Le replay de la 1ère étape - Cyclisme sur route - Tour de Pologne

  • l’année dernière
Retrouvez le replay de la 1ère étape du Tour de Pologne du 31/07/2023.

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Sports
Transcript
00:00 [Musique]
00:07 [Bruit de moteur]
00:13 La chaîne, l'équipe, nous sommes en Pologne pour une belle semaine de course
00:17 après les vertiges de la Grande Boucle.
00:19 On va se projeter lentement vers les Mondiaux, puis le Tour d'Espagne,
00:23 l'ultime grand tour de la saison.
00:25 Et pour vous servir, avec vous,
00:27 Johan Offredo et Pierre Roland, deux garçons qui ont brillé relativement
00:32 sur les routes polonaises.
00:33 On ne va pas se cacher.
00:34 On l'a fait déjà, c'est déjà un exploit d'être sur le Tour de Pologne,
00:39 mais c'est une course qui est intéressante,
00:42 où il y a du relief, il y a des sprints,
00:45 il y a même un contre-la-montre cette année.
00:47 Je pense que Pierre en garde un bon souvenir de ce Tour de Pologne.
00:50 Oui, un très bon souvenir.
00:52 J'avais participé, on va dire que ma prestation s'est arrêtée à ça,
00:56 mais c'était à une toute autre époque.
00:58 Le Tour de Pologne était moins intéressant par son parcours
01:02 et aussi était clairement à une autre date.
01:04 Moi, c'était fin septembre, début octobre.
01:07 Et voilà, la saison était longue et c'était une course particulière
01:13 avec beaucoup de longues, longues étapes
01:15 et un format différent de ce qu'on connaît maintenant,
01:18 avec des étapes au spring, des étapes pour puncher,
01:20 des étapes pour grimpeur.
01:22 Un contre-la-montre, vraiment un format très intéressant
01:25 qui va livrer le plus beau des coureurs
01:28 et un coureur complet qui pourra s'imposer sur ce Tour de Pologne.
01:32 On va vivre cet après-midi ensemble les trois premières étapes
01:35 de cette 80e édition.
01:37 C'est le 27e événement World Tour de la saison,
01:39 première division évidemment du cyclisme mondial.
01:42 C'est bien de le rappeler.
01:44 Nous sommes à Poznan pour cette première étape.
01:47 On va ensuite aller jusqu'au sud-est du pays, vers Krakow.
01:51 Et vous le découvrez sur cette première étape
01:53 qui est dénuée de toutes difficultés topographiques.
01:56 On attend un sprint aujourd'hui sur cette première étape
01:59 et on a des routes déjà très détrempées.
02:01 Il y a eu pas mal d'orages, de grêles,
02:03 notamment ce qui a occasionné pas mal de petits soucis
02:06 sur le circuit final.
02:08 Puisqu'on aura, messieurs, et ça c'est important de le noter
02:11 sur cette première étape, une arrivée sur un circuit automobile.
02:14 Et qui dit circuit automobile, dit forcément danger.
02:18 On l'a vu sur le dernier Tour de France
02:20 avec l'arrivée à Nogaro.
02:23 Avec ce circuit final qui a connu de nombreux chutes.
02:27 Alors qu'est-ce qui fait que ça rend un final dangereux ?
02:31 C'est tout simplement le revêtement de la route
02:33 avec les pneus des automobiles qui sont présents sur le bitume.
02:39 Et comme on peut le voir sur une course
02:41 qui a été quasiment toute plate,
02:43 il y a de nombreux coureurs qui ont encore de la fraîcheur
02:46 et qui sont capables de s'exprimer au sprint.
02:48 Et on voit à 11 km de l'arrivée,
02:50 les coureurs sont déjà en train de se mettre en fil
02:54 avec les différents sprinters.
02:56 Et des sprinters, il y en a beaucoup Théo aujourd'hui
02:59 sur cette première étape.
