Zoom Extra : Véritable cri de cœur que celui lancé, hier, par les artistes et les professionnels de l'événementiel encore sonnés par les incidents regrettables et condamnables survenus lors d'un concert à La Citadelle, samedi dernier. Le Zoom Extra de cet après-midi sera justement consacré aux revendications et attentes de la communauté des artistes. Harish Chundunsing accueille dans l’émission Bruno Raya, Boyzini et Jean Jacques Arjoon. Vos appels au 213 7777
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00:00:00 de la vie. Zoom extra.
00:00:06 euh, c'est euh, bon après-midi et bienvenue à notre émission de Zoom Extra et pour aujourd'hui euh, suite à un incident qui finirait en samedi dernier à Citadel, donc euh, et ensuite suivi d'une conférence de presse qui finira hier pour un artiste euh, euh, euh, hier, donc nous finirons aujourd'hui dans ce programme-là et pour le programme d'aujourd'hui nous avons comme invité Bruno Raya,
00:00:36 nous avons également Jacques, Jean-Jacques Ardione et ensuite Bozzini. Donc euh, monsieur, bon après-midi et bienvenue à notre émission.
00:00:45 Bon après-midi. Bon après-midi Top FM et toute l'audience qui peut écouter.
00:00:48 Bruno, Raya, moi, je me pose une question très simple. L'incident samedi dernier, est-ce que ça fait une sécu et le monde des artistes? Oui, on connaît pas bon après-midi à toute l'audience qui peut écouter et qui peut écouter aussi. Ouais, ça fait une sécu et nous tous.
00:01:06 Nous tous, nous sommes tous unis et en même temps, bien sûr, il nous concerne tous parce que ce qui est arrivé là, là, il est très grave, il m'arrive grave parce que c'est un concert qui s'est déroulé et c'est un concert familial,
00:01:27 il y a des enfants, il y a toute la communauté, tout le monde est présent dans ce concert-là. Mais quand nous trouvons une action pareille déroulée, je l'appelle une action barbare, une action qui fait peur à tout le monde.
00:01:46 Et je te dis, ce n'est pas une religion, c'est pour ça que je ne veux pas causer une religion, je veux causer une personne, parce que dans toute la communauté, il y a de bon et de mauvais. Je ne veux pas causer une religion, je veux causer une personne qui est barbare, qui est irréflaissable, inacceptable parce qu'il y a des enfants, des femmes, tout le monde.
00:02:10 C'est un acte et aucune religion n'est pas cautionnée. Pas cautionnée, parce que tu vois, nous comprenons aussi qu'il y a une guerre partout dans le monde là, qui ne me parle pas, ni vous, ni moi, et il n'y a pas de gens qui nous pourrent cette guerre-là.
00:02:24 Par exemple, la guerre qu'il y a en Ukraine, qui est-ce qui contient une guerre en Ukraine? Qui est-ce qui contient une guerre en Israël et en Palestine? Qui est-ce qui contient une guerre en Afrique? Qui est-ce qui contient une guerre dans n'importe quel pays?
00:02:36 Nous tous nous condamnons à ce genre d'acte de violence. Nous tous nous condamnons à ce genre de guerre-là. Nous tous contre la paix. Nous contre la paix, mais bien là.
00:02:43 S'il y a un problème, par exemple, à nous dire dans l'Afrique, je vais prendre le nom de Maurice, quand ici nous cohabitons, nous causons, nous rions, nous faisons tout ensemble. Est-ce qu'on prend ça au nom de Maurice?
00:02:54 Moi, s'il y a un problème dans l'Europe, je vais prendre le nom de Maurice. S'il y a un problème dans l'Asie ou dans l'Amérique, ou quoi que ce soit, est-ce que je vais prendre le nom de mon pays?
00:03:02 Ici, comment nous dire, ici nous avons la chance de cohabiter, de s'organiser, de parler, danser, sauter, péder ensemble comme une seule peuple, une seule nation.
00:03:14 Au moment où on trouve une action pareille, là nous disons non, c'est inacceptable, nous ne pouvons pas faire de choses pareilles. Ce n'est pas normal, ce n'est pas correct.
00:03:24 Et surtout, Citadel, permettez-moi de vous dire un mot sur Citadel. Citadel, c'est une base pour tous les Mauriciens, c'est une base culturelle.
00:03:32 Il y a un groupe qui, nous-mêmes, nous ne sommes pas là. Il y a un festival de la mer qui s'est organisé à l'époque, qui s'est organisé, il y a un artiste comme Cassav, mais il y a une généralité dans la Citadel.
00:03:46 Yannick Noah, Tonton David, ceux que je m'imaginais, peut-être qu'il y en a encore des tonnes et des tonnes, Christophe Maé.
