Sur Terre, l’eau est littéralement partout, sous toutes ses formes possibles autour de nous et même en nous - dont elle constitue près de 65 % de la masse, et pourtant la quasi totalité de celle dont nous dépendons pour vivre nous est invisible. Elle se trouve littéralement sous Terre, stockée dans des nappes d’eau souterraines qui peuvent être gigantesques. En fait, on estime qu’il y a près de 100 fois plus d’eau actuellement enfouie dans les entrailles, les failles et les interstices entre les pierres que dans l’ensemble des lacs, nuages et rivières de toute notre planète.
Dit autrement, alors que 97 % de l’eau disponible sur Terre est salée, que 2 % est sous forme de glace, la quasi totalité (*96%) des petits 1 % (*précisément 0,6%) restants et qui douce et liquide nous intéresse tant, se trouve en dessous de nous sous forme d’eau dite invisible - de l’eau souterraine. Alors évidemment, ces eaux souterrains dans lesquelles nous sommes en train d’évoluer ne sont pas représentative de la façon dont l’or bleu est - à l’échelle du monde - stockée.
Là encore, nos représentations sont trompeuses, notre imagination ayant tendance à convoquer des images de rivières, de cavités partiellement noyées comme de lac souterrain. Mais en réalité les réseaux tel que ceux que nous sommes en train d'arpenter actuellement et qui dissimulés sous les forêts tropicales de la vaste péninsule du Yucatán au Mexique ont été creusés au fil des millions d’années par le travail de sape de l’eau dissolvant les roches calcaires sont des cas très particuliers. Car si ici la nature de la roche à permis de former près de 7000 kilomètres de réseaux de galeries suffisamment larges pour pouvoir y circuler dans la très grande majorité des cas, l' eau souterraine n’est pas stockée comme cela. Et mettre une caméra à l’intérieur de ces réserves reviendra à ne vous montrer que ça: des roches poreuses saturées, plongées dans l’obscurité éternelle.
C’est pourquoi, pour vous éviter de passer un épisode dans le noir totale nous illustrerons ces ressources en or bleu en braquant nos projecteurs sur leurs paysages envoutants et mystérieux des cénotes du yucatan.
Ici comme ailleurs dans le monde, les eaux souterraines en ruisselant au travers des porosités et des microfissures finissent, si elles rencontrent lors de leur descente une couche imperméable par petit à petit remplir les moindres recoins de disponibles pour constituer des aquifères. Dit autrement, à constituer des réservoirs de roche capables de stocker en quantité de l’eau.
D'où coulent les sources (d’eau douce et salée)
Dit autrement, alors que 97 % de l’eau disponible sur Terre est salée, que 2 % est sous forme de glace, la quasi totalité (*96%) des petits 1 % (*précisément 0,6%) restants et qui douce et liquide nous intéresse tant, se trouve en dessous de nous sous forme d’eau dite invisible - de l’eau souterraine. Alors évidemment, ces eaux souterrains dans lesquelles nous sommes en train d’évoluer ne sont pas représentative de la façon dont l’or bleu est - à l’échelle du monde - stockée.
Là encore, nos représentations sont trompeuses, notre imagination ayant tendance à convoquer des images de rivières, de cavités partiellement noyées comme de lac souterrain. Mais en réalité les réseaux tel que ceux que nous sommes en train d'arpenter actuellement et qui dissimulés sous les forêts tropicales de la vaste péninsule du Yucatán au Mexique ont été creusés au fil des millions d’années par le travail de sape de l’eau dissolvant les roches calcaires sont des cas très particuliers. Car si ici la nature de la roche à permis de former près de 7000 kilomètres de réseaux de galeries suffisamment larges pour pouvoir y circuler dans la très grande majorité des cas, l' eau souterraine n’est pas stockée comme cela. Et mettre une caméra à l’intérieur de ces réserves reviendra à ne vous montrer que ça: des roches poreuses saturées, plongées dans l’obscurité éternelle.
