations,
01:12 surtout en période de forte inflation.
01:13 Et justement, pour illustrer ce sujet,
01:15 vous allez nous parler non pas de Black Market,
01:17 mais bien de Back Market.
01:18 Absolument, Back Market est une place de marché
01:20 d'appareils reconditionnés, concrètement,
01:22 qui offre une seconde vie aux smartphones,
01:24 ordinateurs et tablettes,
01:25 en passant par un réseau de revendeurs professionnels.
01:27 A l'origine, ce sont trois jeunes entrepreneurs français
01:29 qui fondent cette société en 2014.
01:31 Leur volonté est de démocratiser la consommation de produits,
01:34 remis à neuf,
01:35 et lutter contre l'obsolescence programmée.
01:37 En 2014, année de leur création,
01:39 ils représentent 3 millions de volumes d'affaires,
01:41 30 millions la seconde année, c'est quand même assez important.
01:44 En 2021, ils ont annoncé une levée de fonds de 276 millions d'euros
01:47 qui les fait rentrer dans la catégorie des licornes français.
01:49 Alors, pour nos auditeurs, une licorne française,
01:51 si on ne sait pas ce que c'est,
01:52 c'est une startup valorisée plus d'un milliard de dollars.
01:54 - C'est déjà pas mal, on est loin de la startup presque.
01:56 Dernière information, Thomas,
01:58 qui concerne Ronaldinho, le joueur de football,
02:01 qui a investi dans l'application Foodcider.
02:04 Elle est présentée comme le LinkedIn du foot, c'est quoi ?
02:06 - Oui, c'est une application qui a été fondée début 2023
02:09 et qui met en relation des joueurs avec les clubs de football professionnels ou amateurs.
02:13 Ce sont aujourd'hui 85 000 joueurs inscrits
02:15 et plus de 1000 clubs répertoriés.
02:17 Ronaldinho a investi personnellement 1,3 million d'euros
02:20 dans cette aventure et est l'ambassadeur de ce nouveau réseau social.
02:23 - Sacré joueur Ronaldinho.
02:24 Mauvais souvenir pour nos auditeurs marseillais,
02:26 également, lui qui était légende parisienne.
02:28 Thomas, on accueille tout de suite avec plaisir
02:30 un autre joueur, c'est notre invité, votre grand témoin,
02:32 Xavier Denamur, propriétaire de quatre restaurants à Paris,
02:35 Les Philosophes, La Chaise au plafond, Le Fer à cheval et La Belle Hortense.
02:39 On va parler avec vous, mon cher Xavier, d'entrepreneuriat.
02:41 Vous êtes l'invité de Thomas Binet.
02:43 - Oui, plaisir, merci.
02:44 - Vous êtes une vraie voix dissonante dans le monde de la restauration
02:46 et ce depuis de nombreuses années.
02:48 Pourfendeur de la malbouffe, opposé en son temps au taux de TVA réduit,
02:51 favorable à la régularisation de tous les sans-papiers dans la restauration,
02:55 jugé comme un secteur sous tension.
02:57 Xavier Denamur, nous ne vous recevons pas pour parler de cette actualité,
03:00 mais pour parler de l'itinéraire d'un enfant pas forcément très gâté par la vie.
03:05 On peut le dire, vous avez bien réussi aujourd'hui,
03:07 mais vous débutez en tant que serveur à 14 ans.
03:09 Vous gardez quel souvenir de cette période ?
03:12 - Alors, je débute d'abord pas comme serveur,
03:14 je débute comme plongeur aux blagues,
03:16 parce qu'à 14 ans, même à l'époque,
03:18 on n'avait pas le droit de travailler avant 16 ans.
03:22 Donc je commence à la plonge.
03:24 J'ai un bon souvenir quand même.
03:25 Je travaillais en Provence, à Saint-Martin-de-Vésubie exactement.
03:29 Et donc j'ai un bon souvenir,
03:30 parce que pour moi c'était un moment où je m'échappais du cocon,
03:35 mais de l'enfer familial, puisque j'avais un beau-père à l'époque.
03:38 C'était pas génial.
03:39 Et donc du coup, j'étais content de pouvoir me barrer pendant...
03:41 - Et vous êtes émancipé à 16 ans.
03:43 - À 16 ans. Et là, j'ai été déclaré.
