Le replay de la 2e étape - Cyclisme - Tour de Romandie

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Retrouvez le replay de la 2e étape du Tour de Romandie du 27/04/2023.
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00:00:00 [Musique]
00:00:07 Et Anne Vernon a pris la tête du classement général hier du tour de Romandie.
00:00:11 Vous allez suivre maintenant la deuxième étape, c'est le troisième jour,
00:00:14 puisque vous savez qu'il y avait eu un problème, je remets les choses dans l'ordre.
00:00:16 Mardi, ça c'est pour ce qui vous attend maintenant, l'équipe de Greg est un petit peu décalée,
00:00:20 17h45, exceptionnellement cette semaine, puisque le peloton arrivait un petit peu plus tard
00:00:25 que d'habitude sur le tour de Romandie.
00:00:27 Et puis ce soir à 20h10, vous aurez du basket, un match incontournable pour les Monégasques.
00:00:34 Le match 2 entre Monaco et le Maccabi Tel Aviv.
00:00:37 Monaco qui a perdu 79 à 76 mardi dernier, donc la victoire est plus qu'impérative,
00:00:43 vous l'aurez compris, match déjà décisif 20h10 ce soir.
00:00:47 Et si cette étape aussi aujourd'hui était décisive, en tout cas elle est importante,
00:00:52 l'ambiance aussi était importante ce matin au tour de Thibaut Pinot,
00:00:55 puisqu'on est parti du Doubs, de Franche-Comté, bien sûr la patrie de Thibaut Pinot.
00:00:59 Mais on va aussi s'intéresser à cette étape, est-ce qu'elle peut lui convenir à Thibaut aujourd'hui ?
00:01:03 Est-ce qu'il y a des choses à faire du côté du franc-comtois ?
00:01:06 C'est au micro de Charles-Antoine Nora et à Maury Lhermitte qui l'a répondu.
00:01:09 Après c'est toute la journée qui est vraiment un peu difficile.
00:01:12 En 2019, je crois qu'ils arrivaient une petite vingtaine au sprint,
00:01:15 donc ça montre quand même que c'est vraiment difficile.
00:01:17 Et après, comme on dit souvent, c'est les coureurs qui font la course,
00:01:20 donc s'il y a vraiment des équipes qui veulent durcir, il y aura moyen d'arriver un petit groupe au sprint.
00:01:26 J'espère en faire partie avec Léni.
00:01:28 Il faudra courir devant aujourd'hui, c'est obligatoire.
00:01:30 Oui, il faut courir devant et il faudra avoir des bonnes jambes surtout aussi.
00:01:33 Hier, c'était la mise en route, c'était une journée plutôt tranquille,
00:01:37 malgré que la vidéo fait agrotter un peu dans le col, mais c'était quand même une journée tranquille.
00:01:41 Mais aujourd'hui, c'est quand même autre chose.
00:01:43 Et oui, c'est ça en fait, c'est pas parce qu'on a l'impression d'être encore sur une étape
00:01:46 qui va se terminer au sprint que ça va être facile.
00:01:49 Aujourd'hui, bien au contraire.
00:01:50 De toute façon, il n'y a pas d'étape facile sur le tour de Romandie.
00:01:53 Vous restez avec moi, Pierre, pour l'après-course ?
00:01:54 Avec plaisir !
00:01:55 Allez, on se retrouve après pour débriefer sur la victoire d'on ne sait qui,
00:01:59 mais on va vite la prendre grâce à Patrick Chassé, Cyril Guimard et Pierre Roland.
00:02:03 Rebonjour, messieurs.
00:02:05 On repart sur le profil.
00:02:07 Le profil, effectivement.
00:02:09 D'ailleurs, Thibaut Pinot en parlait il y a quelques instants.
00:02:12 S'il fait référence à 2019, c'est parce que la deuxième moitié,
00:02:15 à partir du Basset jusqu'à la fin, jusqu'à l'arrivée à la Chaux-de-Fonds,
00:02:19 c'est identique à ce que les coureurs avaient couvert en 2019.
00:02:24 Donc la référence est évidente.
00:02:26 Un groupe de 20 coureurs, peut-être, peut-être plus, peut-être moins,
00:02:29 peut-être un homme seul, qui sait ?
00:02:32 Les écarts, en tout cas, ne sont pas faits au classement général.
00:02:35 Ils sont la conséquence essentielle du prologue le premier jour.
00:02:38 Vous voyez ici les maillots distinctifs avec Julien Bernard et son maillot bleu ciel.
00:02:43 Le maillot de Grand Prix de la Montagne, puisqu'on se souvient hier qu'il a fait carton plein le Niverné.
00:02:48 Il est allé chercher en échappée les premiers points distribués
00:02:52 lors de la première étape au sommet des difficultés proposées.
00:02:55 Des difficultés, donc, sur cette deuxième étape,
00:02:59 eh bien, il y en aura plusieurs.
00:03:02 Il y en aura au total répertorié cinq.
00:03:04 Donc c'était peut-être, effectivement, la bonne occasion à saisir
00:03:08 pour se glisser à nouveau dans une échappée matinale.
00:03:11 Quelques images enregistrées du départ, notamment.
00:03:14 Et ça a bataillé.
00:03:16 Ce n'est pas le premier attaquant qui a réussi à sortir de ce peloton.
00:03:20 Ça a duré une demi-heure à peu près,
00:03:23 avant que l'on voit, enfin, eh bien, trois coureurs s'extraire du peloton
00:03:28 et parvenir à résister à celui-ci et ensuite prendre le large.
