Le replay de la 2e étape - Cyclisme sur route - Tour de Pologne

  • l’année dernière
Retrouvez le replay de la 2e étape du Tour de Pologne du 31/07/2023.
Transcript
00:00:00 Allez, on enchaîne et on se retrouve sur la deuxième étape de ce Tour de Pologne
00:00:05 qui était disputée hier.
00:00:08 Il nous reste 40 kilomètres à voir et ensuite on passera évidemment à la troisième étape.
00:00:14 Alors, situation de course assez limpide pour l'instant puisque vous avez ces deux hommes
00:00:19 qui sont à l'avant de représentants de formation World Tour.
00:00:23 On a une étape qui est assez vallonnée.
00:00:24 La première peut-être explication pour les prétendants au classement général aujourd'hui
00:00:29 avec pas mal de dénivelés.
00:00:31 Et donc deux hommes, Jacopo Mosca et Lorenzo Milesi qui sont à l'avant.
00:00:35 Le peloton est à 1,05, messieurs.
00:00:38 Quelle étape aujourd'hui sur cette deuxième journée en Pologne ?
00:00:43 Étape assez vallonnée.
00:00:45 Déjà 202 kilomètres.
00:00:46 Oui, qui est la plus longue tout simplement de cette édition.
00:00:49 202 kilomètres avec beaucoup de dénivelés positifs.
00:00:52 Et comme on peut le voir actuellement à l'image, c'est des routes qui sont étroites avec
00:00:57 forcément de la nervosité dans le peloton après ce qui s'est passé sur la première
00:01:04 étape.
00:01:05 On peut voir les stigmates de la chute de certains coureurs et une arrivée très difficile
00:01:13 promise aux grimpeurs, aux punchers.
00:01:15 Est-ce que c'est assez difficile pour les punchers ?
00:01:19 En tout cas, au vu de l'étroitesse des routes et de la météo un peu changeante, on peut
00:01:28 assister à un final assez chaotique avec très peu d'unités.
00:01:33 On est à 40 kilomètres de la ligne d'arrivée qui est située à Carpache.
00:01:38 Vous voyez ce profil de cette deuxième étape.
00:01:42 On est tout simplement dans la première montée répertorée de la journée.
00:01:45 Il y en a eu quelques-unes avant.
00:01:46 Vous le verrez sur ce profil animé, mais qui ne comptait pas pour le classement de
00:01:51 la montagne.
00:01:52 On est tout simplement dans une montée répertoriée en deuxième catégorie, la montée de Sredrenica
00:01:56 et 3,3 kilomètres à 5,7% en deuxième catégorie.
00:02:01 C'est Jacopo Mosca et Lorenzo Milesi qui ouvrent la route.
00:02:05 Ils étaient accompagnés au début de cette étape par un coureur de la formation Novo
00:02:11 Nordisk, le britannique Sam Brown, qui n'est plus là.
00:02:15 Après les premières ascensions non répertoriées, vous le découvrez sur ce graphique, on a
00:02:20 passé ces deux premiers pics et nous sommes dans le troisième avant une arrivée dite
00:02:25 au sommet.
00:02:26 C'est le cas, messieurs.
00:02:27 Cette arrivée à Carpache, une montée de 6 kilomètres vraiment typique des montées
00:02:32 polonaises, très irrégulières.
00:02:34 Et un dernier kilomètre qui est aux alentours des 10% avec des passages à 15-16% notamment
00:02:39 dans le final.
00:02:41 La particularité de cette étape, c'est que tout le dénivelé est dans les 70 derniers
00:02:46 kilomètres.
00:02:47 Il y a plus de 202 kilomètres, 203 presque, un peu plus avec le départ fictif qui n'est
00:02:54 pas comptabilisé.
00:02:55 Mais en tout cas, ça fait une longue étape, mais surtout le condensé de difficultés
00:02:59 dans les 70 derniers kilomètres.
00:03:01 Il va y avoir deux heures très intenses pour finir.
00:03:04 On voit les coureurs qui sont sur une petite route, une montée très difficile.
00:03:09 C'est difficile aussi de changer de braquet.
00:03:13 Hier, ils ont eu une étape complètement plate où ils ont roulé très vite, de la
00:03:17 pluie.
00:03:18 Début d'étape, encore tout plat aujourd'hui.
00:03:20 Et là, il faut complètement inverser les rapports.
00:03:22 Passer le petit plateau, mettre des développements tout petits, 2 mètres 50, 3 mètres par coup
00:03:29 de pédale.
00:03:30 Ce n'est jamais quelque chose de facile.
00:03:33 Ça dépend des coureurs.
00:03:35 Il leur faut une montée ou deux avant de se réadapter à utiliser des tout petits
00:03:40 développements.
00:03:41 On va profiter dans cette première étape promise aux sprinters pour détailler le
00:03:45 plateau des sprinters qui se sont joués la gagne sur la première étape.
00:03:50 Là, comme les routes se cabrent un petit peu, on va peut-être parler des prétendants
00:03:54 tout simplement à la victoire finale sur ce Tour de Pologne.
00:03:57 Ethan Haïter, le vainqueur de l'année passée, n'est pas présent.
00:04:00 Il n'a pas suffisamment remis de sa chute sur le Criterium du Dauphiné au mois de
00:04:05 juin.
00:04:06 Et puis, à la différence aussi de l'édition 2022, ce Tour de Pologne 2023 est un peu plus
00:04:11 montagneux, avec un peu plus de dénivelé.
00:04:13 L'année dernière, le chrono avait eu une importance primordiale.
00:04:17 C'est pourquoi Ethan Haïter avait triomphé notamment.
00:04:20 Eh bien, messieurs, je vous propose de passer en revue un petit peu équipe par équipe les
00:04:25 leaders désignés sur ce Tour de Pologne parce qu'on sait également que ce Tour de
00:04:29 Pologne sert aussi de rampe de lancement, de préparation pour la Vuelta.
00:04:33 Oui, pour la Vuelta.
00:04:34 Et puis d'ailleurs, il y a des anciens vainqueurs du Tour de Pologne qui sont présents.
00:04:39 La personne de Raul Almeida, vainqueur en 2021, de Pavel Sivakov.
00:04:45 On l'a vu hier, Raphaël Machka, qui a chuté ou qui était pris dans la chute.
00:04:54 On a Michel Kwiatkowski également.
00:04:56 Côté français aussi, on a quelques cartes, il me semble.
00:05:01 Kevin Vauclin qui fait sa reprise pour la formation Arkea-Samsic après une petite blessure
00:05:07 contractée au printemps, alors qu'on le revoit au ralenti, le passage au sommet de
00:05:11 Jacopo Mosca, qui a cherché les points de ce deuxième catégorie.
00:05:15 On a également Lenny Martinez, évidemment, que l'on a cité lors de la première étape
00:05:19 et qui cherchera sans doute à bien figurer au classement général.
00:05:24 Ce chrono est peut-être propice également à Kevin Vauclin, même s'il est tombé.
00:05:28 Malheureusement, on l'a su ensuite lors de cette fameuse chute qui s'est passée à
00:05:34 7 kilomètres de l'arrivée.
00:05:36 Vous le voyez en tête de peloton, ce sont bien les équipiers de João Almeida qui travaillent.
00:05:41 On a un gros collectif INEOS également, avec la présence de Guérin Thomas, notamment,
00:05:46 qui prépare les mondiaux de contre la montre de Glasgow dans quelques jours.
00:05:50 On a, vous l'avez dit, Yohann Pavel Sivakov côté français, Timena Reinsman également
00:05:56 dans ce collectif INEOS.
00:05:58 Et puis le local, tout simplement, Michel Kaczkowski, qui a montré de très belles
00:06:02 choses sur les routes du Tour en s'imposant au sommet du Grand Colombier et qui forcément,
00:06:08 en termes de figure de local, va vouloir briller sur ces routes.
00:06:13 Oui, il nous a montré sur les routes du Tour qu'il avait vraiment retrouvé son tout
00:06:17 meilleur niveau.
00:06:18 Ça faisait quelque temps que je le trouvais un petit peu en deçà, en déclin, mais
00:06:24 voilà qu'il avait du mal à retrouver son top niveau.
00:06:27 Et là, sur le Tour, il nous a fait vraiment plaisir.
00:06:29 Aussi bien sur l'étape du Tour Malay où il se fait reprendre et doubler par les deux
00:06:35 favoris du Tour, les deux champions du Tour.
00:06:37 Et puis après, il a bien résisté dans le Grand Colombier.
00:06:41 Et là, forcément, s'il vient ici, s'il fait le déplacement autour de Pologne, ce
00:06:46 n'est pas pour faire de la figuration, ce n'est pas un critérium, ce n'est pas une
00:06:49 exhibition autour de Pologne.
00:06:50 Il vient clairement avec de l'ambition.
00:06:52 Et cette équipe Ineos Grenadiers, sur le papier, en termes de coureurs pour le classement général,
00:06:58 c'est eux les mieux armés.
00:06:59 Avec Kwiatowski, Sivakov, Guérin-Thomas, De Pluss, etc.
00:07:05 Il y a de quoi faire.
00:07:06 En plus, avec des équipiers comme Puccio qui sont infatigables, clairement, c'est eux
00:07:12 les mieux armés.
00:07:13 Moi, j'ai hâte de voir Lenny Martinez, ce qu'il va faire.
00:07:18 On sait qu'il va aller faire disputer son premier Grand Tour avec la Vuelta dans quelques
00:07:23 semaines.
00:07:24 On a envie de le voir jouer le général.
00:07:27 C'est très bien qu'hier, sur les chutes, tout le monde ait été remis dans le même
00:07:33 temps.
00:07:34 Comme ça, ça ne fausse pas le classement général.
00:07:35 Et Kevin Vauclin, on a aussi envie de voir Kevin Vauclin qui va aussi participer, je
00:07:40 crois, au Tour d'Espagne, voir comment il a récupéré de sa petite blessure, voir
00:07:45 comment il a passé le mois de juillet.
00:07:47 En tout cas, il y a une sacrée start list sur ce Tour de Pologne.
00:07:53 L'avantage, ce qu'on peut voir sur ce Tour de Pologne, c'est qu'il y a 7 étapes,
00:07:58 mais il y a des sprints, il y a de la montagne, il y a du contre la montre.
00:08:00 Ce qui va peut-être faire défaut à Lenny Martinez sur la Vuelta, c'est peut-être
00:08:04 le chrono.
00:08:05 Là, il y aura… - Encore que, il a fait un très, très beau
00:08:09 chrono Tour de Romandie.