03:00 Justement Pierre, avant de rentrer dans les 10 derniers kilomètres,
03:03 on va peut-être détailler,
03:05 parce que c'est une première étape,
03:07 il faut un petit peu expliquer le plateau
03:09 auquel on est confronté aujourd'hui sur ce Tour de Pologne.
03:13 C'est une course World Tour,
03:15 une belle concurrence,
03:17 de beaux garçons, de beaux noms au départ de cette course.
03:21 Oui, de beaux noms et surtout des sprinters.
03:23 Pour la plupart des sprinters engagés ici,
03:26 ce ne sont pas des coureurs qui ont fait le Tour de France.
03:28 Ce sont des coureurs frais.
03:30 Et forcément, on pense à Tim Merlier de Sudal Quick-Step,
03:34 qui est vraiment le coureur qui score le plus.
03:38 Aussi, la nouvelle pépite du sprint,
03:40 j'ai envie de dire,
03:41 Olaf Koy de Jumbo-Visma,
03:44 qui enchaîne les succès, les bonnes performances.
03:48 Gaviria, qui a retrouvé des couleurs,
03:50 qui a retrouvé le chemin de la victoire.
03:52 Sam Bennett, qui est un peu plus ambivalent,
03:56 mais en tout cas, c'est un sprinter de renom.
03:59 Et du côté des équipes françaises,
04:01 on pense à Max Walschey pour la Cofidis.
04:03 Et Paul Penouette également,
04:05 pour la Groupe AMAF DG,
04:07 qui sera protégé sur ces étapes.
04:10 Regardez ces flaques assez conséquentes,
04:13 des moments délicats à gérer.
04:15 Et pour être tout à fait complet,
04:17 sur ce plateau de sprinter,
04:19 on notera également les présences de Milan Menten,
04:21 du côté de la Lotto Destini,
04:23 de David Decker,
04:24 également pour la formation Arkea Samsic,
04:26 qui reprend après sa chute au Giro.
04:28 Il y avait eu une deuxième place en Italie
04:31 pour le sprinter néerlandais.
04:33 On notera la présence de Pascal Ackermann,
04:35 également du côté de la formation UAE Team Emirates.
04:38 Matteo Moschetti pour la Q36.5.
04:41 Et puis on surveillera Arvid Döcklein
04:43 pour la formation Tudor.
04:45 Et également Gerben-Tietzen,
04:47 de la formation Intermarché Circus Antiques,
04:49 qui avait remporté une éclate l'année dernière
04:51 sur ce Tour de Pologne.
04:53 Est-ce qu'on va voir un scénario
04:55 idem à celui de la première étape l'année dernière,
04:57 où il y avait Tim Merlier qui avait gagné la première étape ?
04:59 On voit bien évidemment les équipes du World Tour
05:03 qui prennent les devants.
05:05 On voit la formation Lotto Destini sur la droite,
05:08 la formation Bahrein,
05:10 le scénario Jumbo-Visma de Olaf Koy,
05:12 comme l'a dit Pierre.
05:14 C'est tout simplement une remise en route
05:16 pour la plupart des coureurs
05:18 qui n'étaient pas présents sur le Tour de France.
05:20 Une remise en route à 60 km/h sur du sol mouillé.
05:22 C'est une grosse remise en route.
05:24 Et je peux vous dire qu'on est à 10 km de l'arrivée
05:27 et on a presque mis le train des sprinters en route.
05:30 Et chacun a son rôle prédominant dans ce final.
05:34 Oui, sous la pluie,
05:36 le positionnement est encore plus important.
05:39 On voit que sur le bas-côté,
05:41 il y a des énormes flaques d'eau
05:43 dues à l'orage qu'il y a eu.
05:45 Et le placement,
05:47 le coureur de Bahrein a pris un virage un peu soutenu
05:50 derrière l'élastique.