00:03:32 Ces trois coureurs, ce sont Julien Bernard à nouveau.
00:03:36 Vous le voyez rouler en tête.
00:03:37 Eh bien, Julien Bernard, sachez qu'il vient de passer la première difficulté,
00:03:42 le basset, basset qu'il a franchi en tête,
00:03:45 ce qui lui a permis d'empêcher des points importants.
00:03:47 Derrière, il n'y a pas de descente.
00:03:49 C'est assez fréquent dans le Jura.
00:03:50 On monte et puis ensuite, il n'y a pas de descente.
00:03:52 Je n'aime pas ce pays pour cette raison-là.
00:03:54 Je parle d'un point de vue cycliste.
00:03:56 C'est incroyable quand même.
00:03:57 Une descente, on la mérite quand on a fait,
00:04:00 comme ils l'ont fait là, huit kilomètres d'ascension.
00:04:02 Eh bien, non, on reste sur un plateau.
00:04:05 Vous voyez la composition de cet échappé.
00:04:07 Trois hommes, vous avez vu le classement plus exactement
00:04:09 de cette côte de deuxième catégorie.
00:04:11 Ce col de deuxième catégorie, les trois hommes qui se sont partagés
00:04:15 les points les plus avantageux.
00:04:17 C'était Julien Bernard qui les a obtenus,
00:04:18 mais également Gleb Brusenski de la formation Astana.
00:04:22 Il s'agit d'un coureur kazakh âgé de 23 ans.
00:04:26 C'est le champion d'Asie d'ailleurs.
00:04:28 Et puis Tom Bolli qui accompagne également ces coureurs.
00:04:33 Voici une image enregistrée, celle du premier passage
00:04:38 sur la ligne d'arrivée, parce qu'on vous l'a dit,
00:04:41 après avoir pris le départ de Morteau côté français,
00:04:46 eh bien, on a franchi la frontière et on est venu passer
00:04:49 une première fois sur la ligne d'arrivée à la Chaux-de-Fonds.
00:04:52 Et on va donc y repasser un petit peu plus tard.
00:04:55 Et voici l'avenue dont parlait tout à l'heure Charles-Antoine Nora.
00:05:00 C'est l'avenue qui est la plus grande avenue de Suisse.
00:05:03 Cette avenue qui est, avec dans l'allée centrale,
00:05:06 plantée d'arbres que l'on taille tous les ans
00:05:09 pour que l'altitude de chaque arbre soit de 1000 mètres
00:05:13 exactement au niveau de la mer.
00:05:16 C'est assez curieux.
00:05:17 Il conviendrait que les jardiniers se torturent un peu l'esprit,
00:05:19 mais il y a sûrement une raison historique à cela.
00:05:23 Passage sur la ligne pour le peloton.
00:05:25 Un peloton qui a accusé tout à l'heure 5 minutes de retard.
00:05:28 On annonce plutôt 3 minutes de retard.
00:05:31 3 minutes 20 nous dit l'écart GPS.
00:05:34 Un petit peu moins Radio Tour.
00:05:36 Donc un écart qui reste substantiel.
00:05:38 Mais qui montre quoi ?
00:05:39 Que l'équipe Jumbo-Visma a décidé de réagir,
00:05:42 Pierre-Roland, et de réduire cet écart par rapport aux 3 hommes de tête.
00:05:45 Est-ce que c'est les 3 hommes de tête qui ont provoqué cette accélération ?
00:05:48 Je ne pense pas quand même.
00:05:49 Je pense qu'on a des idées derrière la tête.
00:05:51 Après dire quoi exactement pour l'instant,
00:05:54 c'est un petit peu compliqué.
00:05:57 Mais je pense qu'on veut durcir pour Fos,
00:06:01 qui est placé 3e au général,
00:06:04 à une seconde du leader.
00:06:07 Hier, on les a vus faire une manœuvre un petit peu inattendue,
00:06:12 en sprintant pour les bonifs, alors qu'il n'y avait pas de sprint bonif.
00:06:15 Il n'y en a pas aujourd'hui.
00:06:18 On va peut-être leur redire, non ?
00:06:20 On va leur redire que dans 10 km...
00:06:21 Ou alors on va leur faire croire à nouveau qu'il y en a, et puis on va voir.
00:06:24 Cette étape, je pense qu'elle est bien plus dure que ce que tout le monde pense.
00:06:28 Du moins sur le papier, ça ne paraît pas facile.
00:06:30 Mais on voit les coureurs, ils sont dans des enchaînements de petites bosses.
00:06:34 Et là, on va arriver dans quelques kilomètres,
00:06:36 dans une bosse, par répertoirier,
00:06:38 le sprint intermédiaire, l'ascension de le communal,
00:06:43 que les coureurs vont avoir à faire 2 fois.
00:06:45 Et après, ils vont reprendre le final de la course.
00:06:49 Là, ils prennent un maximum de repères pour le tout final.
00:06:53 Ce qui est sûr, c'est que pour le sprint intermédiaire qui va intervenir dans quelques kilomètres,
00:06:58 ils n'auront pas le temps de revenir sur les 3 hommes de tête dont on parlait.
00:07:02 Encore une fois, puisqu'il n'y a pas de bonification à prendre,
00:07:05 il n'y a pas de motivation particulière à opérer rapidement la jonction avec les hommes de tête.
00:07:10 Ça aurait pu être le cas s'il y avait eu des bonifs.
