PAF : Analyses, décryptages et investigations sur les émissions télé !
Du lundi au vendredi à 17h50 sur C8.
Tous les extraits et émissions de "PAF" sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
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00:00 J'ai envie de vous faire une petite interview rideau ce soir.
00:02 – Ah !
00:02 – Alors, très bien.
00:04 On y va.
00:05 On va commencer avec Coé, que j'embrasse.
00:07 Il y a l'heure, qui était ce week-end…
00:10 Enfin voilà, on s'est eus.
00:11 S'il vous demande de produire le retour de la méthode Coé comme avant,
00:13 vous ouvrez le rideau et vous y allez, oui ou non ?
00:16 – Ah oui.
00:17 – Ah oui, normal, c'est une expérience incroyable.
00:19 – Ouais.
00:19 Écoute, on l'a encore eu hier soir et il est toujours dans la même énergie, donc…
00:22 – Ah ouais, je sais, moi je l'ai eu ce week-end, il est en forme.
00:24 Et il pourrait, il pourrait le refaire.
00:26 – Vous pensez que ça marcherait ou pas ? Vous pensez que ça pourrait marcher ou pas ?
00:29 – Il y a un peu de l'eau qui est passée sous les ponts des taules
00:32 avec des invités people, donc je ne sais pas, ouais, peut-être, on ne sait rien.
00:36 – Il se fait avancer.
00:37 – Je ne suis pas sûr qu'il ait autant envie de faire de la télé
00:39 qu'il en avait envie d'en faire à l'époque.
00:40 – Non, non, il est bien.
00:41 – Son truc, c'est tellement la radio, il est tellement galère.
00:42 – Il n'est pas de la télé, c'est la radio, il fait ses trucs.
00:44 – Ouais.
00:45 – Il est cartonné.
00:45 – C'est pas mal.
00:46 – Mais c'est bizarre parce que c'est une des seules émissions
00:48 qui s'est arrêtée alors qu'elle cartonnait encore.
00:50 C'est fou ça.
00:51 – Non, il y a eu d'autres émissions aussi,
00:52 il n'y a que La Vérité qui compte à l'époque.
00:53 – Il y a que La Vérité qui compte.
00:54 – Julien Courbet, sans aucun doute.
00:55 – Exactement.
00:56 – Charles Villeneuve, le droit de savoir.
00:57 – Il n'y a que de la télé, Valérie Ménanime, c'est que de la télé.
00:59 Non, c'est vrai, ça marche très bien, je ne rigole pas en plus.
01:01 – Coucou c'est nous, ça marche bien.
01:04 – Non, Coucou c'est nous, c'est Christophe Dechavonne qui a voulu arrêter.
01:06 – Ah oui, oui, mais ça cartonnait.
01:07 – Bien sûr, ça cartonnait.
01:08 – Il partait à France 2.
01:09 – Oui, exactement.
01:10 – Il pensait qu'il allait gagner plus d'argent.
01:12 – Rebecca, vous étiez contente de retrouver cette émission ?
01:15 Vous avez tout de suite dit oui quand ils vous ont appelé ?
01:17 – Je lui ai dit oui avant même qu'ils me le demandent en fait.
01:19 – Non, c'est vous qui leur avez dit
01:20 "oui, pourquoi on ne referait pas, il n'y a que La Vérité qui compte ?"
01:22 – Non, non, c'est eux qui m'ont fait un petit message
01:23 pendant le confinement, un petit truc comme ça,
01:25 et j'ai dit oui, évidemment, et oui, évidemment.
01:28 – Ok, alors, deuxième question, Rideau, sachez que cette question…
01:32 – Elle n'était écrite pas ?
01:34 – Non, cette question est très importante et sachez qu'elle a un précédent.
01:39 Imaginez, le retour de La Vérité qui compte cartonne,
01:43 et ça va cartonner sur C8, je suis sûr et certain,
01:45 vraiment, je vous dis, je n'ai aucun doute.
01:49 Et là, quelqu'un de chez TF1 se trouve derrière le rideau
01:51 pour vous proposer de revenir chez eux en laissant tomber C8.
01:55 Est-ce que vous lui ouvrez le rideau ?
01:56 – Ah non !
