Un lobbyiste belge poursuit en justice Ursula von der Leyen : où en est l'enquête ?

  • l’année dernière
Avec Diane Protat, avocate au barreau de Paris et Michèle Rivasi, députée européenne Europe-Écologie Les Verts.

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Transcript
00:00 Sud Radio Bercov dans tous ses états,
00:02 le face à face.
00:05 Pour ce face à face, on accueille aujourd'hui Diane Prota, avocate au Barreau de Paris et Michel Rivasi en direct de Bruxelles,
00:10 députée européenne Europe Écologie Les Verts. Et nous avons beaucoup de choses à dire avec Michel Rivasi et avec Diane Prota.
00:17 Vous rappelez ce feuilleton que Netflix n'a pas encore immortalisé, mais c'est beaucoup mieux que n'importe quel
00:24 feuilleton Netflix. Vous vous rappelez ?
00:26 Ces SMS entre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, et Albert Bourla,
00:33 PDG de Pfizer. Ces fameux SMS, c'est beaucoup mieux que les diamants de la reine. C'est du Alexandre Dumas,
00:40 mais ça concerne hélas des milliards, des milliards de gens.
00:45 Alors qu'est ce qui se passe là dessus ? Il y a eu, vous savez, c'était d'abord silence radio,
00:50 Michel Rivasi nous a beaucoup parlé de ce qui s'est passé
00:54 effectivement au Parlement européen quand ils ont essayé de
00:57 de convoquer et à la force Ursula von der Leyen et aussi Albert Bourla, qui ne sont pas venus.
01:03 Mais ça avance, mais ça avance. Il se passe beaucoup de choses aux Etats-Unis avec le New York Times,
01:10 avec un certain nombre de gens,
01:13 des sénateurs comme Rand Paul et autres. Il se passe beaucoup de choses en Allemagne et il se passe beaucoup de choses en France.
01:18 Et je voudrais
01:20 commencer par vous Diane Protat. Bonjour, vous êtes avocate et on vous a déjà reçu avec votre client
01:28 monsieur Baldan qui est lobbyiste belge et qui a déposé une plainte effectivement contre
01:34 Ursula von der Leyen et la Commission européenne pour recel d'informations, c'est le moins que l'on puisse dire. Alors où en on est aujourd'hui ?
01:43 A l'heure où on parle ?
01:45 Tout d'abord je vous remercie de votre invitation puisque justement ce à quoi nous vous en fassons aujourd'hui, notamment c'est une censure de l'information
01:52 relative à l'avancement de cette affaire, puisque récemment a été diffusé un reportage
01:57 justement dans lequel est intervenu
01:59 mon client au sujet de la plainte qu'il a déposée, la plainte criminelle qu'il a déposée contre madame von der Leyen à propos de l'affaire du
02:06 SMS-gate.
02:07 Et ce reportage a été diffusé sur la première chaîne allemande d'Acerstein à une heure de grande écoute.
02:12 En août c'est ça ?
02:13 En août, récemment c'était le 16 août, ça peut se retrouver encore,
02:16 des millions de téléspectateurs l'ont vu. C'était une émission à 21h45 qui s'appelle "Plus Minus" qui est
02:22 connue en Allemagne, c'est d'Acerstein, on ne comprend pas aujourd'hui
02:25 que...
02:27 Elle racontait quoi cette émission ?
02:29 Elle racontait en dix minutes de façon assez
02:31 schématique et très bien faite, puisqu'il y avait d'ailleurs aussi des petites bandes dessinées
02:34 l'affaire et en réalité ça commence par expliquer que, on sait tous qu'il y a eu une pandémie de Covid-19 et que
02:41 finalement la commission européenne
02:43 Ab initio a négocié et acheté 10 doses par personne.
02:47 Nous sommes 450 millions d'européens, ça fait 4,5 milliards de doses.
02:51 Or, une partie de ce contrat,
02:53 notamment à hauteur de 35 millions, il y a eu trois contrats pour arriver à 4,5 milliards de doses et le dernier contrat, le troisième, a été négocié
03:01 directement par Madame von der Leyen, par texto, avec Monsieur Albert Bourla.
03:07 Or, ça c'est un problème, c'est un problème absolument énorme, puisque on est dans le cadre d'acquisition d'un marché public européen.
03:13 Pour les gens, ça qui est simple à croire. Quand on a une négociation commerciale
03:17 sur le prix des doses, sur le nombre des doses, d'ailleurs pourquoi autant de doses,
03:21 et bien les textos qui ont été échangés font normalement partie d'un marché public.
03:25 C'est tout simple, que ce soit par email, SMS,
03:27 ça fait partie de ça et à partir du moment où Madame...
03:30 Un journaliste du New York Times, c'est le New York Times qui a révélé cette affaire, d'ailleurs c'est Albert Bourla
03:35 qui était interviewé, qui le dit lui-même. - PDG de Pfizer, je le rappelle.
03:38 - PDG de Pfizer et qui dit dans cette interview "Bah écoutez, j'ai discuté pendant la pandémie avec tous les dirigeants du monde, les plus importants,
03:45 avec le pape des présidents, des rois, etc. Mais aussi beaucoup avec Madame von der Leyen,
03:49 qui était d'ailleurs, selon ses dires, formidable, qui connaissait tout, qui savait tout sur les variants avec lesquels elle a pu aller,
03:55 le dit dans le fond des choses, et à la fin Madame von der Leyen a acheté,
03:59 pour le prix le plus cher, parce qu'elle a acheté des doses trois fois plus chères que dans les autres pays,
04:03 mais elle a aussi acheté un nombre de doses incroyable.
04:06 - 10 doses par personne, 4,5 milliards de doses. - 5 milliards de doses pour un compte à 35 milliards.
04:11 Et donc en réalité la question se pose de...
04:13 Les journalistes ont demandé accès à ces textos sur le fondement du droit à la transparence, article 41 de la Charte des droits fondamentaux.
04:19 On leur a opposé un non. Ils ont saisi ensuite la médiatrice européenne,
04:24 qui est en charge des questions de bonne administration, qui a considéré que ces textos
04:28 faisaient partie de marché public et devaient être donnés au public.
04:31 Et bien là encore ces recommandations sont restées vaines.
04:34 La Cour européenne des comptes a fait les mêmes recommandations, là encore Madame Ursula von der Leyen
04:39 n'a pas donné les textos, et donc mon client Monsieur Frédéric Baldan a déposé une plainte en Belgique pour
04:44 destruction de ces textos. Parce que de deux choses l'une, soit elle les a encore...
04:49 soit on les a détruits, c'est une infraction. C'est un des thèmes d'infraction, mais le reportage allemand
04:55 donc rappelait cette affaire et rappelait
04:58 aussi que Madame von der Leyen, avant de prendre la tête de la Commission européenne, avait été
05:02 ministre de la Défense allemande et qu'en 2019, quand elle occupait ses fonctions,
05:06 elle a négocié avec des cabinets de conseil des contrats pour des prix faramineux aussi,
05:11 toujours par textos et qu'elle n'a pas...
05:14 étrangement ces textos se sont perdus, une enquête avait été lancée devant le Bundestag et cette enquête s'est arrêtée, toujours suspendue.
05:20 - Alors justement on en est là aujourd'hui, effectivement. Michel Rivasi, bonjour.
05:25 - Bonjour. - Bonjour, vous êtes députée européenne, EELV, et on vous reçoit toujours avec plaisir.
05:31 Alors effectivement, on a souvent parlé de ce
05:35 SMS-gate, mais peut-être un peu plus loin de ce Pfizer-gate, en tout cas, il y a quand même quelque chose dont on a parlé.