00:08:10 - C'est ce que j'allais dire.
00:08:11 Du coup, il va falloir voir son comportement sur la sixième étape avec un contre la montre
00:08:17 de 16,6 km.
00:08:18 C'est toujours un exercice intéressant de faire, finalement, ce Tour de Pologne qui
00:08:23 est un condensé d'un grand tour où on retrouve des sprints, on retrouve l'importance
00:08:27 du placement, de frotter, l'importance de rouler, de garder les positions.
00:08:32 Et on peut le voir dans le peloton, à 36 km de l'arrivée, ça roule déjà très,
00:08:37 très vite avec la formation INEOS.
00:08:39 On ne voit pas la formation Soudal Quick-Stack avec leur leader, Tim Merlier, tout simplement
00:08:44 parce que c'est trop compliqué aujourd'hui pour un sprinter.
00:08:47 Il ne passera pas.
00:08:48 C'est vraiment une arrivée de grimpeur puncher.
00:08:51 - A noter que pour Lenny Martinez, sa préparation vers la Vuelta passe par ce Tour de Pologne
00:08:55 et ensuite, il n'y aura plus de course.
00:08:57 On a la différence de Kevin Vauclin qui est plutôt pressenti pour être aligné sur les
00:09:03 routes du Tour de Limousin que vous aurez évidemment l'occasion de retrouver sur la
00:09:08 chaîne.
00:09:09 L'équipe, nos deux garçons à l'avant sont toujours avec 7 minutes d'avance.
00:09:13 Jacopo Mosca et Lorenzo Millesi, c'était parti assez tôt dans cette étape.
00:09:18 Et derrière, forcément, ce collectif INEOS autour de Michel Kaczkowski et la formation
00:09:24 UAE de João Almeida qui travaille de concert devant pour limiter cet écart.
00:09:32 A noter les présences également pour ceux qui sortiraient du Tour de Matei Moritz, également
00:09:37 vainqueur à Poligny de l'antépénultième étape de cette 110e Grand-Bouc.
00:09:41 On a donc Rafael Maschka, vous l'avez dit, et Ruben Guerreiro côté portugais à la Movistar.
00:09:47 Messieurs, petit avis, petit débat.
00:09:51 Quand on sort du Tour, on dit toujours qu'on a une demi-dans d'avance sur les autres parce
00:09:57 qu'on aurait travaillé un petit peu de force.
00:09:59 Si on finit à peu près frais un Tour de France, forcément on surfe un petit peu sur
00:10:06 la condition ensuite où c'est plutôt un cliché.
00:10:08 Ce qui se passe c'est que quand on sort du Tour, on est fatigué, il y a tout qui nous
00:10:13 fatigue.
00:10:14 Prendre la télécommande sur la table basse c'est difficile mais par contre il y a un
00:10:17 endroit où on se sent bien, c'est sur son vélo.
00:10:19 Il n'y a que là où on se sent bien, pas utile mais où on trouve de l'énergie, on
00:10:27 est plus bon qu'à faire ça en vrai.
00:10:28 On ne peut pas rien faire d'autre.
00:10:30 Et là, Maoric a gagné en troisième semaine donc c'est qu'il est bien, il va en profiter.
00:10:37 Ces garçons-là, Kalkovski et Maoric, n'ont pas joué en général sur trois semaines.
00:10:43 Ils font des one-shots, ils ont une étape.
00:10:46 Il y a 2-3 jours, ils se relèvent ou ils travaillent pour le collectif.
00:10:49 Ce ne sont pas des coureurs qui vont se donner à 100% sur chaque étape du kilomètre zéro
00:10:54 jusqu'à l'arrivée.
00:10:55 Après, ce sont aussi des coureurs qui ont de l'expérience.
00:10:58 Quand on sort bien du Tour, on a quelques jours, quelques semaines où on peut être
00:11:09 clairement euphorique.
00:11:10 On est une dent au-dessus.
00:11:12 L'expression est là.
00:11:14 On a une ou deux dents de plus que tous les autres parce que sur l'ensemble des trois
00:11:17 semaines, on va prendre du muscle, on va s'affûter et on va encore prendre de la force parce
00:11:21 que faire du vélo tous les jours, certes, ça nous fatigue, on est un peu usé mais
00:11:27 on a cette force qui est en nous, qui est présente parce qu'on est surentraîné au
00:11:31 final.
00:11:32 Et à l'opposé, Johan, quand on prépare la Vuelta, forcément, le passage obligé au
00:11:35 mois de juillet, c'est un rappel en altitude, c'est un stage de travail pour ceux qui viseront
00:11:40 le Général de ce Tour d'Espagne.
00:11:42 On pense à beaucoup de garçons qui sont présents sur ce Tour.
00:11:45 Bien sûr.
00:11:46 Alors, il fut un temps, les coureurs qui ne disputaient pas le Tour de France étaient
00:11:50 en vacances.
00:11:51 Ils ont eu l'occasion d'aller visiter le petit train avec ses mines magiques.
00:11:59 Désormais, ce n'est plus le cas.
00:12:01 La plupart des coureurs partent en stage d'attitude quand on prépare la Vuelta, le Tour d'Espagne,
00:12:06 quand on prépare les échéances de fin de saison.
00:12:09 On est en stage soit à Livigno, soit au TID.
00:12:13 Alors, Kevin Vauclin, c'était à Isola et Lenny Martinez, c'était à Tignes.
00:12:18 En France, c'est bien aussi pour les équipes françaises.
00:12:21 À cette époque-là, pour s'entraîner en juillet, ça va.
00:12:23 On n'a plus besoin d'aller à Ténérife.
00:12:25 C'était l'inverse.
00:12:26 C'était Kevin Vauclin à Tignes et Lenny Martinez à Isola.
00:12:29 Mais c'est en altitude quand même.
00:12:32 Ça montre qu'on a des ambitions.
00:12:34 On ne peut plus partir au camping de Palabas pour préparer la fin de saison.
00:12:39 Il faut mettre tous les atouts de son côté.
00:12:41 Thibaut Pinot nous l'a rappelé sur le Tour de France.
00:12:44 Le vélo a évolué, le cyclisme a évolué d'une manière globale où le niveau est tellement
00:12:48 élevé qu'il faut mettre tous les atouts de son côté.
00:12:54 La préparation en altitude, c'est une donnée sine qua non d'une bonne préparation.
00:13:00 Dans la construction d'une saison, on joue aussi sur ce côté bloc jusqu'au Giro pour
00:13:05 jouer en général.
00:13:06 Après, on a le temps de se repréparer pour se refixer de nouveaux objectifs en vue de
00:13:10 la fin de saison.
00:13:11 Le Tour d'Espagne est souvent un passage obligé pour les coureurs de Grand Tour.
00:13:14 C'est pour cela qu'on retrouve pas mal de coureurs qui ont tenté leur chance sur les
00:13:20 routes italiennes en début de saison.
00:13:22 On pense à Joao Almeida qui a terminé 3e, à Damiano Caruso 4e, à Lennart Camna 9e,
00:13:27 à Guerin Thomas, à Umbar également.
00:13:29 Ce sont aussi des constructions de saison avec deux Grands Tours.
00:13:35 C'est aussi parfois une habitude pour pas mal de coureurs.
00:13:39 Et puis Guérin Thomas qui a terminé 2e du Giro, déçu sur ce dernier contre la montre
00:13:48 où il a vu ses rêves de Mayoro s'envoler.
00:13:51 Forcément il aura un goût d'inachevé avec le désir de bien finir en fin de saison.
00:14:01 Mais on est sur une fin de saison qui va être très hétéroclite entre ces jeunes coureurs
00:14:06 qui arrivent, on l'a dit, Lenny Martínez, Romain Grégoire, toute cette jeune génération
00:14:11 ou encore Ayuso.
00:14:12 Et on a des coureurs comme Primoz Roglic, Guérin Thomas qui sont eux des coureurs de l'ancienne
00:14:18 génération et finalement ces deux générations qui vont s'affronter sur les routes espagnoles.
00:14:22 Chute dans la caravane.
00:14:27 Il y a eu un accident, un petit accrochage entre deux véhicules.
00:14:32 Entre le véhicule de la Little Trek il me semble.
00:14:34 Oui, il y a eu des fois ça frotte aussi.
00:14:37 Ça frotte dans le peloton mais ça frotte aussi derrière entre les directeurs sportifs.
00:14:40 J'ai l'impression que c'était un directeur sportif avec un directeur de course ou quelque
00:14:44 chose comme ça.
00:14:45 Voilà, si c'est que de la carrosserie.
00:14:47 On voit Pascal Ackermann qui est devant le sprinter de la formation U18 Emirates.
00:14:52 On l'a mis au charbon aujourd'hui.
00:14:54 Il n'y a pas de sprint au programme.
00:14:56 Il y a une arrivée au sommet.
00:14:58 Du coup on emploie les différents acteurs qui ne seront pas justement acteurs dans le
00:15:03 final.
00:15:04 On les emploie à 30 km de l'arrivée.
00:15:05 Ça a bien touché côté droit sur la voiture.
00:15:08 Ça frotte, ça frotte dur.
00:15:10 À 30 km de l'arrivée, là ça commence à jouer des coudes.
00:15:12 On a laissé le carter j'ai l'impression.
00:15:14 Et l'écart qui a fondu de moitié avec ces deux hommes à l'avant.
00:15:20 Iacopo Mosca et Lorenzo Milesi.
00:15:22 Iacopo Mosca, coureur d'expérience.
00:15:24 Lorenzo Milesi, beaucoup plus jeune.
00:15:26 Lui qui était une petite promesse de cette équipe DSM.
00:15:29 On l'avait vu remporter une étape sur le tour de l'avenir l'année dernière.
00:15:33 La dernière étape qui passait par le col de l'Iseran notamment.
00:15:36 Plutôt typé puncher, grimpeur.
00:15:39 Il est marqué par sa journée.
00:15:43 Le visage un peu fatigué.
00:15:46 C'est normal, déjà 170 km à 2.
00:15:49 Ils ont dû trouver le temps long.
00:15:51 On se fait guerre d'illusion pour ces deux coureurs.
00:15:54 Le jeune Tim Merlier à l'arrière du peloton c'est normal, c'est logique.
00:15:59 On l'a vu avec Fernando Gaviria notamment à l'arrière du peloton.
00:16:03 On se désintéresse complètement de la course aujourd'hui.
00:16:06 Il y aura d'autres sprints à disputer.
00:16:09 En revanche Pascal Ackermann fait du travail.
