Benjamin Castaldi présente sa nouvelle pièce de théâtre "Bungalow 21"

  • l’année dernière
PAF : Analyses, décryptages et investigations sur les émissions télé ! 




Du lundi au vendredi à 17h50 sur C8.




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00:00 Bravo ! Bravo !
00:02 - Bravo ! - Bravo !
00:04 - Bravo ! - Bravo !
00:06 - Ça va ? - Ça va !
00:08 - Bravo ! - Bravo !
00:10 - Bravo ! - Bravo !
00:12 - Bravo ! - Bravo !
00:14 - Bravo ! - Bravo !
00:16 - Bravo ! - Bravo !
00:18 - Bravo ! - Bravo !
00:20 - Bravo ! - Bravo !
00:22 - C'est connard, lui !
00:24 - Bahjama Kastani, qui est avec nous !
00:26 - C'est bon !
00:28 - Ça va, mon Benji d'amour ?
00:30 - C'est beau, ça !
00:32 - On a récupéré ton cachet !
00:34 - C'est ça, ça se fait vivre !
00:36 - On a pu en mettre un peu dans le décor !
00:38 - Ça va, mon bébé ? - Très bien !
00:40 - J'avoue, on s'est très souvent au téléphone.
00:42 - Tous les jours, quasiment.
00:44 - Tous les jours, quasiment.
00:46 J'ai Benjamin Hooper SMS, et cet été,
00:48 je l'ai souvent eu, mon chéri.
00:50 - Super bien ! - Tu es en pleine forme !
00:52 - En pleine forme !
00:54 - Tu as un magnifique costume en bubuque !
00:56 - En même temps, c'est mieux que d'être déguisé en mécano !
00:58 - Si tu veux, je peux te faire la vidange !
01:00 - Ça me ferait plaisir !
01:02 - En tout cas, on est très heureux de te voir, mon chéri.
01:04 Je te voulais lundi, et tu ne savais pas venir ce semain,
01:06 je te veux lundi, direct. - Lundi !
01:08 - On m'avait dit 20h10, mais ça a changé.
01:10 - Ça change souvent, ne t'inquiète pas.
01:12 Rien ne dit que tu ne resteras pas jusqu'à 20h10.
01:14 En plus, là, tu n'es pas payé, donc je peux te dire
01:16 que tu vas rester.
01:18 "Bungalow 21", du mercredi au samedi à 21h,
01:20 le samedi à 16h. Tu nous en as parlé, ici.
01:22 - Je suis tellement heureux que ça arrive,
01:24 et que, enfin, ça arrive au théâtre,
01:26 parce que Benjamin nous en parle depuis peut-être 2 ans.
01:28 - Ça fait 4 ans, même !
01:30 - Moi, 2 ans que tu m'en parles.
01:32 - C'est né pendant le confinement, le 1er.
01:34 Je suis très heureux.
01:36 - On va voir la bande-annonce de cette pièce
01:38 avec Emmanuel et Mathilde Seigner.
01:40 C'est de Eric Emmanuel Schmitt,
01:42 mise en scène par Jérémy Lipman.
01:44 On va regarder la bande-annonce. Tu vas nous raconter
01:46 ce qui se passe et ce que tu as fait.
01:48 - Bienvenue au "Bungalow 21".
01:50 Scandale à Hollywood.
01:52 Le couple le plus célèbre d'Amérique n'existe plus.
01:54 Arthur Miller et Marilyn Monroe
01:56 divorcent.
01:58 Suite au tournage du film "Le milliardaire",
02:00 la rumeur d'une liaison avec la star française
02:02 Yves Montand va bon train.
02:04 - Yves Montand, Marilyn Monroe...
02:06 - Arthur Miller et Simone Signoret
02:08 écartés, mais que s'est-il passé derrière
02:10 les murs du "Bungalow 21" du Beverly Hills Hotel ?
02:12 Cette histoire dépasse largement
02:14 le petit monde des studios hollywoodiens.
02:16 Mais le scandale se répand comme
02:18 une traînée de poudre jusqu'aux rues de Paris.
02:20 - Un scandale. Yves Montand, Marilyn Monroe...