05:52 Et à l'arrière du peloton, on peut le voir,
05:54 on est à 3 km/h,
05:56 alors que devant on a viré à plus de 40 km/h.
05:58 Donc la relance, le positionnement,
06:00 le positionnement,
06:02 et les équipes de sprinters qui reprennent les automatismes.
06:05 Parce qu'il faut savoir que les équipes
06:07 ne sont pas forcément ensemble
06:09 pendant tout le mois de juillet.
06:11 Il faut se retrouver,
06:13 reprendre sa place,
06:15 reprendre les automatismes.
06:17 Et voilà, on voit que c'est une gymnastique,
06:19 équipe par équipe.
06:21 C'est ce qui rend cette course aussi très intéressante
06:23 parce que c'est un peu une période charnière
06:25 entre les deux blocs, Giro-Tour et ensuite Tour-Vuelta.
06:28 Il y a des coureurs qui sont dans une dynamique
06:30 de Tour de France qui en sortent,
06:32 il y en a très peu au départ de ce Tour de Pologne.
06:34 Et puis certains qui reprennent
06:36 et qui ont mis un gros bloc en altitude
06:38 pour préparer la fin de saison.
06:40 Oui, et puis il faut dire que c'est une période
06:42 aussi charnière de la saison
06:44 puisqu'il y a le mercato qui s'ouvre
06:46 avec des coureurs qui n'ont pas forcément
06:48 brillé en début de saison,
06:50 qui souhaitent avoir un contrat,
06:52 qui souhaitent montrer de quoi ils sont capables.
06:54 Du coup, il y a deux intérêts
06:56 dans ce genre de finale.
06:58 Il y a les coureurs qui seront intéressés
07:00 pour un classement général.
07:02 On peut le voir, ça va être dangereux,
07:04 il va falloir aussi préparer son sprint.
07:06 Il y a des sprinters qui sont définis,
07:08 qu'on a listés, mais aussi tout le travail
07:10 des équipes de sprinters qui est très important
07:12 et qui est valorisé dans les différentes équipes.
07:14 On a vu le geste des coureurs
07:16 de la formation Human Power Health
07:18 qui disaient un petit peu
07:20 de calmer un peu les choses
07:22 à l'avant du peloton parce que ça s'est tendu
07:24 dans ces traversées urbaines tout à l'heure.
07:26 Il y a eu pas mal de Daudan également
07:28 qui ont pu un petit peu mettre la pagaille
07:30 dans le peloton et forcément
07:32 à un peu plus de 7 km de l'arrivée
07:34 on commence à batailler pour garder
07:36 les positions en tête de peloton.
07:38 Vous voyez ces immenses flaques là.
07:40 C'est une piscine qu'ils sont en train
07:42 de traverser, c'est un pédilu.
07:44 On va se rincer les pieds.
07:46 Ils nettoient les boyaux avant de rentrer
07:48 sur le circuit final. Il y a énormément
07:50 de tension forcément. On passera la ligne
07:52 d'ailleurs une fois.
07:54 Il y a eu un très gros orage.
07:56 On voit aussi pas mal de débris,
07:58 des petites branches, etc.
08:00 sur la route. C'est assez dangereux
08:02 surtout à cette vitesse.
08:04 Si il y a un incident, il y a toujours
08:06 la règle des 3 km qui s'applique sur une étape
08:08 de sprint. On reclassera évidemment
08:10 s'il se passe le moindre incident dans les 3 derniers
08:12 kilomètres mais pour l'instant nous n'y sommes pas.
08:14 C'est pour ça aussi qu'on est très vigilants
08:16 à l'avant de ce peloton.
08:18 Les obstacles, encore des choses
08:20 sur la route. Les coureurs,
08:22 c'est pas comme un véhicule, comme une voiture.
08:24 Ils ne vont pas faire aquaplanning
08:26 mais par contre de rouler sur des aussi grosses
08:28 flaques, ça nous freine très clairement.