00:16:12 On voit la formation Q36.5 se porter à l'avant.
00:16:15 Formation qu'on commence à avoir l'habitude de voir dans les pelotons internationaux.
00:16:21 On protège les grimpeurs Marc DENOVAN et Carl-FREDERIC HAGEN.
00:16:26 Marc DENOVAN qui a remporté une course au tout début du mois de juillet.
00:16:32 C'était le Sibiu Tour en Roumanie.
00:16:35 Le niveau est une marge plus haute tout de même.
00:16:39 Ça ne fait pas semblant.
00:16:43 On commence à rentrer dans la partie finale de la course.
00:16:47 On cherche à rester devant.
00:16:49 On voit l'étroitesse des routes.
00:16:51 Le fait qu'il est très important de garder sa place.
00:16:54 C'est ce que font les équipiers.
00:16:58 En l'occurrence Pascal Ackermann sur la gauche de l'écran avec ses liserés de champion d'Allemagne.
00:17:03 On voit ses virages et ses successions de virages.
00:17:08 C'est important de rester devant sur une route tantôt humide, tantôt sèche.
00:17:12 Surtout quand on va arriver au pied de l'avant-dernière difficulté.
00:17:15 Qui va être un gros morceau.
00:17:18 C'est important le positionnement.
00:17:21 Arriver au pied, s'éviter de faire un effort supplémentaire pour se repositionner.
00:17:27 Le travail des équipiers.
00:17:29 On le voyait notamment pour la Q36.5.
00:17:33 Jack Bauer, un solide Néo-Zélandais.
00:17:36 En train de faire le travail.
00:17:38 De placer ses coureurs et arriver au pied de cette difficulté.
00:17:41 Pour lui ce sera fini.
00:17:43 Il va rejoindre Gaviria et les autres sprinters, rouleurs à l'arrière du peloton.
00:17:47 C'est bizarre de ne pas voir un coureur comme Tim Merlier se mettre au service d'autres coureurs.
00:17:53 Dans cette équipe Soudal Cookstep, on a des Yann Hirth, des Czerny.
00:17:59 Il a de Van Wilder, qu'on a vu à son avantage sur le dernier Giro.
00:18:02 Qui a fait un gros travail pour Remco Ebenepoel.
00:18:05 Une fois qu'il est rentré à la maison, faute de Covid.
00:18:08 C'est Van Wilder qui a pris la succession.
00:18:11 Je trouve ça dommage quand les sprinters ne renvoient pas l'ascenseur.
00:18:18 On va arriver au pied de cette montrée de Slazowka.
00:18:23 Son pourcentage moyen ne fait pas forcément très peur.
00:18:29 5,6% de moyenne mais il y aura des pentes très irrégulières.
00:18:33 Des passages à près de 13-14%.
00:18:36 C'est typique des ascensions de toute la semaine que vous verrez sur ce tour de Pologne.
00:18:42 Je vais y arriver.
00:18:44 On se retrouve pour l'ascension de Slazowka dans quelques instants.
00:18:51 De retour pour cette deuxième étape de ce 80ème Tour de Pologne.
00:19:07 On aborde l'avant-dernière difficulté de la journée.
00:19:14 On voit David De Formolo sur la gauche de l'écran.
00:19:17 De la formation E8.
00:19:19 Il vient de relayer Pascal Ackermann qui s'est écarté.
00:19:22 On se met en fil.
00:19:24 Une file différente de la première étape avec un sprint.
00:19:28 Pourtant l'intensité est bien là.
00:19:31 Il y a une constante.
00:19:33 C'est placer son leader.
00:19:35 C'est un leader du général pour une arrivée difficile.
00:19:38 João Almeida est un sniper sur ce genre d'arrivée.
00:19:42 Difficile mais pas trop avec sa vitesse de pointe.
00:19:47 C'est clairement une arrivée à couche d'humain.
00:19:52 Pour lui, elle est parfaite.
00:19:54 Est-ce une vraie arrivée de grimper ?
00:19:58 À la base, il fait 6 km au total.
00:20:01 Avec des replis et des capacités pour certains coureurs.
00:20:07 Il aura l'aspiration de récupérer un peu.
00:20:10 Ce ne sera pas un col des Pyrénées.
00:20:14 Mais une belle ascension difficile.
00:20:17 Ce qui me fait dire qu'il n'y a pas de fatigue.
00:20:24 Seulement la deuxième étape.
00:20:26 Un condensé de difficultés dans les 70 derniers kilomètres.
00:20:29 2000 mètres de dénivelé dans les 70 derniers kilomètres.
00:20:32 Ces coureurs vont pouvoir s'exprimer.
00:20:36 Mais il n'y aura pas de gros écarts entre les meilleurs.
00:20:41 N'hésitez pas à poser vos questions, vos remarques.
00:20:44 Pierre Roland et Johan Offredo avec le hashtag #l'équipevélo.
00:20:48 Les deux hommes de tête n'ont plus que 10 petites secondes.
00:20:52 Messieurs à l'avant, Jacopo Mosca et Lorenzo Milesi.
00:20:55 Ils ne vont peut-être même pas atteindre le pied de l'avant-dernière difficulté de la journée.
00:21:00 Avec quelques précieux mètres d'avance.
00:21:04 Ils vont se faire rattraper.
00:21:06 C'est une évidence.
00:21:07 Ils vont certainement se faire traverser par le peloton.
00:21:09 Ils ne vont pas rester longtemps.
00:21:11 Ils vont rejoindre les Sprinter à l'arrière.
00:21:14 Ça aura été une grosse journée pour eux.
00:21:17 Ils sont là.
00:21:19 On a vu.
00:21:21 Ça fait 30 kilomètres qu'ils sont à 30 secondes.
00:21:23 Sur une grande route, avec la vue dégagée, on peut se rendre compte que le peloton est entier.
00:21:29 Ça roule en boule.
00:21:30 Et quand ça fait des kilomètres et des kilomètres qu'on se fait mal aux jambes,
00:21:33 c'est assez démoralisant.
00:21:36 On voit les coureurs qui sont au milieu du paquet.
00:21:38 Très clairement, ils ne pédalent presque pas.
00:21:41 Ils pédalent peut-être 60% de moins que les deux coureurs qui sont échappés depuis le départ d'étape.
00:21:47 Le tirage à gauche va être important à Dégau.
00:21:52 On voit que la route se maîtrise largement.
00:21:55 Ça va commencer à monter.
00:21:57 Déjà à 25 kilomètres de l'arrivée, c'est la formation INEOS qui a bien manœuvré dans ce virage.
00:22:04 Comme le disait Pierre tout à l'heure, c'est important de virer en tête.
00:22:07 Parce que les coureurs qui sont en fond de paquet, et c'est le cas actuellement,
00:22:12 on va subir les relances.
00:22:14 Les coureurs de la formation INEOS n'ont pas freiné.
00:22:17 Pour la formation ultime Emirates qui est remontée, on se désintéresse complet.
00:22:20 On a des deux hommes devant.
00:22:22 L'idée c'est de placer ces leaders, Raoul Almeida pour la formation ultime Emirates,
00:22:27 ou encore Pavel Sivakov, Farinsman et Guérin Thomas pour la formation INEOS,
00:22:31 dans les meilleures dispositions afin d'éviter tous les coureurs qui vont se garer dans la dernière difficulté.
00:22:39 On est en train de fondre sur le duo italien de l'avant, Milesi et Mosca.
00:22:43 Dans quelques instants, nous ne serons plus en tête de cette deuxième étape du Tour de Pologne.
00:22:48 On va avoir un peloton groupé dans cette ascension répertoriée en deuxième catégorie.
00:22:55 Ascension typique de la Pologne, très irrégulière.
00:22:59 On va retrouver un des kilomètres très difficiles,
00:23:02 notamment un kilomètre entier à plus de 10% au milieu de cette montée.
00:23:07 Le train est mis en place pour peut-être Michal Kwiatkowski,
00:23:11 qui représente peut-être la meilleure chance de cette formation INEOS
00:23:15 en cas d'arrivée groupée, en cas de besoin de pointe de vitesse sur cette étape.
00:23:22 Rangez-vous, mettez-vous sur la droite s'il vous plaît.
00:23:25 Attention, terre-plein centrale, s'écarte, laisse passer les coureurs.
00:23:29 Il ne faut pas qu'ils se mettent au milieu, sinon ce serait dangereux, ça ferait îlot directionnel.
00:23:33 Mais voilà, ils se sont rangés, ils vont rentrer tranquillement avec le groupe étot.
00:23:37 En tout cas, cette formation INEOS a fait forte impression avec Lorenz de Plus désormais au travail.
00:23:42 On a vu Guérin-Thomas bien placé, Maschka qui remonte sur la gauche de l'écran pour la formation ultime Emirates.
00:23:48 Ça s'écarte un peu de partout, gros rythme de la formation INEOS Grenadiers,
00:23:54 ça fait déjà beaucoup de dégâts à l'arrière.
00:23:56 Lorenz de Plus, très clairement, c'est le rôle qu'il affectionne le plus.
00:24:00 Il a déjà été leader dans ses équipes précédentes, mais là, en tant qu'équipier, il arrive à se sublimer.
00:24:07 C'est là qu'il tire le meilleur profit de ses qualités.
00:24:10 Et là, je peux vous promettre qu'il ne va pas s'écarter tout de suite et ça va faire mal à un paquet de coureurs.
00:24:15 D'ailleurs, on l'a vu sur le Giro, être capable d'emmener un train comme ça de folie,
00:24:19 parfois de s'écarter et de revenir encore, c'est ce qui fait la marque des gros équipiers, des coureurs qui sont très solides.
00:24:27 Il est capable d'imprimer un train tellement fort que c'est impossible tout simplement d'attaquer dans ce peloton.
00:24:32 Petit-Kowcki, en deuxième position, est-ce que ça dit quelque chose de la hiérarchie de cette équipe INEOS ?
00:24:38 Ce placement là, dans cette montée, Pierre, où on ne peut pas en tirer beaucoup de conclusions.
00:24:42 Pour l'instant, si ce n'est que Lorenz de plus, n'est évidemment pas le leader de cette formation INEOS.
00:24:47 Non, là, c'est clairement... La hiérarchie, elle est presque dans l'or.
00:24:51 Alors, ce serait Rensman et Thomas, les deux coureurs protégés ?
00:24:55 Je pense que c'est comme ça que ça marche. Peut-être Sivakov va devoir anticiper ou tenter quelque chose.
00:25:01 Le leader, pardon Pierre, est lâché de manière assez logique.