00:07:12 Vous les avez cités, Tobias Voss, qui était à une seconde.
00:07:15 Il aurait pu se dire, tiens, allez, je vais aller chercher ce maillot de leader.
00:07:18 Ou le contester en tout cas à tous ces coureurs qui sont si bien placés.
00:07:22 Ce n'est pas le cas. C'est un avantage donc pour les échappés.
00:07:25 Même si on le sait, habituellement, même quand il y a des bonifs,
00:07:28 on ne va pas forcément courir à chaque fois après les échappés.
00:07:31 Oui, mais bon, les échappés, là, ils vont avoir fort à faire.
00:07:36 Derrière, les manœuvres ont commencé.
00:07:39 La jumbo Visma s'est mise à accélérer au pied de la première difficulté.
00:07:44 Les coureurs sont arrivés en Suisse à 85 km de l'arrivée.
00:07:49 On veut user et essayer de décrocher les sprinters.
00:07:54 Les échappés, l'écart a fondu.
00:07:59 Ils ont perdu deux minutes en l'espace de 15 km.
00:08:03 Maintenant, ça va aller très vite pour eux.
00:08:06 On voit ces routes très larges.
00:08:09 C'est vraiment très difficile quand on est coureur.
00:08:13 On n'avance pas et on voit bien qu'on n'avance pas.
00:08:17 Quand on est sur une petite route à la même vitesse, on a tout de suite une sensation de vitesse.
00:08:22 Là, on a vraiment l'impression d'être planté.
00:08:25 Mentalement, ces routes très larges sont très dures,
00:08:27 surtout quand on est trois coureurs échappés comme ils sont actuellement.
00:08:30 Je suis allé faire un petit tour sur les réseaux sociaux,
00:08:33 notamment à l'écoute des fans de vélo, mais plutôt des fans suisses.
00:08:39 On reproche beaucoup à Richard Chassault,
00:08:43 surtout ceux qui habitent le Jura, de lui, l'organisateur du Tour de Romandie.
00:08:47 À chaque fois qu'il vient dans le Jura, on lui reproche de choisir des routes trop roulantes.
00:08:51 Là, il y a une contradiction avec ce que vous nous avez dit.
00:08:54 D'un côté, vous nous dites que la route est large.
00:08:57 On voit les pourcentages.
00:08:59 En tout cas, ils nous ont été communiqués.
00:09:01 Les ascensions que les coureurs vont escalader ne proposent pas des pourcentages très élevés.
00:09:07 Vous avez parlé du communal.
00:09:09 Cette côte, il va falloir monter deux fois.
00:09:11 C'est peut-être la plus pentue, 7,6 %, mais seulement pendant 1,6 km.
00:09:15 Et puis, les autres, ce sont des cols assez roulants,
00:09:18 comme c'est souvent le cas sur des routes bien larges.
00:09:21 Des pentes plutôt de 4, 5 %, le col de la Tourne qui est à 7 %, mais sur 4,6 km.
00:09:28 Je veux dire que ce n'est pas anodin,
00:09:32 mais on peut faire beaucoup plus dur en quittant ces vallées transversales
00:09:38 qui vont être sillonnées par le peloton de ce Tour de Romandie.
00:09:42 Vous comprenez ces reproches qui sont faits un peu à l'organisateur ?
00:09:46 Après, on essayera de comprendre pourquoi, mais pourquoi il trace ainsi les étapes ?
00:09:51 Qu'est-ce que vous en dites, Pierre-Romand ?
00:09:53 D'un point de vue sécurité, c'est sûr que là, les coureurs ne sont pas embêtés.
00:09:57 Sur des routes aussi larges, il y a de la place.
00:10:00 Ce n'est pas pour ça qu'il n'y aura pas de chute, qu'il ne peut pas en avoir.
00:10:03 Mais on joue peut-être, du point de vue de l'organisateur, la sécurité
00:10:09 en essayant d'éviter un maximum les petites routes.
00:10:12 Forcément, si on parle de difficulté, la topographie du terrain, les ascensions sont là,
00:10:19 le dénivelé est là, mais c'est sûr que quand on est sur des routes très larges,
00:10:22 sans virage, avec un bon revêtement, ça atténue la difficulté, la pente.
00:10:28 C'est plus facile d'évoluer, tout simplement.
00:10:31 Moi, j'ai quand même le sentiment que parfois, et je ne vais pas me plaindre de ça,
00:10:37 on a souvent vu, en tout cas dans le passé, le Tour de Romandie aller contre les idées reçues.
00:10:42 Le Tour de Romandie, alors si on compare avec le Tour du Jura ou la classique Grand Besançon
00:10:47 ou le Tour du Doubs qui ont été disputés il y a deux semaines,
00:10:49 on voit que c'est flagrant.
00:10:51 Les petites routes qui étaient empruntées sur ces trois épreuves d'un jour
00:10:55 contrastent avec les routes qui sont empruntées par les coureurs sur le Tour de Romandie.
00:11:00 Aujourd'hui, on aime bien, on est maintenant les coureurs dans des petites routes.
00:11:02 Je ne parle pas forcément des grands tours, des plus grandes épreuves,
00:11:05 mais d'une manière générale, on aime bien les faire passer,
00:11:07 pourquoi pas d'ailleurs sur des routes qui n'ont même pas été coudronnées.
00:11:11 C'est dans l'air du temps.
00:11:13 Là, on est sur des routes bien larges.