00:03:52 - Le Dibangu aussi. - Oui, voilà, tous les grands. C'est une base culturelle, une base, un espace artistique qui fait l'île Maurice reconnue, qui fait les Mauriciens ranger et joailler.
00:04:07 Mais, je vous dis, qui est arrivé? Quand nous avons cité Citadel, qui est l'emblème pour nous, culturellement parlant, nous avons demandé qui nous l'avait donné.
00:04:18 La question est là, qui nous l'a donné?
00:04:22 Et Jean-Jacques Ardjoun, bon, fin de coutou, il y a une conférence de presse, où tu parlais très en colère. Qui fait cette colère?
00:04:34 En fait, je ne suis pas très objectif quand je le fais. Même si je suis un peu émotionné, je ne perds pas l'objectivité par rapport à ce que j'ai pu dire hier.
00:04:49 Et ce qui me donne raison, c'est le feed-back que j'ai pu recevoir, je vous le dis, depuis hier soir.
00:04:55 Ce feed-back que vous avez reçu dans mon portable, toute la communauté, irrespectivement, nous a apprécié énormément.
00:05:02 Parce que l'indignation, comme Bruno l'a dit, tout le monde est indigné.
00:05:08 Et pour ce qui me concerne, à propos de ce que l'islam pense, je ne vais pas inventer ça, je vais prendre l'enseignement là à partir d'un imam lui-même,
00:05:18 et d'autres sages encore qui inspirent eux, parfois islamiques, qui ont bien mis les choses au point.
00:05:24 C'est quoi, par exemple, mon pote, qui m'ouvre pour faire un djihad, mais qui précise les choses, et ça, c'est même l'enseignement.
00:05:31 Et je me dis merci, parce que comment se fait-il qu'il y ait un pays plus réculturel, plus religieux, et qui n'ait pas une profession, des fois, de compatriotes?
00:05:41 C'est l'occasion, c'est l'occasion, quand on est capable d'aller s'approfondir et comprendre un certain nombre de choses, pour qu'il s'agroupe en un absolu, de ce qu'on appelle sa religion.
00:05:52 Si on peut vivre dans un pays plus réculturel, multilinguis, plus religieux, c'est tout à notre avantage, qu'on comprend,
00:06:01 c'est que les autres vivent sur la foi, c'est qu'ils professent comme sur la foi.
00:06:05 Et quand on vit dans une contradiction, c'est qu'il peut professer sur la foi, sur le passeport, mais sur le passeport, mais avec une nationalité mauricienne.
00:06:13 Et comment se fait-il que quand on se démarque comme ça, quand on peut professer sur la foi, on fait abstraction de la nationalité, pour aller à l'encontre, pour aller vis-à-vis d'un groupe djihadiste, agresser.
00:06:23 Bruno parle de barbarie, moi je dis plutôt d'un terroriste djihadiste. C'est un acte de terroriste.
00:06:28 Un terroriste djihadiste, qui sème la terreur d'un endroit comme ça.
00:06:33 Et ce qui permet de moi aussi, réfléchir encore, quand on vit, on agresse par exemple une prophétie,
00:06:39 la prophétie, ce sont déjà la gloire, c'est pour bon djé.
00:06:44 Et moi je connais mon frère de foi islamique, quand je professe sur la foi, c'est le tout puissant, l'unique, bon djé.
00:06:52 Les prophéties tiennent la gloire, l'humain, oui le bon djé.
00:06:54 Ce qui fait c'est même discours, c'est même qualité discours, mais un trouve l'audace ou le toupet pour craser l'instrument, l'autre là.
00:07:04 Bon, il y a un gros travail de profondeur, moi je pense, qu'une communauté de religion doit faire, en termes de formation, d'instruction, de tout un chacun,
00:07:14 pour qu'ils soient capables, profites de ce qu'ils ont.
00:07:18 Vous connaissez le Conseil des religions ?
00:07:20 Oui, mais moi je pense que c'est ce qu'ils peuvent faire, mais quelle est la pédagogie ?
00:07:25 Toujours, je dis, qui pédagogie est-ce que vous avez utilisé pour que les gens soient intéressés par cette religion ?
00:07:30 J'ai rencontré un camarade d'Alela, je lui dis que quand il écoute un azan, il est tellement mélodieux,
00:07:36 quand il dit ça, il peut adresser le bon djé, et comme il a un autisme, il le sait tout.
00:07:40 Donc il a apprécié ce qu'il a vécu, mais il n'a pas de raison pour qu'il prenne ça, qu'il déforme ça, et qu'il agresse les autres.