05:41 Et aujourd'hui, est-ce que la situation, parce que vous-même, vous avez... vous êtes intervenu à plusieurs reprises
05:47 pour dire, effectivement, par rapport au Parlement, par rapport au mépris du Parlement, par rapport à un certain nombre de
05:53 faits et de dissimulations.
05:56 Même question, où on en est aujourd'hui, au niveau du Parlement, à votre niveau ?
06:02 - Eh bien,
06:05 donc on a... vous savez que cinq députés verts ont saisi la Cour de justice européenne pour l'accès aux documents,
06:11 que la Commission n'a pas voulu... pourtant on les avait saisis en 2021,
06:17 eh bien on est en 2023, elle n'a toujours rien donné, une plainte a été portée à la Cour de justice européenne,
06:23 et l'audition va avoir lieu le 18 octobre à la Cour de justice européenne au Luxembourg.
06:30 Donc je vais m'y rendre, parce que là,
06:33 la Cour de justice a posé toute une série de questions à la Commission,
06:38 et il va y avoir un débat, comme celui qu'on a,
06:43 entre la Commission européenne et les députés qui ont porté plainte,
06:47 par rapport à ce qu'on appelle
06:50 l'intérêt général supérieur.
06:52 Parce que, vous voyez, on est un peu bloqué, on a une directive sur secret d'affaires,
06:58 et les laboratoires pharmaceutiques se retrangèrent ça en disant
07:03 "C'est secret d'affaires, on n'a pas le droit de vous divulguer certaines informations".
07:09 Or, ce sont les États membres qui achètent les vaccins,
07:14 alors je ne parle pas de ce que dit
07:17 Madame Crotat sur les SMS, etc.
07:20 Mais il est légitime que les citoyens européens aient accès à savoir
07:25 pourquoi ce nombre de doses, puisqu'il y a un comité scientifique qui, normalement,
07:32 doit évaluer la quantité de doses qu'on doit commander,
07:34 parce que le troisième contrat, c'était quand même 1,8 milliard de doses.
07:39 On ne sait toujours pas sur quelle base ça repose.
07:41 Le prix, pourquoi ?
07:43 Parce que le prix, ça a une influence sur le budget de la sécurité sociale de chaque État membre,
07:49 puisque ce sont les États membres qui achètent.
07:51 Or, on a vu que pour le troisième contrat, les doses sont passées de 15 euros à 19 euros,
07:57 qu'en ce moment, il n'y a plus besoin de doses,
08:00 et que les États membres sont obligés quand même d'acheter des doses.
08:03 Alors Pfizer a fait un cadeau en disant "C'est plus 19 euros et quelques, ça va passer à 10 euros pour des doses".
08:11 Ça va passer à 10 euros pour des doses non reçues.
08:15 - Oui, non reçues.
08:17 - On veut dire que c'est l'époque des soldes.
08:19 - Oui, les deux pays qui ont refusé ce contrat, c'est la Pologne et la Hongrie.
08:25 Donc, il est légitime que les citoyens soient au courant des clauses.
08:30 Et puis, il y a la clause aussi des effets secondaires.
08:33 Qui est responsable des effets secondaires ?
08:35 Est-ce que ce sont les États membres qui ont acheté des vaccins ?
08:38 Ou est-ce que ce sont les laboratoires pharmaceutiques qui ont fait un produit,
08:43 donc ce fameux vaccin, qui peut entraîner des effets secondaires ?
08:47 - Mais pardon, Michel, je vous interromps.
08:49 Mais dans les contrats, d'après ce qu'on a su,
08:51 c'était que les États avaient accepté la non-responsabilité des laboratoires.
08:58 C'est dans le contrat, ça.
09:00 - Oui, mais c'est dans le contrat, mais on aurait voulu avoir les contrats non biffés.
09:05 Alors que, vous avez vu, ils étaient tout noircis.
09:09 Et le fait qu'on n'a pas accès au prix,
09:12 on n'a pas accès au calendrier de livraison,
09:15 on n'a pas accès, par exemple, où est-ce que c'est fabriqué,
09:19 qui assure le contrôle de la qualité du produit ?
09:22 Vous voyez, toutes ces clauses qui sont pour moi un intérêt public majeur,
09:26 eh bien, c'est pour ça qu'on a attaqué la Côte-Justice européenne.
09:30 Donc, ça va être très important, la délibération que va faire la Côte-Justice européenne.
09:34 Parce que soit elle donne gaine-cause aux citoyens européens pour l'accès à l'information,
09:39 parce que ça les intéresse directement,
09:41 soit elle se retranche derrière les intérêts privés des laboratoires pharmaceutiques,
09:47 et à ce moment-là, c'est une remise en cause complète des traités.
09:51 Je vais vous prendre un exemple, moi, qui m'a beaucoup choqué.
09:54 Les politicos, les journalistes, ont saisi l'accès aux documents
10:00 pour savoir combien de doses avaient été détruites et périmées.
10:04 Elles s'adressent à la France et à l'Allemagne.
10:07 Vous voyez, il n'y a pas que la Commission qui ne divulgue pas des informations des laboratoires.
10:12 L'Allemagne a répondu.
10:14 Elle a dit, eh bien, à l'heure actuelle, on a 200 millions de doses qui sont périmées.
10:20 - 200 millions ? - Ça correspond à peu près, grosso modo...
10:23 Voilà, 200 millions de doses périmées, ça correspond à peu près entre 2 et 4 milliards d'euros,
10:31 puisque on ne sait pas toujours vraiment le prix de la dose.
10:35 Ces journalistes sont adressés à la France, et la France dit, on ne peut pas vous donner ces informations.
10:40 - Ah bon ? - Donc, vous voyez, M. Bercoff,
10:43 on est face à un problème, à l'heure actuelle, qui est très grave.
10:47 Parce que si on n'a pas accès à ces infos, alors certains pays les donnent, d'autres ne les donnent pas.
10:52 Comment peut-on se bagarrer pour une démocratie qui rend responsable chaque citoyen européen ?
11:00 Vous voyez, la Commission bloque l'info, les laboratoires bloquent l'info,
11:04 les états membres participent au blocage aussi de l'info.
11:08 Donc, il ne reste que les journalistes, parce que la plupart des infos qu'on a,
11:12 c'est grâce à des journalistes qui obtiennent des fuites,
11:15 et c'est là-dessus qu'on peut rebondir et interpeller les intorses, et en dernier lieu, la justice.
11:21 - On se retrouve tout de suite après cette petite pause.
11:24 C'est passionnant de savoir à quel point l'OMERTA règne et continue de règner.
11:29 A tout de suite.
11:30 - On continue de parler de ce méga contrat avec Diane Trottin et Michel Rivasi,
11:33 et puis aussi surtout avec vous au 0826 300 300.
11:37 Vous nous appelez, vous voulez réagir, 0826 300 300.
11:41 - Sud Radio. - Sud Radio.
11:42 - Parlons vrai. - Parlons vrai.
11:43 - Sud Radio. - Parlons vrai.
11:45 - Sud Radio, la radio de la Coupe du monde de rugby, lance le compte à rebours
11:49 et vous plonge au cœur de l'événement avec François Trilliot, Alexandre Opriam
11:53 et toute l'équipe de Sud Radio, appuyée par nos correspondants en région.
11:57 Des consultants prestigieux, Daniel Herrero, Yoann UG, Philippe Spanghero, Eric Bonneval,
12:01 Marjorie Maillance, Julien Thomas et Andrew Mertens, l'ouvreur star des All Blacks,
12:06 pour une couverture complète de l'événement.
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12:12 Chaque soir du lundi au vendredi, dès 20h, au cœur de la mêlée,
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14:14 venez en vélo, en voiture, en fusée, venez comme vous voulez, mais venez, parce que ça va être incroyable.