03:45 Et à l'époque, quand on travaillait sur la côte,
03:47 on travaillait, d'ailleurs c'est encore possible encore maintenant,
03:49 on travaillait 7 sur 7 plutôt...
03:51 - Alors on va en parler.
03:52 - Entre 12 et 15 heures par jour.
03:54 - Oui, on va en parler justement du temps de travail.
03:56 Vous avez travaillé environ 10 ans avant de lancer votre première affaire.
04:00 Est-ce le temps nécessaire de l'apprentissage selon vous ?
04:03 - Alors j'ai travaillé 10 ans.
04:05 C'est pas tellement le temps de l'apprentissage.
04:07 J'ai travaillé 10 ans parce qu'en même temps que je travaillais,
04:10 je menais des études.
04:11 Donc j'ai pas que travaillé.
04:12 - Oui, parce que vous êtes géographe de formation.
04:14 - Oui, j'ai fait une maîtrise de géo.
04:15 Mais j'ai travaillé en même temps.
04:17 Et c'est en fait pendant 2-3 ans avant de prendre mon affaire,
04:19 où là j'ai travaillé comme un forcené,
04:21 non pas effectivement pour me former,
04:24 mais aussi pour avoir le capital,
04:26 pour pouvoir rentrer dans une première petite affaire.
04:29 - Oui, donc il fallait mener les deux de front.
04:31 Alors aujourd'hui, nombreux jeunes, Xavier Denamur,
04:33 ne veulent pas attendre autant de temps
04:35 que celui que vous avez utilisé pour lancer leurs affaires.
04:38 C'est vers 20 ans, beaucoup de jeunes se lancent en entrepreneuriat.
04:41 Ont-ils tort du coup par rapport à votre parcours ?
04:43 Est-ce qu'ils y vont trop vite ?
04:45 Et ils n'ont pas justement acquis cette expérience ?
04:48 Ou vous pensez que c'est une autre stratégie ?
04:50 Parce que c'est une autre époque.
04:52 - Alors, je ne sais pas dans quel secteur ces jeunes veulent se lancer.
04:54 Mais il est clair, c'est vrai, si on veut être youtubeur,
04:56 on peut commencer même à 12-13 ans, il n'y a pas de problème.
04:58 Mais si on veut avoir une entreprise,
05:00 avec des salariés, etc.
05:02 Moi j'avais déjà 26 ans, ce qui était à l'époque,
05:04 enfin je pense toujours, relativement jeune.
05:06 - Oui, c'est vrai.
05:07 - Donc moi je pense qu'il faut, c'est ça le problème,
05:09 monter son entreprise, si on a une idée géniale,
05:12 et si on sait bosser, et on a la faculté,
05:14 sans avoir de capital, de bosser,
05:17 parce que moi c'est ce qui s'est passé,
05:19 entre 14 et 15-16 heures par jour minimum,
05:21 7 sur 7, j'ai fait jusqu'à 700 jours de suite,
05:23 quand j'ai commencé ma propre affaire.
05:25 Et avant j'avais travaillé chez plusieurs employeurs,
05:27 où je commençais le matin vers 9-10h,
05:29 et je finissais à 3h du matin, tous les jours.
05:31 Donc c'est pas, c'est pas, c'est l'expérience de faire tous les postes,
05:34 donc j'ai dit plongeur, j'ai fait serveur,
05:36 commis de salle, commis de cuisine,
05:38 c'est de faire dans mon secteur,
05:40 faire le ménage, d'avoir en main toutes les clés.
05:43 - Alors c'est intéressant que vous recitiez 700 jours d'affilée,
05:47 parce que c'est vrai que j'avais relevé dans une ancienne interview,
05:49 que vous aviez indiqué que vous deviez travailler 17 à 18h par jour,
05:53 pendant 700 jours d'affilée.
05:55 Moi j'avais une question à vous poser,
05:57 par rapport justement à l'époque que nous vivons,
05:59 est-ce que c'est ça d'être entrepreneur ?
06:01 Est-ce que ça implique autant d'abnégation ?
06:03 Sachant qu'un certain nombre de jeunes dans la nouvelle génération,
06:06 ne veulent pas, surtout dans votre secteur d'activité,
06:08 s'investir autant ? Comment vous vivez ça ?
06:11 - Alors, moi je dis encore une fois,
06:13 moi je suis parti sans capital,
06:15 avec l'idée de faire de la restauration dite traditionnelle,
06:18 avec des idées quand même sur le circuit court,
06:21 sur bien payer ses salariés, etc.