01:58 – Ouais, alors on va dire non parce que…
02:00 – Moi je dis non en tout cas.
02:01 – Et tout le monde va dire ici qu'on fait ça parce qu'on est sur C8.
02:03 La vérité, parce qu'on est toujours cash, tu le sais,
02:06 c'est que quand on a commencé à cartonner sur…
02:07 – Juste avant de répondre, pensez à Lagaf.
02:09 [Rires]
02:11 – J'embrasse, mais non mais sérieux.
02:12 – Quand on a commencé à cartonner sur le digital en plein confinement,
02:16 on avait envoyé un petit mail à l'époque aux gens de TF1,
02:18 pas nous d'ailleurs directement, quelqu'un de notre entourage,
02:21 ils n'ont même pas apporté une seule réponse.
02:24 – Non, mais je vais vous dire, c'est ce qui s'était passé aussi avec Vincent,
02:27 qui avait cartonné avec le jeu sur le bowling,
02:29 Vincent Lagaf d'ailleurs, je l'embrasse, il n'y a pas d'embrouille avec lui,
02:32 et TF1 ne lui répondait jamais.
02:35 Mais une fois qu'il a cartonné chez nous, ils ont commencé à le rappeler.
02:40 – Ils oublient très vite.
02:41 – Parce que j'ai l'impression que TF1 nous regarde plus nous que…
02:42 [Rires]
02:46 – Donc la réponse est non.
02:47 – La réponse est non, et Pascal il a dit tout de suite non.
02:49 – Oui, tout de suite non.
02:50 – Oui, mais moi aussi je dis tout de suite non.
02:51 – Même si vous propose le triple.
02:52 – Oui, sans émission.
02:54 – Alors, toi t'as dit oui, mais oui, mais pas…
02:57 J'ai l'impression que si ça se passe là…
03:00 – Moi j'en discuterai avec les gens de la Jeuzo.
03:02 – Alors, t'en vas pas discuter.
03:04 – La réponse est non.
03:05 – Là, j'ai l'impression qu'avec le triple, nous on aura,
03:08 il n'y a que la vérité avec Pascal et lui qui compte sur TF1.
03:11 C'est tout, on aura ça.
03:12 – C'est ce qu'il voulait proposer à Lagaf.
03:14 – Il y aura deux ambiances.
03:15 – Non, non, mais voilà, Laurent va faire ce qu'ils ont proposé à Lagaf là-bas.
03:19 Non, mais sans déconner, d'abord on n'a plus aucun contact avec eux,
03:22 et je l'ai dit tout à l'heure, quand il n'existe plus à TF1,
03:25 TF1 n'existe plus.
03:26 Vous croyez que Camille Combal avait des contacts avec eux ?
03:28 Vous croyez que le Palmashow avait des contacts avec eux ?
03:30 – Oui, oui, ils en avaient quand même un peu.
03:31 – On en aurait pu avoir quand même des mecs.
03:33 Mais voilà, vous allez en avoir des contacts peut-être.
03:35 Parce que ce soir, je vous dis, vous allez faire plus du million.
03:38 Je le sais, je le sens.
03:39 Je le sens, je le sais.
03:40 On est en direct, bien entendu.
03:42 Émission très attendue encore ce soir.
03:45 Il va se passer beaucoup de choses dans l'émission, vous le savez, dans TPMP,
03:47 notamment dans quelques minutes.
03:48 Et juste après, TPMP en direct, bam, ça va s'enchaîner.
03:52 Comme Daniel enchaîne les mecs à Royan.
03:56 – Je suis obligé de les attacher.
03:58 – Ça s'enchaînera sans pub, direct, avec "Y a que la vérité qui compte",
04:02 avec de nouvelles histoires.
04:04 Il n'y a pas une histoire que vous avez déjà vue.
04:06 C'est que des nouvelles histoires.
04:07 Par exemple, on va suivre ce soir l'histoire de Mathieu et Sylviane.
04:10 Ils ne se parlent plus depuis 8 ans.
04:11 Et aujourd'hui, Mathieu souhaite renouer les liens avec sa maman.
04:14 C'est un moment fort.
04:15 C'est un moment fort qu'on va voir ce soir.
04:17 On va voir un petit extrait, les chers.
04:19 Regardez.
04:20 – S'il vous plaît.