14:18 - C'est l'incroyable anniversaire de Butte.
14:20 En ce moment, profitez de 25 euros, oui 25 euros de remise immédiate en caisse sur tout le magasin et sur butte.fr.
14:26 Et ce n'est que le début.
14:27 - Condition de l'affront magasin et sur butte.fr, jusqu'au 3 septembre.
14:30 - A tous ceux qui trouvent que ce serait bien de retrouver un peu de pouvoir d'achat un jour,
14:35 ou même deux jours, ou trois, ou même quatre, c'est bien quatre.
14:39 Et pourquoi pas cinq, tiens ? Eh ben, on a encore mieux que ça.
14:41 C'est les 100 jours pouvoir d'achat chez Intermarché.
14:44 Profitez du jus de pomme Paquito à base de concentré à seulement 75 centimes le litre.
14:48 C'est le moins cher de France. Et c'est aussi au drive et en livraison.
14:51 Intermarché, tous unis contre la vie chère.
14:54 - Jusqu'au 3 septembre, sans sucre ajouté.
14:56 Voir conditions et méthodologies sur intermarché.com.
14:58 Pour votre santé, limitez les aliments grâces à les sucrés.
15:00 [Musique]
15:02 - Ici Sud Radio.
15:04 [Musique]
15:06 Les Français parlent au français.
15:09 [Musique]
15:10 Je n'aime pas la blanquette de veau.
15:12 Je n'aime pas la blanquette de veau.
15:15 - Sud Radio Bercov dans tous ses états.
15:18 - Et de retour d'Homberco dans tous ses états.
15:20 Pour ce face à face, nous sommes toujours en direct avec Diane Prota qui est avocate au baro de Paris et Michel Rivasi.
15:26 - Alors Michel Rivasi, députée européenne EELV.
15:30 Alors justement Diane Prota, ce qui est vraiment passionnant,
15:34 à chaque fois on a "Quand on écoute Michel Rivasi, quand on vous écoute".
15:36 Et c'est très bien, au moins il y a des gens qui posent des questions.
15:40 On sait que le 18 octobre il va y avoir l'accord de justice européenne avec un certain nombre de députés
15:44 qui vont poser des questions.
15:46 Et on espère qu'il y aura des réponses.
15:48 Mais en attendant, ce qui est extraordinaire, c'est que ça fait trois ans cette histoire.
15:53 Trois ans que ça a commencé, plus de trois ans d'ailleurs.
15:56 Mais on a l'impression que vraiment, je ne dirais pas qu'il y a un mur,
16:01 mais enfin c'est circulé, il n'y a rien à voir.
16:04 Et malgré ce qui se passe aux Etats-Unis, ce qui se passe en Allemagne, ce qui se passe en France, ce qui se passe à Bruxelles,
16:11 bon, voilà, on a l'impression que c'est un feuilleton qui va encore durer.
16:16 Et c'est extraordinaire quand même, on est dans une soi-disant sur-information,
16:20 on est à l'heure des réseaux sociaux, de la transparence, de la capillarité.
16:24 Et puis, transparence, mon oeil si je peux me permettre.
16:30 - Ah ben, si vous me le demandez, ça me rappelle des propos de Klaus Schwab,
16:36 que j'avais noté, mais que nous a dit le président du WEF, le World Economic Forum,
16:42 qui a dit "dans le nouveau monde, on doit accepter une transparence totale.
16:47 Tout sera transparent, si vous n'avez rien à cacher, vous n'avez pas à avoir peur".
16:52 Alors j'ose vous dire qu'avec Madame von der Leyen, qui a priori, la Commission européenne,
16:56 travaille aussi avec le WEF, on ne comprend pas bien,
17:00 parce qu'on pensait qu'ils s'entendaient avec la Commission européenne,
17:03 on a l'impression plutôt d'un cabinet noir avec une éminence grise.
17:06 Tout, sauf de la transparence.
17:08 Et pour reprendre ce que disait Madame Rivasi, la question de la transparence,
17:11 il y a une question de secret des affaires.
17:13 C'est ce que Pfizer oppose au gouvernement, aux États, à vous et à moi.
17:17 Mais si vous allez sur le site de l'Union européenne, la Commission,
17:20 vous verrez que la directive secret des affaires, le secret cède,
17:23 face aux questions 1 des journalistes, donc c'est bien les premiers qu'on demandait,
17:27 et là, réellement c'est une violation de leurs droits,
17:29 puisque eux, on ne peut pas leur opposer.
17:31 Puis ailleurs, c'est écrit sur le site aussi de la Commission européenne,
17:34 le secret des affaires cède en matière d'intérêts publics de santé.
17:38 - Juste une question que je voudrais poser à Michèle Rivasi.
17:41 On a beaucoup parlé de l'article 11, et on disait qu'avec l'article 11 de la charte européenne,
17:46 Ursula von der Leyen était en contradiction avec elle-même.
17:49 Est-ce exact ?
17:51 - Elle est en contradiction avec ce qu'elle dit sur les grands principes
17:57 et le respect des traités.
17:59 A l'heure actuelle, là, parce que tout à l'heure, on a parlé de la médiatrice
18:04 qui a parlé d'une mauvaise administration,
18:07 la Cour des comptes aussi l'a dévoilé,
18:09 qu'il est anormal que la Cour des comptes,
18:12 qui est la plus haute instance pour obtenir accès à l'info,
18:15 elle ne l'a pas.
18:17 Vous voyez que là, c'est pour ça que moi ça me rend furieuse.
18:21 Et je dis que là, on n'est plus en démocratie européenne,
18:25 parce qu'on avait droit à l'info, c'est l'accès aux documents, etc.
18:30 et c'est la présidente de la commission qui ne respecte pas ça.
18:34 Et vous savez qu'on avait obtenu, même si je n'étais pas d'accord avec ça,
18:39 qu'elle soit auditionnée par la conférence des présidents.
18:42 Donc c'est la conférence qui réunit tous les chefs de parti.
18:45 Et bien ça, ça ne s'est jamais effectué.
18:48 Et alors là, maintenant on a les élections européennes,
18:52 en janvier, enfin en janvier, en mai, juin 2024.
18:56 Donc si la justice ne va pas assez vite,
18:59 parce que vous voyez que là maintenant, elle est fermée par la justice,
19:03 surtout la fondation.
19:04 - Par la justice et par les médias, etc.
19:06 - Elle est fermée par la Cour des comptes,
19:08 elle est fermée par le procureur européen.
19:10 Si jamais ce n'est pas fait avant les élections,
19:13 et bien tout est possible.
19:15 Vous voyez, moi ce que je regrette, c'est l'inertie en fait de la justice
19:19 qui n'est pas assez rapide pour prendre des décisions
19:22 et pour faire en sorte à ce que les traités soient respectés.
19:25 - Et oui, Diane Protard, effectivement on a l'impression
19:28 qu'on est devant un mur, qu'on essaye, c'est bien, on se bat.
19:32 Je sais que votre plainte, la plainte de vos clients a été reconnue, a été actée.
19:37 Mais encore une fois, les choses ont l'air d'avancer à la vitesse de l'escargot.
19:42 - Alors je dois dire que je trouve qu'elles avancent finalement quand même
19:45 plus rapidement que moi ce que j'espérais.
19:47 Parce qu'en réalité, l'information de la plainte pénale
19:50 qui a été déposée contre Ursula von der Leyen,
19:53 c'est les institutions européennes qui mettent tout en oeuvre
19:56 pour que cette information ne soit pas transmise au public.
20:00 J'ai deux exemples sur ce point.
20:02 En réalité, à part avoir déposé cette plainte,
20:05 mon client M. Baldan a donné cette information à la presse
20:09 au mois de juin en compagnie de Mme Rivasi.