02:22 - Suivez toute l'affaire dans notre numéro spécial
02:24 à partir de septembre 2023
02:26 au Théâtre de la Madeleine.
02:28 ...
02:30 ...
02:32 ...
02:34 - Bravo.
02:36 - À partir...
02:38 ...
02:40 ...
02:42 - Eh bien, ça y est, donc.
02:44 Et ça cartonne, hein ? - Ça va pas mal.
02:46 - Non, ça marche très fort.
02:48 On me l'a encore dit ce matin
02:50 avec mon ami Jean-François Lanselier.
02:52 - Elle avait envie d'être avec lui.
02:54 Ils devaient rester 3 mois ensemble.
02:56 Il y a eu une grève, comme il y a maintenant,
02:58 d'ailleurs, à Hollywood. Du coup, ça a pris du retard.
03:00 Elle est partie à Rome faire un film.
03:02 Entre-temps, elle a eu l'Oscar et elle a laissé
03:04 son mari avec Marilyn Monroe.
03:06 Et généralement, dans ces cas-là, c'est boulette.
03:08 - C'est vrai.
03:10 - Du coup, voilà. Il a dit...
03:12 Quand on est avec Marilyn Monroe, c'est rare
03:14 qu'on soit avec Marilyn Monroe.
03:16 - Ah ouais ? - Si vous faites un film
03:18 avec Margot Robbie, vous, par exemple.
03:20 - Pas du tout mon délire. - Ouais, bon, alors,
03:22 je sais pas, moi. Avec qui, par exemple ?
03:24 - Avec toi. - Ah, merde !
03:26 - Simplement. Avec toi, ça peut me chauffer.
03:28 - Et donc, c'est vrai qu'il y a eu une liaison,
03:30 ça s'est su. Et le problème, c'est que ma grand-mère,
03:32 elle a été la cocu la plus célèbre du monde,
03:34 puisque le monde entier l'a appris.
03:36 Il y a eu toute la presse du monde entier,
03:38 de l'Italie à Tokyo, en passant par...
03:40 Voilà, ça a été terrible pour elle.
03:42 Elle a dû recoller les morceaux,
03:44 mais il a fait beaucoup de mal.
03:46 C'est à la fois très drôle, parce que,
03:48 montant, il avait beaucoup d'humour,
03:50 il avait une mauvaise foi absolument incroyable.
03:52 Quand il dit à sa femme... Enfin, franchement,
03:54 maintenant, depuis que je suis avec elle,
03:56 elle est jamais en retard sur le plateau de tournage,
03:58 faut qu'elle me dise ça à sa femme.
04:00 On est très fiers, c'est une très belle pièce.
04:02 J'espère que les jeunes vont venir,
04:04 parce qu'il y a pas mal de personnes de plus de 50
04:06 qui viennent, parce qu'ils connaissent l'histoire.
04:08 Mais franchement, il faudrait que les moins de 30
04:10 aient une bonne idée de ce qu'il se passe.
04:12 - Daniel va y aller. - Oui.
04:14 - C'est vrai. - Ton parent est moins de 30.
04:16 - Tu vas y aller. - Bien sûr.
04:18 - Tu connais cette histoire. - Bien sûr.
04:20 - Ah oui. - En fait, c'est vraiment
04:22 un peu le début de la fin pour Simone Signoret.
04:24 - C'est le début de la fin, mais c'est aussi
04:26 le début du reste, parce qu'après cet épisode,
04:28 elle a fait une deuxième carrière,
04:30 où elle a fait tous les grands films.
04:32 "Le chat", "La veuve coudaine".
04:34 - Elle s'est laissée aller, on peut le dire.
04:36 - C'est toi qui as eu l'idée de la pièce ?
04:38 - Oui, c'est un ami que tu connais,
04:40 qui m'a dit... C'est un amour. Il m'a dit,
04:42 "Tu devrais essayer de monter quelque chose
04:44 autour de cette histoire." On a fait un petit dossier,
04:46 comme on fait quand on est étudiant. J'ai dit,
04:48 "A qui on pourrait demander de décrire la pièce ?"
04:50 J'ai été voir Schmitt. J'ai mis un an avant le rendez-vous.