08:30 Ça nous ralentit
08:32 un grand coup et il faut
08:34 bien tenir son guidon.
08:36 C'est tombé sur la gauche de la route.
08:38 Et ça va mettre
08:40 pas mal de coureurs
08:42 derrière.
08:44 On parlait de cette règle des 3 km, on est à 6,3 km
08:46 de l'arrivée. Il va falloir vérifier qu'il n'y ait pas
08:48 de coureurs du classement général qui soient
08:50 pris dans cette chute ou en tout cas retardés
08:52 par la chute parce que devant, ça ne va
08:54 pas s'arrêter bien évidemment.
08:56 On est en train de préparer les trains
08:58 de sprinters et les coureurs qui sont derrière
09:00 sont piégés.
09:02 Le maillot de la groupe AMA-FDJ, vous voyez le Dossard 84,
09:04 c'est celui de Léni Martinez qu'on avait
09:06 quitté victorieux sur les routes
09:08 du CIC Mont Ventoux des Midi Challenge
09:10 sur la chaîne L'Equipe
09:12 il y a quelques semaines.
09:14 On va voir
09:16 les dégâts de cette chute.
09:18 On est tombé
09:20 du côté de Paul Penoët,
09:22 le sprinter de la formation
09:24 AMA-FDJ qui est ralenti et devant
09:26 forcément, on ne ralentit pas.
09:28 Du côté de la COPHIDIS,
09:30 on a tout simplement Max Wachild
09:32 le sprinter allemand.
09:34 On va revoir ce qui s'est passé au ralenti.
09:36 C'est tombé sur le côté droit de votre image.
09:38 Avec l'eau sur la route,
09:46 les saletés, etc. Les coureurs, on ne voit pas grand chose.
09:48 Très honnêtement, ce ne sont pas les
09:50 petites lunettes au contraire.
09:52 On prévient du côté
09:54 de la Soudal Quicks
09:56 de l'autodestinie.
09:58 On prévient les dangers, on fait signe.
10:00 Regardez la tension qui est
10:02 très palpable. Comme disait Pierre,
10:04 on ne voit quasiment rien. On y va presque
10:06 à l'aveugle.
10:08 Ce sont des passages de grande
10:10 flaque d'eau. L'eau s'accumule
10:12 sur les lunettes. On y va quasiment
10:14 à l'aveugle. On se fie
10:16 au son du régulateur
10:18 qui montre le rétrécissement.
10:20 On entre désormais sur le circuit
10:22 final. La tension ne va faire qu'augmenter
10:24 dans les 5 derniers kilomètres.
10:26 Un circuit automobile,
10:28 ce n'est pas évident de rouler
10:30 dessus en peloton.
10:32 On manque de repères.
10:34 Un circuit, c'est fait pour rouler à plus de 100 km/h.
10:36 Les coureurs évoluent à 50-60.
10:38 Il y a aussi
10:40 tous les déchets de gomme.
10:42 Ce doux bruit des freins à disque.
10:44 Pour mouiller en faux-pladescendant.
10:48 Il y a tous les ingrédients
10:50 pour aller à terre.
10:52 Sous la végétation.
10:54 Il y a tout.
10:56 Tout est réuni. On arrive sur le circuit.
10:58 On va avoir peut-être une vision un peu plus
11:00 claire et propre des
11:02 sprinters qui sont encore présents.
11:04 Surtout dans ce peloton. On a vu Paul Penouette
11:06 et le groupe Amah avec des J
11:08 à l'arrière sur cette chute.
11:10 On a vu Lenny Martinez de piéger.
11:12 On n'a pas trop d'autres
11:14 informations à pouvoir voir sur ce plan.
11:16 On a la grande carcasse de Max Valcheit.
11:18 C'est certain pour la formation
11:20 Kofidis.
11:22 Il semble que Tim Merlier est toujours là.
11:24 Également.
11:26 On a Marine Vandenberghe également pour cette formation
11:28 IF.