20:11 Et quelques heures après, alors qu'il est lobbyiste,
20:14 ses accréditations ont été supprimées.
20:17 Ses accréditations qui lui permettent d'entrer au Parlement européen.
20:21 Alors c'est arrivé quelques heures après le fait que cette information
20:25 a été diffusée. On a demandé à mon client
20:28 de modifier la déclaration qu'il avait faite.
20:31 Donc ce registre de transparence, les lobbyistes inscrivent
20:34 les politiques qu'ils suivent, les clients qu'ils ont.
20:36 D'ailleurs, Pfizer est inscrit, est toujours inscrit,
20:39 même si il ne répond pas aux convocations.
20:41 Il y a quand même deux voix de Mezer.
20:43 Et ce qu'on a demandé de mon client dans sa déclaration
20:46 a quand même dit qu'à titre personnel, il avait entamé
20:49 une plainte pénale contre Ursula von der Leyen
20:52 et qu'il était associé de son cabinet de lobbyistes.
20:55 Donc il l'a précisé. Et qu'est-ce qu'on lui demande
20:57 pour lui rendre son accréditation ? C'est qu'on lui demande
20:59 d'enlever la mention de la plainte d'Ursula von der Leyen
21:02 sur son accréditation pour que l'information ne se diffuse pas.
21:05 - C'est-à-dire que s'il garde cette mention de la plainte contre Ursula,
21:09 on ne lui donne pas son accréditation ?
21:10 - J'ai la lettre avec moi. Ça, c'est la première fois.
21:12 La deuxième chose, c'est que mon client aussi a saisi
21:14 la Cour de justice de l'Union européenne pour obtenir
21:17 non pas les textos, mais il demande 100 000 euros
21:20 de dommages à intérêt pour préjudice moral
21:22 pour violation du principe de la transparence.
21:24 Puisqu'il est clairement violé que personne ne veut donner
21:27 les textos, alors à ce moment-là, ça a un prix.
21:29 Puisque la transparence, c'est la confiance publique,
21:31 c'est un droit fondamental. Donc il demande cette somme.
21:34 Et là encore, il demandait en plus d'ailleurs la suspension
21:37 de leur fonction des commissaires et de Mme Ursula von der Leyen
21:40 en application de leur code de déontologie.
21:43 Et ces deux requêtes n'ont pas été publiées
21:46 au journal officiel de l'Union européenne.
21:48 Alors qu'elles doivent l'être. Quand on publie une requête,
21:50 ça permet au tiers d'être informé.
21:52 Alors, tout se fait comme ça. Et c'est comme, là aussi,
21:55 on a parlé de cette émission allemande.
21:56 Pourquoi en Allemagne, ça a fait le 20h l'affaire
21:59 contre Ursula von der Leyen ?
22:01 Et pourquoi rien en France ?
22:03 Il y a une censure incroyable de l'information
22:05 alors qu'on est soi-disant dans un monde de transparence
22:08 et que si on n'a rien à se reprocher, on n'a pas à avoir peur.
22:11 De qui ? De quoi ? De quoi Mme von der Leyen a peur ?
22:14 C'est une véritable question.
22:16 - Circuler et rien avoir.
22:18 Juste un mot avant qu'on prendra une seconde petite pause
22:21 et puis on prend les auditeurs de Sud Radio et de Bercov
22:23 dans tous ces états.
22:25 Juste un mot, Michel Rivasi.
22:27 Est-ce qu'il n'y a pas, à part, alors on en a parlé,
22:30 le 18 octobre, le rendez-vous qui est important.
22:33 - 19.
22:34 - 19, pardon. 19 octobre, très bien.
22:36 On reviendra là-dessus, bien sûr.
22:39 Mais dites-moi, au Parlement européen,
22:41 vous les députés, vous les parlementaires,
22:43 vous n'avez aucun autre recours
22:45 où en fait il y a certains comme vous qui se battent
22:50 et d'autres pour qui ce n'est pas très important, c'est secondaire.
22:53 Parce qu'on a l'impression qu'il y a un Parlement européen.
22:56 Si il ne sert pas dans des circonstances pareilles
22:59 qui sont quand même des circonstances énormes,
23:02 à quoi il sert ?
23:04 Il n'y a pas d'autre moyen ?
23:06 - Vous posez une bonne question.
23:08 Vous posez une bonne question.
23:10 Moi, je dis que le pouvoir, il se prend.
23:12 À l'heure actuelle, qu'il n'y ait pas plus de députés,
23:16 d'ailleurs, même au niveau de la commission Covid,
23:19 vous savez qu'il y a eu quand même une espèce de commission d'enquête
23:22 sur la gestion du Covid au niveau de l'Europe.
23:25 Eh bien, on avait demandé à ce que Pfizer soit plus agréée
23:31 pour entrer au niveau du Parlement européen.
23:33 Et on avait demandé une audition publique de la présidente de la commission.
23:38 Eh bien, ce sont les présidents des groupes politiques qui ont refusé ça.
23:43 - Ah oui.
23:44 - Donc vous voyez que...
23:46 - Pardon, Michel Rivasi, aujourd'hui, Pfizer a toujours ses badges.
23:49 Les lobbyistes de Pfizer ont toujours leurs accréditations au Parlement européen ?
23:53 - Mais oui, mais oui.
23:55 Alors qu'on avait demandé à ce que ça soit refusé
23:58 comme on avait obtenu pour Monsanto
24:00 quand le président de Monsanto n'avait pas voulu être auditionné
24:03 par la commission Pesticides.
24:05 - D'accord.
24:06 - Donc il y a une complicité aussi des députés
24:08 qui, sous couvert de faire le lit de l'extrême droite,
24:14 se disent que si on critique trop la commission,
24:17 les gens, eh bien, ils vont aller au niveau de l'extrême droite.
24:22 - Intéressant.
24:23 - Et ça, je trouve que c'est une erreur politique énorme.
24:26 - Bien sûr.
24:27 - Parce que voyez-moi, en tant qu'écolos,
24:29 j'ai toujours demandé la transparence,
24:31 que ça soit dans le nucléaire, que ça soit sur les pesticides,
24:34 que ça soit sur les contrats, etc.
24:37 Et c'est parce qu'on aura accès à tous ces documents
24:40 qu'on sera mieux informés et on prendra les meilleures décisions.
24:45 - Évidemment. Il faut arrêter de...
24:47 - Alors que là, on voit que sous couvert de penser
24:51 que l'extrême droite va gagner les prochaines élections,
24:55 eh bien, on fait le dos rond.
24:57 Et faire le dos rond, c'est être complice des autres.
25:00 - Bien sûr.
25:01 - C'est être complice du privé.
25:02 - Et c'est ça qui favorise, au contraire, les extrêmes.
25:04 - Exactement.
25:05 - L'Oberta favorise les extrêmes, oui.
25:07 - Je trouve que c'est un très mauvais calcul politique.
25:10 Et là, je voudrais dire aux auditeurs
25:12 qu'il y a des gens dans les différents partis,
25:14 parce qu'il y a quand même la gauche,
25:16 il y a même des gens à Renaissance qui se répandent,
25:20 enfin, pas la majorité.
25:22 Mais, voyez, cette façon de dénigrer les citoyens européens,
25:29 de ne pas leur donner l'accès,
25:31 comme s'il y a une élite qui décide pour l'ensemble,
25:34 je trouve ça vraiment inadmissible.
25:36 - On va vous retrouver toutes les deux,
25:39 juste après cette pause,
25:40 et on va se retrouver aussi les auditeurs de Sud Radio.
25:43 Estéban.