04:52 - Des cuisines ? [Rires]
04:54 - Oui. J'ai mis un an avant le rendez-vous.
04:56 - Oui, c'est vrai qu'il a dit ça.
04:58 - Non, mais évidemment. Il m'a dit, "Ça peut m'intéresser."
05:00 Il s'est fait... Attends, il m'a dit, "Une fois, deux fois,
05:02 trois fois, je vous rappelle." Et à la fin du premier confinement,
05:04 il m'a dit, "Viens à la maison."
05:06 Et on s'est enfermés une semaine.
05:08 - Dans la cuisine ? [Rires]
05:10 - On s'est enfermés chez lui.
05:12 Et donc, voilà, je lui ai amené tous les documents
05:14 que j'avais personnels et la correspondance entre...
05:16 - Et t'as signé les yeux fermés, du coup ?
05:18 [Rires]
05:20 - C'est un interprète, ça !
05:22 [Rires et applaudissements]
05:24 [Rires]
05:26 [Rires]
05:28 - Bravo !
05:30 [Rires]
05:32 - Non !
05:34 - Il est con !
05:36 - Non, mais ça va, celle. J'ai un ami, ça va.
05:38 Ça va, ça va.
05:40 - Non, Benji, je te jure.
05:42 Benji, donc c'est toi qui a... C'est toi qui a eu l'idée.
05:44 - Ben oui, je te l'ai dit déjà deux fois.
05:46 - Toi qui produis ou pas ? - Je co-produis.
05:48 - Ouais. - Donc c'est...
05:50 - On parle de producteur à producteur, là. - T'en sors ?
05:52 - Ça va. - T'as une belle saison ?
05:54 T'as une belle saison, Jebénice ?
05:56 - Ça va. - Non, ça va ? - Ça va.
05:58 - Ça va, parce que moi, c'est ça qui compte pour moi.
06:00 - Non, ça va, ça va. - Sauf toi, parce que pour toi...
06:02 - Ça va. - Ça va ? - T'es toujours bien de 500 000, mais bon, si t'as...
06:04 [Rires]
06:06 - T'es mort de léocuse. [Rires]
06:08 - Non, mais je peux vous dire...
06:10 Je vous dis, ça, ça va être un carton.
06:12 C'est la pièce de la rentrée, et je suis tellement heureux
06:14 pour Benji. C'est toi qui a choisi Mathilde Séné ?
06:16 - Ah, Mathilde, je la voulais absolument,
06:18 mais elle a eu 4 ans pour la convaincre,
06:20 et c'est elle qui a eu l'idée d'engager sa soeur.
06:22 - Super. - Elle est culottée, mais du coup,
06:24 ils sont tous incroyables, mais...
06:26 - Michael Cohen. - Ouais, j'adore.
06:28 - Michael Cohen est incroyable, Vincent Mitterrand est incroyable,
06:30 Clément de Meureuse... Vraiment, je vais pas...
06:32 J'y vais tous les soirs, je suis tous les soirs avec eux.
06:34 - Ah ouais ? - C'est vrai, c'est mon bébé,
06:36 donc je le vois évoluer. - T'as donné des conseils
06:38 de mise en scène ou pas du tout ? - Non, non, j'étais...
06:40 - Comment tu voyais les choses ? - J'ai dit...
06:42 Moi, j'étais le garant un peu du temps pour mes grands-parents,
06:44 donc il fallait pas que l'image de mes grands-parents
06:46 me dérange. Et là, je suis très content,
06:48 et voilà, franchement, je suis extrêmement fier.
06:50 - Tu retrates tous les soirs ? - Tous les soirs.
06:52 Le temps que ça se... Voilà, quand ça roulera...
06:54 - Donc tu fais ça, donc là, c'est ton projet numéro 1 ?
06:56 - Numéro 1, et puis après...
06:58 - Parce que t'as d'autres projets.
07:00 - Ah non, qu'est-ce que vous voulez qu'il y ait d'autres ?
07:02 (rires)
07:04 (cris de joie)
07:06 - Tu sors ! Tu sors ! Tu sors !
07:08 - Allez. - Tu sors ! Tu sors !
07:10 - Non, mais... - Tu sors ! Tu sors !