04:22 – Je savais.
04:26 Je savais.
04:28 – Vous vous en doutiez ?
04:30 – Bah oui, je savais.
04:32 Il m'a fait tellement mal.
04:35 Oui, tu m'as fait tellement mal.
04:39 Quand tu disais "retourne dans la grotte, la vieille".
04:42 – Ça manque, effectivement, qu'on ne s'écrive plus.
04:47 Quand j'étais dans le sud, on s'appelait tous les jours, presque.
04:51 Presque tous les jours.
04:53 Parfois une heure, deux heures.
04:55 "T'as été là pour moi, t'as été là pour nous, oui."
04:58 Je ne sais pas plus de mots.
05:01 – Alors vous verrez ce soir si Sylviane accepte d'ouvrir le Renault
05:05 parce qu'elle a l'air touchée.
05:07 – Elle est touchée, mais elle est dure.
05:08 – Elle est dure.
05:09 – C'est une vraie cliente.
05:10 – J'ai vu, j'ai vu.
05:11 – Le conflit est profond.
05:12 – Et 8 ans sans jamais parler à son fils.
05:14 – On a l'impression que ça a été violent, cette histoire.
05:16 – Ce soir, on a hâte de voir ça.
05:18 On aura également Véronique et Séverine.
05:20 Il y a 8 ans, en fait, il n'y a que des histoires d'il y a 8 ans,
05:22 parce que maintenant c'est 8.
05:24 Avant sur TF1, c'était toujours "il y a un an",
05:26 maintenant c'est "il y a 8 ans".
05:27 – Ça c'est l'histoire qui va peut-être le plus se faire parler ce soir.
05:29 C'est dont tu vas parler maintenant.
05:30 – Je sais, et ça, Séverine a embrassé le mari de sa meilleure amie.
05:33 – Oui.
05:34 – Véronique, ça me dégoûte.
05:35 – Sa soeur.
05:36 – Ça me dégoûte.
05:37 Ah non, mais je vous le dis, ça me dégoûte, ça me dégoûte.
05:39 – Ça ne peut pas se passer.
05:40 – Ça ne peut pas se passer.
05:41 – Ça me dégoûte.
05:42 – Quoi, moi ?
05:43 – Que la meilleure amie de votre amie vous embrasse.
05:45 – Qui ?
05:46 – Je ne sais pas.
05:47 Les jours où vous avez une amie.
05:49 Ça vous est arrivé d'avoir une amie ?
05:50 – Non, Jean-Mi, c'est votre amie.
05:51 – J'ai une amie.
05:52 – Par exemple, votre amie a une amie.
05:55 Et saute cette amie.
05:56 – Vous êtes déjà, je ne comprends rien.
05:58 [Rires]
05:59 – Je veux dire, sortez-moi de là.
06:01 [Rires]
06:02 – Jean-Mi, c'est votre amie.
06:04 – Oui, très bien.
06:05 – Jean-Mi, par exemple, il a pu avoir des amoureuses.
06:07 – Oui.
06:08 – Voilà.
06:09 Et parfois, les amoureuses de Jean-Mi, vous les avez rencontrées.
06:11 – Est-ce que tu traduises ?
06:13 – Oui.
06:14 – Est-ce que tu taquines sa meuf ?
06:15 [Rires]
06:16 – Il a raison.
06:17 [Applaudissements]
06:24 – C'est un ami, c'est comme ça, on est comme ça.
06:26 – On peut peut-être avoir la réponse de Jean-Mi.
06:28 – Non, mais ça, je vous dis, ça, vraiment, c'est le truc.
06:30 Et non, mais là, en plus, c'est le cas contraire.
06:32 C'est comme si…
06:33 – C'est comme si j'embrassais Daniel.
06:35 – C'est-à-dire, pourquoi ?
06:36 – Rien à voir.
06:37 – Daniel, c'est son mari.
06:40 – Ah, son mari, oui.
06:41 – Ah, Daniel, je croyais, Daniel.
06:43 – Daniel, le riolo.
06:44 – Ah, le mec de Gérardine.
06:46 C'est comme si tu pécho le mec de Gérardine.
06:48 Moi, je te dis, je ne te le pardonne pas.
06:50 – Je te le pardonne.