C’est pourquoi, pour vous éviter de passer un épisode dans le noir totale nous illustrerons ces ressources en or bleu en braquant nos projecteurs sur leurs paysages envoutants et mystérieux des cénotes du yucatan.
Ici comme ailleurs dans le monde, les eaux souterraines en ruisselant au travers des porosités et des microfissures finissent, si elles rencontrent lors de leur descente une couche imperméable par petit à petit remplir les moindres recoins de disponibles pour constituer des aquifères. Dit autrement, à constituer des réservoirs de roche capables de stocker en quantité de l’eau.
D'où coulent les sources (d’eau douce et salée)
Category
🗞
NewsTranscription
00:00 [Musique]
00:07 Sur Terre, l'eau est littéralement partout, sous toutes ses formes possibles autour de nous.
00:12 Et même en nous, dont elle constitue près de 65% de la masse.
00:16 Et pourtant, la quasi-totalité de celle dont nous dépendons pour vivre nous est invisible.
00:23 Elle se trouve littéralement sous Terre, stockée dans des nappes d'eau souterraines,
00:27 qui peuvent être gigantesques.
00:29 En fait, on estime qu'il y a près de 100 fois plus d'eau actuellement enfouie dans les entrailles,
00:34 et les failles et les interstices entre les pierres,
00:36 que dans l'ensemble des lacs, nuages et rivières de toute notre planète.
00:40 Dit autrement, alors que 97% de l'eau disponible sur Terre est salée,
00:45 que 2% est sous forme de glace,
00:47 la quasi-totalité, des petits 1% restants, et qui douce et liquide nous intéresse tant,
00:54 se trouve en dessous de nous, sous forme d'eau dite "invisible", de l'eau souterraine.
00:59 Alors évidemment, ces eaux souterraines dans lesquelles nous sommes en train d'évoluer,
01:03 ne sont pas représentatives de la façon dont l'or bleu est à l'échelle du monde stocké.
01:08 Là encore, nos représentations sont trompeuses.
01:14 Notre imagination ayant tendance à convoquer des images de rivières,
01:18 de cavités partiellement noyées comme de lacs souterrains.
01:21 Mais en réalité, les réseaux tels que ceux que nous sommes en train d'arpenter actuellement,
01:26 et qui, dissimulés sous les forêts tropicales de la vaste péninsule du Yucatán au Mexique,
01:30 ont été creusés au fil des millions d'années
01:33 par le travail de sable de l'eau dissolvant les roches calcaires,
01:36 sont des cas très particuliers.
01:39 Car si ici, la nature de la roche a permis de former près de 7000 km de réseaux de galerie,
01:45 suffisamment larges pour pouvoir y circuler,
01:47 dans la très grande majorité des cas, l'eau souterraine n'est pas stockée comme cela.
01:52 Et mettre une caméra à l'intérieur de ces réserves
01:55 reviendrait à ne vous montrer à l'écran que ça,
01:58 des roches poreuses saturées, plongées dans l'obscurité éternelle.
02:03 C'est pourquoi, pour éviter de passer un épisode dans le noir total,
02:07 nous illustrerons ces ressources en or bleu en braquant nos projecteurs
02:10 sur les paysages envoûtants et mystérieux des cénotes du Yucatán.
02:14 Ici comme ailleurs dans le monde, les eaux souterraines,
02:17 en ruissellant au travers des porosités et des micro-fissures,
02:20 finissent, si elles rencontrent lors de leur descente une couche imperméable,
02:24 par petit à petit remplir les moindres recoins de disponibles,
02:28 pour constituer des aquifères.
02:30 Dit autrement, à former des réservoirs de roches capables de stocker en quantité de l'eau.
02:37 Ces quantités d'eau que les roches peuvent stocker, on s'est amusé à les mesurer.
02:42 Et vu que les chiffres me font toujours halluciner,
02:45 je vous les livre un peu comme ça, histoire de partager mon désarroi.
02:49 Un mètre cube de sable et de gravier peut contenir jusqu'à 400 litres d'eau.
02:53 Du gré, de 50 à 200 litres.