07:12 - Allez, par là ! - Tu sors ! Tu sors !
07:14 - Allez, allez, vite, vite.
07:16 - Tu sors ! Tu sors ! Tu sors !
07:18 - Voilà.
07:20 - Moi, ça peut couler, on dirait Peter Hustinov.
07:22 (rires)
07:24 - Encore, c'est gentil, franchement.
07:26 - Il a une peu con, on dirait qu'il a un farinage sur la tête.
07:28 - Voilà, et après... - Non, ça, c'était méchant,
07:30 j'aime pas. - Non, c'est bon, non.
07:32 - Non, c'est du Verdes.
07:34 - C'est du Verdes, c'est du Verdes.
07:36 - Moi, je dis les choses, genre... J'en ai plus rien à foutre.
07:38 - Et après, dans les projets,
07:40 j'ai une série télé qui, j'espère,
07:42 va bientôt arriver. - Oui, tout ça.
07:44 - Sûrement une plateforme. - D'accord.
07:46 - C'est quoi, l'histoire ?
07:48 - L'histoire, ça se passe en 2025.
07:50 - C'est là. - C'est là, maintenant.
07:52 Et il y a la première chaîne d'Europe, on ne le citera pas,
07:54 qui a des gros problèmes d'audience. - Ah ouais ?
07:56 - Et ils se disent pourquoi est-ce qu'on relance pas
07:58 une télé-réalité comme on en a fait une il y a 20 ans ?
08:00 Et ils rappellent le producteur qui avait fait le succès de la chaîne
08:02 il y a 20 ans.
08:04 - C'est chez nous, ça ? - Oui, c'est chez vous.
08:06 Enfin, le programme... Je voulais pas rien voler.
08:08 (rires)
08:10 - Pas vérifié.
08:12 (rires)
08:14 - Et ils relancent une télé-réalité qui va très mal se passer.
08:16 - Ah ouais ? - Fort.
08:18 - Ça, c'est signé ? - Non, ça, c'est en développement,
08:20 c'est signé. - Mais dis-moi,
08:22 c'est fou, t'as plein d'idées.
08:24 - Mais ça vous a échappé pendant cette annonce ?
08:26 - C'est faux, sache que je sais pas.
08:28 - C'est marrant. - Non, mais je suis très content
08:30 pour toi, mon chéri. Et bon, tu nous manques,
08:32 je te le dis. - Vous nous manquez aussi.
08:34 - Je te jure que je vous manque. - Dis-nous la vérité.
08:36 Quand tu vois "Arrivée 18h40",
08:38 est-ce que t'as une petite rassurance ?
08:40 - D'abord, je suis devant ma télé, très souvent.
08:42 - C'était mon frère. Alors, je voudrais dire, lui, c'est un mec,
08:44 mais je l'aime. Il le sait que je l'aime.
08:46 - Non, mais ça me manquait, mais honnêtement,
08:48 quand je vois l'émission et quand je vois
08:50 ce dont vous parlez, franchement, je suis mieux chez moi.
08:52 - Ah ouais ? - Ouais.
08:54 - Pourquoi, tu le sens pas réagir sur l'actu ? - Ah, pas du tout.
08:56 Non, pas du tout. Il a l'air de moins en moins.
08:58 - T'as vu les chats ? - Non, rien.
09:00 Arrêtez les chats, tout.
09:02 - C'est le "chatgate"
09:04 qui t'a échaudé.
09:06 - Non, mais le "chatgate" m'a pas échaudé.
09:08 - Non, mais c'est-à-dire que toi, tu as dit que tu t'aimes bien parler de télé.
09:10 Il a regardé même la série. Il a fait une série sur la télé.
09:12 Et c'est qui ? - Donc, honnêtement, je l'ai dit.
09:14 Et c'est vrai qu'on va pas se mentir, les 6 derniers mois,
09:16 je t'ai payé à rien foutre.
09:18 Bon, je l'ai dit. - J'adore. Il l'a dit.
09:20 Il a tellement raison.
09:22 - Ben oui.
09:24 - Lui, il l'a dit. - Lui, il l'a dit.
09:26 Parce qu'il y en a plein ici. J'attends qu'il le dise.