06:23 Donc ça c'était mon idée première.
06:25 Après, les jeunes qui veulent se lancer dans n'importe quel métier,
06:29 en bossant peu, je pense qu'ils font fausse route,
06:31 c'est-à-dire qu'on est dans tous les secteurs à mon avis,
06:33 il faut bosser parce qu'il y a une concurrence,
06:35 et puis il faut bosser comme un forcené,
06:37 parce qu'une affaire ça se tient pas comme ça.
06:39 Peu importe à mon avis le secteur,
06:41 si vous n'êtes pas derrière tout ce qui se passe dans votre entreprise,
06:44 surtout quand c'est ce qu'on appelle une petite plante,
06:46 quand elle démarre, une start-up,
06:48 dans le jargon d'aujourd'hui,
06:50 sinon vous vous plantez réellement et rapidement.
06:53 - Donc vous défendez la valeur travail, au-delà de tout ?
06:56 - Moi je pense qu'il faut être énormément dans ses affaires,
06:59 énormément dans son lieu de travail, avec ses salariés,
07:02 surtout quand on commence, on a 2-3,
07:04 on n'a pas forcément son salarié quand on commence,
07:06 à part ceux qui lèvent des fonds, qui sont des start-ups.
07:09 - Vous parlez de salariés, on a évoqué,
07:11 Jean-Marie l'a dit au lancement de l'émission,
07:14 vous possédez 4 restaurants,
07:16 je crois que vous avez autour des 44 collaborateurs,
07:19 c'est rentable la restauration ?
07:21 - C'est rentable si on y travaille beaucoup ?
07:23 - Toujours la même chose, rentabilité et travail.
07:25 - C'est le travail, moi j'y suis toujours dans mes affaires,
07:28 moins qu'avant puisque j'ai changé un peu ma méthode suite au Covid,
07:31 mais disons que je suis toujours là-bas,
07:33 sur place, à peu près de 8h du matin à minuit.
07:35 Quand je suis, ils sont paris,
07:37 parce que j'ai depuis un enfant,
07:39 que j'ai en garde alternée dans l'hôtel Caron,
07:41 ce qui me permet de gérer à distance.
07:43 - Votre vie personnelle vous aussi, quelle que soit la génération ?
07:45 - J'ai attendu longtemps avant d'avoir un enfant,
07:47 un peu tard pour beaucoup,
07:49 je serai souvent mon fils quand il rencontre des copains,
07:52 il dira "il est sympa ton grand-père ?"
07:54 Non, c'est pas mon grand-père, c'est mon père !
07:56 - Est-ce que vous conseilleriez à une personne
07:58 de se lancer dans la restauration aujourd'hui,
08:00 avec tous les problèmes qu'on a pu rencontrer,
08:02 qu'on continue à rencontrer, les problèmes de personnel,
08:04 vous-même vous l'évoquiez,
08:06 ces difficultés de rentabilité,
08:08 ce travail, ce temps de présence,
08:10 tous ces critères qu'il faut prendre en considération
08:12 quand on se lance ?
08:14 - Ce que je disais tout à l'heure,
08:16 moi j'ai des restaurants avec des taux de rentabilité
08:18 quand on parle de résultats nets,
08:20 à peu près de 10%.
08:22 Si vous faites un chiffre d'affaires d'un million,
08:24 ça vous laisse 100 000 euros.
08:26 Après, des affaires de 1 million pour commencer,
08:28 c'est déjà des belles affaires.
08:30 Ça dépend où elle se trouve, en province ou à Paris,
08:32 donc le jeune ne peut pas forcément démarrer
08:34 qui n'a pas de capital,
08:36 dans une affaire qui va faire 1 million,
08:38 plutôt une affaire qui va faire 300 000-400 000,
08:40 mais s'il bosse à fond, il réduit ses salariés,
08:42 il va avoir une rentabilité
08:44 peut-être même de plus, peut-être de 15-20%.
08:46 Moi j'ai 10% aujourd'hui,
08:48 en ayant la moitié du temps, je ne suis pas sur place.
