Après l'augmentation des cas de Covid-19, le masque va-t-il faire son retour?

  • l’année dernière
Face au rebond épidémique et à la prolifération du nouveau variant Eris, la question du port du masque obligatoire se pose à nouveau. Une mesure qui divise les Français et rappellent de mauvais souvenirs. 

Category

🗞
News
Transcript
00:00 Dans ce marché très fréquenté d'Ile-de-France,
00:02 ils sont encore quelques-uns à le porter.
00:05 Je trouve que c'est très utile parce qu'il y a beaucoup de gens
00:08 qui ont des microbes, qui toussent, etc.
00:11 Moi, je trouve même que pour l'autre,
00:14 c'est un respect de l'autre de porter le masque.
00:16 Mais le masque est absent du visage de la grande majorité des clients
00:20 et certains n'ont pas prévu de changer d'avis.
00:23 Clairement, non, je ne me vois pas du tout remettre le masque là.
00:26 Vraiment, c'est les pires années de ma vie, le Covid,
00:28 et surtout le port du masque tous les jours, invivable.
00:31 D'autres sont prêts à le ressortir de leur sac, sous condition seulement.
00:35 Ça dépend vraiment s'il y a beaucoup de monde, oui, le porter,
00:39 mais s'il n'y a pas beaucoup de monde, non.
00:41 Et surtout, pour les personnes qui sont les plus fragiles,
00:44 qui devraient le porter aussi.
00:45 Faut-il rendre le port du masque obligatoire
00:47 si le rebond épidémique lié au variant Iris se confirme ?
00:51 Le ministre de la Santé, Aurélien Rousseau, temporise.
00:54 On verra en fonction de la situation épidémique.
00:56 Aujourd'hui, l'augmentation des passages dans les services hospitaliers est mesurée.
01:00 Ce médecin, lui, préconise l'obligation du port du masque,
01:03 seulement dans certains lieux plus sensibles.
01:06 Dans les hôpitaux, parce qu'il y a des gens fragiles
01:07 et qu'il y a des regroupements de personnes sur les consultations
01:10 et que les gens viennent pour consulter parce qu'ils sont malades.
01:13 Sur les transports en commun quand ils sont bondés,
01:17 ou sur des spectacles avec de très nombreuses personnes, 20, 30 000 personnes.
01:21 Les autorités sanitaires, elles, se disent vigilantes.
01:24 Une nouvelle campagne de vaccination pour les personnes vulnérables
01:28 doit avoir lieu à l'automne.

Recommandée