09:28 - Moi, ça fait 13 ans.
09:30 - Donc voilà. Et après, c'était plus possible d'être là.
09:32 Et juste d'être là pour...
09:34 On a fait le tour de mes femmes, de mes dettes,
09:36 de mes petits yeux, de mes seins.
09:38 - On va te laisser avoir.
09:40 On va te laisser avoir des nouvelles femmes,
09:42 des nouvelles dettes, et tu reviendras.
09:44 - Voilà. - OK ?
09:46 - Tu seras toujours le bienvenu, mon chéri.
09:48 Non, mais si t'es heureux, moi, je suis très heureux pour toi.
09:50 Et vraiment, mon Benji, c'est vrai que...
09:52 Tu te rappelles de ta première dans TPMP ?
09:54 - Ah oui. Enfin, je me rappelle, oui.
09:56 - C'était le 5 septembre 2016. - Ah oui.
09:58 - Tu veux la revoir ? - Ouais.
10:00 - C'est vrai ? - Ouais.
10:02 - C'est des images à moi, donc... - C'est gratuit.
10:04 - C'est gratuit. - Eh bah voilà.
10:06 - Le féliciter, il vit un amour fusionnel.
10:08 Voilà. Et ça nous fait plaisir,
10:10 parce qu'il est très en forme. Et la bonne nouvelle,
10:12 et vraiment, je suis très, très heureux de ça,
10:14 c'est que Benjamin Castagny rejoint l'équipe de "Touche pas à mon pote" cinéma !
10:16 (acclamations)
10:18 (musique)
10:20 (acclamations)
10:22 (musique)
10:24 - T'as dit ! T'as dit ! T'as dit !
10:26 - Ça va, mon chéri, d'accord ?
10:28 Merci d'être là, mon ami. Merci, mon chéri.
10:30 - Merci, mon ami. - Je suis très content
10:32 de voir Benjamin.
10:34 Bon, les chéris,
10:36 Benjamin, est-ce que t'es content d'être avec nous ?
10:38 - C'était un peu long, un peu latente, mais c'est bien.
10:40 (acclamations)
10:42 (acclamations)
10:44 (acclamations)
10:46 - Eh ouais, mon ami.
10:48 - Il y avait déjà "re-re-remarié", j'ai vu, dans le barco, là.
10:50 - C'est vrai ? - Il y avait déjà une petite blague.
10:52 - Oui, oui. - "Re-re-remarié".
10:54 - C'est vrai ? - Oui, c'est vrai.
10:56 - C'est vrai ? - Oui, c'est vrai.
10:58 - C'est vrai ? - Oui, c'est vrai.
11:00 - C'est vrai ? - Oui, c'est vrai.
11:02 - C'est vrai ? - Oui, c'est vrai.
11:04 - C'est vrai ? - Oui, c'est vrai.
11:06 - C'est vrai ? - Oui, c'est vrai.
11:08 - C'est vrai ? - Oui, c'est vrai.
11:10 - C'est vrai ? - Oui, c'est vrai.
11:12 - C'est vrai ? - Oui, c'est vrai.
11:14 - C'est vrai ? - Oui, c'est vrai.
11:16 - C'est vrai ? - Oui, c'est vrai.
11:18 - C'est vrai ? - Oui, c'est vrai.
11:20 - Sacha qui produit Paf et qui produisait le 6 à 7.
11:22 - Oui. - Sixtine qui s'occupe des chroniqueurs
11:24 et qui fait partie de Colonta, comme vous voulez le voir.
11:26 - On dirait qu'elle a fait volontairement.
11:28 - Et Adèle qui s'occupe du partenariat et des cadres.
11:30 - Ah ! - Est-ce que tu veux savoir ?
11:32 - Par an de saloperies, je vais prendre Adèle,
11:34 comme ça, on s'en débarrasse tout de suite.
11:36 - Adèle, allez, Adèle.
11:38 - Benjamin, j'espère que tu vas bien.
11:40 J'ai énormément de souvenirs avec toi, énormément.
11:42 Bon, on ne va pas revenir sur les bouquets de fleurs
11:44 que tu récupérais pour les donner à ta femme
11:46 au moment de la Saint-Valentin.