02:56 Et un calcaire fissuré, de 10 à 100 litres.
02:59 En fait, même un truc aussi dense et en apparence impénétrable comme du granit,
03:04 peut, s'il est fissuré, contenir de 1 à 50 litres d'eau par mètre cube de roche.
03:10 Au point de finir par constituer des réservoirs proprement gigantesques,
03:14 et pouvant affleurer parfois à seulement quelques mètres sous la surface,
03:18 comme à d'autres s'immiscer à plusieurs kilomètres de profondeur dans la roche.
03:25 Ainsi, le Grand bassin artésien, la plus grande réserve d'eau douce d'Australie,
03:29 commence à une centaine de mètres de profondeur en périphérie,
03:33 mais peut atteindre 3 km au niveau de son centre.
03:36 Tandis que l'ensemble s'étend sous la surface, sur une superficie équivalente à 23% du continent.
03:44 Et si on retrouve sous la surface, dans ces régions arides, de telles quantités d'eau douce,
03:48 c'est presque toujours que par le passé, le climat y a été différent.
03:54 Ne vous fiez pas forcément à ce que l'on peut voir en surface.
03:57 Il y a de cela 50 000 ans, et pendant près de 40 000,
04:01 une grande partie du vaste désert de sable et de pierre écrasé par le soleil,
04:04 qui est aujourd'hui le Sahara, était alors une savane tropicale herbeuse,
04:09 par endroits recouvertes de grands lacs, et sujet à d'intenses précipitations.
04:14 Ainsi, sous ce monde minéral asséché, se cache d'immenses réserves d'eau dites fossiles,
04:19 constituées par des dizaines de milliers d'années de ruissellement
04:22 et d'infiltration des pluies en profondeur.
04:25 On retrouve ainsi, sous la surface du Sahara, de nombreuses nappes d'eau douce souterraines.
04:31 La plus impressionnante de ces réserves étant très certainement
04:34 celle du système aquifère griseux de la Nubie,
04:37 qui, s'étendant sous la surface sur près de trois fois la superficie de la France métropolitaine,
04:42 contiendrait quelques 150 000 km3 d'eau fossile.
04:46 Un volume si extraordinaire qu'il pourrait entièrement recouvrir
04:49 un pays aussi grand que la Libye, de 100 mètres d'eau douce.
04:55 Et l'on pourrait continuer les exemples de ce type pendant longtemps.
04:58 Au total, on estime que la quantité d'eau contenue dans le sous-sol africain
05:03 est à peu de choses près 100 fois supérieure
05:06 à celle qui, chaque année, tombe en surface sous forme de pluie.
05:11 Sur ce continent comme ailleurs, presque partout dans le monde,
05:14 les sous-sols semblent regorger sur le papier d'une quantité quasiment inépuisable d'eau douce.
05:20 De quoi imaginer, en y puisant, résoudre tous les problèmes d'accès à l'eau potable.
05:25 Sauf qu'en réalité, en moyenne, seuls un dixième de ces ressources souterraines
05:30 sont réellement exploitables.
05:32 Sous le désert du sud de la Libye,
05:34 les pluies du très controversé projet de grande rivière artificielle
05:38 qui exploite les précieuses réserves d'or bleu souterraines
05:41 descendent déjà jusqu'à plus de 400 mètres de profondeur.
05:45 Et l'on pense qu'au rythme auquel on tape dedans,
05:48 d'ici 50 ans, ces aquifères devraient être environ 100 mètres plus bas
05:53 qu'ils ne le sont aujourd'hui.
05:55 Et aussi gigantesque qu'elles soient,
05:56 ces réserves qui ont pris des millénaires pour se constituer
06:00 ne sont malheureusement pas éternelles.
06:04 Pour l'illustrer, prenons l'exemple de celui qui a très certainement été le plus étudié sur Terre,
06:09 l'immense aquifère d'Ogallala,
06:11 qui aux USA s'étend sous les grandes plaines, de 8 états différents.
06:16 Là, dans un mélange de sable, de limon, d'argile et de gravier,
06:20 repose l'un des trésors les plus précieux du continent nord-américain.