08:50 Effectivement, c'est un super métier
08:52 pour celui qui veut se défoncer,
08:54 celui qui aime les clients, parce qu'il faut aimer
08:56 quand même les autres, il faut aimer travailler
08:58 avec les collaborateurs, il faut aimer faire de la vraie cuisine,
09:00 et je pense que tous ceux qui vont
09:02 un peu nez, etc., et qui veulent bosser grave,
09:04 ils vont y arriver dans la restauration,
09:06 ça c'est clair, donc c'est toujours bon,
09:08 2-6 mètres, c'est un métier, mais naturellement,
09:10 il ne faut pas penser que je prends les clés
09:12 d'un restaurant, j'ouvre et puis c'est facile,
09:14 il y a tout derrière entreprendre dans un restaurant,
09:16 c'est entreprendre, c'est-à-dire ça va
09:18 effectivement de savoir nettoyer les chiottes,
09:20 jusqu'à savoir faire le social.
09:22 Xavier de Namur, on arrive au terme de notre entretien,
09:24 je vous demande en un mot, la qualité pour vous,
09:26 principale pour un entrepreneur aujourd'hui,
09:28 et pour l'entreprenariat en 2023,
09:30 la qualité, un mot.
09:32 Un mot, l'amour.
09:34 Merci Xavier de Namur.
09:36 Et on vous aime, Xavier de Namur,
09:38 en tout cas on peut rappeler vos 4 belles adresses,
09:40 le fer à cheval, la chaise au plafond, la belle hortense,
09:42 et les philosophes, à bientôt Xavier de Namur,
09:44 tout de suite, tiens, on va reparler de seconde main.
09:46 Bruno, le spécialiste des fournitures
09:48 et de l'équipement pour les professionnels présente.
09:50 Sud Radio,
09:52 oser entreprendre,
09:54 les essentiels de l'entrepreneuriat.
09:56 La reprise d'entreprise,
09:58 non pas sa création, c'est de ça qu'on parle aujourd'hui Thomas.
10:00 Oui Jean-Marie Carles, la reprise d'entreprise
10:02 est plus qu'une option proposée à l'entrepreneur,
10:04 mais parlons chiffres d'abord, alors selon l'IC
10:06 et l'Agence pour la création d'entreprise,
10:08 la reprise d'entreprise en France concerne
10:10 50% des activités sans salariés
10:12 à 24% de 1 à 2 salariés
10:14 et 23% au-dessus de 3 salariés.
10:16 Autant dire que ce sont les petites structures
10:18 qui sont concernées, et les PME de plus de 6 à 10 salariés
10:20 sont rares malgré tout à la reprise.
10:22 Alors, est-ce qu'il y a des secteurs d'activité plus recherchés que d'autres ?
10:24 Oui, ça va faire plaisir à Xavier Dememure,
10:26 parce que c'est essentiellement dans le domaine du CHR,
10:28 donc café, hôtel et restaurant,
10:30 soit 36% des reprises et ensuite
10:32 les commerces de tous types à 31%.
10:34 Bref, la reprise se concentre principalement
10:36 sur la revente de fonds de commerce.
10:38 Sauf que c'est vraiment avantageux de reprendre
10:40 une structure par rapport au fait de la créer ?
10:42 Oui Jean-Marie, parce qu'il y a de nombreux avantages
10:44 quand même qui sont à relever. L'entreprise rachetée
10:46 a un VQ, elle a des ressources humaines, matérielles,
10:48 elle profite d'un marché existant sur lequel
10:50 elle possède sa propre clientèle,
10:52 un chiffre d'affaires est déjà constaté,
10:54 il faut le développer mais on ne part pas quand même de zéro.
10:56 Et au bout du compte, qui gagne le match entre la création et la reprise ?
10:58 Eh bien le match, il est gagné,
11:00 vous allez le voir dans un instant, parce que le taux de pérennité
11:02 au bout de 3 ans est de 73%
11:04 pour les reprises, contre 62% pour les créations.
11:06 Il faut noter que le financement est plus aisé à obtenir
11:08 pour les reprises. En d'autres termes, c'est plus sûr.
11:10 Merci beaucoup Thomas Binet !
11:12 Dans quelques instants, on va vous retrouver pour Oser Investir.
11:14 A tout de suite Thomas ! Merci.
11:16 Sud Radio, Oser entreprendre Thomas Binet.
11:20 Avec Franchise Direct, le leader mondial de la mise en relation
11:24 entre franchiseurs et futurs franchisés.
11:26 Sous-titrage FR : VNero14

Recommandations