11:48 On ne va pas revenir non plus sur la trottinette...
11:50 Les 3 trottinettes électriques que tu m'as demandées.
11:52 Mais moi non plus.
11:54 Beau souvenir avec toi, il est récent.
11:56 Il y avait, par exemple, le séjour.
11:58 Le séjour que tu m'as demandé dans un parc d'attraction
12:00 pour ta famille.
12:02 L'organisation de ton déménagement, franchement,
12:04 ça, c'était sympathique.
12:06 J'ai que de très, très bons souvenirs avec toi.
12:08 En tout cas, je te souhaite plein de bonnes choses pour la suite.
12:10 A plus tard. Ciao.
12:12 - Merci, Adèle.
12:14 (acclamations)
12:16 - Alors, tout est vrai.
12:18 Effectivement, c'était le parc qu'on ne tâchera pas...
12:20 Voilà. - Bien sûr.
12:22 - C'était pour mes enfants. - Bien sûr, bien sûr.
12:24 - Voilà. Mais comme on était partenaires de l'émission,
12:26 pourquoi ne pas en profiter ?
12:28 Quand ton déménagement, ça coûte un bras.
12:30 Et comme je passe mon temps à déménager tous les 6 mois,
12:32 au bout du 5e, j'ai dit... - Là, c'est bon, là,
12:34 t'es calé, là ? - J'espère. On verra.
12:36 Ça peut encore changer. - Tiens mon con.
12:38 - Je vous dirai. Le prochain déménagement,
12:40 je vous rappellerai. - C'est pour rien.
12:42 - Mais je sais qu'il y a toujours une place chez vous.
12:44 - Oui. - Toi, toujours.
12:46 Tu veux réécouter quelqu'un d'autre ? - Alors là, ça devrait être Moktar.
12:48 - Ah oui, Moktar. (rires)
12:50 (clic)
12:52 - Casta, tous les jours, il ne voulait pas faire avec moi.
12:54 Tous les jours, tous les jours.
12:56 Je ne sais pas ce qu'il a sur moi.
12:58 Et des fois, il me dit "t'es quoi ?"
13:00 Il me dit "t'es quoi ?" Il me dit "ouais, c'est lui, je le dégringue."
13:02 Maintenant, à 10 ans, je le dégringue.
13:04 Et comme c'est lui le patron, il se laisse écouter
13:06 sur 10 ans. Non, Casta ?
13:08 (acclamations)
13:10 - Moi, je m'arrête.
13:12 Je m'arrête. Alors, Moktar,
13:14 moi, je ne m'arrête pas du tout sur ce que tu dis.
13:16 Frère, t'as été mossé à la tour d'argent ou quoi ?
13:18 (rires)
13:20 C'est quoi ce resto de ouf, là ?
13:22 - Incroyable. - C'est quoi ce resto de ouf, frérot ?
13:24 - Je te jure.
13:26 - Ah, t'étais chez Zino ! Ah, d'accord. Fort.
13:28 Ma brooke, hein, frère. - Pas mal.
13:30 - Ma brooke, hein. Me sarte a closeille, hein.
13:32 Franchement, me sarte a closeille.
13:34 Benjamin, donc là, tu vas faire la pièce.
13:36 - Oui. - Tu prépares ta série.
13:38 Qu'est-ce que t'as envie de faire en télé ? Dis-nous la vérité.
13:40 Je sais que t'es un fou de télé. Arrête.
13:42 - J'ai pas dit que je ferais plus de télé,
13:44 mais je ferais faire des gros barnum, moi.
13:46 - Des gros barnum ? - Ouais.
13:48 - Genre quoi ? Je refaire des nouvelles stars, des trucs comme ça ?
13:50 - Ouais, enfin, voilà.
13:52 Du direct, plutôt, parce que c'est quand même ça...
13:54 C'est quand même ça, la retraite.
13:56 - Comme animateur ? - Non, non, comme balayeur.
13:58 (rires)
14:00 (acclamations)
14:02 - Allez, monte !
14:04 Les gars, vous allez reposer.