00:11:16 Autre argument pour dire qu'on aime bien prendre à contre-pied un petit peu les tendances sur le Tour de Romandie,
00:11:21 vous avez vu le nombre de chronos qu'on a maintenant sur les grands tours
00:11:25 ou même sur les courses par étapes de ce format.
00:11:28 On a tendance à les enlever.
00:11:30 Pas de chronos sur Paris-Nice, sur le Tour de France.
00:11:33 Là, on en a deux. On n'en a pas un, on en a deux.
00:11:35 Donc c'est ça en fait, la vérité, elle est là selon vous.
00:11:39 C'est un peu pour casser les codes qu'on agit ainsi, Cyril Guimard ?
00:11:42 Déjà par principe, la vérité n'existe pas. On est à sa recherche.
00:11:47 Et quand vous pensez l'avoir trouvée, elle est déjà ailleurs.
00:11:53 Moi, tout ça, ça m'ennuie.
00:11:56 Quoi que vous puissiez faire, de toute façon, vous avez une catégorie de gens
00:12:01 qui vont vous balancer des reproches sur ci, sur ça.
00:12:05 Laissez les organisateurs, d'ailleurs on devrait les laisser un peu plus de liberté pour organiser les courses.
00:12:12 Là, on a des routes larges. On va dire "ah bah oui, mais ils ont des routes larges".
00:12:15 Les routes sont étroites. "Ah bah les routes sont étroites, c'est dangereux".
00:12:18 C'est tout ce qu'on veut. Enfin, bon.
00:12:21 C'est pas que je suis en forme, mais bon, il faut arrêter si on va sur les réseaux sociaux.
00:12:26 Il y a le pour, le contre, le contre du pour.
00:12:29 Et souvent d'ailleurs, en règle générale, des gens qui n'ont jamais fait de vélo.
00:12:34 Ah oui, bah oui, bah oui.
00:12:36 Ça va râler, je vous le dis.
00:12:38 Mais ça peut râler.
00:12:39 J'allume pas mon téléphone ce soir.
00:12:41 Ça peut râler, je m'en fiche.
00:12:43 Il y a une réalité, il y a une course, un parcours qui a été décidé.
00:12:46 Je vous ai pas montré ça sous le ton de la polémique. Pourquoi vous...
00:12:49 Ah bah si, ça m'ennuie ça.
00:12:51 Est-ce que le... Alors, je vais poser la question autrement, Cyril.
00:12:54 Est-ce que le vélo a besoin, justement...
00:12:58 On parlait des bonifications qui sont données sur la plupart des courses en cours de route.
00:13:02 Là, il n'y en a pas.
00:13:04 Il y en a à l'arrivée, mais il n'y en a pas en cours de route.
00:13:07 Est-ce que justement cette variation qu'il y a dans les règles, dans les parcours, dans les usages,
00:13:13 est-ce que c'est bénéfique à la richesse du vélo ou est-ce que c'est perturbant, justement, pour une forme d'équilibre ?
00:13:21 Ah, les coureurs sont stoppés à un passage à un niveau.
00:13:24 Ah, bah voilà.
00:13:26 Bah, ils vont pouvoir s'en reposer, s'alimenter.
00:13:29 Et les échappés, ils vont pouvoir continuer.
00:13:31 Non, moi, je pense que c'est enrichissant.
00:13:33 N'oublions pas que...
00:13:35 Pardon, c'est les échappés qui sont stoppés. Excusez-moi.
00:13:38 On meurt de l'université, des choses.
00:13:42 Il faut qu'il y ait des choses différentes en fonction des types de parcours, en fonction des pays, en fonction des cultures.
00:13:48 Pourquoi tout mettre sur la même norme ?
00:13:51 Moi, je ne comprends pas ce genre de choses, comme je ne comprends pas des gens qui ont peut-être fait quatre courses de vélo, une cyclo,
00:13:57 et qui se permettent de juger des choses.
00:14:00 Bon, je crois...
00:14:02 Cyril, on a bien compris que vous n'étiez pas d'accord avec ça.
00:14:04 Je veux juste réagir par rapport à ce qu'on vient de voir à l'image.
00:14:08 Et faire réagir. Ça, ça intervient juste avant le sprint intermédiaire.
00:14:12 L'échappé a été ralenti.
00:14:15 Ça veut dire qu'ils ont perdu du temps un peu bêtement, parce que d'habitude, quand ils sont vraiment stoppés,
00:14:20 on peut éventuellement stopper le peloton et permettre de repartir avec sensiblement les mêmes écarts.
00:14:26 Là, ils ne se sont pas réellement arrêtés.
00:14:28 Ils ont donc simplement perdu du temps. On ne va pas faire ralentir le peloton. On est d'accord, Pierre-Olonne ?
00:14:32 Non, on ne devrait pas. C'est un fait de course.
00:14:35 Les coureurs n'ont pas mis pieds tête à terre.
00:14:37 Donc, ils ont perdu peut-être une dizaine, une quinzaine de secondes.
00:14:41 Derrière, dans le peloton, ils vont avoir également l'information.
00:14:45 Donc, peut-être qu'ils vont lever un peu le pied.
00:14:47 Mais de toute façon, désolé pour les trois coureurs de l'échappé,
00:14:51 mais la course, ça ne va pas se jouer sur ce petit événement.
00:14:57 Ils ont perdu entre 5 et 10 secondes.
00:14:59 Ils ont pris deux ou trois bidons. Ils ont pu se relâcher un petit peu.