25:44 - Oui, si ça vous fait réagir, vous connaissez le numéro
25:46 0 826 300 300, 0 826 300 300.
25:49 Si vous avez une question à poser à nos invités,
25:52 c'est au 0 826 300 300.
25:54 A tout de suite sur Sud Radio.
25:57 - Sud Radio Bercoff, dans tous ses états,
25:59 midi 14h.
26:00 André Bercoff.
26:01 - Eden Auto fête aussi l'été,
26:04 avec son festival Eden Auto Occasion.
26:06 - Un concert de remise jusqu'à 1000 euros
26:08 sur une sélection de véhicules d'occasion toute marque.
26:10 - Le festival Eden Auto Occasion,
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26:14 du réseau Eden Auto.
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26:19 Voir conditions sur edenauto.com.
26:21 Pensez à covoiturer.
26:22 - Carrefour.
26:23 Si je vous dis que c'est la 3e baisse des prix chez Carrefour,
26:25 c'est parce que la baisse des prix chez Carrefour
26:27 est sur 500 nouveaux produits.
26:28 Comme par exemple l'essuie-tout Carrefour essentiel,
26:30 la mousse au chocolat Marie Morin,
26:31 la sauce pesto Genovese Barilla.
26:33 Et c'est chez Carrefour, Carrefour Market et sur carrefour.fr.
26:35 C'est ça, le défi anti-inflation.
26:37 Carrefour.
26:38 Baisse des prix constatés entre le 15 et le 28 août 2023
26:40 par rapport au prix permanent des produits.
26:42 Liste des produits concernés disponibles à l'accueil de votre magasin
26:44 et sur carrefour.fr.
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27:15 - Sud Radio Dax.
27:19 - 102.
27:20 - Sud Radio.
27:23 - Il était une fois un magicien
27:25 lassé des baguettes au petit-déj
27:27 qui lui rappelait trop le boulot.
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27:35 il n'y eut qu'un mot.
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28:48 - Ici Sud Radio.
28:50 Les Français parlent au français.
28:55 Les carottes sont cuites.
28:58 Les carottes sont cuites.
29:00 Sud Radio Bercov dans tous ses états.
29:03 - On retourne dans ce Face à Face dans Bercov dans tous ses états.
29:06 On est toujours avec l'avocate Diane Prota
29:08 et toujours avec la députée européenne Michèle Rivasi.
29:10 Et puis on a Angèle qui a composé le 0826 300 300 en direct de Marseille.
29:14 Bonjour Angèle.
29:15 - Bonjour Angèle.
29:16 - Bonjour Monsieur Bercov.
29:17 Je voulais saluer Madame Rivasi et Maître Prota.
29:22 Je me prosterne devant elle pour tout le travail qu'elle fait pour nous.
29:26 Voilà, je voulais leur dire un grand grand grand merci.
29:31 Bon, moi je téléphone juste pour une petite question d'ordre juridique
29:34 et un petit commentaire.
29:36 - Allez-y.
29:37 - Donc la question juridique, c'est dans le contrat Europe de base,
29:42 il n'y a pas la compétence santé dévolue à l'Europe.
29:47 La compétence santé dans le contrat de base, dans la constitution,
29:51 est dévolue à chaque état et chaque état doit se démerder avec sa santé.
29:57 Ce que je ne comprends pas, c'est qu'on puisse permettre à la Commission européenne
30:03 de s'ingérer dans notre santé, premier point.
30:06 Et deuxième point, en tant que citoyenne française,
30:09 est-ce que je peux refuser tout ce qui vient de l'Europe en matière de santé,
30:14 puisque ça n'est pas dans le contrat ?
30:16 Ça c'est ma première question.
30:18 Enfin, c'est une question.
30:20 Et mon petit commentaire concernant Ursula von der Leyen,
30:23 c'est qu'on a vu Macron lui courir derrière pendant X temps,
30:28 et là, on ne les voit plus ensemble.
30:30 Donc je pense que c'est le cabinet conseil qui a dû dire à Macron
30:33 "Oh, ça sent mauvais pour Ursula von der Leyen".
30:36 - Bon, ça c'est un commentaire.
30:38 Rappelez-vous la chanson d'Aznavour "Désormais on ne nous verra plus ensemble".
30:42 - Voilà, je pense que c'est ça.
30:44 - C'est peut-être ça.
30:45 - Donc c'est bon pour nous.
30:47 - Oui, Agèle, la première question Diane Protas, une vraie question ça.
30:51 La compétence, les compétences.
30:53 Santé.
30:54 - Bonjour madame, merci de vos mots, vous avez tout à fait raison.
30:58 La santé n'est pas une compétence de l'Union européenne,
31:01 dans les traités c'est ce qu'on appelle une compétence d'appui.
31:04 Ils peuvent nous venir en aide sur ce point.
31:06 Et c'est pour ça d'ailleurs que monsieur Baldan, dans sa plainte pénale,
31:09 qui ne vise pas que les textos, il vise ce qu'on appelle l'immixion dans les fonctions publiques.
31:13 C'est-à-dire qu'en réalité madame Ursula von der Leyen,
31:16 qui est fonctionnaire, a empiété sur les pouvoirs propres des Etats.
31:20 À la rigueur, concrètement, c'est le premier ministre belge
31:23 qui aurait dû envoyer des textos à monsieur Albert Bourla.
31:26 Et certainement pas madame von der Leyen.
31:28 Or, en droit belge, il existe cette infraction d'usurpation de fonctions et de titres.
31:33 C'est donc quand on reproche à un fonctionnaire d'empiéter sur les pouvoirs d'un autre.
31:37 Et sur ce fondement, nous avons porté plainte en Belgique.
31:40 Cette infraction n'existe pas en France, malheureusement.
31:42 Elle n'existe pas en France, oui.
31:43 Elle n'existe pas en France, mais par exemple, ça pourrait servir si on la créait.
31:46 Puisqu'on a vu récemment qu'à l'OMS, la Commission européenne,
31:49 par madame Kyrkiades, vient négocier de nouveau le pass vaccinal.
31:54 Or, elle n'en a absolument aucun pouvoir.
31:57 C'est comme pour les contrats.
31:58 Oui, c'est vrai.
31:59 La Commission européenne n'a pas les pouvoirs d'aller négocier ce type de choses avec l'OMS en matière de santé.
32:05 Et là encore, c'est une infraction d'immixion dans les pouvoirs des États.
32:08 Alors, juste Diane Prota, est-ce qu'Angèle peut dire, en tant que citoyenne française,
32:14 je peux refuser l'injonction de non ?
32:17 Parce que c'est l'État français qui a proclamé la vaccination, etc.
32:21 C'est-à-dire qu'on peut toujours dire non.
32:23 C'est le mythe d'Antigone aussi.
32:24 Je crois que beaucoup l'ont fait.
32:25 Non, mais dire non, au bout du compte, on nous explique que ce n'était pas une obligation d'être vacciné.
32:31 On a tous compris que c'était le contraire.
32:33 Néanmoins, une certaine partie de la population a dit non aujourd'hui.
32:37 Et c'est ça qui est extrêmement important.
32:40 Mais si je reviens un instant sur la question de l'immixion dans les fonctions publiques,
32:43 M. Baldan, quand il demande cette infraction,
32:46 et qu'il saisit également la Cour de justice de l'Union européenne
32:49 pour demander la suspension de ses fonctions de madame Ursula von der Leyen et des commissaires,
32:54 il est aussi sur le fondement d'une jurisprudence européenne
32:56 qui dit que si la Commission européenne empiète gravement sur ses compétences,
33:01 alors il y a une faute.
33:02 Et cette faute, elle doit amener une sanction contre ses commissaires.
33:06 C'est contraire à leur code de conduite.
