Marine Le Pen agacée par la remarque de Gilles Bouleau sur son "héritage"
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00:00 Les commémorations du 11 septembre, il y a 15 ans, 3000 personnes mourraient dans l'attaque
00:08 du World Trade Center et du Pentagone.
00:10 Les terroristes savent qu'ils ne pourront jamais vaincre une nation aussi forte que
00:14 l'Amérique.
00:15 Alors ils espèrent que la peur nous dressera les uns contre les autres.
00:20 Mais notre diversité restera l'une de nos principales forces.
00:24 Comme une réponse aux outrances du candidat républicain Donald Trump, lui assisté à
00:31 la cérémonie de New York, pas très loin Hillary Clinton.
00:35 Et en marge de ces cérémonies, Hillary Clinton a fait un malaise.
00:38 Elle a dû quitter les lieux, titubante, aidée de son entourage qui parle d'un simple coup
00:44 de chaud.
00:45 Elle s'est par la suite voulue rassurante.
00:47 Après un moment de repos chez sa fille, elle est sortie en saluant les photographes et
00:51 elle est fait savoir qu'elle allait bien.
00:52 Son adversaire républicain Donald Trump prend souvent pour cible la santé d'Hillary
00:56 Clinton, estimant qu'elle n'a pas l'endurance nécessaire pour être présidente.
01:00 Hillary Clinton annule donc ses déplacements prévus aujourd'hui et demain, victime d'une
01:04 pneumonie.
01:05 La candidate démocrate a fait un malaise hier.
01:07 Quelles conséquences cela peut-il avoir sur la campagne américaine ?
01:10 La candidate démocrate se retrouve à nouveau accusée de cacher la vérité.
01:15 C'est là le plus grave.
01:16 De l'aveu de son médecin, la pneumonie a été diagnostiquée vendredi.
01:21 D'abord, elle a été annoncée que deux jours plus tard.
01:24 Mauvais week-end décidément pour la candidate démocrate qui, lors d'une soirée hier,
01:29 a qualifié une partie de l'électorat Trump de "pitoyable".
01:32 L'adjectif a provoqué de nombreuses critiques et elle a dû s'excuser.
01:36 Et surtout, je propose une invention magique, le référendum révocatoire.
01:41 Il existe déjà.
01:42 Si vous n'êtes pas, il existe aux Etats-Unis.
01:43 Il existe aussi au Venezuela et on voit qu'on a beaucoup de difficultés en ce moment de
01:47 le mettre en place, que les autorités vénézuéliennes, notamment Nicola Maduro, prennent le référendum
01:51 des quatre fers.
01:52 JLM - Oui, c'est ça.
01:53 C'est la spécialité des émissions de ce type de rappel.
01:56 On ne va pas faire le bilan du Venezuela, sinon qu'on peut dire une chose.
01:59 AP - On va en parler quand même tout à l'heure.
02:00 JLM - Oui, on peut en parler.
02:01 Mais bien sûr.
02:02 Mais madame, avant de venir sur l'actualité que vous avez l'air d'aussi mal connaître
02:05 que le reste, mais je vais vous dire une chose.
02:07 AP - Vous voyez, ça j'en ai plus besoin.
02:08 JLM - Madame, oui, oui.
02:09 AP - Je veux dire, là je vous comprends tout de suite.
02:11 Vous avez ce côté avec les médias, je trouve ça assez terrible.
02:14 Cette sorte d'agressivité vis-à-vis des médias, ça reste quand même un contre-pouvoir
02:17 aujourd'hui.
02:18 JLM - Ah oui, ça se voit.
02:19 AP - Et vous avez l'air...
02:20 JLM - Ah oui, tous les jours, on voit que les médias sont un contre-pouvoir.
02:23 - Alors Rachida, en 2017, comme en 2007, vous repartez en campagne pour Nicolas Sarkozy.
02:29 Vous ne croyez pas que les seuls Français qui ont envie de voir Nicolas Sarkozy aujourd'hui,
02:33 ce sont les juges ?
02:34 - Je ne suis pas la seule dont le père a fait de la politique et a eu un mandat.
02:39 Mais c'est aussi...
02:40 - Vous êtes la seule à avoir hérité de votre père un poste.
02:42 - Non mais je n'ai hérité de rien, monsieur Boullaud.
02:44 Et ce que vous dites me blesse.
02:45 Vous voulez que je vous dise ?
02:46 - Non, souriez-vous.
02:47 - Non mais ça me blesse.
02:48 - Vous êtes à ses côtés.
02:49 Alors je tiens à le préciser, comme conseillère politique à la primaire de droite, pas comme
02:53 avocate dans l'affaire Big Malion.
02:55 - Tu vas l'énerver.
02:57 - Non, non, non, ok, ok, non, non, on arrête.
02:59 Bon, en tout cas, vous faites partie de la liste de Nicolas Sarkozy.
03:02 Les autres conseillers sont David Douillet et Brice Hortefeux.
03:10 - J'ai rien dit.
03:12 - Bah ça a du succès.
03:14 - Il faut que je sois en minu à la fête de l'humanité.
03:16 - Oui, eux peuvent se le permettre certainement.
03:18 Ce stand des naturistes à la fête de l'humanité, c'était une première.
03:21 Fier de notre humanité, c'était la banderole.
03:23 - Humanité, oui.
03:24 - Pour la protection d'une liberté fondamentale, celle d'être nu.
03:27 L'accueil du public était extraordinaire, nous dit-on.
03:29 Ils étaient plutôt contents des débats, des expositions, des ateliers participatifs
03:33 comme de la peinture sur corps.
03:35 Il fallait être à la fête de l'humain, mais sans ses vêtements ce week-end.
03:38 ♪ Rock the beat ♪ ♪ To-to-to-to-to-to-to-to-to ♪
03:40 [Générique de fin]