00:07:47 Mais mon appel c'est qu'il soit dans sa direction d'unité.
00:07:52 Et je lui ai dit hier, quand j'ai été en mission, que certains pyromanes et politiciens qui croient
00:07:59 qu'ils ont fait un remake de 68 pour fier de leur groupe ethnique, je leur ai dit qu'ils l'ont oublié.
00:08:06 Je leur ai dit qu'ils l'ont oublié parce que je suis très très surpris
00:08:10 de tout ce qui est fait par les dénominateurs religieux,
00:08:14 de la façon dont ils ont pris position contre ce qu'ils ont fait à la citadelle.
00:08:18 Bon, on finit sur vous, mais vous pouvez être agréablement surpris, n'est-ce pas?
00:08:22 Je suis content de vous.
00:08:26 Et camarade Boudini, on a une petite question pour vous.
00:08:30 Et, il y a, je crois que c'est Bruno qui est au service ATM,
00:08:35 il dit qu'il a un autisme galéré.
00:08:38 Est-ce qu'il vous partage sa l'opinion, Bruno, qu'il peut galérer en ce moment-ci?
00:08:43 Eh oui, bien sûr, parce que c'est une affaire qui nous peut trouver,
00:08:47 c'est une affaire qui nous peut vécu.
00:08:50 Nous pouvons galérer parce qu'il n'y a pas de souhait pour galérer,
00:08:53 nous ne pouvons pas nous souhaiter ça,
00:08:55 mais parce que les choses, une mal...
00:08:58 comment dire, direction, une malfaire.
00:09:02 La distance qu'il y a entre la réalité et un rêve, c'est l'action.
00:09:09 C'est correct. Nous prenons l'exemple du cas qui est arrivé à la Citadelle.
00:09:16 Si les gouverneurs, quand je parle des gouverneurs,
00:09:20 je parle de tous les gouverneurs qui ont existé dans l'île Maurice depuis 50 ans.
00:09:24 Si les gouvernements écoutent nous,
00:09:29 ils mettent en action, ils demandent des bandes d'artistes,
00:09:33 je pense, je crois qu'il ne peut pas y avoir un accident pareil.
00:09:37 Parce que ça fait plus de 15 ans qu'ils nous demandent une idée pour nous,
00:09:41 une histoire pour nous.
00:09:43 Une place pour nous, pour ne pas faire dérangement à la personne.
00:09:46 Ça veut dire que la personne ne doit pas faire des complains pour dire qu'il ne peut pas déranger les autres.
00:09:50 Il y a des gens qui se battent pour dire que nous avons un moment de guerre,
00:09:55 nous devons respecter la personne.
00:09:57 C'est pareil comme arrivé à la Citadelle.
00:09:59 C'est une date de 15 ans ça?
00:10:01 Oui.
00:10:03 Il y a des gens qui font tout ce qu'ils peuvent pour nous.
00:10:08 Si tu écoutes la voix de nos citoyens,
00:10:10 ce qu'ils peuvent faire, c'est qu'ils mettent en action des artistes.
00:10:14 Je pense qu'il y a beaucoup d'organisations,
00:10:16 nous qui savons qu'il y a une place pour nous,
00:10:19 nous pouvons être dans cette guerre sans aucun problème.
00:10:22 Je trouve que c'est un peu la faute des gouvernements qui nous ont existés,
00:10:26 depuis avant et aussi jusqu'à présent,
00:10:30 qui ne peuvent pas faire quelque chose pour nous.
00:10:32 Nous pouvons nous galérer à cause de ça.
00:10:34 Nous ne pouvons pas nous galérer d'une autre façon.
00:10:36 Je vois que beaucoup de gens viennent avec nous, des fans,
00:10:39 pour nous dire que l'été est arrivé,
00:10:42 parce que la génération peut commencer à s'en tenir à quelque chose,
00:10:46 peut commencer à jouer, peut commencer à faire des choses,
00:10:49 peut commencer à faire de l'enseignement pour l'avenir,
00:10:52 pour nos enfants.
00:10:54 Si le gouvernement n'avait pas ce soutien encore une fois,
00:10:57 si nous écoutions la voix,
00:10:59 je pourrais me dire que la présence qu'ils ont trouvé là,
00:11:02 Bruno Raya, Jean-Jacques Boisin,
00:11:04 ils sont tout le temps dans le combat des artistes.
00:11:07 Et même si on n'a pas d'artistes aussi,
00:11:09 nous avons des problèmes.
00:11:11 Vous comprenez ?
00:11:12 Les artistes viennent nous mettre la pression,
00:11:14 nous, tout le temps, même présence, tout le temps,
00:11:16 parce que nous, c'est l'amour.