06:51 – Je te la mets de la vie.
06:52 – Je te la mets de la vie, mais on ne fait pas.
06:53 – Non, mais attends, c'est quoi, ça ?
06:54 En plus, sur un compte, il faudrait qu'elle aille le chercher à l'école, tout ça.
06:56 [Rires]
06:58 – Avec son cartable.
06:59 – Et ce qu'on ne vous dit pas, c'est qu'en plus, quand la femme arrive,
07:02 celle qu'elle a mariée, donc,
07:04 elle n'a pas parlé à sa meilleure amie depuis huit ans,
07:06 et elle ne sait toujours pas, et nous-mêmes, on ne le sait pas,
07:08 au moment où elle arrive sur le plateau,
07:10 si elle sait que son mari a pécho sa meilleure amie.
07:12 – Non.
07:13 – C'est-à-dire qu'elle a dit le lendemain de ne plus jamais lui parler.
07:15 Tout le monde pense qu'évidemment, elle est au courant.
07:17 Le mari, il a dû faire une poucave, il a dû dire,
07:19 "Ouais, j'ai embrassé ta copine hier soir."
07:20 – Non.
07:21 – Mais on ne le sait pas.
07:22 – Waliha ! Waliha !
07:24 Regardez, regardez, regardez.
07:26 – Ce qui devait arriver, arriva.
07:28 Nous avons juste fait un bisou,
07:31 et je me suis reprochée tout de suite.
07:35 Donc, on s'est arrêtés là, on n'a jamais été plus loin,
07:38 mais je ne sais pas ce que Véro a comme...
07:42 – A comme information.
07:43 – Voilà, c'est ça.
07:44 J'ai voulu m'expliquer, j'ai voulu l'appeler,
07:46 je lui ai envoyé des messages, mais je n'ai jamais eu de réponse.
07:49 J'ai l'impression qu'à ce moment-là de la partie,
07:52 il y a deux, trois trucs qui vous disent
07:55 un truc auquel je pensais un petit peu,
07:57 et c'est peut-être ça.
07:59 – J'ai peur que ce soit ça.
08:00 Je le lis dans vos yeux.
08:02 – Alors Véro, regardez ces écrans,
08:05 et la régie va faire apparaître le visage de cette personne
08:08 qui nous a demandé de vous inviter.
08:10 – C'est ce que je pensais.
08:13 – Toi, Daniel.
08:18 Daniel, t'imagines, tu sors avec moi,
08:20 et ta meilleure amie...
08:21 Enfin non, elle est décédée.
08:23 Non, mais c'est rien à toi, mais l'exemple est mauvais.
08:25 Ça ne colle pas.
08:27 Ça ne colle pas, on ne peut pas non plus.
08:29 – C'est une douleur de trahison.
08:30 – Non mais c'est horrible.
08:31 – Trahison de la meilleure amie et trahison de l'amoureux.
08:33 C'est comme si par exemple Raymond embrassait votre chéri.
08:37 – Ah, mieux.
08:38 – Là, on se dit bonjour.
08:39 – Non mais alors Raymond, c'est pas pareil, c'est la famille.
08:42 – Vous pardonnez ?
08:43 – Non mais, hé les mecs, arrêtez avec moi, là.
08:46 Les gars, moi...
08:48 Alors, Raymond, je vais te dire, ça n'arrivera jamais.
08:50 J'ai une confiance absolue en lui.
08:52 Et puis en plus, ma fiancée, elle le trouve dégueulasse.
08:54 [Rires]
08:59 Non, non, je rigole, mon petit.
09:01 Je rigole.
09:02 Et je peux vous dire, Raymond, il a un succès fou.
09:04 Et je ne rigole pas.
09:05 Et moi, il m'est arrivé...
09:06 – Vous avez assisté à des trucs dingues ?
09:07 – Mais vous savez quoi ?
09:08 Mais moi, Raymond et moi, les meufs préfèrent Raymond.
09:09 Je vous jure que c'est vrai.
09:10 Et je ne rigole pas.
09:11 Et je dis, ah bah si.
09:12 – Et par exemple, une situation que vous avez vécue tous les deux
09:15 où il y a une jeune femme...
09:16 – Tout le temps, tout le temps.