33:07 Donc c'est extrêmement important.
33:09 Et peut-être aurions-nous l'occasion d'avoir une telle infraction dans le droit français.
33:12 Michel Ribasi, vous avez un commentaire à faire par rapport à ce que dit Angèle ?
33:17 Oui, alors moi je serais plus large que ça.
33:20 C'est-à-dire qu'en fait il y a des textes européens, des directives,
33:24 qui sont par exemple sur les menaces transfrontalières, sur la santé.
33:28 Vous voyez, un virus n'a pas de frontière.
33:30 D'ailleurs on l'a vu sur le Covid.
33:32 Et on a des textes, et on a des directives sur comment, par exemple,
33:38 lorsqu'il y a un virus ou une maladie transmissive ou autre,
33:43 eh bien l'Europe intervient.
33:45 Alors là où on peut dire effectivement sur le Covid,
33:51 comment sait-il que le Parlement a voté quand même un budget important
33:59 pour aider les laboratoires à mettre en place des vaccins,
34:03 ça ce sont les États membres aussi qui étaient pour.
34:07 Et il y a eu l'idée de faire des achats groupés pour ne pas pénaliser les pays,
34:13 vous voyez, qui étaient les plus pauvres.
34:15 Il fallait une répartition équitable des vaccins.
34:18 Donc c'est parti d'une bonne intention,
34:20 mais le problème après, c'est qu'on n'a pas eu la transparence
34:24 sur pourquoi telle décision a été prise,
34:27 pourquoi il y a eu un comité de pilotage, un comité scientifique,
34:31 on n'avait même pas les noms des gens.
34:34 Vous voyez, quand il y a eu ce comité de pilotage avec Mme Kyriakides,
34:39 il nous disait "non, on ne peut pas vous donner les noms parce que vous allez faire pression".
34:43 Mais qu'est-ce que c'est cette Europe opaque ?
34:45 C'est extraordinaire !
34:46 C'est ça qui est problématique.
34:48 Non mais c'est hallucinant !
34:49 À la limite, qu'on ait des initiatives pour justement qu'il y ait un accès à tous à des médicaments,
34:58 que ce ne soit pas l'argent qui soit déterminant, moi je ne suis pas contre.
35:04 Mais de là à jouer sur l'opacité et sur le fait qu'on n'avait qu'à suivre,
35:10 l'histoire du pass dont parle Mme Crotat, elle a tout à fait raison.
35:14 Sur quelle base Mme Kyriakides est allée voir le directeur de l'OMS
35:19 pour lui donner les outils informatiques qu'on a utilisés pendant la crise du Covid ?
35:24 En fait, c'est quand même incroyable !
35:26 Et même l'OMS disait au début "ça ne va pas, ce n'est pas sanitaire parce que c'est discriminatoire".
35:32 Et là maintenant, on va leur donner des outils qui tracent tous les gens dans le monde entier ?
35:39 C'est complètement contradictoire !
35:43 Tout à fait, on va reprendre un auditeur ou une auditrice.
35:46 Nous sommes en ligne avec Thomas qui a fait le 0826-300-300, il nous appelle de Haute Saône.
35:50 Bonjour Thomas !
35:51 Bonjour à tout le plateau, je me présente très brièvement, je m'appelle Thomas, j'ai 25 ans et je suis élève avocat.
35:58 Tout ça pour dire que je ne suis absolument pas anti-européiste ou anti-institution,
36:02 puisque j'ai été élevé et j'ai grandi avec ça.
36:05 Cependant, plus le temps passe et plus je commence à me poser sincèrement des questions sur les institutions européennes.
36:11 Juste pour parler, donc pas de toute l'Union Européenne sur laquelle je me pose beaucoup de questions
36:15 quant à son utilité vis-à-vis de la France, je vais me poser des questions premièrement au rôle de la Commission Européenne.
36:20 Premièrement, je me demande à quoi elle sert et à ce qu'elle apporte,
36:24 puisque à chaque fois que j'en entends parler, ce n'est jamais pour du positif, c'est toujours pour des négatifs,
36:29 autour de Mme von der Leyen.
36:31 Donc voilà, c'est ma première question, qu'est-ce qu'elle apporte réellement à la France,
36:34 puisqu'on sait que ça nous coûte quand même beaucoup d'argent,
36:36 et quand on voit qu'il y a 200 millions de doses périmées, qui au final sont facturées par nous et non utilisées.
36:42 Donc premièrement, voilà.
36:44 Et la deuxième question, c'est est-ce qu'il existe une procédure juridique
36:47 pour peut-être faire sortir Mme von der Leyen de cette institution ?
36:52 Est-ce que dans la pratique ça peut fonctionner,
36:54 puisque peut-être que c'est une question de dépôt d'intérêts, que tout est tenu par le lobby écoletaire ?
36:59 - Le conflit d'intérêts, oui. Diane Protard ?
37:01 - Je vous en prie.
37:02 - C'est le jeune avocat ou l'élève avocat qui vous parle.
37:05 - Écoutez, tout d'abord, faire sortir Mme Ursula von der Leyen,
37:08 c'est ce que nous essayons de faire avec M. Baldan, comme je l'expliquais.
37:11 Il a saisi la Cour de justice de l'Union Européenne
37:14 pour demander 100 000 euros de dommages à intérêts
37:16 pour la violation du préjudice moral lié à l'atteinte à la confiance publique
37:20 et à la transparence.
37:22 Il a également assorti cette demande de responsabilité extra contractuelle
37:26 contre l'Union Européenne d'un référé visant à la suspension
37:29 de Mme Ursula von der Leyen et de tout le collège des commissaires
37:34 sur le fondement de leur code de bande conduite.
37:36 Je ne sais pas si vous le savez, mais dans les années 90-2000,
37:40 d'ailleurs, entre parenthèses, au départ, le rôle de la Commission Européenne
37:43 c'est d'être la gardienne des traités, ce qui est écrit dedans.
37:46 Sauf que la directrice générale de la Santé, une certaine dame Galina,
37:49 a dit qu'elle se fichait des traités et que pour construire l'Europe,
37:52 il ne fallait pas se sentir liée par les traités
37:54 et que c'était comme ça qu'elle innovait, que les jeunes l'adoraient.
37:56 Mais donc la Commission étant en roue libre,
37:59 elle n'est plus la gardienne des traités, elle passe au-dessus.
38:04 Or, comme je l'ai dit, si la Commission ou les institutions
38:09 empiètent très grossièrement sur leur prérogative,
38:11 il y a de la jurisprudence de la Cour de justice de l'Union Européenne dessus,
38:14 et bien alors c'est une faute.
38:16 Et dans ce cas, les commissaires européens qui ont un code de conduite
38:19 et qui doit être appliqué, que ça applique directement,
38:21 et bien s'ils commettent des fautes, nous nous demandons la suspension
38:24 de leur fonction sur ce fondement.
38:26 C'est devant la Cour de justice de l'Union Européenne actuellement.
38:28 - Voilà, on verra ce qui va se passer, peut-être on peut prendre un autre...
38:31 après la pause, c'est bien ça, voilà.
38:34 - On va se retrouver dans quelques instants,
38:36 si comme Thomas vous avez une question à poser à nos invités,
38:39 Michel Rivasi et Diane Protas sont à votre écoute, 0 826 300 300.
38:43 On revient tout de suite dans Bercov, dans tous ces états.
38:46 Sud Radio Bercov, dans tous ces états.
38:48 Appelez maintenant pour réagir, 0 826 300 300.
38:52 - Il était une fois un jeune prince venant d'emménager
38:57 dans un petit studio un poil défraîchi.
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39:19 - Dans le nouveau magazine Journal de France, actuellement au kiosque,
39:22 retrouvez notre reportage sur Alain Delon.