11:30 Et ses maillots roses.
11:32 La formation Jumbo-Isma elle sait faire.
11:34 Ils sont en deuxième rideau.
11:36 Ça voudrait dire que Koy est toujours là.
11:38 Également.
11:40 Derrière ça fait des dégâts la chute.
11:42 C'est sûr qu'il peut...
11:44 Est-ce que Gaviria est passé entre les gouttes
11:46 également de cette chute ?
11:48 Très peu de maillots Movistar pour l'instant
11:50 à l'avant de ce peloton.
11:52 La formation Alpecin de Konak.
11:54 On a également Yacoub Maréchkaud
11:56 dont il faudra se méfier sur un sprint
11:58 totalement plat.
12:00 Joss Van Heemden de la formation
12:06 Jumbo-Isma qui désormais est en tête.
12:08 Alors pourquoi on est en tête avec pas
12:10 forcément ses coureurs de la course ?
12:12 C'est tout simplement qu'Olaf Koy est en train
12:14 de remonter.
12:16 On a pluie fort sur les pédales.
12:18 On imprime un gros tempo afin de garder
12:20 ce qui reste du peloton en file indienne
12:22 et d'éviter que certains coureurs remontent
12:24 alors que derrière on voit des dégâts.
12:26 On est en train de remonter les piégés.
12:28 On avait Matteo Cataneo
12:30 pour la Soudal Quick-Step
12:32 à l'arrière de ce groupe.
12:34 On revient à l'avant avec, vous le voyez,
12:36 ces lignes droites qui sont très courtes
12:38 sur ce peloton.
12:40 On est toujours en proie à une approche
12:42 de virage ensuite.
12:44 Les coureurs sont sur des oeufs.
12:46 On voit qu'ils sont très prudents
12:48 quand ça tourne et en plus il y a
12:50 quand même encore de grandes flaques.
12:52 C'est retombé à l'avant pour un Borat,
12:54 il me semble.
12:56 On le disait, ces routes qui sont
12:58 empruntes de gomme, de gazoil, d'huile.
13:00 On va rapidement à la faute.
13:02 Vaut mieux être en tête
13:04 puisqu'on peut se faire un petit peu
13:06 de mal.
13:08 C'est le cas de Joss Van Henden
13:10 qui pour l'instant étire le peloton.
13:12 Et ça retombe encore !
13:14 Nouvelle chute.
13:16 Ils sont sur des oeufs.
13:18 C'est presque comme du berglas.
13:20 Oui, là ils ne peuvent rien faire
13:22 parce que le coureur,
13:24 le virage précédent,
13:26 est tombé en deuxième position.
13:28 Il avait clairement la visibilité
13:30 mais ça décroche de l'avant.
13:32 Les organisateurs vont classer tout le monde.
13:34 Là, ça va être compliqué d'identifier
13:36 ceux qui étaient dans la chute à 6 km,
13:38 ceux qui sont tombés sur le circuit.
13:40 Ils n'ont pas le temps de passer au stand
13:42 pour changer les pneumatiques
13:44 dans le dernier tour.
13:46 Regardez, ils sont vraiment
13:48 très prudents.
13:50 Mais même en étant prudents,
13:52 à tout moment, la roue avant peut se dérober.
13:54 Il n'y a plus qu'une quarantaine d'unités
13:56 tout au plus dans ce peloton.
13:58 On va essayer de vous faire l'inventaire
14:00 de ces sprinters encore présents.
14:02 Tim Merlier est là, c'est une certitude.
14:04 Max Valchaïd pour la Cofidis.
14:06 On est pas mal représentés pour la Jumbo Visma.
14:08 On est passé entre les chutes
14:10 pour Olaf Koi.
14:12 Il semble avoir aperçu Gerben Thyssen
14:14 pour la formation Intermarché.
14:16 - La formation AFI de Keyschent
14:18 est très bien placée
14:20 avec Martin Van Den Berg
14:22 et Julius Van Den Berg.