00:11:17 Beaucoup de gens disent que nous,
00:11:19 nous sommes toujours devant,
00:11:20 mais si nous ne sommes pas devant, qu'est-ce qui peut y avoir ?
00:11:22 C'est la présence des gens qui nous donnent la place.
00:11:25 Et nous ne sommes pas en pés.
00:11:26 Nous ne sommes pas en pés, nous sommes en péfém,
00:11:28 quand on demande la paix des artistes.
00:11:30 Nous sommes nous.
00:11:31 Nous ne pouvons pas nous demander pour ça.
00:11:32 Parce qu'ils sont connus dans nous,
00:11:33 qu'ils ont une sincérité pour combattre,
00:11:36 dans ce chemin qu'ils appellent l'industrie musicale.
00:11:40 Ok ?
00:11:41 Si le gouvernement était là pour nous entendre,
00:11:44 ils auraient dit,
00:11:45 tous ces artistes qui apportent le message,
00:11:48 quelque part, ils sont encore vivants.
00:11:51 Je ne parle pas de moi aujourd'hui.
00:11:53 Je veux dire qu'ils sont encore là,
00:11:55 ils n'ont pas de contribution.
00:11:58 Parce que plus on nous retient,
00:12:00 à côté du message, à côté de l'autre,
00:12:02 de la spiritualité, de la loi,
00:12:04 plus on vit dans un pays, dans un monde,
00:12:06 plus il y a de violence, plus il y a d'insécurité.
00:12:09 Je pense que le gouvernement doit se rendre compte de ça,
00:12:12 parce qu'il n'y a pas de contribution
00:12:15 dans tout ce qui s'appelle l'harmonie,
00:12:18 tout ce qui s'appelle le social,
00:12:20 tout ce qui s'appelle l'unité.
00:12:22 Donc, si on dit que ces artistes ne sont pas capables d'opérer,
00:12:24 parce qu'ils nous demandent du soutien,
00:12:26 depuis d'avant,
00:12:27 nous ne sommes pas capables de gagner.
00:12:28 Et pour ce soutien, nous ne sommes pas en casse.
00:12:30 Nous ne sommes pas en casse.
00:12:32 Pas en grandeur de courant que nous sommes en casse.
00:12:34 Et nous avons la solution aussi.
00:12:36 Si on peut, nous dirons que c'est en terrain.
00:12:38 Si on peut, nous faisons l'équipe.
00:12:41 Dans l'industrie musicale, il y a beaucoup de monde,
00:12:43 et il y a de la finance.
00:12:44 Jusqu'en finance, nous pouvons amener.
00:12:46 Mais si on ne nous bloque pas,
00:12:48 nous sommes sans autorisation,
00:12:49 nous pouvons faire nos affaires,
00:12:50 et nous pouvons éviter des incidents pareils
00:12:52 qui peuvent arriver dans la cité.
00:12:54 Jean-Jacques,
00:12:56 nous avons beaucoup de soutien
00:12:58 besoin du gouvernement.
00:13:00 Au fait, finalement,
00:13:01 qui fait ou ne fait pas gagner ce soutien?
00:13:03 Et qui a été le soutien qui vous a aidé?
00:13:05 Est-ce qu'ils ont fait la demande?
00:13:06 Est-ce qu'ils ont fait la bonne représentation
00:13:07 au niveau des ministères de l'agriculture?
00:13:09 À chaque fois qu'il y a un budget,
00:13:11 une consultation qu'ils font
00:13:13 avec les différents partis,
00:13:14 est-ce qu'ils se donnent participe
00:13:15 dans cette bonne consultation
00:13:16 pour les budgets TLH?
00:13:17 Au final, ils donnent une bonne proposition?
00:13:19 Et est-ce qu'ils ont déjà fait une bonne discussion
00:13:22 avec le gouvernement?
00:13:23 Là, dans une mesure de soutien
00:13:24 qu'ils ont besoin,
00:13:25 ils ont de bonnes artistes,
00:13:26 ils sont capables d'épanouir ici.
00:13:28 Permettez-moi d'abord de faire une affaire
00:13:30 au Citadel.
00:13:32 La proposition de Boizini,
00:13:33 quand il dit,
00:13:34 quand il cause l'espace pour concert,
00:13:37 il peut prendre ce gros volume.
00:13:39 Alors qu'il a Citadel,
00:13:40 si vous avez une équipe compétente
00:13:43 qui a six et réfléchit Citadel,
00:13:45 il y a pas mal d'activités artistiques
00:13:47 qu'il est capable de faire.
00:13:49 Même concert à certaines heures,
00:13:51 on est capable de le faire.