06:24 Car l'Ogallala, non content d'avoir un nom rigolo,
06:27 fournit de l'eau potable à des millions d'Américains
06:30 et indirectement les nourrit également.
06:34 Pour comprendre comment, prenons un peu de hauteur.
06:37 Sur cette photo satellite, l'on peut voir 1400 km² de champs,
06:41 qui au Kansas sont tous arrosés par de l'eau puisée dans les nappes souterraines.
06:46 En fait, dans ces régions, au milieu du siècle dernier,
06:50 en puisant sans relâche dans cette immense masse d'eau
06:52 et avec l'invention de l'irrigation centrale par pivots,
06:56 une grande partie des terres situées au-dessus de l'aquifère
06:59 sont en quelques années devenues parmi les plus productives au monde.
07:04 Sauf que, bien que les eaux souterraines soient dans cette région une source renouvelable,
07:09 Ogallala ne se recharge pas aussi vite qu'on le vide.
07:13 Ainsi, depuis 1950, la quantité d'eau qu'il contient a été réduite de près de 10%.
07:19 Cela peut sembler peu, mais déjà de nombreux puits se sont asséchés,
07:22 et on estime qu'en continuant à y puiser au rythme où ils le font,
07:26 les fermiers américains devraient voir cet aquifère être à sec d'ici une vingtaine d'années.
07:34 Non pas au sens où il n'y aura plus d'eau en son sein,
07:36 mais où cette ressource deviendra impossible à extraire et à exploiter.
07:42 Dans ces régions, les taux d'infiltration de l'eau de pluie dans le sol sont faibles,
07:45 et seule une petite partie atteint réellement les réservoirs naturels.
07:49 Au point qu'on pense qu'une fois épuisé,
07:52 l'aquifère devrait mettre plus de 6 000 ans pour se recharger complètement.
07:56 Quand on songe au fait qu'aujourd'hui,
07:58 près d'un tiers des terres irriguées de l'ensemble des Etats-Unis reposent sur cet aquifère,
08:03 on prend conscience de l'importance de cette eau invisible.
08:07 En Amérique du Sud, le prodigieusement énorme aquifère Guarani,
08:12 qui contiendrait lui quelques 50 000 km3 d'eau douce,
08:16 soit de quoi facilement assurer deux siècles de consommation mondiale d'eau,
08:20 est déjà un peu en danger.
08:22 Non par la quantité de liquide qu'on lui prend,
08:24 mais par ce qui de la surface y descend.
08:27 Car les 50 000 milliards de tonnes d'eau potable qui s'y trouvent
08:31 se répartissent entre 800 et seulement 50 mètres de profondeur.
08:36 Et là où l'aquifère affleure à proximité de la surface,
08:40 engrais, eaux insalubres ou polluées comme pesticides peuvent s'infiltrer
08:44 et venir lentement le contaminer.
08:47 Et puis au-delà de la pollution, un autre phénomène peut-être moins évident,
08:51 peut menacer ces gigantesques réserves d'eau douce.
08:55 L'une des plus grandes nappes d'eau souterraine au monde, celle dite de l'Albien,
09:00 et qui se trouve à cheval sous la Libye, la Tunisie et l'Algérie,
09:04 est en majorité imbuvable,
09:06 car sur des centaines de kilomètres à l'intérieur des terres,
09:09 l'eau de mer qui est parvenue à s'y infiltrer en profondeur l'a rendue somâtre.
09:15 Et pour voir de ses propres yeux l'océan s'infiltrer sous nos continents,
09:22 il faut aller plonger dans ces boyaux que nous traversons,
09:25 dans ces galeries remplies par la pluie et les rivières qui se sont infiltrées.
09:29 L'eau est cristalline et douce, mais en s'enfonçant, par endroits,
09:33 à une dizaine de mètres de profondeur, l'on atteint une couche d'eau étrange.