14:24 - C'est quand même discutable,
14:28 ces arrivées sur le circuit.
14:30 - Oui, franchement, c'est assez limite.
14:32 - Toujours Jean-Joseph Van Den Den,
14:34 gros travail pour Olaf Koi.
14:36 Il a encore deux équipiers
14:38 après le coureur
14:40 qui mène le train
14:42 pour l'instant.
14:44 1,4 km de l'arrivée.
14:46 - Marine Van Den Berg
14:48 très bien placée pour la formation IF
14:50 en 3e position, peut-être un poil trop
14:52 à l'avant.
14:54 Il a remporté une étape sur la route d'Occitanie
14:56 au mois de juin.
14:58 L'ancien pensionnaire de la Conti,
15:00 Steve Desgy.
15:02 - Il reste un virage,
15:04 après une courbe,
15:06 et ce sera la ligne droite finale.
15:08 Je pense qu'ils ont vraiment hâte
15:10 d'être sur la dernière ligne droite.
15:12 - Bert Van Den Berg qui remonte
15:14 pour placer Tim Merlier
15:16 dans les meilleures conditions.
15:18 On est à la flamme rouge
15:20 et on enchaîne les virages.
15:22 - Max Vassil avec son grand gabarit,
15:24 lui, il est en capacité de bien appuyer
15:26 sur le vélo afin de garder contact
15:28 avec les virages.
15:30 - On a Niolkowski également
15:32 pour la formation
15:34 Human Power Health
15:36 qui est invité sur ce tour de Pologne.
15:38 On est en train de lancer de très loin
15:40 avec le gros travail de Van Den Berg
15:42 pour replacer Tim Merlier
15:44 sur la droite de la route.
15:46 On a encore des hommes
15:48 pour Sam Bennett
15:50 qui est dans la bonne roue, l'irlandais.
15:52 - Lars Van Den Berg,
15:54 il sait faire ce genre de travail.
15:56 - Il a le Sudal Quick-Step.
15:58 - Attention, là.
16:00 - Encore 300 mètres à la sortie du virage.
16:02 - Sam Bennett très bien placé.
16:04 Où est Tim Merlier ?
16:06 Il est plutôt en 3ème position.
16:08 On est en train de remonter Olaf Koi
16:10 également du côté de la formation
16:12 Jumbo-Visma et c'est parti de très loin
16:14 avec Tim Merlier qui est en train de sauter.
16:16 Sam Bennett, Olaf Koi, peut-il revenir ?
16:18 Non, c'est une victoire belge
16:20 sur cette première étape du tour de Pologne.
16:22 C'est l'ancien champion de Belgique
16:24 aujourd'hui à Poznan
16:26 sur un circuit dangereux.
16:28 - C'est le cas de pire.
16:30 - Mais heureusement, mine de rien,
16:32 on a évité le pire.
16:34 - Oui, on a évité le pire.
16:36 Il y a eu des discussions entre Fernando Gaviria
16:38 et Max Walshall de la formation
16:40 Cofidis. Forcément, beaucoup de
16:42 dangerosité dans ce final.
16:44 Il n'y a pas photo sur le vainqueur.
16:46 Gros démarrage, grosse puissance
16:48 à l'appui.
16:50 Deuxième Olaf Koi, troisième Gaviria.
16:52 - Et quatrième Walshall.
16:54 - Pour la formation L'Olympista.
16:56 - Walshall n'a pas pu s'exprimer.
16:58 Il a été gêné deux fois.
17:00 C'est dommage, car c'était une belle arrivée
17:02 pour lui, qui est capable de rouler
17:04 très vite.
17:06 - Il n'était pas content,
17:08 visiblement.
17:10 - Il y a de quoi. On verra.
17:12 Il s'est fait tasser.