00:13:52 Mais Jean-Jacques Bessy,
00:13:53 je vais vous arrêter ici
00:13:54 parce qu'il paraît qu'il s'y prend une décision,
00:13:56 le gouvernement, peut-être depuis 2007,
00:13:58 qu'il ne parle pas de bons conseils dans Citadel
00:14:01 précisément parce qu'il fait une bonne protestation
00:14:04 de la part des bons habitants des environs
00:14:07 qui ont de la pollution sonore.
00:14:09 Est-ce qu'il est au courant de ça
00:14:11 et comment il nous adresse ce problème?
00:14:13 Je termine sa première volée là.
00:14:16 Oui, parce qu'il nous parle toujours de Citadel.
00:14:17 Citadel, pour les affaires obsolètes,
00:14:19 il y a un patrimoine et un aménagement
00:14:22 pour qu'il soit capable d'abriter
00:14:23 des activités artistiques.
00:14:25 Il faut continuer à continuer,
00:14:27 mettre une équipe compétente,
00:14:29 faire des opérationnels,
00:14:31 ne serait-ce qu'il faut la formation,
00:14:33 l'atelier.
00:14:34 Il est capable de faire beaucoup de choses
00:14:36 dans la Citadel.
00:14:37 Mais quand il fait une bonne activité,
00:14:41 peut-être que Bruno est capable
00:14:42 d'étaler plus longuement là-haut,
00:14:44 mais s'il est vrai que la pollution sonore
00:14:47 peut être un problème,
00:14:49 je crois qu'on sait qui il y a récemment
00:14:52 qui a été troublé, qui a été arrêté.
00:14:54 Je crois qu'il y a des raisonnables
00:14:55 qui l'ont accepté.
00:14:56 Ceci dit, le voisinage d'accord
00:14:59 peut faire certaines activités
00:15:01 qui passent au-delà des heures.
00:15:03 Donc Citadel, il est capable
00:15:04 de rester toujours opérationnel,
00:15:06 selon moi.
00:15:07 Alors, concernant l'aide gouvernementale,
00:15:09 vous avez dit que vous ne pourriez pas
00:15:11 que Bruno réenchaîne là-haut.
00:15:13 Et hier, je l'ai apaisanté longuement
00:15:16 lorsqu'il m'a appelé.
00:15:17 Tant qu'il a eu la culture
00:15:19 pour gagner sa connotation
00:15:21 ethno-religieuse politique,
00:15:24 il prend des affaires qui coïncent
00:15:26 et d'une façon,
00:15:28 il peut pervertir la notion même artistique,
00:15:31 la notion de l'art.
00:15:33 Parce que quand on demande
00:15:35 un Arts Council,
00:15:37 pourquoi on se confondre entre un Arts Council
00:15:39 et une salle de secours du ministère?
00:15:42 Un Arts Council pour nous,
00:15:44 c'est une entité complètement indépendante
00:15:48 qui réfléchit,
00:15:51 avec bien sûr le partenaire
00:15:53 que j'ai, le gouvernement
00:15:54 et le secteur privé,
00:15:55 à réfléchir à la façon
00:15:58 de rendre consistant
00:16:00 ce qu'on appelle l'industrie musicale
00:16:02 qui est une affaire d'affaires.
00:16:04 Donc, parmi l'industrie musicale,
00:16:08 on a les autres frères
00:16:10 qui font de l'art en plastique
00:16:12 et nous qui faisons de la musique.
00:16:14 On est capable d'avoir un pôle d'attraction.
00:16:16 Vous pensez combien de millions de touristes
00:16:18 vivent à Maurice?
00:16:20 On peut dire que c'est le tel peu offert
00:16:22 mais combien de touristes
00:16:24 ont envie de sortir de là,
00:16:26 de cet endroit,
00:16:28 pour aller dépenser
00:16:30 manger une gastronomie sérieuse,
00:16:32 faire de la musique,
00:16:34 consulter une dame?
00:16:35 C'est précisément ce que je pensais
00:16:37 quand je me suis dit que ça allait venir.
00:16:39 C'est pour cela que je suis au tourisme
00:16:41 et je suis responsable du site.
00:16:43 Je peux refaire ça mais il faut
00:16:45 un endroit pour les touristes.
00:16:47 Je me pose la question,
00:16:49 qui fait quoi?
00:16:51 Je ne peux pas faire ça.
00:16:53 Je peux faire ça,
00:16:55 mais je ne peux pas faire ça.
00:16:57 C'est l'entité qui donne l'indépendance.
00:16:59 Je ne peux pas donner l'indépendance.
00:17:01 Je comprends ce que tu dis.
00:17:03 Est-ce qu'il y a une consultation
00:17:05 avec les artistes
00:17:07 pour demander
00:17:09 ce qu'ils peuvent faire?