09:17 Et tout le temps, et Jean se tourne vers Raymond.
09:18 – Vous savez, quand vous lui prêtez votre voiture, à la limite,
09:20 il peut filmer.
09:21 – Non, non, mais Jean se tourne toujours vers Raymond.
09:22 – Vous n'avez pas compris ce qu'il se passe ?
09:23 – Non, mais là, on n'a pas compris.
09:24 [Rires]
09:25 – Si il te pète une de ses voitures, par exemple,
09:27 oui, là, tu peux essayer de choper.
09:29 – Tu sais que...
09:30 – Ah, ça, là, c'est décompréhensible.
09:32 Je veux bien tout entendre, mais ça, c'est décompréhensible.
09:34 [Rires]
09:36 – Non, mais...
09:37 [Rires]
09:39 – Non, non, non, non, non !
09:41 [Rires]
09:43 – Non, non, non, non, non !
09:45 – C'est compréhensible, mais c'est nul.
09:47 – C'est pas nul, mais c'est...
09:48 – C'est nul, c'est nul, c'est nul, c'est nul, c'est nul.
09:50 [Rires]
09:52 C'est nul, c'est nul.
09:53 – On dirait une machine qui s'en met.
09:54 – C'est nul, mais compréhensible.
09:55 – Oui, mais c'est nul.
09:56 – Après, c'est comme si vous aviez une histoire avec Fatou, par exemple.
09:58 – Ah oui ?
09:59 – Ah oui.
10:00 – Oh là là.
10:01 – Vous pourriez...
10:02 – Oh là là, quoi ?
10:03 – Attention, Fatou, c'est une belle femme.
10:05 – Oui, d'accord, mais c'est votre amie, j'y l'avance.
10:06 – Oui, mais il faut pas qu'il laisse deux semaines avec elle dans un bague-galop.
10:08 [Rires]
10:10 – Il y a la meuf de la chronique, vous avez pas pécho, ton maquette ?
10:13 [Rires]
10:15 [Applaudissements]
10:19 – Eh, mon cousin, c'est l'ex-mec d'une des meufs de Laurent.
10:23 – Non.
10:24 – Quoi ?
10:25 – L'ex-mec d'un copain de Laurent.
10:27 – L'ex-mec d'une des meufs d'un copain.
10:29 – On s'en fout, allez.
10:30 [Rires]
10:31 – Pour vous dire que lui, attention...
10:33 – Quand il s'appelait ton cousin ?
10:34 – Non, on veut pas le nom, on veut pas le nom.
10:35 – Ah, merde, merde, merde.
10:36 – Arrête, on veut pas le nom, putain.
10:37 – Ouais, on a une autre famille.
10:38 – Il s'appelle Mounir.
10:39 [Rires]
10:40 – D'accord, Rebecca.
10:41 – Oui.
10:42 – Est-ce que tu accepterais, toi, ça ?
10:43 T'as une meilleure amie ?
10:44 – Oui.
10:45 – Elle s'appelle comment ?
10:46 – Laurie.
10:47 – Gaga.
10:48 – Comment ?
10:49 – Gaga, mais je suis un peu idiot de dire...
10:50 – Lady ?
10:51 – Ouais.
10:52 [Rires]
10:53 – Alors, Gaga ?
10:54 – Oui.
10:55 – Non, non, non, parce que son surnom, c'est...
10:56 – Elle s'appelle comment ?
10:57 – Elle s'appelle Anouk.
10:58 – Anouk, donc Anouk...
10:59 – C'est logique, hein ?
11:00 – Non, non, non, c'est logique.
11:01 – Moi, j'ai des vraies logiques pour les surnoms.
11:02 – Non, non, non, c'est logique.
11:03 Alors, Anouk, Nounouk, Nounouk, Gaganounouk.
11:04 – Gaganounouk, Gaganounouk.
11:05 – Ah, c'est ça, bah, tu vois, c'est fou.
11:06 – C'est ma logique.
11:07 – Ah ouais, très bien.
11:08 Et donc, si elle sortait avec ton mec ?
11:09 – Elle le ferait pas.
11:10 – Non, mais, ne dis jamais, jamais, elle le ferait pas.
11:26 On peut te dire, méfie-toi.
11:27 – Non.
