Avec Victor Acharian, gynécologue obstétricien.
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##LE_FAIT_DU_JOUR-2023-09-12##
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NewsTranscription
00:00 "Je suis un garçon" dit Mylène Farmer, "Je suis un garçon", très très belle chanson qui date d'il y a une vingtaine d'années, vous voyez,
00:06 et puis voilà, c'était une chanson à la mode à l'époque, et puis d'étonnement ce n'est plus une chanson.
00:11 C'est-à-dire que ça passe en réalité à ceci, voilà.
00:16 Qu'est-ce qui s'est passé ? On vous le résume et on va voir le témoignage du gynécologue,
00:21 parce que c'est quand même assez étonnant et préoccupant, c'est le moins que l'on puisse dire.
00:27 Donc voilà, un monsieur arrive donc à un rendez-vous avec un gynécologue et sa compagne est trans,
00:38 c'est-à-dire c'est un homme qui est en transformation, qui est en train de devenir femme,
00:43 enfin en train de devenir femme, mais c'est tout le problème,
00:46 qu'est-ce que c'est qu'un homme qui devient femme, est-ce qu'il devient vraiment une femme,
00:50 et à quel niveau et comment ?
00:52 Eh bien, ce monsieur est allé voir le gynécologue, on note le docteur Victor Acharian,
00:59 et il envoie ce tweet, il dit "Voilà, c'était le premier rendez-vous de ma compagne trans,
01:04 il a refusé de la recevoir, sa secrétaire nous a jetés froidement, je déconseille ce docteur plus que jamais."
01:11 Et le docteur Acharian répond, et il dit ceci, avant de le faire parler,
01:18 il dit "Je suis gynécologue et je m'occupe des vraies femmes, je n'ai aucune compétence pour m'occuper des hommes,
01:24 même s'ils se font raser la barbe et viennent dire à ma secrétaire qu'ils sont devenus femmes,
01:28 ma table d'examen gynécologique n'est pas adaptée pour examiner les hommes,
01:32 vous avez des services spécialisés et très compétents pour s'occuper des hommes comme vous,
01:37 je vous remercie d'avoir informé les personnes trans de ne jamais venir me consulter."
01:42 Bonjour docteur Acharian.
01:44 Bonjour monsieur Vercoff.
01:46 Alors effectivement, on pose le problème, et à l'insu de votre plein gré, vous l'avez posé,
01:51 puisqu'on vous a, je parlais ensuite des attaques de SOS homophobie,
01:57 parce que oui, je voudrais juste dire, SOS homophobie, l'association, a fait un tweet ceci,
02:05 elle a dit "Oui, elle a repris votre parole, je m'occupe des vraies femmes,
02:08 nous dénonçons les propos transphobes et discriminatoires du gynécologue Victor Acharian à peau,
02:13 la transphobie est une réalité aux conséquences graves,
02:16 notamment dans l'accès à la santé, elle touche l'ensemble du territoire."
02:20 Mais ça pose véritablement un problème, on en a déjà parlé,
02:24 qu'est-ce que ça veut dire quand un homme se veut trans, se veut devenir femme,
02:31 et en fait, du point de vue de la biologie, est-ce que quelque part, docteur Acharian,
02:36 est-ce que ce n'est pas une volonté d'éliminer la biologie ?
02:38 Il n'y a plus de biologie, il n'y a plus que des choix culturels.
02:41 Oui, je vais pouvoir vous répondre, permettez-moi aussi de m'excuser auprès de la communauté trans
02:48 qui a pu se sentir offusquée, blessée et heurtée par mes propos,
02:52 mes propos ont été totalement sortis du contexte, c'était le deuxième acte de ce qui s'était passé,
02:58 et le troisième, donc, c'est les réseaux sociaux.
03:03 Ce qui s'est produit, c'est que cette personne a bien entendu souhaité prendre un rendez-vous,
03:10 le secret médical l'interdite, bien entendu de parler du problème médical,
03:16 ma secrétaire m'a informé, je lui ai expliqué que malheureusement je ne suis pas compétent,
03:21 mais je peux l'adresser dans des services spécialisés.
03:24 Fâchée, fâchée cette personne, elle a commencé à agresser ma secrétaire devant la salle d'attente archiplaine,
03:33 et il l'a agressée en traitant de transphobe.
03:36 Ma secrétaire, bien entendu, elle a réagi, elle ne s'est pas laissée faire,
03:40 et les choses se sont calmées, elle n'a pas eu d'agression physique.