00:17:11 Est-ce qu'il y a ça?
00:17:13 Il y a une étape de consultation
00:17:15 et même quand les représentants
00:17:17 de l'UNESCO sont là, il y a une consultation.
00:17:19 Mais là, quand il y a un circuit
00:17:21 de bonnes affaires, c'est quand
00:17:23 avant il y a le Conseil des ministres
00:17:25 et ensuite il arrive au Parlement,
00:17:27 nous disent "Permettez la communauté des artistes
00:17:29 de venir ici encore une fois."
00:17:31 C'est là que je me rappelle tout à l'heure
00:17:33 quand on a fait le circuit de bonnes affaires.
00:17:35 Tout à coup, on nous dit "Venez dans le Conseil des ministres
00:17:37 et passez dans le Parlement
00:17:39 pour que chaque député ministre
00:17:41 puisse dire un autre mot."
00:17:43 Mais quand il y a un circuit de bonnes affaires,
00:17:45 on peut dire
00:17:47 "Ce qui arrive là,
00:17:49 c'est que nous avons fini
00:17:51 notre provision pour dire
00:17:53 ce qu'il faut faire,
00:17:55 qui peut nous aider, etc."
00:17:57 Mais quand on a un circuit de bonnes affaires
00:17:59 où on a fait ça en quatre minutes
00:18:01 et on a fini le drap, voilà le résultat.
00:18:03 Oui, c'est tout à fait ça.
00:18:05 Si il y a des artistes, c'est des politiciens
00:18:07 qui nous ont fait dire ça,
00:18:09 des artistes concernés.
00:18:11 Il paraît vraiment très paradoxal ça.
00:18:13 Bizarre aussi.
00:18:15 Bruno, nous restons sur la question
00:18:17 du manque de consultations.
00:18:19 Est-ce qu'ils ont pensé
00:18:21 que les artistes
00:18:23 devraient avoir l'écoute
00:18:25 au niveau du gouvernement,
00:18:27 c'est-à-dire qu'ils écoutent les autres,
00:18:29 ils ont un point de vue,
00:18:31 une considération,
00:18:33 est-ce qu'ils ont eu l'intention
00:18:35 de l'écouter
00:18:37 vis-à-vis de la politique,
00:18:39 vis-à-vis du gouvernement?
00:18:41 Pour le moment, je dirais oui,
00:18:43 peut-être qu'ils l'écoutent.
00:18:45 Pour le moment,
00:18:47 ils semblent l'écouter.
00:18:49 Pour le moment, je ne dirais pas qu'ils l'écoutent.
00:18:51 Parce qu'ils s'y écoutent.
00:18:53 Mais ils ont raison.
00:18:55 Ils ont raison de ce qu'ils ont dit.
00:18:57 Donc, le gouvernement, en 2007,
00:18:59 prend la décision pour arrêter
00:19:01 un programme à la Citadelle.
00:19:03 Vous connaissez le premier programme
00:19:05 qui est annulé là-bas?
00:19:07 C'était le festival de Nsa numéro 3.
00:19:09 Ça veut dire que le premier
00:19:11 qui passe dans la Citadelle,
00:19:13 ce programme annulé, la veille,
00:19:15 c'était l'entretien
00:19:17 avec l'équipe.
00:19:19 C'était nous, ça.
00:19:21 Depuis ça, ils n'ont pas fini
00:19:23 aucun programme pour venir jusqu'à 2023.
00:19:25 Donc, on peut dire que c'était
00:19:27 pollution sonore.
00:19:29 Mais, au fait,
00:19:31 à la Citadelle,
00:19:33 d'un premier temps,
00:19:35 nous tous connaissons
00:19:37 des conseils organisés pour les locaux.
00:19:39 Et il y a trop de habitants
00:19:41 qui sont costés.
00:19:43 Après, avec le temps,
00:19:45 la municipalité nous a donné l'autorisation.
00:19:47 Vous n'avez pas entendu?
00:19:49 Vous n'avez pas entendu?
00:19:51 Il y a 15 personnes qui sont costées.
00:19:53 Et puis, on a eu la décision
00:19:55 de dire que ce n'est pas possible là-bas.
00:19:57 Et là, il y a deux ou trois de nous
00:19:59 à l'époque, dans le stade.
00:20:01 À l'époque, il y avait le concert.
00:20:03 Ce soir, ensuite, nous sommes allés
00:20:05 au stade Angelé.
00:20:07 C'est correct.
00:20:09 Mais, depuis ça,
00:20:11 on n'a pas fini à la Citadelle.
00:20:13 On a fini à la exposition
00:20:15 touristique.