00:15:03 Bon, ça ne va pas leur faire de mal.
00:15:05 Mais pour rebondir sur ce qu'on disait sur les parcours, oui, certes, les coureurs sont sur des belles routes.
00:15:11 On a des belles images.
00:15:13 Ça, c'est très bien.
00:15:14 Mais les coureurs, ils font 75, 80 jours de course.
00:15:18 On ne peut pas leur demander de faire un tour des Flandes ou un tour du Pays Basque sur chaque épreuve.
00:15:22 Et ça, c'est une course, le tour de romandie, qui est bien pour aller au giro derrière,
00:15:27 pour se relancer, pour retrouver du rythme, parce que c'est une course qui n'est pas stressante.
00:15:31 Parce qu'on est sur des belles routes, donc il y a moins de stress, c'est large,
00:15:35 on peut remonter un peu au dernier moment, il n'y a pas cette pression de vouloir toujours être devant.
00:15:40 Et ça fait du bien dans la saison d'avoir quelques courses comme ça pour les coureurs.
00:15:45 Ce que vous êtes en train de dire, c'est que finalement, eux, les coureurs, en tout cas,
00:15:48 ils ne vont pas s'en plaindre dans leur majorité.
00:15:50 Non, non, non, ils ne vont pas s'en plaindre.
00:15:52 Ils ne vont pas s'en plaindre, ça, c'est une évidence.
00:15:53 Et d'ailleurs, on l'a entendu dans une interview, je crois que c'était Romain Bardet, il me semble,
00:15:58 qui a dit que ça fait plaisir d'être dans une course où c'est un petit peu plus détendu, un petit peu plus calme.
00:16:04 Alors forcément, quand on fait le Pays Basque, pour l'avoir fait,
00:16:08 ce ne sont que des petites routes, des toutes petites montées, signeuses, avec des descentes,
00:16:13 avec de la végétation, etc. Enfin voilà, on est sur le qui-vive constamment.
00:16:18 Et ça fait du bien, je pense, aux coureurs. Et ça n'empêche pas que, pour moi,
00:16:23 le profil, il est assez difficile pour faire du spectacle, malgré le fait d'avoir des routes assez largues.
00:16:29 Effectivement, c'était les déclarations de Romain Bardet, en fait, à l'arrivée de l'étape d'hier
00:16:34 auquel vous venez de faire référence.
00:16:38 Pour l'instant, en tout cas, les trois hommes de tête, alors on n'a pas...
00:16:41 Et bien voilà, il suffisait que je demande 2 minutes 45, indiquons sur Radio Tour, à l'instant.
00:16:46 C'est l'avance des hommes de tête. Vous avez plus de 3 minutes ?
00:16:50 3 minutes 5, oui. Ils ont peut-être perdu 15, 20 secondes dans l'affaire, mais rien de bien grave.
00:16:57 Allez, on est en train de prendre la direction à 65 km de l'arrivée de la côte du Communal.
00:17:08 C'est une côte qui fait moins de 2 km, 1,7 km pratiquement.
00:17:13 Il y a un passage à 10%.
00:17:16 Et cette côte, il va falloir la monter également dans le final.
00:17:19 Ce sera la dernière ascension tout à l'heure avant de revenir, comme on va le faire là de toute façon,
00:17:24 sur la ligne d'arrivée à la Chaux-de-Fonds.
00:17:28 Le peloton, ici, qui n'est pas encore au pied de cette difficulté.
00:17:33 Peloton, au complet, à noter quand même, enfin au complet, par rapport au départ de l'étape,
00:17:39 il y a deux coureurs qui n'ont pas pris le départ de cette étape.
00:17:45 Deux coureurs en moins. On sait qu'en ce moment, dans le peloton, un virus circule.
00:17:51 Je dis dans le peloton au sens large parce que ce n'est pas seulement sur le Tour de Romandie.
00:17:55 Et malheureusement, on a eu déjà, je crois hier, 6 abandons.
00:18:01 Et aujourd'hui, c'est Sean Quinn, l'Américain de l'équipe IF, qui n'a pas pris le départ,
00:18:06 ainsi que le Britannique James Knox de la formation Soudal Quick-Step,
00:18:12 un équipier du leader de la course en moins.
00:18:17 Il faudra faire avec Ethan Vernon, qui, rappelons-le, depuis sa victoire hier,
00:18:23 est le leader de cette épreuve.
00:18:26 Les échappés encore perdus. Une quinzaine de secondes avec l'approche de cette difficulté.
00:18:32 Les coureurs prennent des informations. Cette montée va être dans le final tout à l'heure,
00:18:38 dans les 10 derniers kilomètres. C'est très important de prendre un maximum d'informations,
00:18:44 de savoir si on va passer, si c'est grand plateau, petit plateau.
00:18:48 On voit que les coureurs sont sur le petit plateau. Julien Bernard aussi.
00:18:52 Il y a de la pente sous les roues des coureurs.
00:18:56 C'est très important de prendre un maximum d'informations pour les coureurs du peloton qui vont jouer la gagne.
00:19:02 Le peloton toujours emmené par l'équipe Jumbo-Visma.
00:19:07 Vous apercevez de cette équipe Tobias Frost avec le maillot distinctif du classement par points.
00:19:17 Il est dans la route de ses équipiers qui font le job.
00:19:23 Ce n'est pas l'équipe Sudal qui roule. L'équipe Sudal Quick-Step, un peu comme hier finalement.