14:06 - Je te fais un compliment, je te fais un compliment,
14:08 tu me casses. Pas chroniqueur, je veux dire,
14:10 maintenant, animateur. - Mais non, mais honnêtement,
14:12 je suis pas très bon chroniqueur. - Ah, ça y est !
14:14 - T'étais bon, là. - Arrête, arrête.
14:16 On a plus d'irrépolages, arrête. - Non, mais je suis pas très bon.
14:18 Je suis bien meilleur animateur que chroniqueur, je pense.
14:20 - Et donc là, t'aimerais faire quoi ? T'aimerais aller sur quelle chaîne ?
14:22 - Honnêtement,
14:24 celle qui m'accueille. - Ah bon ?
14:26 Est-ce que t'as pris de rendez-vous avec des chaînes ?
14:28 - Non. Non. - Pour l'instant, non ?
14:30 - Non, non, non. - Allez...
14:32 - Non, non, non, je te le dirai. - Il a pu s'étonner.
14:34 - Non, mais tu seras au courant, en plus.
14:36 - Avec des producteurs. - Avec des producteurs.
14:38 - Oui, j'ai eu 2-3... - Ah !
14:40 - Des producteurs. - Il a fait une têtette.
14:42 - Donc un autre producteur que Cyprien, du coup ?
14:44 - Je crois que j'ai eu... - Tu crois ?
14:46 - Oui, il y a du rein. - Ah, ça pénait !
14:48 - La tête de chez vous, peut-être. - Dis-moi qui c'est.
14:50 - La tête de chez vous.
14:52 - Mais c'est bon !
14:56 - C'est la maison.
14:58 - C'est la maison. - Non, mais bon, il y a...
15:00 - T'as eu un renvoi avec Jean-Louis Blanc ?
15:02 - Non, mais...
15:04 - C'est un ami, c'est le patron d'André Molle.
15:06 - Ça a circulé un peu. - C'est un ami.
15:08 - De toute façon, là, je voulais vraiment me concentrer sur ça,
15:10 et en janvier, on verra.
15:12 - Si tu veux être à l'antenne en janvier,
15:14 c'est maintenant qu'il faut se concentrer sur la télé.
15:16 - Je vais me manoculer. - Dis-moi ce que t'as envie de faire.
15:18 - Non, mais là, j'ai rien envie de faire.
15:20 - T'as envie de faire un jeu, toi ? - Oui, j'adorerais.
15:22 Le jeu, c'est ce que je préfère. - Il est super bon dans les jeux.
15:24 - T'as envie de faire quoi comme jeu ?
15:26 - Un contre 100, ici, chez vous.
15:28 - Ouais. - Ça marchait bien.
15:30 - Un contre 100. - Il va faire un contre 10.
15:32 - Ouais, mais c'est pas vrai.
15:34 (rires)
15:36 (applaudissements)
15:38 - Ça n'a rien à voir.
15:40 Ça n'a rien à voir, parce que lui, moi, c'est une émission politique.
15:42 C'est un jeu. Un contre 100, tu penses que ça pourrait encore marcher ?
15:44 - Ah, je suis sûr.
15:46 - Ça va être sur quelle chaîne ? Tu le verrais.
15:48 M6 ? - Non, ils font pas de jeux sur M6.
15:50 Ça marche pas des masses.
15:52 - C'est pas une manière ?
15:54 - Tais-toi ! Putain !
15:56 Non, non, c'est rigoler, Benji.
15:58 - Non, je pense que la seule chaîne qui pourrait...
16:00 Ah, mais TF1, on est pas au mieux. Enfin, moi, je suis pas au mieux avec eux.
16:02 - Ah ouais, pourquoi ? - Je sais pas. Réfléchissez.
16:04 (rires)
16:06 - Non, mais... - T'es plus avec moi.
16:08 - Non, mais... - Je peux pas.
16:10 - Non, parce que... Non, ouais. Il y en a 2 qui m'aiment pas, là-bas.
16:12 - C'est vrai ? - Lesquels ?
16:14 - Dis-les-moi dans l'oreille.
16:16 (rires)
16:18 - Ah, ils sont des écoliques, là.
16:20 - Un et l'autre.
16:22 - Non, non, non.
16:24 (rires)
16:26 - Ah, parce qu'en fait, il y a Ara...