39:25 Comment à 87 ans, il se libère des tourments qu'il subit.
39:28 PPDA, retour sur la disparition de son épouse.
39:31 La douloureuse séparation de Laetitia Halidé et de Djali Lesper.
39:35 Un retour possible du groupe Téléphone, selon Louis Bertignac.
39:38 Jean Dujardin, grand amateur de rugby, sera aux manettes
39:41 de la cérémonie d'ouverture de la Coupe du Monde.
39:43 Bernard Arnault, une aubaine pour notre pays.
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41:19 - Lidl, réélu encore et encore, meilleure chaîne de magasins de l'année
41:23 dans la catégorie supermarché.
41:25 - Allô patron ?
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41:54 Les Français parlent au français.
41:59 Je n'aime pas la blanquette de veau.
42:02 Je n'aime pas la blanquette de veau.
42:05 Sud Radio Bercov dans tous ses états.
42:08 - De retour dans le face-à-face d'un Bercov dans tous ses états,
42:10 on continue de parler de l'affaire Ursula von der Leyen
42:13 avec l'avocate Diane Prota et la députée européenne Michèle Rivasi.
42:16 Et puis avec Richard de Toulouse qui a composé le 0826 300 300.
42:20 Bonjour Richard.
42:21 - Bonjour Richard.
42:22 - Bonsoir à vous.
42:23 - Bonjour.
42:24 - J'avais une question en fait,
42:26 à laquelle je n'ai jamais trouvé la réponse.
42:29 Je travaille dans l'industrie et je voulais savoir
42:32 si la commission européenne qui a pris une décision,
42:35 on va dire unilatérale, de commander des vaccins chez Pfizer
42:39 avait pris les précautions de base.
42:41 Et les précautions de base qu'on met dans l'industrie,
42:43 automobile, pharmaceutique ou cosméto ou agroalimentaire,
42:48 c'est d'aller, lorsqu'on a un nouveau procédé,
42:50 c'est de faire un audit process.
42:52 Au-delà des certifications FDA et autres,
42:56 on va voir avec des spécialistes de qualité, des techniciens,
43:00 on va voir le processus pour voir si le processus peut être défaillant
43:03 et produire des risques sur le produit fini.
43:06 Et si ça, ça n'a pas été fait, c'est gravissime.
43:09 On le fait pour n'importe quel aliment.
43:12 - Vous appelez ça le process-risque, c'est ça ?
43:15 - C'est un audit process.
43:17 - Un audit process, c'est ça.
43:18 - Voilà, vous avez des audits de système qui évaluent,
43:20 une certification après ça, une petite ou une mille ou autre.
43:24 Et après, lorsqu'on a un nouveau procédé,
43:26 le client va avec ses ingénieurs de qualité et technique
43:32 et il vérifie que le processus donnera des produits conformes
43:36 et qu'il n'y aura pas de défaillance.
43:38 C'est un nouveau processus.
43:40 - Et c'est valable pour tout produit, toute industrie, etc. ?
43:44 - Tous les produits qu'on achète dans l'agroalimentaire,
43:48 dans l'automobile, c'est incontournable.
43:52 C'est un des actes fondateurs de la qualité de l'automobile.
43:56 Donc c'est la question, qui est allé là-bas ?
44:00 Et est-ce que ça a été fait avant la première injection ?
44:02 - Michel Rivasi, à votre connaissance, c'est très intéressant,
44:05 je trouve la question que pose Richard, effectivement.
44:08 Est-ce qu'à votre connaissance, évidemment,
44:10 là aussi ça fait peut-être partie de l'opacité,
44:14 est-ce qu'il y a eu un audit ? Est-ce qu'il y a eu des audits ?
44:16 Est-ce qu'il y a eu... ou pas ? On n'en sait rien.
44:21 Alors, il y a deux choses quand même dans la question.
44:24 Vous savez, un vaccin, on n'avait rien vis-à-vis du Covid.
44:28 On a donné de l'argent aux labos, et certains labos ont trouvé un vaccin.
44:33 Après, il faut faire des études cliniques.
44:35 C'est-à-dire qu'on prend des milliers de gens,
44:39 on prend ce qu'on appelle, on regarde l'effet placebo,
44:44 c'est-à-dire, il y a tout un groupe de gens où on met le vaccin,
44:47 et il y a un groupe qui ne le met pas.
44:49 Mais encore faut-il que le protocole soit correct.
44:52 Et là, vous avez des scientifiques qui ont dit que le protocole n'était pas correct
44:56 au niveau de l'efficacité du vaccin.
44:59 Rappelez-vous, les labos disaient que le vaccin était efficace à 95%.
45:03 Mais qui le disait ? C'était les laboratoires pharmaceutiques.
45:06 Vous voyez, ce n'était pas des scientifiques indépendants qui contrôlaient les données.
45:10 - Donc, il n'y avait pas d'audit indépendant, c'est bien ça. Il n'y a pas eu.
45:14 - Alors, ça, les études cliniques, elles sont faites par les laboratoires pharmaceutiques.
45:19 Mais il y a une deuxième question dans ce qu'il dit, c'est le contrôle qualité.
45:23 Parce qu'un exploitant, un laboratoire pharmaceutique,
45:28 il doit donner un produit sain, un produit qui correspond à ce pour quoi il a obtenu une habilitation.
45:35 - Bien sûr.
45:36 - Et le problème, c'est qu'il faut des contrôles de qualité sur les produits.
45:40 Sinon, on tombe dans les produits défectueux.
45:43 Et là, c'est directement le laboratoire qui doit payer des indemnités à la personne qui a reçu un produit défectueux.
45:50 - Et ce qu'il y a eu, c'est le contrôle de qualité.
45:52 - Voilà, c'est le contrôle de qualité. Il faut que le produit, le vaccin,
45:56 vous voyez, soit le même, quel que soit les entreprises qui fabriquent ce vaccin.
46:00 - D'accord.
46:01 - Eh bien, là, il y a eu des problèmes dans certains pays, comme au Japon.
46:07 Il y a eu des problèmes dans d'autres pays où il n'y avait pas la qualité requise.
46:12 Et on ne peut pas dire qu'on ait des garanties, et ça, je le dis à l'auditeur,
46:17 qu'il y a eu des contrôles de qualité dans toutes les entreprises qui ont fabriqué ce vaccin.
46:22 - Mais c'est énorme. C'est énorme, c'est ça.
46:24 On n'a pas la preuve qu'il y a eu des contrôles de qualité partout.
46:27 C'est quand même énorme.
46:29 - Voilà. Exactement.
46:31 Par exemple, le cas du Japon, ça m'a toujours interpellé.
46:34 Il y a eu un retrait des produits.
46:36 Quand j'ai posé la question "mais qui a décidé le retrait des produits ?
46:40 Est-ce que c'est parce que des gens sont tombés malades
46:43 ou est-ce qu'ils ont vu que dans la fiole, le produit avait des impuretés ?"
46:50 Ben, je n'ai pas eu la réponse à cette question.
46:52 Et c'est vraiment là, ce que dit notre Richard, c'est
46:56 "est-ce que la qualité de produit, on est sûr à 100% ?"
47:00 Ben là, je ne peux pas vous répondre.
47:02 Et je crois qu'elle n'est absolument pas sûre à 100%.
47:05 - Et elle est fondamentale, quand même.
47:07 - Et elle est fondamentale.
47:09 On a eu le problème, vous voyez, même des ARN messagers
47:12 qui n'étaient pas, comment dire, sains,
47:17 dans la mesure où ils étaient dégradés.
47:20 C'était le problème des ARN dégradés.
47:23 On a limité le seuil.
47:25 Au début, c'était à 70%, c'est tombé à 50%.