00:19:29 C'est pas mal joué parce que ça fait deux jours qu'ils ont le maillot,
00:19:32 mais ils n'ont pas assumé le poids de la course. D'autres s'en chargent.
00:19:37 Ils manœuvrent très bien entre la journée d'hier où les Ineos ont fait la majeure partie du travail pour eux.
00:19:43 Aujourd'hui, le même schéma, les Jumbo-Visma qui durcissent.
00:19:47 Allez-y, si vous voulez nous faire péter, nous décrocher, les sprinters.
00:19:53 Vernon, Cerny, si vous voulez nous décrocher, messieurs, allez-y.
00:19:59 Et devant, on s'est disputé. Le sprint intermédiaire, on a parlé du passage à niveau, on n'a pas parlé du sprint intermédiaire.
00:20:13 C'est Tom Bolli, le maillot noir de l'équipe Tudor, qui est passé en tête devant Julien Bernard et devant le Kazakh Brusenski.
00:20:22 Tom Bolli semble avoir quelques difficultés pour suivre le train.
00:20:37 Voilà cette côte qui est en surplomb de ce village de la Sagne où avait lieu le sprint intermédiaire il y a quelques instants.
00:20:47 Et on va avoir un enchaînement d'ailleurs, puisque après la côte du communal, on redescend sur le Lochle et la Chaux-de-Fonds
00:21:01 avant d'aller chercher la difficulté suivante, le col de la vue des Alpes.
00:21:09 Et tout ça va se faire en moins de 20 kilomètres.
00:21:15 Allez, le passage au sommet pour les trois hommes de tête.
00:21:21 Et c'est Julien Bernard, logiquement, qui va conforter son maillot de leader du Grand Prix de la Montagne.
00:21:29 Comme il l'a fait tout à l'heure, le Français est bien récidive.
00:21:34 Il était passé en tête de la côte de deuxième catégorie, enfin du col, pardon, à Bassé, un col qui faisait 8 kilomètres d'ascension.
00:21:43 Et là, bien sûr, cette côte beaucoup plus brève, côte de troisième catégorie, il est à nouveau passé en tête.
00:21:49 Il aura la possibilité de le faire un petit peu plus tard dans le col de la vue des Alpes,
00:21:54 mais on a largement le temps de tourner une page de publicité et de se retrouver juste après.
00:21:59 C'est la deuxième étape du Tour de Romandie que nous vous proposons cet après-midi.
00:22:05 Deuxième étape de cette épreuve du World Tour.
00:22:09 Dernière épreuve d'une semaine avant le Tour d'Italie.
00:22:13 Certains feront l'enchaînement, on le sait, Thibaut Pinot en fait partie.
00:22:17 Il a choisi d'aller sur ce Tour de Romandie, sur des routes et des contrées qu'il apprécie,
00:22:21 pas très loin d'ailleurs de sa terre natale, la Franche-Comté, pour apporter peut-être les derniers ajustements
00:22:29 et aussi également peut-être pour se tester.
00:22:31 Est-ce qu'aujourd'hui, ce sera une étape pour voir les pures montagnards se mettre en évidence ?
00:22:36 Pas sûr quand même.
00:22:37 Mais vous avez entendu au cours de ce début de retransmission, Pierre Roland vous dire,
00:22:41 attention, c'est peut-être quand même plus difficile que ça n'en a l'air.
00:22:44 On a une échappée pour l'instant aux avant-postes et un peloton qui était tiré.
00:22:48 C'est normal puisque la route est, vous le voyez, plutôt en portion descendante.
00:22:53 Le communal a été franchi, on a une longue descente qui va nous ramener dans ces deux localités,
00:22:59 cette vallée où l'on retrouve les villes du Locle et de la Chaux-de-Fonds.
00:23:05 Avec trois hommes devant, Julien Bernard, Gleb Brusenski et Tom Bolly.
00:23:12 Trois coureurs, trois nationalités différentes. Le coureur d'Astana est Kazakh, le coureur de Tudor est Suisse
00:23:19 et bien sûr, Julien Bernard, le fils de Jean-François, est Français.
00:23:23 Julien Bernard que Charles-Antoine Norat a pu rencontrer ce matin au départ de l'étape
00:23:29 avec ce maillot déjà sur les épaules, le maillot de meilleur grimpeur empoché à l'issue de la première journée.
00:23:35 Ah, pardon, on ne peut pas l'entendre pour l'instant, me dit-on.
00:23:38 Mais on va peut-être pouvoir visionner le classement du Grand Prix de la Montagne.
00:23:43 Parce qu'en tout cas, Julien Bernard, après les points pris hier, les points pris depuis le départ de cette étape
00:23:48 et, n'en doutons pas, les points qu'il va encore prendre, je l'espère pour lui en tout cas, lors des prochaines difficultés,
00:23:54 et bien vont lui permettre de prendre du champ.
00:23:57 Regardez, quand on fait des courses sur des grandes routes, c'est un peu le problème.
00:24:00 Localement, on n'aime pas trop parce que ça bloque la circulation sur des routes où il y a beaucoup de passages.
00:24:05 Oui, oui, et voilà, mémoire mes revenus de ce final, de la dernière ascension, la descente et le retour pour aller choper la ligne d'arrivée.
00:24:17 C'est ce long, long, long faux-plat.
00:24:19 Ça y est, c'était en 2012, moi j'ai fait cette arrivée, je l'ai fait plusieurs fois, mais en 2012, l'année où Bradley Wickins s'était imposée,
00:24:25 et il y avait eu de la bagarre.