00:25:05 Également, distancés dans ce groupe, Tim Bernier.
00:25:09 Benoît est devant.
00:25:11 Compagnie de Bram Velten également, son poisson pilote.
00:25:15 Et le travail de Sapp, toujours de Lorenz de plus.
00:25:18 Ça discute un peu entre Katovski et Guérin-Thomas. Qu'est-ce qu'on fait ? Est-ce que j'anticipe ?
00:25:25 Et voilà, Katovski qui est venu se positionner derrière. Donc on va miser sur lui, certainement, aujourd'hui.
00:25:33 Les sprinters qui vont rentrer tranquillement à l'arrivée.
00:25:36 Essayer de monter les ascensions à leur rythme, sans trop se fatiguer.
00:25:41 Il n'y aura pas de souci avec les délais aujourd'hui. Ils sont tranquilles de ce côté-là.
00:25:44 Donc ils vont essayer de terminer le plus tranquillement possible.
00:25:47 Guérin-Thomas, pour sa dernière saison, il nous fait quelque chose de magnifique.
00:25:55 Il est passé à côté du Giro. Là, il est encore devant. Je pense qu'il va nous faire une Vuelta extraordinaire.
00:26:01 Il a vraiment envie de terminer sa carrière de la plus belle des manières.
00:26:04 Il est comme le bombe. Il se bonifie avec l'âge. Il sait faire. C'est un coureur d'expérience.
00:26:10 On le voit positionner sa main au niveau de son thorax pour parler à l'oreillette.
00:26:14 Il donne des informations à Lorenz de plus. Accélère, ralentit.
00:26:18 Il sent la pression derrière des coureurs comme Rao Almeida, qu'on a vu très bien placé dans sa roue.
00:26:25 Ce qui est étonnant aussi dans la construction de sa saison à Guérin-Thomas cette année,
00:26:28 c'est que sur les courses de préparation, hors de ses objectifs, il n'a pas forcément brillé.
00:26:33 On ne l'attendait pas vraiment à pareil fait, en tout cas sur le Giro, même si on sait qu'il sait préparer ces grands événements-là.
00:26:39 Alors, sur ce Tour de Pologne, est-ce qu'on va le voir un petit peu en retrait,
00:26:43 comme les courses de préparation au Giro, pour arriver dans sa forme la plus parfaite en Espagne ? C'est aussi une possibilité.
00:26:50 Autour des Alpes, cette année, il s'est clairement désintéressé de la course.
00:26:54 Par contre, on le voyait venir. On le voyait venir, on voyait venir toute cette équipe.
00:26:58 Ils étaient dans leur schéma, dans leurs tactiques.
00:27:01 Guérin-Thomas, c'est quelqu'un qui sait se mettre au service des autres.
00:27:04 Moi, ça ne m'étonnerait pas qu'il rende un peu l'appareil à son jeune équipier Rensman sur cette course,
00:27:11 et après reprendre le lead sur la Vuelta dans quelques semaines.
00:27:14 En tout cas, il est bien affûté, le mollet est bien fin.
00:27:19 Je pense qu'il est déjà en bonne condition. Après, ça ne m'étonnerait pas de le voir se relever sur certaines étapes.
00:27:26 On a perçu Lenny Martinez dans les premières positions de ce peloton,
00:27:30 aux côtés de Ed Dunbar pour la formation Jayco Alula, qui est présent également avec Lucas Hamilton,
00:27:37 l'équipier australien de cette formation Jayco.
00:27:43 Ed Dunbar, qui est mine de rien toujours là sur le Giro.
00:27:46 C'était le cas, il est toujours dans ce ventre mou, mais il est toujours présent.
00:27:51 Le transfert, il a changé d'équipe et depuis, il a clairement pris une autre dimension.
00:27:56 Il s'était révélé chez Ineos et il s'était vraiment éteint.
00:28:00 Il s'était éteint, il n'arrivait pas à trouver sa place.
00:28:03 Peut-être un peu barré par la concurrence, également, sur son terrain à lui, Dunbar.
00:28:08 Et là, il est débarré.
00:28:12 En tout cas, on le sent épanoui dans cette équipe Jayco Alula.
00:28:18 Il a fait un beau Giro.
00:28:20 Beaucoup de coureurs de Giro reviennent ici.
00:28:24 C'est sa reprise, d'ailleurs, à Ed Dunbar.
00:28:26 On l'avait vu, septième de ce Tour d'Italie un peu plus tôt dans la saison.
00:28:31 Pour l'instant, c'est vraiment la formation Ineos et la formation Ultimate.
00:28:34 On voit Rafael Majka avec ses liserés de champion de Pologne sur la gauche de l'écran.
00:28:39 Raul Meda avec Tim Wilhelms également.
00:28:42 C'est intéressant de revoir Tim Wilhelms également laissé de côté dans la sélection
00:28:47 et UAE pour le Tour de France aux côtés de Tadej Pogacar.
00:28:51 Il avait repris en Slovénie après sa chute sur le Tour des Flandres.
00:28:54 On l'a jugé insuffisamment remis de sa chute et on lui a préféré Mathéo Trentin
00:29:00 sur les routes de la Grande Boucle.
00:29:03 On sait que ce Tour de Pologne, ça peut convenir à un garçon comme Tim Wilhelms
00:29:08 avec des ascensions courtes et assez punchy.
00:29:11 Il a une bonne wielder, la Soudal, dans un deuxième rideau.
00:29:15 C'est très bien ce qu'il fait, Lenny Martinez.
00:29:18 Rafa Majka pour la UAE, lui qui a l'habitude d'être toujours au service de Tadej Pogacar.
00:29:25 Peut-être qu'il va avoir sa carte sur cette course.
00:29:28 Ils ont une équipe très dense, mais peut-être qu'on va lui laisser carte blanche.
00:29:32 Un tronchon de peloton pour la formation AG2R Citroën Team.
00:29:37 C'est Pete Allégarte qui a perdu le contact avec ce peloton.
00:29:43 Il est en train de se batailler pour Antonio Nibali.
00:29:47 Conebaumann également, de l'information de Jean-Bovisma.
00:29:50 Une petite surprise de le retrouver là, ça grimpe bien normalement.
00:29:53 C'est un travail de sap pour l'instant, c'est une élimination par l'arrière.
00:29:58 Les leaders du classement général sont toujours bien présents.
00:30:01 Il y a Damiano Caruso de la formation Bahrein, toujours vigilant.
00:30:05 Il sait faire, le vétéran italien.
00:30:07 Et changement d'équipe, surtout en tête de peloton avec le tempo de Lucas Hamilton.
00:30:12 Désormais pour Ed Dunbar, qui a des ambitions sur cette deuxième étape du Tour de Pologne.
00:30:17 On a appris la suite de la formation INEOS.
00:30:20 Derrière, vous apercevez le Français, Pavel Sivakov.
00:30:27 Pavel Sivakov qui avait remporté le Tour de Pologne en 2019.
00:30:33 C'est une excellente carte aussi, mais il aura un rôle différent aujourd'hui, certainement à jouer.
00:30:38 Derrière, c'est le ménage.
00:30:45 On perd les coureurs 5 par 5.
00:30:48 Il y a la guerre, forcément.
00:30:50 On veut durcir un petit peu, on veut se placer.
00:30:52 On voit les UAE, ils sont bien.
00:30:54 Ils sont en deuxième rideau.
00:30:57 Mais ça ne m'étonnerait pas de les voir accélérer, juste au niveau de la bascule.
00:31:01 Parce que si la descente est pareil, le même asphalte, la même largeur que la montée,
00:31:06 c'est très important d'être bien positionné.
00:31:09 On sait maintenant qu'il y a autant de dégâts dans les descentes que dans les ascensions.
00:31:16 On peut clairement faire de belles différences.
00:31:18 Voilà la bascule.
00:31:20 C'est passé pour Lucas Hamilton qui, sans faire trop d'efforts,
00:31:24 va aller chercher des points au classement de la montagne.
00:31:28 On va aborder cette descente.
00:31:31 On va faire un petit peu le point zéro, comme dirait notre ami Cyril Guimard.
00:31:36 On sent la tension entre les coureurs.
00:31:39 Ça discute entre Raphaël Machka et les coureurs de la formation DSM.
00:31:43 Le placement est important.
00:31:45 On a envie de tous garder sa place.
00:31:47 On essaie de rester groupé en équipe.
00:31:50 À ce moment-là de la course, c'est très important.
00:31:52 Quand on a des coureurs isolés qui viennent s'intercaler entre les équipes,
00:31:57 ça énerve rapidement.
00:31:59 Cyril Guimard dirait qu'il roule en dernière position vu qu'il est tout seul de son équipe.
00:32:05 Ils essayent d'intimider.
00:32:07 Il y a un petit jeu d'intimidation quand on est une grosse équipe comme UAE.
00:32:10 Ils sont encore cinq à l'avant du peloton.
00:32:12 Ils prennent la tête du peloton pour entamer la descente.
00:32:17 On aimait bien quand il met les lunettes sur le casque.
00:32:26 C'est un bon signe.
00:32:28 On a aperçu le classement du maillot de la montagne.
00:32:35 Avec une égalité entre Jacopo Mosca et Lucas Hamilton.
00:32:39 On a vu que Lucas Hamilton jouera au classement général.
00:32:42 Je pense que Jacopo Mosca n'est plus dans ce groupe.
00:32:46 Ce sera Lucas Hamilton qui sera en poids.
00:32:50 C'est désormais l'héritier de la formation Team Gécoalula.
00:32:53 Chapougou Ghermet.
00:32:55 C'est comme ça qu'on le dit ?
00:32:57 Grimail.
00:32:59 Guérin Thomas qui se met devant.
00:33:02 Sivakov.
00:33:04 Michal Katovski.
00:33:06 On travaille pour Michal Katovski du côté de la formation Inès Grenadier.
00:33:11 On a passé le classement de la montagne mais ça continue de monter.
00:33:14 On n'est pas vraiment dans la descente encore.
00:33:17 Guérin Thomas c'est quand même la grosse classe.
00:33:21 Faire ce qu'il fait.
00:33:22 Avec la carrière, il a gagné le Tour de France.
00:33:25 Deuxième du Giro.
00:33:27 Il se met au service de Katovski.
00:33:30 Sivakov.
00:33:33 Et le pied mondiau de contre la montre en ligne de mire pour Guérin Thomas.
00:33:37 Il va aller chercher une médaille mondiale du côté de Glasgow.