09:39 A son niveau, la vision se trouble,
09:40 des tourbillons de vapeur hallucinés semblent danser à la surface d'une frontière floue,
09:46 une limite appelée « alucline »,
09:48 et dont l'existence prouve que si bizarre que cela puisse paraître,
09:51 les océans s'engouffrent et s'infiltrent jusque sous nos continents.
09:56 Là, à plusieurs kilomètres à vol d'oiseau des premières plages,
10:03 à une dizaine de mètres de profondeur sous la jungle,
10:06 on retrouve de l'eau salée, qui, en raison de sa densité élevée,
10:10 refuse de se mélanger à la douce.
10:13 Et au niveau de la fine couche qui les sépare, sur quelques dizaines de centimètres,
10:17 leur mélange produit un effet de tourbillon flou.
10:21 Et une fois passée cette turbulence,
10:23 vous pénétrez en quelque sorte dans la partie des océans qui se cachent sous les continents.
10:29 Si on peut retrouver sous les terres la présence de la mer,
10:34 c'est que l'eau salée, comme celle de pluie,
10:37 est capable de s'infiltrer latéralement
10:39 et de progresser à travers les moindres fissures que la roche lui propose.
10:44 Ici, sous la péninsule du Yucatán,
10:51 la profondeur de l'interface entre ces deux mondes
10:54 augmente à mesure que l'on s'éloigne de la côte.
10:57 Généralement située entre 10 et 20 mètres de fond à proximité relative de l'océan,
11:02 la limite entre eau salée et douce peut descendre jusqu'à 50 voire 100 mètres,
11:07 au milieu de la péninsule, à plus de 100 km à l'intérieur des terres.
11:12 Ainsi, presque partout à travers le monde,
11:14 si vous allez au moyen de puits tapés trop profondément dans les aquifères,
11:19 vous risquez de faire remonter à vous la mer.
11:23 De toutes les ressources que la nature nous offre gratuitement,
11:26 les eaux souterraines sont en volume, celles les plus exploitées au monde.
11:31 Une majorité de ces eaux arrachées au sous-sol est utilisée à des fins agricoles.
11:36 Elles nous permettent d'arroser près de 70% des terres cultivées en Europe,
11:40 75% au Maroc, 95% en Tunisie et même 100% en Arabie.
11:47 À l'échelle mondiale, un tiers de la population dépend de ces nappes phréatiques,
11:52 pour disposer d'eau potable.
11:57 Savoir gérer ses ressources,
11:59 faire que l'on puisse continuer à puiser à leurs sources,
12:02 c'est permettre à nos descendants de pouvoir jouir du plaisir de boire de l'eau,
12:06 qui, avant de sortir du robinet,
12:09 a été filtrée dans le sol pendant parfois des milliers d'années.
12:15 Un grand merci à la Cité de l'Océan et à l'Aquarium de Biarritz
12:23 pour avoir soutenu la création de cet épisode
12:25 et pour nous offrir une bulle à l'écart du monde des terriens.
12:28 Un accès privilégié au mystère sous-marin.
12:32 À l'Aquarium, vous pourrez contempler dans leurs habitats naturels reconstitués,
12:35 les habitants fascinants des eaux salées et douces
12:38 de la plupart des milieux liquides et habités de notre planète.
12:42 Comme des bulles à l'écart du monde des terriens.
12:44 À la Cité de l'Océan, vous découvrirez quantité de contenu ludique et intelligent sur l'océan,
12:49 des expositions, des ateliers et des expériences,
12:51 comme le surf visuel sur planche dynamique,
12:54 ou encore vivre une expérience immersive profondément troublante
12:58 en compagnie de 700 requins dans la nuit,
13:00 pour comprendre tout en s'amusant.
13:02 Bref, vous trouverez là-bas quantité de moyens d'accéder à ce qui se cache de l'autre côté du miroir,
13:07 sous la surface des vagues.
13:09 Et nous l'avons vu parfois, même sous les terres.
13:11 Pour leur soutien, glouglou sur eux, et surtout, glouglou sur vous.
13:15 [Musique]
13:17 [Musique]
13:20 [Musique]
13:22 [Musique]