00:20:17 Quand vous avez dit
00:20:19 que c'était pour nous,
00:20:21 c'est pour nous.
00:20:23 Mais, pour moi,
00:20:25 certains écoutent,
00:20:27 certains font semblant,
00:20:29 et certains ne l'écoutent pas du tout.
00:20:31 Parce qu'ils ont dit
00:20:33 qu'ils faisaient un rétort.
00:20:35 Pourquoi ils ont dit ça?
00:20:37 Parce qu'ils ont toujours dit
00:20:39 qu'ils avaient des oreilles qui étaient bonnes.
00:20:41 Des oreilles publiques, des oreilles
00:20:43 qui étaient bonnes.
00:20:45 Ça ne vient pas de la casse grande.
00:20:47 Parce que, vous savez,
00:20:49 on a fini, moi,
00:20:51 hier, moi,
00:20:53 depuis l'indépendance,
00:20:55 on a fini, même là,
00:20:57 chaque coup pour nous donner une base
00:20:59 pour faire la culture,
00:21:01 pour faire la musique,
00:21:03 pour construire l'industrie de l'or.
00:21:05 Et chaque premier ministre qui nous a gagné
00:21:07 dans ce pays, je t'ai toujours dit
00:21:09 que la culture a un potentiel
00:21:11 pour être un pilier de l'économie.
00:21:13 On a fini avec un discours comme ça.
00:21:15 Mais, en direct, c'est des affaires différentes.
00:21:17 Entre faire semblant
00:21:19 avec vraiment sincère.
00:21:21 C'est des affaires différentes, ça n'est pas pareil.
00:21:23 Personne, ça veut dire pour moi,
00:21:25 sourire. Tout dernier, moi,
00:21:27 j'ai dit, tu m'as manqué,
00:21:29 nous, en Inde, pour donner un code d'eau.
00:21:31 Code d'eau, là, on connaît, on ne donne pas au king,
00:21:33 on donne à des aires. Dans les aires-là,
00:21:35 on met nos toilettes, on met des barrages,
00:21:37 on met tout là.
00:21:39 Là aussi, il y a certains organisateurs
00:21:41 qui disent, OK,
00:21:43 pour que l'industrie de l'or
00:21:45 ne tombe pas, ne finisse pas
00:21:47 dans ce pays-là, là aussi,
00:21:49 on a un accepté pour faire ça.
00:21:51 Mais personne ne nous dit.
00:21:53 Jusqu'à là-bas aussi, ça commence bien.
00:21:55 Il suffit de dire,
00:21:57 on va envoyer des lettres à la police chansonneuse.
00:21:59 Même dans le code d'eau, la police chansonneuse?
00:22:01 Même dans le code d'eau.
00:22:03 Même si vous restez, je ne sais pas,
00:22:05 500 000 kilomètres de distance, ça veut dire
00:22:07 que vous pouvez la réunir, si vous envoyez des lettres anonymes.
00:22:09 Mais il y a des aires aux semaines d'été.
00:22:11 Il y a des aires aux semaines d'été aux États-Unis.
00:22:13 Oui, les policiers chansonneuses parlent,
00:22:15 l'autre peut téléphoner. Dans le code d'eau?
00:22:17 Code d'eau, téléphoner, cling-cling,
00:22:19 ça peut déranger moi parce que j'y vais, je suis là.
00:22:21 J'y vais, là, je suis là.
00:22:23 Il y a une réalité, tu dis. J'y vais, là, je suis là.
00:22:25 Mais quand vous faites un concert, aucun problème.
00:22:27 Vous avez fait le Lille-Platte, alors?
00:22:29 Lille-Maurice, c'est un lille-sème tout le temps,
00:22:31 on a quatre côtés et la mer.
00:22:33 Mais quelle place
00:22:35 nous trouvons dans ce pays-là, pour nous faire la musique,
00:22:37 pour dire qu'il y a une petite chanson qui est là-bas,
00:22:39 et pour ne pas sentir dérangé.
00:22:41 Mais il y a un problème, alors.
00:22:43 Un problème grave, parce que
00:22:45 les Stades de France sont en plein
00:22:47 dans la ville, qui ne sont pas capables
00:22:49 de permettre à l'accueillir
00:22:51 que ce soit Céline Dion,
00:22:53 Johnny Hallyday, Dajou et tous les grands.
00:22:55 Ils sont en plein dans la ville, là.
00:22:57 Oui. Correct?
00:22:59 Mais nous, on dit Lille-Maurice,
00:23:01 et nous pensons que nous, à coup là,
00:23:03 on a une petite chanson,
00:23:05 qui nous m'a rien dérangé.