03:45 Le deuxième acte, c'est le poste qui a été fait sur mon compte Google,
03:51 où je découvre le soir que je ne suis pas jugé sur ma qualité de médecin, ni de mes soins,
03:57 mais sur la froideur de la réception de ma secrétaire.
04:01 C'est comme si on était dans Airbnb, où on est en train de donner des points sur la couleur du papier peint,
04:09 plus la qualité du lit.
04:11 Je suis un médecin, et je reçois un avis négatif,
04:16 basé non pas sur mon activité professionnelle, mais sur tout simplement la réception de ma secrétaire.
04:23 Je réagis en humain.
04:25 Je ne suis plus médecin, et je pense que la réaction était excessive, je m'en rends compte.
04:30 Je m'en excuse infiniment, je ne suis pas homophobe.
04:35 Depuis 30 ans, des centaines de mes patients peuvent en témoigner.
04:39 Les personnes qui sont en train de m'attaquer ne me connaissent pas.
04:43 J'ai œuvré 30 ans pour la santé des femmes.
04:46 Le problème de la biologie, pour venir à votre question,
04:50 c'est qu'on a aujourd'hui deux situations qui peuvent se présenter.
04:54 On peut avoir une personne qui a déjà procédé à une chirurgie transformatrice.
05:00 Dans ces cas-là, on est totalement incompétent pour le dévianter.
05:05 On a les personnes qui veulent faire appel à la chirurgie transformatrice,
05:11 et on est incapable de leur donner un traitement.
05:14 Dans les deux cas, ce n'est pas notre compétence.
05:18 Ce n'est pas dire du mal de quelqu'un.
05:21 On est totalement incompétent, mais on ne veut pas qu'on nous insulte.
05:24 Vous aurez réagi pareil, M. Bercoff ?
05:26 - Écoutez, moi je vais vous dire, je crois,
05:29 absolument chacun a le droit, homme-femme,
05:32 de vouloir changer d'identité, ou de sexe, ou d'orientation.
05:36 Effectivement, vous le dites vous-même, Dr. Acharian.
05:38 Mais moi, il y a un problème qui se pose, pardon,
05:41 et encore une fois, il n'y a pas de jugement de valeur.
05:43 Chacun fait ce qu'il veut dans la vie, ça fait partie de la liberté.
05:47 Mais moi, je voudrais vous poser une question.
05:50 Je vais vous poser une question, pardon aux médecins,
05:52 je n'ai pas eu l'occasion d'aller chez vous,
05:54 mais je vous pose une question très simple.
05:58 André Bercoff, voilà, moi, comme des millions d'hommes, etc.,
06:02 j'ai eu l'occasion, dans un débat, j'ai posé la question
06:08 "Est-ce que j'ai beaucoup de chance d'avoir un jour un cancer de l'utérus ?"
06:13 Eh bien, les uns ont souri, et les autres m'ont dit
06:18 et une personne, peu importe, son nom m'a dit
06:21 "Ah, vous êtes transphobe, parce que vous refusez toute possibilité
06:26 que vous ayez un cancer de l'utérus."
06:28 Ce sont des choses précises, hein, Dr. Acharian ?
06:30 Est-ce que je peux avoir un cancer de l'utérus ?
06:32 - Bien sûr, bien sûr.
06:34 Je reste donc dans le respect du secret médical.
06:38 Les interventions qui concernent les personnes transphobes,
06:42 à ma connaissance, M. Bercoff, en France,
06:45 les grèves d'utérus ne sont pas effectuées dans ces cas-là.
06:49 Elles sont effectuées dans des cas pour remplacer des femmes
06:52 qui ont eu des chirurgies et qui souhaitent enfanter
06:55 sans faire appel à des mères porteuses.
06:57 - D'accord, c'est bon, je vous le dis.
06:59 - Donc, à ma connaissance, Limoges est son leader
07:02 dans cette chirurgie de grève d'utérus.
07:04 Je ne pense pas qu'il existe, aujourd'hui,
07:08 des grèves d'utérus spécifiques pour des hommes,
07:11 ou alors que c'est encore...
07:13 - Pour des hommes qui veulent devenir femmes, c'est ça ?
07:16 - Ils veulent faire totalement anatomiquement femme.
07:19 On ne parle pas de l'autre particularité féminine
07:21 qui est facile à imiter et qui concerne tout simplement
07:25 un traitement avec des hormones que je ne maîtrise pas, d'ailleurs,
07:28 pour les hommes, associé à des prothèses.
07:30 Ça, je ne le connais pas.
07:32 Donc, dans les deux cas, ça reste du domaine ultra spécialisé
07:37 pour des services qui ont une excellente compétence en la matière.