11:28 – Méfie-toi.
11:29 – Non.
11:30 – Eh bien, justement, elle est là, ce soir.
11:31 – Alors, on a un rideau ou pas ?
11:32 – Non, mais, tu crois que...
11:33 – Non, mais, c'est impardonnable.
11:34 – C'est le zing.
11:35 – C'est impardonnable.
11:36 Mais c'est surtout à mon mec que j'en voudrais.
11:37 – Ah ouais, c'est vrai ?
11:38 Oh non, alors, mais...
11:39 – Non, mais, c'est pas ça, non.
11:40 – C'est pas ça, non.
11:41 – C'est pas ça, non.
11:42 – C'est pas ça, non.
11:43 – C'est pas ça, non.
11:44 – C'est pas ça, non.
11:45 – C'est pas ça, non.
11:46 – C'est pas ça, non.
11:47 – C'est pas ça, non.
11:48 – C'est pas ça, non.
11:49 – C'est pas ça, non.
11:50 – C'est pas ça, non.
11:51 – C'est pas ça, non.
11:52 – C'est pas ça, non.
11:53 – C'est pas ça, non.
11:54 – C'est pas ça, non.
11:55 – C'est pas ça, non.
11:56 – C'est pas ça, non.
11:57 – C'est pas ça, non.
11:58 – Non, mais, Pascal, t'as pas voulu que je te dise que...
11:59 – Moi, ça m'est arrivé, je l'ai épousée, je lui ai fait deux enfants.
12:02 – Non, quoi ? T'as pécho la meuf de ton meilleur ami et t'es marié avec elle ?
12:06 – Non, pas mon meilleur ami, mais c'est un ami.
12:08 – Non !
12:09 Ah, quand même, Pascal, là.
12:10 – Ouais, mais je l'ai épousée, je lui ai fait deux enfants.
12:12 – Ouais, mais alors, alors, alors...
12:13 On peut tous le faire, ça !
12:14 Non, mais, Pascal, il t'en a pas voulu ?
12:17 – Si.
12:18 – T'es resté copain avec lui ?
12:19 – Oh, il t'a plus jamais parlé.
12:20 – Il t'a plus jamais parlé.
12:21 – C'est normal.
12:22 – Après, quoi, t'as eu un coup de foudre ?
12:23 – Oui, voilà.
12:24 – Comment c'est passé ?
12:25 Il te l'a présentée un jour, t'as dit "j'ai une nouvelle fiancée, je te la présente"...
12:26 – Non, non, je la connaissais depuis un moment, puis un jour, on a craqué, voilà.
12:29 – Non, mais elle t'a trompée ?
12:31 Elle l'a trompée avec toi, ou bien, non ?
12:33 C'était une transition.
12:34 – Non, elle l'a quittée et...
12:35 – L'autre à côté.
12:36 – Pascal, ici, tu sais, il y a que la vérité qui compte.
12:39 – Ouais.
12:40 Elle l'a quittée et après, on s'est mis ensemble.
12:42 Mais lui, il m'en a voulu.
12:43 – Je le comprends, je le comprends.
12:44 – Moi aussi, je le comprends.
12:45 – Non, mais t'as essayé de...
12:46 Pourquoi tu fais pas un rideau, toi, un jour, avec lui ?
12:47 Tu sais que ça serait fort, ce rideau.
12:48 Tu sais que c'est très fort, t'en sors rien.
12:49 Le gars arrive et toi, t'es plus là, il y a que lui.
12:50 Si il y a quelqu'un qui veut vous parler, il faut à ta têtée.
12:51 Voilà.
12:52 Et sans rigole, il serait pas mal.
12:53 – Tu viens animer avec Laurent, alors ?
12:54 – Non, mais avec plaisir, je te jure.
12:55 Je l'envoie Bénéime.
12:56 Ils ont travaillé ensemble, il a été à son mariage, tout ça.
12:57 – Oui, mais Pascal aussi.
12:58 – Je lui dis moins de son mariage.
13:09 – Non, mais vous savez que...
13:11 Pascal, tu sais que ce serait très fort, ça ?
13:12 C'est très fort, ça.
13:13 [Musique]
13:13 - C'est très fort ça.
13:15 [Musique entraînante diminuant jusqu'au silence]