00:33:41 Avant d'enchaîner vers Barcelone pour le départ de la Vuelta.
00:33:45 Je suis assez d'accord avec Pierre sur le fait que Guérin Thomas sait capitaliser sur l'avenir.
00:33:50 Il sait travailler pour d'autres coureurs.
00:33:53 Et des objectifs.
00:33:55 On parlait de cet ascenseur qui est renvoyé pour les courses d'après.
00:33:59 Il a des objectifs qui sont clairement définis dans son programme.
00:34:03 Avec une mise en pression progressive.
00:34:06 Avec bien évidemment les championnats du monde.
00:34:08 Mais surtout la Vuelta.
00:34:10 Et là il capitalise sur l'avenir.
00:34:12 Pour l'instant il fait beaucoup de travail pour cette équipe INEOS.
00:34:14 En train de faire la descente pour un cours de la formation.
00:34:17 Bahrein Victorius.
00:34:19 Ce ne serait pas Matej Mahoric.
00:34:21 Le meilleur descendeur du peloton.
00:34:24 Lui qui avait utilisé cette fameuse tige de sel télescopique sur 1100M.
00:34:29 Il ne l'a pas aujourd'hui.
00:34:31 Mais c'est vrai que la descente c'est quelque chose d'important.
00:34:35 Une partie prépondérante du cyclisme.
00:34:37 Pierre Latour qui lui est désormais un peu handicapé par ce problème.
00:34:41 Ça devient compliqué pour aller chercher une victoire d'étape en montagne.
00:34:45 Quand on est un peu les mains sur les freins.
00:34:47 Ce qui n'est pas le cas de Matej Mahoric très clairement.
00:34:51 Mahoric il met en difficulté qui il veut.
00:34:54 Quand il veut dans les descentes.
00:34:56 Sans lui, sans faire le moindre effort.
00:34:58 C'est ça qui est beau.
00:34:59 Ça ne lui coûte strictement rien.
00:35:00 Il se met devant.
00:35:01 Il laisse son vélo aller.
00:35:02 Il peut mettre n'importe quel courant en difficulté.
00:35:04 Surtout sur des routes comme celle-ci.
00:35:07 Avec des changements de revêtements.
00:35:09 Des courbes.
00:35:10 On voit.
00:35:11 Ça c'est technique.
00:35:12 Il ne faut pas rouler au milieu.
00:35:14 Il y a une rainure.
00:35:15 Il y a de la végétation.
00:35:16 C'est un coup humide.
00:35:17 Un coup sec.
00:35:20 Et cette formation barène qui est présente sur ce Tour de Pologne.
00:35:23 Avec cette double carte.
00:35:24 Caruso-Mahoric.
00:35:26 Avec des temps de préparation qui ne sont pas du tout les mêmes.
00:35:31 Puisque Matej Mahoric sort du Tour de France.
00:35:33 On le rappelle.
00:35:34 Alors que Damiano Caruso lui reprend le cours de sa saison sur ses routes polonaises.
00:35:40 Il avait terminé à la quatrième place du Giro au printemps.
00:35:44 Et derrière ça fait malin pour les coureurs qui sont dans la descente.
00:35:49 On parlait de cet élastique.
00:35:51 Mahoric ne freine pas dans les virages.
00:35:54 Il est capable de voir où il met sa roue.
00:35:56 Et de ne pas subir les relances en manche.
00:35:59 Les coureurs qui sont en fond de paquet.
00:36:01 Qui se sentent accrochés dans la côte.
00:36:04 Ils subissent.
00:36:05 Ils ne freinent pas.
00:36:06 Ils ne pédalent pas.
00:36:07 Derrière ils freinent à bloc.
00:36:08 Ils relancent à bloc.
00:36:09 C'est exactement ça.
00:36:10 Ils ne font pas la même course.
00:36:12 Je vous promets.
00:36:13 Entre les tout premiers du peloton et ceux qui sont à l'arrière de ce groupe.
00:36:16 Et on a bien le maillot rouge de la barène sur ce Tour de Pologne.
00:36:19 Puisque sur les routes du Tour de France on avait un maillot blanc spécial.
00:36:22 C'est devenu une petite originalité de la part de certaines équipes.
00:36:29 On change le maillot.
00:36:31 Sur les routes du Tour.
00:36:34 On a le droit une fois par an de changer le maillot sur un événement.
00:36:37 Et on a aussi autorisé notamment les IF qui ont un maillot rose.
00:36:41 De changer de maillot pour le Tour d'Italie.
00:36:45 Et ils sont autorisés à le refaire une deuxième fois.
00:36:48 Parce que là ils sont imposés de le modifier.
00:36:51 Pour le Giro.
00:36:52 Donc EF peut modifier son maillot deux fois dans la saison.
00:36:55 Puisque le maillot de leader évidemment sur les routes du Giro est rose.
00:36:58 Ça a été le cas également pour la Bora.
00:37:00 Cette année sur les routes du Tour.
00:37:02 Où l'atteinte du vert était un peu considérée comme proche du maillot vert.
00:37:06 Qui a été changé d'ailleurs par l'organisateur du Tour de France cette année.
00:37:10 Et du coup on est revenu au maillot de l'année dernière.
00:37:12 Côté de la Bora.
00:37:13 Et à Jumbo-Visma aussi.
00:37:14 On leur demande de changer le maillot pour le Tour.
00:37:17 D'enlever un petit peu de jaune.
00:37:18 Donc voilà il était un petit peu plus sombre.
00:37:20 Cette année pour le mois de juillet.
00:37:22 Vous avez eu au bénéfice d'un virage sur la droite.
00:37:26 Le peloton qui s'est étiré.
00:37:28 On parlait de ses relances.
00:37:30 On voit il y a des coureurs qui sont isolés.
00:37:32 À l'image d'Iljan Van Wilder de la formation Soudal.
00:37:34 Geraint Thomas lui toujours en tête.
00:37:36 Matej Moric il aime bien les courses quand c'est difficile.
00:37:40 Quand ces routes sont étroites.
00:37:44 Avec ses différentes relances.
00:37:46 On se rappelle de sa victoire à Poligny sur le Tour de France.
00:37:49 Où il avait été capable de résister à Kasper Asgreen.
00:37:54 Et surtout à tout un peloton avec un final très compliqué.
00:37:57 Très usant.
00:37:59 Ce qu'il y a c'est que tous ces changements de rythme.
00:38:07 Changements de direction etc.
00:38:08 Matej Moric ça lui coûte zéro énergie.
00:38:10 Il y a beaucoup de coureurs.
00:38:12 Van Wilder qui est tout seul.
00:38:14 Très clairement ça lui prend énormément d'énergie.
00:38:17 De rester bien positionné.
00:38:19 Mais Moric il laisse aller le vélo.
00:38:22 Il est très à l'aise dans un peloton.
00:38:26 Une zone verte la dernière.
00:38:31 On voit tous les déchets vont être ramassés par l'organisateur.
00:38:35 Un peloton qui s'est nettement réduit.
00:38:39 Ils sont désormais une trentaine d'unités.
00:38:42 Je n'ai pas vu Lenny Martinez.
00:38:44 Mais je suppose qu'il est encore dans le...
00:38:46 Il est là avec un équipier devant lui.
00:38:48 Qui fait un gros travail.
00:38:49 Je n'ai pas réussi à l'identifier.
00:38:51 Il a un équipier devant lui qui a un beau gabarit.
00:38:54 Et qui lui fait un beau boulot.
00:38:55 Depuis tout à l'heure j'observe ça.
00:38:57 Je crois que c'est Lewis Askey.
00:38:59 Au début je pensais à Lorenzo Germani.
00:39:01 En termes de profil d'étape.
00:39:03 Mais surtout le physique de la groupe à main.
00:39:05 Ils sont même trois équipiers devant.
00:39:07 On est bien revenus grâce à cette descente.
00:39:10 On va détailler ça.
00:39:13 Le petit signe de la tête.
00:39:17 Pour montrer qu'on garde la droite de la route.
00:39:20 Ce qui évite les autres coureurs de remonter.
00:39:22 On a choisi le côté droit de la chaussée pour la groupe à main.
00:39:25 La gauche pour la formation INEOS.
00:39:28 Ça, ça veut dire beaucoup pour moi.
00:39:30 Lenny Martinez, malgré son jeune âge, arrive à fédérer autour de lui.
00:39:33 Donc on lui fait confiance.
00:39:35 C'est beaucoup de jeunes coureurs qui composent cette équipe.
00:39:39 Qui ont grandi ensemble.
00:39:41 Surtout dans cette formation continentale développement.
00:39:43 La groupe à main FDJ.
00:39:45 On va justement avoir ce clin d'oeil.
00:39:47 Cette première participation.
00:39:49 On lui fait confiance.
00:39:51 La groupe à main à côté des UAE.
00:39:53 Avec Almeida qui a gagné plein de courses.
00:39:55 Geraint Thomas de l'autre côté.
00:39:57 Qui pourrait être son papa.
00:39:59 Dans la tête, on est solide.
00:40:02 Quand on fait ça.
00:40:04 On prend la course en main.
00:40:06 On est en World Tour.
00:40:08 C'est pas une petite course.
00:40:10 C'est un sacré comportement.
00:40:12 Moi j'apprécie.
00:40:14 On se laisse pas intimider par ces grosses équipes.
00:40:16 Il avait ouvert le compteur.
00:40:18 Lenny Martinez, première victoire professionnelle.
00:40:20 Sur les routes du Mont Ventoux.
00:40:22 Rappelez-vous, c'était au mois de juin.
00:40:24 Sur le Mont Ventoux des Nivelets Challenge.
00:40:26 Ça remonte de nouveau.
00:40:28 Le fait d'avoir 3 équipiers devant lui.
00:40:30 Encore une fois.
00:40:32 Quand on voit un E-Van Vanduilder qui est tout seul.
00:40:34 Ça on impose.
00:40:36 Il y a une dimension psychologique.
00:40:38 Qui est prise face au cours de la formation de Team Emirates.
00:40:40 On se regarde.
00:40:42 On se toise du regard.
00:40:44 Qui c'est qui est là ?
00:40:46 J'ai Lenny Martinez.
00:40:48 Vous allez en voir.
00:40:50 Ils en rigolent.
00:40:52 On a retrouvé des coéquipiers.
00:40:54 Il y a un E-Van Vanduilder au centre de l'image.
00:40:56 Avec Mathia Cataneo également.
00:40:58 On a un petit accalmie.
00:41:02 Dans ce peloton.
00:41:04 Plus de danger.
00:41:06 On a repris les trains en marche.