07:41 Et nous, c'est faire perdre du temps à ces personnes
07:45 qui sont en souffrance et qui ont besoin d'une réponse,
07:47 que de l'ordure.
07:49 "Venez me voir, vous allez payer la consultation,
07:51 mais en sortant, vous avez compris que je ne peux rien faire pour vous."
07:54 Ce n'est pas honnête.
07:56 - Bien sûr, mais ce qui est quand même étonnant,
08:00 vous répondez cela, et je crois que, franchement,
08:02 c'est d'une honnêteté, en tout cas d'une objectivité parfaite,
08:05 et comme vous dites, vous les renvoyez à des services spécialisés.
08:08 - Bien entendu.
08:09 - Ce qui est étonnant, c'est que tout de suite,
08:11 on vous traite soit de transphobe,
08:13 soit que vous ne faites pas votre métier de gynécologue.
08:15 - C'est terrible, c'est terrible.
08:17 Je suis malheureux parce que,
08:19 les femmes qui viennent me voir depuis 30 ans,
08:22 "M. Bercom, je vois plus d'une quarantaine par jour,
08:24 je peux vous assurer, elles savent le temps que je consacre,
08:28 et surtout, elles savent que je suis loin d'être un homophobe."
08:32 "Loin, M. Bercom."
08:34 Mais, comment voulez-vous vous défendre
08:36 quand des propos aussi insultants,
08:39 mon nom jeté comme ça,
08:41 comme "heureusement que je suis solide",
08:43 que j'ai une très très forte réputation médicale et chirurgicale,
08:47 qui, je pense, devrait un petit peu alléger le reste.
08:52 Tout ce qui se passera devant la justice, c'est pas grave.
08:55 Donc on va partir devant la justice,
08:57 il y aura une plainte contre cette personne qui a insulté et agressé M. Bercom.
09:00 - Vous allez porter plainte vous-même ?
09:02 - Ah oui, il y en a deux plaintes qui vont partir,
09:04 contre la personne qui a agressé ma secrétaire,
09:08 et une deuxième plainte contre la personne qui s'est saisie
09:12 du dossier sur les réseaux sociaux et qui a donné mon nom.
09:17 Donc nous avons les informations, et des plaintes vont être lancées dans ce sens.
09:21 Il faut se défendre, M. Bercom.
09:23 On ne peut pas laisser comme ça.
09:25 - Bien sûr, bien sûr.
09:27 - Mais je ne suis ni militant ni politique, je ne suis qu'un gynécologue de base.
09:30 - Mais je comprends.
09:31 Et comment réagit Juste le Docteur ?
09:33 Là on ne trahit pas le secret médical, je ne vous demande pas.
09:36 Comment réagissent vos patients, ceux ou celles qui ont pris connaissance de cette affaire ?
09:42 - Pour l'instant, je ne reçois que du soutien.
09:45 Les gens sont effectivement surpris par la demande.
09:48 J'ai l'impression que le dernier précaré que les femmes ont encore actuellement réservé,
09:55 c'est la consultation gynécologique.
09:57 C'est tellement intime et tellement particulier, M. Bercom.
10:00 Il n'y a plus de vestiaire. Les vestiaires sont mixtes.
10:03 Les toilettes sont mixtes.
10:05 Les épreuves sportives sont mixtes.
10:08 Les prisons sont mixtes.
10:10 La consultation gynécologique, c'est le dernier endroit où on peut encore préserver les femmes.
10:17 Ce sont les femmes qui vont perdre.
10:20 Ce ne sont pas nous, les praticiens.
10:22 Nous, on va être obligés de nous exécuter.
10:24 Si la Haute Autorité de Santé ou le Collège de gynécologie décident, après des études randomisées,
10:30 et prouvé que nous sommes compétents pour examiner à différents niveaux ces personnes,
10:35 nous, on va appliquer les fameuses recommandations.
10:39 Mais à ce jour, il n'y en a pas.
10:41 Et je suis totalement incompétent, M. Bercom.
10:44 - Je comprends. Mais je vais vous dire, en fait, encore une fois,
10:47 et je parle à la fois au docteur, à l'homme et aux citoyens,
10:50 Victor Acharian, il y a quand même quelque chose que vous avez vu actuellement,
10:54 et encore une fois, ce n'est pas une rumeur,
10:56 depuis qu'il y a le sport mixte.
10:58 Vous savez que des hommes se prétendent en femmes.
11:01 Vous savez que le sport féminin est en train d'en prendre un coup,
11:04 mais je ne dirais pas en natation, en boxe, en course à pied.