00:23:07 Ça, c'est le premier
00:23:09 problème qui nous fait
00:23:11 face à la pollution sonore.
00:23:13 Hmm.
00:23:15 Je vais vous raconter ça
00:23:17 tout de suite.
00:23:19 Oui, parce que nous ne vous apprenons pas ça.
00:23:21 La police vient dans le concierge,
00:23:23 pour dire qu'il y a une pollution sonore,
00:23:25 il prend depuis
00:23:27 la loi,
00:23:29 le premier habitant,
00:23:31 il met un appareil
00:23:33 pour gagner de la distance.
00:23:35 Des cibles.
00:23:37 Il met un appareil pour gagner
00:23:39 pour appréhender la case.
00:23:41 Nous sommes pas
00:23:43 plein dans... ça veut dire
00:23:45 pas des cibles qu'il y a là.
00:23:47 Un camion passé,
00:23:49 un camion là, plus fort, ça tapasse.
00:23:51 Il faut suivre derrière
00:23:53 sur l'appareil déréglé.
00:23:55 Avec ça tapasse, ce qu'il y a là.
00:23:57 Voilà.
00:23:59 Mais, tout ça fait à nous-mêmes,
00:24:01 tout ça fait...
00:24:03 C'est ça que je vous pose
00:24:05 pour vous dire que nous avons
00:24:07 une pause pub, et ensuite nous reviendrons
00:24:09 parce que la discussion est intéressante.
00:24:11 Il y a un point intéressant que je veux soulever.
00:24:13 Nous prenons une pause,
00:24:15 après nous reviendrons sur le plateau,
00:24:17 pour ce que je vous ai dit.
00:24:19 Et rappelle-moi
00:24:21 aux auditeurs qu'ils sont capables
00:24:23 d'adresser nos autres questions.
00:24:25 Le décentre est 7777.
00:24:27 Nous prenons nos autres questions
00:24:29 à partir 18h30.
00:24:31 Merci.
00:24:33 Next.
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00:58:37 Zoom Extra
00:58:42 Nous sommes sur le plateau de Zoom Extra avec comme invité Bruno Raya, Jean-Jacques Ardjoun et Boisini.
00:58:52 Est-ce qu'il y a un appel à la régie personnelle?
00:58:56 Oui, on peut l'écouter.
00:59:02 Oui.
00:59:07 Oui.
00:59:12 Oui.
00:59:17 Oui.
00:59:22 Oui.
00:59:27 Oui.
00:59:32 Oui.
00:59:37 Oui.
00:59:42 Oui.
00:59:47 Oui.
00:59:52 Oui.
00:59:57 Oui.
01:00:02 Oui.
01:00:07 Oui.
01:00:12 Oui.
01:00:17 Oui.
01:00:22 Oui.
01:00:27 Oui.
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01:00:37 Oui.
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01:00:52 Oui.
01:00:57 Oui.
01:01:02 Oui.
01:01:07 Oui.
01:01:12 Oui.
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01:01:22 Oui.
01:01:27 Oui.
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01:01:37 Oui.
01:01:42 Oui.
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01:01:52 Oui.
01:01:57 Oui.
01:02:02 Oui.
01:02:07 Oui.
01:02:12 Oui.
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01:02:42 Oui.
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01:02:57 Oui.
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01:03:07 Oui.
01:03:12 Oui.
01:03:17 Oui.
01:03:22 Oui.
01:03:27 Oui.
01:03:32 Oui.
01:03:37 Oui.
01:03:42 Oui.
01:03:47 Oui.
01:03:52 Oui.
01:03:57 Oui.
01:04:02 Oui.
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01:04:12 Oui.
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01:04:27 Oui.
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01:04:42 Oui.
01:04:47 Oui.
01:04:52 Oui.
01:04:57 Oui.
01:05:02 Oui.
01:05:07 Oui.
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01:05:17 Oui.
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01:05:27 Oui.
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01:05:37 Oui.
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01:05:57 Oui.
01:06:02 Oui.
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01:06:57 Oui.
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01:07:12 Oui.
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01:08:12 Oui.
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01:13:12 Oui.
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01:13:22 Oui.
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01:13:57 Oui.
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01:17:07 Oui.
01:17:12 Oui.
01:17:17 Oui.
01:17:22 Oui.
01:17:27 Si tant
01:17:33 tout ce qui suit
01:17:38 dans sa mentalité là.
01:17:43 Dans l'espace trois semaines.
01:17:48 Dans votre manière même.
01:17:53 Oui.
01:17:58 Oui.
01:18:03 Oui.
01:18:08 Oui.
01:18:13 Oui.
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01:18:43 Oui.
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01:18:53 Oui.
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