00:41:08 Jaiko, Ineos, etc.
00:41:10 Tout le monde est roue dans roue.
00:41:12 Un petit temps mort.
00:41:14 En attendant, c'est le pied de la dernière ascension.
00:41:16 De la montée finale.
00:41:18 On fait un peu les comptes aussi.
00:41:20 On va aller demander à son leader.
00:41:22 Si il a besoin de quelque chose.
00:41:24 Un dernier truc.
00:41:26 Un dernier gel.
00:41:28 Un bidon.
00:41:30 Même si on ne peut plus descendre à la voiture.
00:41:32 On va lui donner le sien.
00:41:34 L'équipier va monter sans eau.
00:41:36 Mais le leader doit avoir tout ce qu'il faut.
00:41:38 Kevin Vauclin.
00:41:40 Qui était à l'arrière du peloton.
00:41:42 Tout seul.
00:41:44 Avec Michel Harris.
00:41:46 Le coup de bien pendu.
00:41:48 La première chute.
00:41:50 On a 4 coureurs.
00:41:52 4 coureurs de la formation Jaiko.
00:41:54 4 coureurs de la formation Ineos.
00:41:56 4 coureurs de la baragne.
00:41:58 5 UAE.
00:42:00 On voit l'intérêt du travail.
00:42:02 Du sprinter, du AE.
00:42:04 Ackermann.
00:42:06 Qui faisait le boulot.
00:42:08 C'est pour ça.
00:42:10 Derrière, ils sont 5.
00:42:12 Ils n'ont sacrifié que 2 coureurs.
00:42:14 Formolo et Ackermann.
00:42:16 La formation Jumbo est un peu séparée.
00:42:18 Un peu étalée.
00:42:20 Un coureur à droite.
00:42:22 Un coureur à gauche.
00:42:24 On a du mal à reprendre les roues.
00:42:26 C'est important.
00:42:28 A l'approche des derniers kilomètres.
00:42:30 - Il y avait une prime.
00:42:32 Bon courage, messieurs.
00:42:34 - Sur la ligne.
00:42:36 Photo fish.
00:42:38 - Il semble que c'est Merlin Vandenberg.
00:42:40 Qui avait un demi-vélo d'avance.
00:42:42 Et encore.
00:42:44 - On lousse des...
00:42:46 - Ça ne mange pas de pain.
00:42:48 - Hop là.
00:42:50 - Avant d'arriver à Carpache.
00:42:52 Pour cette 2e étape du Tour de Pologne.
00:42:54 On va avoir une ascension finale.
00:42:56 Un rebondissement.
00:42:58 On l'espère.
00:43:00 On marque une courte pause.
00:43:02 Et on revient pour le final.
00:43:04 A tout de suite.
00:43:06 Un peu de calme.
00:43:08 Avant l'arrivée au pied.
00:43:10 De cette ascension finale de Carpache.
00:43:12 On était à un peu plus de 10 km.
00:43:14 De l'arrivée de cette 2e étape du Tour de Pologne.
00:43:16 Avec une arrivée entre guillemets au sommet.
00:43:18 Messieurs.
00:43:20 Aujourd'hui.
00:43:22 Une ascension de plus de 3 km.
00:43:24 A ce moment là.
00:43:26 On est à un peu plus de 10 km.
00:43:28 On est à un peu plus de 10 km.
00:43:30 On est à un peu plus de 10 km.
00:43:32 On est à un peu plus de 10 km.
00:43:34 On est à un peu plus de 10 km.
00:43:36 On est à un peu plus de 10 km.
00:43:38 On est à un peu plus de 10 km.
00:43:40 On est à un peu plus de 10 km.
00:43:42 On est à un peu plus de 10 km.
00:43:44 On est à un peu plus de 10 km.
00:43:46 On est à un peu plus de 10 km.
00:43:48 On est à un peu plus de 10 km.
00:43:50 On est à un peu plus de 10 km.
00:43:52 On est à un peu plus de 10 km.
00:43:54 On est à un peu plus de 10 km.
00:43:56 On est à un peu plus de 10 km.
00:43:58 On est à un peu plus de 10 km.
00:44:00 On est à un peu plus de 10 km.
00:44:02 On est à un peu plus de 10 km.
00:44:04 On est à un peu plus de 10 km.
00:44:06 On est à un peu plus de 10 km.
00:44:08 On est à un peu plus de 10 km.
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00:44:12 On est à un peu plus de 10 km.
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00:45:00 On est à un peu plus de 10 km.
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00:45:30 On est à un peu plus de 10 km.
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00:45:46 On est à un peu plus de 10 km.
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00:46:50 On est à un peu plus de 10 km.
00:46:52 On est à un peu plus de 10 km.
00:46:54 On est à un peu plus de 10 km.
00:46:56 On est à un peu plus de 10 km.
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00:47:00 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:02 On est à un peu plus de 10 km.
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00:47:08 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:10 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:12 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:14 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:16 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:18 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:20 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:22 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:24 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:26 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:28 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:30 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:32 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:34 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:36 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:38 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:40 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:42 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:44 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:46 On est à un peu plus de 10 km.
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00:47:50 On est à un peu plus de 10 km.
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00:47:54 On est à un peu plus de 10 km.
00:47:56 On est à un peu plus de 10 km.
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00:48:00 On est à un peu plus de 10 km.
00:48:02 On est à un peu plus de 10 km.
00:48:04 On est à un peu plus de 10 km.
00:48:06 On est à un peu plus de 10 km.
00:48:08 On est à un peu plus de 10 km.
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00:48:12 On est à un peu plus de 10 km.
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00:48:20 On est à un peu plus de 10 km.
00:48:22 On est à un peu plus de 10 km.
00:48:24 On est à un peu plus de 10 km.
00:48:26 On est à un peu plus de 10 km.
00:48:28 On est à un peu plus de 10 km.
00:48:30 On est à un peu plus de 10 km.
00:48:32 On est à un peu plus de 10 km.
00:48:34 On est à un peu plus de 10 km.
00:48:36 On est à un peu plus de 10 km.
00:48:38 On est à un peu plus de 10 km.
00:48:40 On est à un peu plus de 10 km.
00:48:42 On est à un peu plus de 10 km.
00:48:44 On est à un peu plus de 10 km.
00:48:46 On est à un peu plus de 10 km.
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00:48:52 On est à un peu plus de 10 km.
00:48:54 On est à un peu plus de 10 km.
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00:49:00 On est à un peu plus de 10 km.
00:49:02 On est à un peu plus de 10 km.
00:49:04 On est à un peu plus de 10 km.
00:49:06 On est à un peu plus de 10 km.
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00:49:30 On est à un peu plus de 10 km.
00:49:32 On est à un peu plus de 10 km.
00:49:34 On est à un peu plus de 10 km.
00:49:36 On est à un peu plus de 10 km.
00:49:38 On est à un peu plus de 10 km.
00:49:40 On est à un peu plus de 10 km.
00:49:42 On est à un peu plus de 10 km.
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00:49:46 On est à un peu plus de 10 km.
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00:49:52 On est à un peu plus de 10 km.
00:49:54 On est à un peu plus de 10 km.
00:49:56 On est à un peu plus de 10 km.
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00:50:00 On est à un peu plus de 10 km.
00:50:02 On est à un peu plus de 10 km.
00:50:04 On est à un peu plus de 10 km.
00:50:06 On est à un peu plus de 10 km.
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00:50:24 On est à un peu plus de 10 km.
00:50:26 On est à un peu plus de 10 km.
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00:50:30 On est à un peu plus de 10 km.
00:50:32 On est à un peu plus de 10 km.
00:50:34 On est à un peu plus de 10 km.
00:50:36 On est à un peu plus de 10 km.
00:50:38 On est à un peu plus de 10 km.
00:50:40 On est à un peu plus de 10 km.
00:50:42 On est à un peu plus de 10 km.
00:50:44 On est à un peu plus de 10 km.
00:50:46 On est à un peu plus de 10 km.
00:50:48 On est à un peu plus de 10 km.
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00:51:00 On est à un peu plus de 10 km.
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00:51:04 On est à un peu plus de 10 km.
00:51:06 On est à un peu plus de 10 km.
00:51:08 On est à un peu plus de 10 km.
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00:51:24 On est à un peu plus de 10 km.
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00:51:30 On est à un peu plus de 10 km.
00:51:32 On est à un peu plus de 10 km.
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00:51:42 On est à un peu plus de 10 km.
00:51:44 On est à un peu plus de 10 km.
00:51:46 On est à un peu plus de 10 km.
00:51:48 On est à un peu plus de 10 km.
00:51:50 On est à un peu plus de 10 km.
00:51:52 On est à un peu plus de 10 km.
00:51:54 On est à un peu plus de 10 km.
00:51:56 On est à un peu plus de 10 km.
00:51:58 On est à un peu plus de 10 km.
00:52:00 On est à un peu plus de 10 km.
00:52:02 On est à un peu plus de 10 km.
00:52:04 On est à un peu plus de 10 km.
00:52:06 On est à un peu plus de 10 km.
00:52:08 On est à un peu plus de 10 km.
00:52:10 On est à un peu plus de 10 km.
00:52:12 On est à un peu plus de 10 km.
00:52:14 On est à un peu plus de 10 km.
00:52:16 On est à un peu plus de 10 km.
00:52:18 On est à un peu plus de 10 km.
00:52:20 On est à un peu plus de 10 km.
00:52:22 On est à un peu plus de 10 km.
00:52:24 On est à un peu plus de 10 km.
00:52:26 - Tim Wilhelms fait un sacré travail.
00:52:28 Dans sa roue, il a trois leaders.
00:52:30 Il n'a pas le choix que de continuer.
00:52:32 - Il se fait mal.
00:52:34 - Il se fait très mal.
00:52:36 Il s'appuie un peu sur les autres équipes.
00:52:38 Petit à petit, il vient s'appuyer contre eux.
00:52:40 Essayer de prendre ne serait-ce que 5 ou 10 % d'aspiration.
00:52:42 Essayer de prendre ne serait-ce que 5 ou 10 % d'aspiration.
00:52:44 - Toujours avec Lewis Saski pour Lenny Martinez
00:52:46 Du côté de la groupe Amae Vdj.
00:52:48 Ça se retourne un petit peu pour le Britannique.
00:52:50 On est en train peut-être un petit peu de craquer.
00:52:52 Un kilomètre du pied de l'ascension.
00:52:54 Lenny Martinez ne devrait plus avoir d'équipiers autour de lui.