47:28 Qui a décidé, vous voyez, de diminuer ce seuil d'ARN messagers purs ?
47:35 Ben, il y a plein plein de questions à poser.
47:38 - Diane Protard, par rapport à ce procès d'audit.
47:42 - Une précision, c'est que dans les contrats, qui sont d'ailleurs attaqués,
47:45 mais on en reparlera, il est prévu que Santé publique France,
47:48 quand il se fait livrer les vaccins, puisque c'est la France qui les commande,
47:51 effectue un contrôle de qualité à 5 jours pour renvoyer les doses
47:55 si, par exemple, il se passait la même chose qu'au Japon,
47:58 où ils avaient vu à l'œil nu que les vaccins étaient troubles.
48:01 Dans le cadre du procès contre le contrat que mène l'association Bon Sens,
48:05 on demande à Santé publique France de nous donner la copie des PV de réception de qualité.
48:10 - C'est obligatoire. - Oui, bien sûr, c'est dans le contrat.
48:12 Et en réalité, on ne nous donne rien. C'est comme les "vaccine order form", tout est biffé.
48:16 Le contrôle qualité, Santé publique France, dans le cadre du procès
48:19 qui lui est fait par l'association Bon Sens, ne remet pas les PV de contrôle qualité.
48:23 - Vous les avez demandé depuis le début. - Oui, on n'a rien.
48:26 De toute façon, ils vous donnent... Tout est biffé.
48:29 Mais c'est impressionnant parce que, d'un sens, au départ,
48:32 au Nouveau-Industriel, il y a d'ailleurs à ajouter,
48:35 je pense que même Vasile a entendu dans le cadre de la commission Covid,
48:38 une certaine dame, Jeannine Smoul, qui est venue en remplacement
48:41 répondre aux questions des parlementaires Alpaz, M. Albert Bourlin,
48:44 a fini par admettre que de toute façon, eux-mêmes n'avaient pas testé
48:47 l'efficacité de leurs vaccins sur la transmission.
48:49 Donc, ce n'est pas testé en amont par les industriels,
48:51 ce n'est pas testé en aval par les Etats.
48:54 - Oui, c'est un problème. - On remercie Richard pour sa question
48:57 et on accueille Jean-Michel qui nous appelle depuis la Savoie.
49:00 - Bonjour Jean-Michel. - Bonjour Jean-Michel.
49:02 - Oui, bonjour. En premier lieu,
49:05 je voudrais vous remercier tous les trois
49:08 parce que, heureusement que vous êtes là.
49:11 Bon, j'en dis pas plus. - Merci.
49:14 - M. Bercoff, on pourra vous qualifier de bienfaiteur de l'humanité, j'espère.
49:18 - Je vais demander le Nobel, je vais demander le Nobel.
49:21 - Je prêche mes mots. - Voilà.
49:23 - Alors, je sais, il me semble que, pour l'instant,
49:27 on ne peut faire confiance qu'à la justice, et encore,
49:30 dans une certaine mesure, parce qu'il me semble
49:33 que la chose échappe aux politiques.
49:36 Que ce soit en France, on n'a pas entendu beaucoup
49:41 nos élus politiques, le Parlement,
49:44 s'inquiéter de ces choses-là. - Non, pas beaucoup, non.
49:47 - Et ils sont très peu nombreux,
49:50 les dirigeants de partis, peut-être à part...
49:54 - Enfin, heureusement qu'il y a des Rivasi, des Protas et d'autres.
49:58 - Voilà. Donc, peut-être Florian Philippot
50:02 qui insiste là-dessus, et puis quelques autres, mais ils sont pas nombreux.
50:06 Et, pour ce qui concerne le Parlement européen,
50:11 soit, alors je ne comprends pas, c'est pour ça que je pose la question,
50:15 soit ils sont d'accord, ils acceptent, soit...
50:19 - Oui, Jean-Michel, j'ai posé la question déjà à Michel Rivasi,
50:23 qui a répondu très franchement et très bien.
50:27 Il y a des gens qui sont prêts à y aller, mais beaucoup d'autres, non, hésitent,
50:32 font un procrastination, si je peux me permettre ce mot,
50:36 et puis ne veulent pas. Mais je voudrais, Diane Protas, de ce point de vue-là,
50:40 franchement, les contrats, les fameux contrats, biffés ou pas biffés,
50:43 on a pu en avoir quelques-uns, etc.
50:46 Au fond, est-ce qu'il y a une possibilité, aujourd'hui,
50:50 de renverser le fait que les laboratoires sont irresponsables,
50:55 et que c'est la faute des États ?
50:57 Est-ce qu'il y a juridiquement une possibilité de dire
51:00 "Attendez, vous êtes aussi responsables ?"
51:02 - Oui, tout à fait, je me permets de l'expliquer,
51:05 mais juste un instant, je voudrais souligner,
51:07 parce que même si je n'en suis pas l'avocat, mais c'est important,
51:09 j'ai vu aussi les annonces des partis des Patriotes et de M. Philippot,
51:12 qui séjoignent à la plainte en Belgique.
51:14 Je sais qu'il y a également une association espagnole qui l'a fait,
51:17 et juste une parenthèse, on sait qu'en droit, le droit pénal,
51:20 tiens, le civil en l'État, j'ai entendu Mme Arivazzi évoquer
51:24 que certains États ne voulaient pas payer les doses à Pfizer,
51:27 et bien ces États, pour avoir l'idée simple,
51:29 d'aller se constituer, comme les Patriotes,
51:31 comme l'association Liberum, comme M. Baldan,
51:33 parti civil devant le juge d'instruction belge,
51:35 et à ce moment-là, je pense que les États ne paieraient qu'une fois l'enquête terminée.
51:39 C'est une parenthèse, puisqu'on a l'occasion de s'exprimer,
51:42 autant le dire, je pense que c'est une possibilité juridique.
51:44 En revenant sur la question de la validité des contrats,
51:47 très rapidement, parce que nous sommes en fin d'émission,
51:50 depuis deux ans, l'association Bon Sens, dont je suis l'avocat,
51:53 mène un combat contre la validité des contrats,
51:57 parce que le but, c'est qu'aujourd'hui, les gens qui sont des millions à souffrir,
52:00 des faits secondaires, ne peuvent être indemnés que par l'ONIAM.
52:03 Lors, l'ONIAM donne des sommes très minimes,
52:06 et qui n'ont rien à voir avec le réel préjudice,
52:09 et ce n'est pas normal que ce soit l'État qui paie les conséquences.
52:12 Or, nous, le but est de faire en sorte que ces contrats soient reconnus nuls,
52:17 pour que ce soit Pfizer qui paie le véritable préjudice aux victimes.
52:21 Et la question des textos est extrêmement importante,
52:24 puisqu'il y a une clause d'irresponsabilité dans les contrats,
52:27 on ne sait pas pourquoi elle existe, et nous pensons que peut-être,
52:30 elle détient un compact de corruption qui rendrait nuls les contrats,
52:33 et permettra aux gens d'être indemnisés.
52:35 - On va suivre tout ça, merci à Michel Rivasi, merci à Diane Prota,
52:39 merci aux auditeurs pour leurs questions,
52:42 parce que voilà, question à tout, on l'a tout souvent dit, et on continuera.
52:45 - Tout de suite, vous avez rendez-vous avec Brigitte Leh sur Sud Radio,
52:48 comment maintenir le désir d'un couple au long cours, c'est le thème d'aujourd'hui.
52:52 Quant à nous, on se retrouve demain à 12h sur Sud Radio, 12h-14h,
52:55 c'est le nouvel horaire, au 0826-300-300, avec vous bien sûr, à demain.
52:59 de nos.

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