11:10 Évidemment que quand un homme, même s'il se déclare, Julia, être en femme,
11:14 arrive sur le terrain, il écrase toutes ces femmes, pour des raisons évidentes.
11:19 On est d'accord, on est d'accord,
11:21 et le seul endroit préservé pour ces femmes, que nous on respecte,
11:25 tous les gynécologues de France respectent,
11:28 c'est leur seul endroit où elles peuvent encore sentir une féminité qui leur est particulière.
11:34 - Mais docteur Acharian, à votre avis, franchement,
11:37 vous qui avez exercé, comme vous dites, depuis 40 ans,
11:41 et Dieu sait si vous recevez des patientes et leurs compagnons et autres,
11:47 pourquoi cet acharnement, encore une fois, à nier la biologie ?
11:51 Il y a quand même une biologie, on ne l'a pas créée,
11:54 ça existe depuis que les humains et même les animaux sont là.
11:59 - Je pense qu'on a affaire à des personnes qui ont besoin d'une aide et de soin,
12:06 mais qui s'adressent, hélas, à la mauvaise adresse.
12:10 Donc, ils ont leur circuit, ils ont leurs propres prescripteurs,
12:17 qui ne sont pas nécessairement des médecins français,
12:20 ce qui pourrait même, pour certains, mettre en danger les pratiques
12:24 des prises de médicaments en base d'hormones, ou tout ce qu'on peut imaginer,
12:28 ou demander de certains types de chirurgie.
12:31 - Pourquoi en danger, docteur ?
12:33 - Parce que, je suppose que quand c'est prescrit par des médecins qui ont l'expérience
12:39 et qui savent traiter, parce qu'il y a des services spécialisés,
12:43 ils donnent la bonne molécule au bon profil.
12:47 Ce n'est pas comme quand je commande sur Internet une dose,
12:50 et vous comprenez, et après on va voir ce que ça va donner.
12:53 Donc, je pense qu'ils se mettent malheureusement en danger, et nous on les guide.
12:57 Mais pour les guider, il faut qu'on leur donne les moyens
13:01 et pas se trouver d'emblée accusé du moment où on dit un mot différent, inattendu.
13:07 Et ma réaction, je peux vous assurer, je le regrette profondément.
13:11 Je suis désolé de les avoir heurtés.
13:13 Mais mettez-vous à ma place, monsieur Berkhoff.
13:15 Quelqu'un frappe à votre porte, il vient vous voir, il vous dit "voilà les clés,
13:18 j'ai mon Mirage 2000 sur le parking, vous allez le déplacer."
13:21 Vous allez lui dire "ben non, je ne peux pas."
13:23 - Ben je ne connais pas.
13:25 - Il rentre chez lui, il met un poste, il dit "ah ben, monsieur Berkhoff,
13:29 c'est un journaliste nul, il n'est même pas capable de déplacer mon Mirage 2000."
13:33 - Donc, c'est exactement ce qui se passe.
13:37 - En fait, vous êtes venu, vous leur avez dit simplement "vous frappez à la mauvaise porte,
13:41 vous pouvez aller voir des gens" et on vous dit "vous êtes transphobe et voilà."
13:45 - Voilà, c'est exactement ce qui se passe.
13:47 Transphobe et le pire, c'est qu'on me traite d'homophobe.
13:50 Alors là, vraiment, ils ne me connaissent pas.
13:53 Les gens qui sont en train, aujourd'hui, je dirais, de s'éclater sur moi
13:58 et qui me traitent de tout, c'est qu'ils ne m'ont jamais vu.
14:01 - Oui, mais ça, vous savez, en général, c'est comme ça que ça se passe.
14:05 C'est l'étiquette qui joue et il se fiche de la personne.
14:08 En tout cas, écoutez, on va vous suivre, Dr Acharian, merci d'avoir témoigné.
14:13 Je crois que c'est important quand même qu'on le sache, que ça se sache,
14:17 parce qu'il y a des malentendus qui peuvent tourner très mal,
14:21 à la fois pour ceux qui cherchent effectivement une identité
14:24 et à la fois pour les praticiens qu'on accuse à tort, et Dieu sait à tort.
14:30 - Bien sûr, je vous remercie beaucoup et vraiment, je répète,
14:34 je suis sincèrement désolé de les avoir heurtés, mais ce n'est pas du tout moi.
14:38 - Merci, merci Dr Acharian. - Merci encore.
14:41 - Merci Dr Acharian, je rappelle que vous êtes gynécologue obstétricien dans la région de Pau.