00:52:56 Il va falloir se débrouiller tout seul.
00:52:58 Désormais pour le jeune Français,
00:53:00 Guérin-Thomas qui accélère pour la formation Ineos
00:53:02 avec Pavel Sivakov notamment dans la roue.
00:53:04 - C'est le cas de le dire.
00:53:06 Il a mis la poignée dans le gaz.
00:53:08 Quand on a Pavel Sivakov encore dans la roue,
00:53:10 Michel Ketoski avec les lunettes un peu de travers,
00:53:12 ça laisse présager des 4 derniers kilomètres
00:53:14 très très difficiles.
00:53:16 Tous les gros leaders et les favoris sont présents.
00:53:18 - C'est un petit peu la fin du tour.
00:53:20 - C'est un petit peu la fin du tour.
00:53:22 - C'est un petit peu la fin du tour.
00:53:24 - Tim Wieland continue son effort.
00:53:26 Impressionnant.
00:53:28 J'aurais pensé qu'il aurait craqué depuis un petit moment.
00:53:30 - Ça parle à l'oreillette.
00:53:32 Regardez derrière.
00:53:34 Pavel Sivakov était en train d'y aller.
00:53:36 C'est peut-être une des premières attaques
00:53:38 dans ce début d'ascension.
00:53:40 Même pas.
00:53:42 C'est en train d'essayer de tendre un peu l'élastique.
00:53:44 - Ça a été la consigne visiblement de Michel Ketoski.
00:53:46 On l'a vu porter sa main à l'oreillette.
00:53:48 Il semblait qu'il y avait un trou.
00:53:50 Limite, il a fait la cassure.
00:53:52 Même Ketoski derrière.
00:53:54 - La cassure a eu lieu quand Geraint Thomas s'est écarté.
00:53:56 Tim Wieland s'est accéléré.
00:53:58 Geraint Thomas s'est écarté.
00:54:00 Et Pavel Sivakov a suivi.
00:54:02 - C'est en train de revenir à la normale.
00:54:04 Pavel Sivakov toujours en tête.
00:54:06 Damino Caruso aussi.
00:54:08 Forte impression.
00:54:10 Il a réussi à remonter à une vitesse.
00:54:12 Regardez, il est sur la droite de votre écran.
00:54:14 - Van Wilder qui attaque.
00:54:16 Non, ce n'est pas Van Wilder.
00:54:18 C'est...
00:54:20 - Samoumen dans la roue.
00:54:22 - C'est Wehrmacht.
00:54:24 Louis Wehrmacht qui est en tête pour la Sudal Quick-Step.
00:54:26 - On voit les mini-Martinez aux alentours des 15e positions.
00:54:28 Il ne s'affole pas, le jeune grimpeur.
00:54:30 On le voit se mettre tantôt dans ce stanteau assis.
00:54:32 Caractéristique des grimpeurs.
00:54:34 Samoumen en deuxième position.
00:54:36 - C'est un peu la même chose.
00:54:38 C'est un peu la même chose.
00:54:40 - C'est un peu la même chose.
00:54:42 - C'est un peu la même chose.
00:54:44 - C'est un peu la même chose.
00:54:46 - C'est un peu la même chose.
00:54:48 - C'est un peu la même chose.
00:54:50 - C'est un peu la même chose.
00:54:52 - C'est un peu la même chose.
00:54:54 - C'est un peu la même chose.
00:54:56 - C'est un peu la même chose.
00:54:58 - C'est un peu la même chose.
00:55:00 - C'est un peu la même chose.
00:55:02 - C'est un peu la même chose.
00:55:04 - C'est un peu la même chose.
00:55:06 - C'est un peu la même chose.
00:55:08 - C'est un peu la même chose.
00:55:10 - C'est un peu la même chose.
00:55:12 - C'est un peu la même chose.
00:55:14 - C'est un peu la même chose.
00:55:16 - C'est un peu la même chose.
00:55:18 - C'est un peu la même chose.
00:55:20 - C'est un peu la même chose.
00:55:22 - C'est un peu la même chose.
00:55:24 - C'est un peu la même chose.
00:55:26 - C'est un peu la même chose.
00:55:28 - C'est un peu la même chose.
00:55:30 - C'est un peu la même chose.
00:55:32 - C'est un peu la même chose.
00:55:34 - C'est un peu la même chose.
00:55:36 - C'est un peu la même chose.
00:55:38 - C'est un peu la même chose.
00:55:40 - C'est un peu la même chose.
00:55:42 - Il y a des passages un peu plus plats après.
00:55:44 - Il y a des passages un peu plus plats après.
00:55:46 - On est dans la partie difficile.
00:55:48 - On est dans la partie difficile.
00:55:50 - Pourtant on voit la vitesse impressionnante des coureurs.
00:55:52 - Pourtant on voit la vitesse impressionnante des coureurs.
00:55:54 - Plus de 20 km/h.
00:55:56 - Plus de 20 km/h.
00:55:58 - Il fait fort à pression.
00:56:00 - Il fait fort à pression.
00:56:02 - Il fait fort à pression.
00:56:04 - Il fait fort à pression.
00:56:06 - Il fait fort à pression.
00:56:08 - Il fait fort à pression.
00:56:10 - Il s'est toujours pas rassis une seule fois sur la selle.
00:56:12 - Il s'est toujours pas rassis une seule fois sur la selle.
00:56:14 - C'est assez impressionnant de maintenir un effort comme ça en danseuse.
00:56:16 - C'est assez impressionnant de maintenir un effort comme ça en danseuse.
00:56:18 - 15% de pente.
00:56:20 - 15% de pente.
00:56:22 - 15% de pente.
00:56:24 - Troisième notamment de la Mercantour classique cette saison.
00:56:26 - Troisième notamment de la Mercantour classique cette saison.
00:56:28 - Vannes Edvelt.
00:56:30 - Vannes Edvelt.
00:56:32 - La Bachka à domicile, généralement, ça va vite.
00:56:34 - La Bachka à domicile, généralement, ça va vite.
00:56:36 - Dans son style caractéristique avec beaucoup de braquets.
00:56:38 - Vannes Edvelt qui va faire la jonction.
00:56:40 - Avec Machka peut-être beaucoup plus en souplesse.
00:56:42 - Avec Machka peut-être beaucoup plus en souplesse.
00:56:44 - La différence est assez impressionnante.
00:56:46 - Assis sur la selle en vélocité, Machka en danseuse avec des labracas.
00:56:48 - Assis sur la selle en vélocité, Machka en danseuse avec des labracas.
00:56:50 - Derrière c'est la baragne qui est aux commandes.
00:56:52 - Derrière c'est la baragne qui est aux commandes.
00:56:54 - Est-ce que c'est Caruso ou Maurits ? Je ne l'ai pas bien vu.
00:56:56 - Est-ce que c'est Caruso ou Maurits ? Je ne l'ai pas bien vu.
00:56:58 - On apporte peut-être les premiers replats.
00:57:00 - On apporte peut-être les premiers replats.
00:57:02 - C'est un peu moins dur.
00:57:04 - Un petit replat, il en a profité pour se soulager un petit peu.
00:57:06 - Un petit replat, il en a profité pour se soulager un petit peu.
00:57:08 - Et là ça se recabe de nouveau jusqu'à 14%.
00:57:10 - Et là ça se recabe de nouveau jusqu'à 14%.
00:57:12 - Mais oui la formation est néos.
00:57:14 - Mais oui la formation est néos.
00:57:16 - On les a vus bien présents tout du long de cette partie finale.
00:57:18 - On les a vus bien présents tout du long de cette partie finale.
00:57:20 - Avec Lorenz de Plus, avec Geraint Thomas, avec Michal Kwiatowski.
00:57:22 - Et pourtant là ils ont laissé partir.
00:57:24 - Vannes Edvelt il lui manque pas grand chose pour être vraiment dans la roue.
00:57:28 - Vannes Edvelt il lui manque pas grand chose pour être vraiment dans la roue.
00:57:30 - Ça y est, ça a été dur.
00:57:32 - Il me semble que derrière c'est Dunbar qui tentait de s'échapper de ce qui restait du peloton.
00:57:34 - Il me semble que derrière c'est Dunbar qui tentait de s'échapper de ce qui restait du peloton.
00:57:36 - J'ai vu un Jaiko Aloula sur la droite de la route.
00:57:38 - J'ai vu un Jaiko Aloula sur la droite de la route.
00:57:40 - Se dresser sur les pédales.
00:57:42 - Deux kilomètres de l'arrivée, là il va falloir s'affoler parce que Maschka...
00:57:46 - Deux kilomètres de l'arrivée, là il va falloir s'affoler parce que Maschka...
00:57:48 - Ouais c'est bien Dunbar qui est passé à l'attaque derrière, dans ce mur.
00:57:58 - Ouais c'est bien Dunbar qui est passé à l'attaque derrière, dans ce mur.
00:58:00 - On va avoir cette partie plane dans quelques instants. On va pouvoir peut-être un peu récupérer.
00:58:02 - On va avoir cette partie plane dans quelques instants. On va pouvoir peut-être un peu récupérer.
00:58:04 - Le problème c'est que ces pourcentages sont tellement difficiles que 10 secondes c'est tout et rien à la fois.
00:58:06 - Le problème c'est que ces pourcentages sont tellement difficiles que 10 secondes c'est tout et rien à la fois.
00:58:08 - Le problème c'est que ces pourcentages sont tellement difficiles que 10 secondes c'est tout et rien à la fois.
00:58:10 - On est capable pour un coureur punchy de derrière de combler la différence en quelques coups de pédales.
00:58:12 - On est capable pour un coureur punchy de derrière de combler la différence en quelques coups de pédales.
00:58:14 - On est capable pour un coureur punchy de derrière de combler la différence en quelques coups de pédales.
00:58:16 - On est capable pour un coureur punchy de derrière de combler la différence en quelques coups de pédales.
00:58:18 - On est capable pour un coureur punchy de derrière de combler la différence en quelques coups de pédales.
00:58:20 - On est capable pour un coureur punchy de derrière de combler la différence en quelques coups de pédales.
00:58:22 - Un femme HK qui demande le relais.
00:58:24 - Un femme HK qui demande le relais.
00:58:26 - Le coureur de l'auto Destinia a besoin de souffler. Il a fait un gros effort pour revenir.
00:58:28 - Le coureur Destinia a besoin de souffler. Il a fait un gros effort pour revenir.
00:58:48 - Un côté français, on a bien Lenny Martinez. Je n'ai pas vu Kevin Vauclin dans ce groupe.