16:28 (rires)
16:30 - Le patron des programmes,
16:32 qui est Xavier, tu crois qu'il t'aime pas ?
16:34 - Ouais, non. - Mais t'inquiète pas, ils aiment tout le monde.
16:36 - Ouais, ouais. - La télé, c'est comme ça.
16:38 La télé n'a pas de mémoire. Je te le dis. Ne crois pas ça.
16:40 - Ouais. - T'es bon.
16:42 Donc t'es bon, donc ils ont besoin de toi.
16:44 - Ouais. - Crois-moi. Bah si, je te le dis.
16:46 - C'est pas gagné-gagné, sur ça.
16:48 - T'es pas sur TF1. Pourquoi ? Moi, si j'étais toi,
16:50 ce que j'aurais fait ? Voilà, je vais te donner...
16:52 Je vais te donner... Voilà. - Un petit cadeau ?
16:54 - Cadeau. C'est cadeau. - C'est pour quoi ?
16:56 - Je te le dis. - Un jeu sur plateforme.
16:58 - Il faut que tu fasses un jeu sur une plateforme.
17:00 Le premier gros jeu sur une plateforme.
17:02 Je te le dis, ça va être un carton.
17:04 - Ah, voilà. - Crois-moi. Maintenant, c'est ça
17:06 qu'il faut que tu fasses. Arrête avec les chaînes de télé.
17:08 Les chaînes de télé, c'est fait. Qu'est-ce que tu vas faire sur TF1 ?
17:10 Qu'est-ce qui se passe sur TF1 ? Il se passe rien.
17:12 - Ça m'avait pas arrangé, ce qu'on dit, là, tout de suite.
17:14 - Mais je te le dis. - Non, non, mais...
17:16 - Sur une plateforme. Ou bien même, mets des chaussures plateforme.
17:18 (rires)
17:20 Non, mais frère, je te jure que c'est vrai.
17:22 Je ne rigole pas aujourd'hui. - Allez-y,
17:24 produisez un jeu sur une plateforme. - Mais vas-y, moi, avec plaisir.
17:26 - C'est vous qui avez le premier groupe mondial. C'est pas moi.
17:28 - Non, non, non. - Ouais, ouais, ouais.
17:30 - Tu t'es venu ici pour... - C'est vrai.
17:32 - On dit des vérités. - Non, mais je te le dis.
17:34 Je suis venu... Je te reçois en tout cas.
17:36 (rires)
17:38 Parce que Ben, lui, il est excellent.
17:40 Et vous êtes contents de le voir.
17:42 - Oui. - Qu'est-ce que vous avez à lui dire?
17:44 - Si on peut faire la porte-parole des chroniqueurs,
17:46 on s'est tous dit, et on se le dit presque tous les jours,
17:48 du moins, à chaque fois que je suis là,
17:50 que tu nous manques. Que ton sourire nous manque,
17:52 que t'es solaire, que t'es drôle, t'as bonne humeur.
17:54 - Dans les couloirs, il nous manque.
17:56 - Et c'est pour ça que Cyril nous a dit, si vous voulez,
17:58 on le paye à venir dans les couloirs. - Je te jure que c'est vrai.
18:00 - C'est vrai, ouais. - Sur ma vie, j'ai dit peut-être...
18:02 - Vous avez un grand respect pour moi, quand même.
18:04 - Mais frère, c'était pour la dark-age.
18:06 Tu viens faire des dark-ages avec nous.
18:08 Il veut pas faire la télé. - Je fais une heure.
18:10 - Tu restes avec nous, on fait une dark-age,
18:12 tu rentres chez toi, qui vient. - C'est vrai, tu fais vraiment...
18:14 - Tu viens que toi, frère. Tu viens dans les trucs,
18:16 tu passes, tu viens comme ça, tu fais des dark-ages.
18:18 Tu viens, tu repars, on fait un ping-pong,
18:20 tu perds 50 balles, tu rentres. - En fait, Benjamin,
18:22 tous les soirs, on t'attend.
18:24 On attend que t'arrives. - On laisse un vide.
18:26 - Tous les soirs, on attend que t'arrives.
18:28 [Musique]

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