17:14 - Une belle revanche, surtout pour
17:16 Tim Merlier, qui était prévu sur les routes
17:18 de la Vuelta. Le fait d'ajouter
17:20 Remco Evenepoel à cette équipe
17:22 Soudal Quick-Step en Espagne,
17:24 ça a tout simplement changé de physionomie
17:26 la sélection de cette Soudal Quick-Step pour la Vuelta.
17:28 Pas de grand tour cette année
17:30 pour l'ancien champion de Belgique,
17:32 qui répond de la meilleure des manières en allant
17:34 lever les bras sur cette première étape.
17:36 - Quand on peut faire une sélection
17:38 et quand on a un coureur comme Remco Evenepoel
17:40 et qu'on voit le plateau
17:42 de qualité qu'il y aura sur la Vuelta,
17:44 avec Primoz Roglic,
17:46 avec Jonas Vingegaard,
17:48 avec Ayuso,
17:50 avec toute l'armada française
17:52 de Lénie Martinez et une compagnie.
17:54 - On revoit ce sprint, messieurs,
17:58 avec le travail de Bert Van Lerberg
18:00 pour remettre Tim Merlier
18:02 dans les premières positions, même si Sam Bennett
18:04 avait pris la roue du lanceur belge.
18:06 Et Bennett qui va finalement être
18:08 un peu court quand il faudra
18:10 faire ce deuxième jump
18:12 pour aller jusqu'à la ligne.
18:14 Le gros travail de Van Dijk également
18:16 pour Alav Koi, mais Koi partait d'un peu trop loin
18:18 pour aller reprendre la roue
18:20 de Tim Merlier qui s'impose
18:22 de manière assez confortable.
18:24 - C'est vrai que Max Vachal a été gêné deux fois.
18:26 Une fois par le coureur de la Jumbo qui s'écarte
18:28 et une fois par le coureur
18:30 de la sélection polonaise qui vient
18:32 se refermer. C'est dommage.
18:34 Il était en pleine puissance,
18:36 pleine montée de vitesse.
18:38 - Et donc Tim Merlier qui sera
18:42 le premier leader tout simplement.
18:44 - C'est vrai qu'il y avait des
18:46 surprises logiquement de ce tour de Pologne.
18:48 Il y avait des sprints intermédiaires
18:50 également durant toute cette première étape.
18:52 Mais ils n'ont pas été de nature à bouleverser
18:54 évidemment les résultats à l'arrivée.
18:56 Puisqu'il y avait 10 secondes
18:58 de bonification pour le vainqueur
19:00 de l'étape. Et donc grâce à celle-ci,
19:02 Tim Merlier va endosser
19:04 le premier maillot de leader
19:06 de ce tour de Pologne.
19:12 - Il y a eu des dégâts
19:14 à l'arrière avec cette chute.
19:16 A 7 km de l'arrivée,
19:18 il y avait quelques leaders de piégés.
19:20 Mais il me semble pire qu'il y ait eu
19:22 une décision assez logique.
19:24 - C'est assez logique, c'est même très logique.
19:26 Parce qu'au vu
19:28 de l'état de la chaussée, des inondations,
19:30 des débris, etc.
19:32 D'une chute à 6 km, une autre
19:34 à 3, une autre à 2, etc.
19:36 Les commissaires ont décidé de classer tout le monde
19:38 dans le même temps. Donc voilà, aucune incidence.
19:40 Ces chutes n'auront aucune incidence pour la suite
19:42 et pour le classement général final.
19:44 - Oui, parce qu'il y avait pas mal de leaders piégés
19:46 dans cette chute. Moi j'ai aperçu
19:48 Michel Katkowski qui faisait partie du premier groupe.
19:50 - Léni Martinez.
19:52 - Léni Martinez était piégée.
19:54 Joao Almeida a également été à l'arrière.
19:56 Bref, on a
19:58 laissé ce tour de Pologne ouvert.
20:00 - Très bonne décision.
20:02 [Bruit de moteur]

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