00:24:27 Il y avait eu vraiment beaucoup, beaucoup d'attaques sur un parcours similaire.
00:24:30 Et l'arrivée, l'arrivée c'est vraiment un faux-plat montant interminable.
00:24:35 Ça se raplanit au niveau de la ligne d'arrivée, mais c'est très, très, très difficile.
00:24:40 Et la descente qui suit la dernière ascension répertoriée, elle est technique.
00:24:47 Quelques beaux virages, on prend de la vitesse, et je me souviens qu'à la relance, là où les coureurs sont du peloton, il y avait pas mal de cassures.
00:24:55 Bon, moi j'ai noté un nouveau mot, le verbe se raplanir.
00:24:59 Se raplanir ?
00:25:00 C'est ce que vous voulez dire.
00:25:02 On me challenge au niveau de mon vocabulaire.
00:25:06 On vous a mis le défi de le prononcer celui-là ?
00:25:08 Oui, c'est cela, ça s'appelle le challenge.
00:25:10 Bon, ça va rentrer dans le jargon cycliste des expressions modernes.
00:25:15 Il y avait la soquette légère, maintenant il y a ce raplanir.
00:25:17 Oui, on comprend très bien ce qu'il veut dire.
00:25:19 Il faut vulgariser, on va expliquer.
00:25:21 Effectivement. Alors on me dit qu'on peut écouter l'enregistrement de l'interview de Julien Bernard, qui est, rappelons-le, à l'avant de la course actuellement, dans l'échappée.
00:25:34 Mais c'était évidemment ses propos ce matin au départ, au micro de Charles-Antoine Norat, pour les images à Maury Lhermitte.
00:25:42 On pensait aller dans l'échappée, on pensait pas que ça allait partir si vite derrière.
00:25:46 Mais bon, quand j'ai vu qu'il prenait tout de suite la course en main, une et hausse, je me suis plutôt concentré sur le meilleur grimpeur.
00:25:53 Je me suis dit au moins avoir quelque chose en récompense de la journée devant.
00:25:57 Et voilà, ça a été chose faite, donc pourquoi pas en faire le fil rouge cette semaine pour moi.
00:26:02 Tout en sachant qu'on a Kenny aussi pour faire un bon classement général, pourquoi pas.
00:26:07 Donc voilà, ça nous donne des objectifs cette semaine.
00:26:10 Kenny, c'est bien sûr Kenny Ellison, l'autre Français de cette équipe américaine Trek-Segafredo, à laquelle Julien Bernard appartient depuis ses débuts chez les professionnels.
00:26:22 Julien Bernard n'a jamais couru dans une équipe française. Il est passé professionnel en 2016.
00:26:28 Et il a remporté la seule victoire qu'il possède à son palmarès, une étape du Tour des Alpes-Maritimes et du Var.
00:26:36 C'était il y a trois ans, en début de saison, mais c'est surtout un équipier, un équipier valoreux, précieux, apprécié, qui a vu d'ailleurs dans cette équipe un autre Français venir les rejoindre à l'intersaison.
00:26:53 C'est tout simplement Tony Gallopin.
00:26:57 J'ai un doute là, Tony, c'est déjà l'année dernière.
00:27:01 C'est l'année dernière.
00:27:02 Oui, oui, oui.
00:27:03 La compression du temps, c'est pratique parfois.
00:27:06 Allez, 56 kilomètres encore à couvrir.
00:27:08 Bon, finalement, pour passer le temps, les Français se fixaient des objectifs.
00:27:12 On l'a vu, Romain Bardet fait les sprints.
00:27:14 Voilà, ça le sort de l'ennui.
00:27:16 Et Julien Bernard, il fait les points de...
00:27:18 Il vaut mieux faire les sprints, parce que les points de la montagne, il faut quand même être sorti toute la journée dehors.
00:27:22 Oui, mais ça correspond aux caractéristiques de Julien Bernard, qui est un attaquant infatigable.
00:27:28 Et dès qu'il a l'occasion, il le droit.
00:27:30 Parce que dans son équipe, des fois, quand il est notamment avec les Matt Spederson, etc., il se doit de rester avec eux.
00:27:37 Il n'y a pas de leader chez Trek, en fait.
00:27:39 C'est un petit peu une équipe, en tout cas sur ce tour de Romandie, bien sûr, de francs-tireurs.
00:27:44 De francs-tireurs, voilà, de coureurs qui peuvent saisir les opportunités.
00:27:48 Même si Kenny Ellison essaiera de ramener, il nous l'a dit, un bon classement général.
00:27:52 Oui, certainement. Mais après, ce n'est pas un leader où on met toute l'équipe autour de lui.
00:27:56 Il peut se débrouiller tout seul.
00:27:58 Et voilà, ce n'est pas parce qu'il y a Julien qui est devant que pour Kenny, ça va être une journée compliquée.
00:28:03 Et voilà, en tout cas, ça fait plaisir de le revoir à bon niveau.
00:28:07 Il n'avait pas été à son avantage depuis le début de saison.
00:28:10 Et là, voilà, les beaux jours arrivent et Julien Bernard retrouve la bonne jambe.
00:28:16 On parle de Kenny Ellison, pour un bon classement, il y en a un qu'on n'a pas vu depuis le départ.
00:28:25 C'est Martinez.
00:28:27 C'est bien, non ?
00:28:29 Oui, c'est bien.
00:28:31 C'est quand même, sur l'étape Rennes, il a peut-être sa carte à jouer.