00:58:54 - Les kilomètres de l'arrivée sont bons pour les deux coureurs.
00:58:58 - Rapha Machka a réussi à faire passer le jeune coureur de l'auto Destinia.
00:59:02 - Il passe un relais au bon moment pour Rapha Machka. Il va pouvoir complètement récupérer sur ses parties descendantes et plates.
00:59:10 - Lenny Van Elvet, jeune coureur de l'auto Destinia, qui a réussi à faire le jump et qui arrive à relayer Rapha Machka.
00:59:18 - Un kilomètre 500.
00:59:20 - Vraiment une différence de style assez impressionnante. La vélocité du jeune coureur.
00:59:28 - On va faire le point. À l'arrière de ce groupe, justement, on n'a pas eu trop le temps.
00:59:34 - Il y avait deux mbar pour la Jayco.
00:59:37 - Ça va redescendre légèrement.
00:59:39 - Une plus belle route, une route plus large.
00:59:41 - Il ne faut pas se regarder.
00:59:43 - 10 secondes pour ces deux hommes. Rapha Machka, Lennert, Van Elvelt ouvrent la route dans ce final de cette deuxième étape du Tour de Pologne, si vous nous rejoignez.
00:59:52 - Derrière, c'est la formation Barhain-Victorious autour de Damiano Caruso et Matej Mohoric, qui fait le tempo dans ce qui reste du peloton.
01:00:00 - Et on est reparti pour la rampe finale. Et ce kilomètre a plus de 10% de moyenne.
01:00:05 - Ils n'ont pas dit leurs derniers mots derrière.
01:00:08 - On va voir comment les deux hommes vont gérer cette partie. Est-ce qu'on ne va pas trop se regarder ?
01:00:13 - Pour l'instant, ils ont encore un petit peu de vitesse, encore un petit peu d'élan de la petite descente.
01:00:17 - Petit à petit, la vitesse va se réduire. Il va falloir de nouveau appuyer très très fort sur les pédales.
01:00:22 - Il y a pourtant un bel écart avec derrière, à moins de 900 mètres de la ligne, c'est la formation Barhain-Victorious qui fait le travail.
01:00:28 - Oui, c'est Caruso qui travaille pour Matej Mohoric, il me semble.
01:00:31 - C'est le plus dur, les punchers, en passant cette première partie, avec le petit repas, ils ont pu récupérer.
01:00:37 - Maintenant, c'est moins de 3 minutes d'effort, le dernier kilomètre. Vraiment un temps parfait pour un puncher.
01:00:44 - HG qui ne demande pas de relais pour l'instant. Il se retourne légèrement. On va jauger l'écart avec le peloton.
01:00:56 - La pression, enfin le peloton, le groupe des favoris. Ça commence à se regarder.
01:01:01 - VV qui a besoin de récupérer, un petit peu dans le dur, mais on n'est pas si loin.
01:01:05 - Attention, il y a à peu près 50 mètres entre les deux groupes. Cette partie un petit peu descendante avant d'arriver dans les 300 derniers mètres.
01:01:13 - Il est bien là, Lenny Martinez.
01:01:15 - Et en avant de Wilder.
01:01:17 - Lenny, Dostoevsky, Dunbar, ça va arriver de l'arrière.
01:01:21 - On revient, on remonte avec Baptiste Tella également. Dunbar est là.
01:01:24 - Baptiste Tella qui va y aller, je crois.
01:01:26 - On attend peut-être un peu trop le GPS qui est un petit peu faux. On est aux 500 mètres désormais.
01:01:32 - Est-ce que Baptiste Tella va condamner Lenny Martinez ?
01:01:34 - Lenny Martinez a suivi la roue.
01:01:35 - C'est bien joué.
01:01:36 - Rafal Maschka et Leonard Van Helvel qui sont en train d'être repris. Ils vont peut-être être avalés à seulement 200 mètres de la ligne.
01:01:45 - Lenny Martinez idéalement placé en deuxième position. Alors que Matej Moric pointe le bout de son nez.
01:01:52 - C'est Raoul Almeida qui remonte sur la droite de l'écran. Bouche grande ouverte.
01:01:56 - On a fait la jonction sur Van Helvelt et Maschka. Peut-être que Maschka va continuer sur ce rythme pour favoriser les dessins de Joao Almeida.
01:02:06 - Matej Moric bien placé également. Michal Katkowski qui remonte sur la gauche de votre écran.
01:02:11 - McNulty également présent dans ce groupe en dernière position.
01:02:15 - C'est fini pour Maschka et c'est Moric qui va désormais avec Joao Almeida dans la roue. Derrière on a une petite cassure.
01:02:21 - Michal Katkowski trop court ou pas dans le bon tempo. Est-ce qu'on va avoir un mano-a-mano entre Joao Almeida et Matej Moric ?
01:02:28 - Dans ce final on est à plus de 10%. Joao Almeida qui va tenter de se débarrasser de Moric mais il est fort le sloven.
01:02:35 - Dans ce virage ça va être trop court pour Joao Almeida. Victoire de Matej Moric sur cette deuxième étape.
01:02:43 - Devant Joao Almeida, troisième place pour Michal Katkowski et Lenny Martinez dans le bon groupe côté français.
01:02:50 - 10 bars aux alentours de la quatrième place. Cinquième place pour Oscar Anlil me semble.
01:02:55 - Lenny Martinez dans le groupe. Ça s'est joué en costaud. La fraîcheur.
01:02:59 - La résistance à l'acide lactique. On l'a vu là, ils en avaient partout.
01:03:03 - Joao Almeida il n'a même pas pu revenir à la hauteur du dérailleur de Matej Moric.
01:03:08 - Une fois que le sprint était lancé c'était 36.15 la cuisse et là c'était les lactates à 100%.
01:03:15 - Ça rappelle le sprint face à Asgreen sur le tour. Tout en puissance aux 300 mètres.
01:03:21 - La fameuse dent de plus quand on sort du Tour de France. On a cette force en nous. On se sent bien uniquement sur le vélo.
01:03:30 - Matej Moric a remporté la victoire. C'est lui qui a fait l'effort pour revenir à 300 mètres sur les deux coureurs.
01:03:38 - Il a fait deux sprints en soi. Chapeau Matej Moric.
01:03:44 - Il y a une cassure derrière. Il y a 4 secondes face à Odu, Moric, Almeida et Katkowski.
01:03:51 - Derrière on a Oscar Anlil. Il est en 5ème. Lenny Martinez 6ème. Samuel Ebatiste est là.
01:03:57 - Il fait une belle étape à la 7ème place. Ed Dunbar 8ème. Sylvain Moniquet est la 9ème.
01:04:02 - Et Raphael Maschka est le dernier à être classé à 4 secondes.
01:04:07 - Ce qui est fou c'est qu'à 500 mètres on voit l'effort de Raphael Maschka. On a l'impression que c'est gagné.
01:04:13 - C'est Batiste là derrière au 500 mètres qui fait l'effort avec Lenny Martinez dans la roue.
01:04:18 - On ne se retourne pas du côté de Raphael Maschka, le champion de Pologne. Il savait qu'il avait Almeida derrière.
01:04:25 - C'est vrai qu'on était sur un final à suspense. Les deux coureurs se sont un peu neutralisés, marqués.
01:04:33 - Le danger est revenu de l'arrière mais on avait deux cartes du côté de la formation.
01:04:38 - On avait Raphael Maschka mais on avait surtout Raul Almeida sur la droite de l'écran.
01:04:43 - Mais qui s'est fait battre tout simplement par plus fort que lui aujourd'hui.
01:04:47 - Cette deuxième étape va faire un premier ménage au classement général. On va voir les premiers écarts.
01:04:53 - Avec un maillot de leader qui va changer d'épaule. C'était Tim Merlier qui l'avait endossé à l'issue de la première étape.
01:05:03 - Tim Merlier n'était plus là sur ce genre de profil et Matej Moric grâce aux bonifications va aller endosser ce maillot de leader.
01:05:11 - On revoit ce sprint tout en résistance avec João Almeida qui ne sera jamais vraiment en mesure de passer.
01:05:18 - Même si là on s'est dit à 50 mètres qu'il avait encore toutes ses chances.
01:05:23 - Mais Matej Moric qui en a rajouté.
01:05:26 - Il est remonté au niveau du dérailleur mais impossible de dépasser le Sloven. C'était lui le plus fort.
01:05:32 - On a vu Leloto Destini aussi qui était bien présent dans ce groupe avec Sylvain Moniquet et Léonard Van Del Weerd.
01:05:39 - Et puis Pierre Moric tout en lucidité également. Il n'a pas lâché la corde dans ces derniers 25 mètres pour ne pas ouvrir la porte à João Almeida.
01:05:47 - Almeida s'il voulait le passer il fallait faire le tour et il aurait fait plus de chemin.
01:05:52 - Il aurait fallu déjà le remonter donc aller plus vite que lui et en plus faire plus de chemin.
01:05:57 - C'était bien joué, plein de lucidité effectivement.
01:06:01 - Lenny Martinez rassurant messieurs d'être au niveau des meilleurs sur ce genre d'effort qui est tout de même particulier.
01:06:09 - Effort de puncher plutôt que de grimpeur.
01:06:12 - Oui il est à sa place, en tout cas ça confirme tout ce qu'on pense de lui de course en course.
01:06:19 - Il nous fait voir sa palette, grimpeur, puncher, on va voir sur une course à étapes, voir ce qu'il peut nous faire un classement général.
01:06:28 - Et le jeune français désormais 9ème du classement général à 14 secondes.
01:06:33 - Donc de Matei Moric derrière João Almeida et 2ème à 4 secondes.
01:06:39 - Et on retrouve Michal Kwiatkowski 3ème à 10 secondes, le reste est à 14 secondes.
01:06:44 - Les relativement piégés messieurs, pour le général on pense peut-être à...
01:06:50 - Iguita.
01:06:51 - A Iguita, à Max Poul peut-être, qui peut-être visait mieux sur ce genre d'étapes.
01:06:57 - Kevin Vauclin malheureusement également qui a pris une cinquantaine de secondes de retard sur cette deuxième étape.
01:07:03 - On va enchaîner avec la 3ème messieurs, à l'issue de deux journées qui ont tenu toutes leurs promesses.
01:07:08 - On va voir la suite de ce Tour de Pologne avec donc Matei Moric en nouveau lead.
01:07:14 - On vous invite à suivre le Tour de Pologne en live.
01:07:18 - Et quand on vous voit, on vous embrasse.
01:07:21 - Au revoir.

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