00:28:36 Et je trouve qu'il est bien planqué au chaud.
00:28:43 Il ne prend pas un courant d'air.
00:28:46 On pourrait citer beaucoup de coureurs qui ne se sont pas montrés.
00:28:50 On se faisait le constat, on n'a pas parlé de Thibaut Pinot depuis le départ de cette épreuve.
00:28:54 Oui, peut-être avec Claire Bricogne avant ou après, avant plutôt, avant l'étape, pour rappeler évidemment les têtes d'affiche.
00:29:00 Mais sur les images du direct, il y a des coureurs qui ont tout intérêt à rester discrets jusqu'à samedi.
00:29:06 Or, 1000 est contre la montre, où il faut essayer de perdre un minimum, de performer en tout cas.
00:29:13 Samedi, ce sera évidemment l'étape Rennes, l'étape qui se termine à Thion 2000, dans le canton de Sion.
00:29:21 Une étape avec un long col, peut-être le col le plus difficile qu'auront eu à ce stade de la saison les coureurs à escalader depuis le début de l'année.
00:29:34 Oui, là je parle de Martinez, que nous rappelons les dernières épreuves.
00:29:37 Vous parliez de Lenny Martinez, son jeune coéquipier, le jeune coéquipier de Thibaut Pinot.
00:29:42 Il marquait quand même très très fort sur les routes dans les environs de Besançon, où il va chercher d'ailleurs une deuxième place, derrière Vauclin.
00:29:53 Ça veut dire qu'il a les bonnes jambes et finalement c'est peut-être lui le vrai leader de l'équipe.
00:30:00 À Tallogne aussi, il a joué avec les tout meilleurs en montagne, en haute montagne.
00:30:05 Il manquait un peu de confiance en lui, pour avoir discuté avec son père.
00:30:10 Il y a eu une étape où il a terminé 6ème, tout proche des meilleurs.
00:30:14 Il a vraiment hésité à se livrer à fond, il ne s'est livré que dans la toute fin, dans les tout derniers kilomètres et il doublait et doublait des coureurs.
00:30:20 On voit la ligne d'arrivée, donc très rectiligne.
00:30:24 Une immense ligne droite avec quelques ronds-points.
00:30:29 Ça saute bien juste avant la ligne.
00:30:32 Et un passage à nouveau sur la ligne, le dernier avant l'arrivée, parce que maintenant on va partir pour faire cette grande boucle de 53 km.
00:30:39 Là on a effectué une petite boucle qui a permis d'escalader cette côte du communal.
00:30:49 Et là on va faire une grande boucle où l'on montera le col de la vue des Alpes, le col de la Tourne et enfin à nouveau la côte du communal avant de revenir.
00:30:59 Le même final bien sûr sur cette ligne d'arrivée.
00:31:03 Vu du peloton sur cette longue avenue, emmené par l'équipe Jumbo-Visma, l'équipe de Tobias Fos.
00:31:14 Tobias Fos, c'est vraiment un coureur sur lequel on peut s'intéresser aujourd'hui.
00:31:28 Puisque si on roule, c'est évidemment pour lui.
00:31:30 Elle a poursuite des trois échappées qui ont franchi moins de deux minutes avant la ligne d'arrivée.
00:31:35 Aujourd'hui, Tobias Fos, pourquoi ? Parce que c'est un coureur qui est assez complet.
00:31:39 On peut peut-être s'interroger sur la haute montagne plutôt que sur ce type d'étape proposée aujourd'hui à son sujet.
00:31:46 Justement, Charles-Antoine Nora et Amaury Lhermitte sont allés le voir ce matin.
00:31:53 Et ils lui ont demandé si c'était une belle opportunité pour lui aujourd'hui cette étape de la Chaux-de-Fonds.
00:32:00 Écoutez sa réponse.
00:32:02 Oui, c'est une belle opportunité aujourd'hui.
00:32:05 C'est un final assez difficile.
00:32:07 Je m'attends à ce que Ineos prenne la course en main.
00:32:11 On verra alors s'il y a des attaques dans le final.
00:32:14 Peut-être que je les suivrai.
00:32:16 Ça me va bien.
00:32:17 Sinon, ce sera un sprint en petit comité.
00:32:20 Je ne suis pas trop mauvais à ça.
00:32:22 On va se battre pour la gagne, c'est sûr.
00:32:24 Je vous disais que c'était un coureur complet.
00:32:26 Champion du monde du contre la montre pour une marge extrêmement mince l'année dernière en Australie.
00:32:33 Puisqu'il s'est imposé avec trois secondes d'avance seulement sur Stephen Kug et neuf secondes sur Renko Evenepoel.
00:32:39 Mais Tobias Voss, oui, est un coureur polyvalent, capable de très bien passer les bosses.
00:32:45 Il s'attendait à ce que peut-être l'équipe Ineos prenne la course en main.
00:32:49 Mais finalement, c'est la sienne qui a pris les choses en main très tôt aujourd'hui.
00:32:53 Ça, il n'a peut-être pas à l'esprit ce matin.
00:32:55 Est-ce qu'on a changé les plans en cours de route ?
00:32:57 Ou est-ce que tout simplement il n'a pas voulu dire le contenu du briefing ?
00:33:00 A vous de choisir.
00:33:03 Je pense qu'ils se sont dit qu'Ineos allait certainement reprendre le même schéma, c'est-à-dire durcir.
00:33:08 Et si Ineos ne le faisait pas, c'était à eux de le faire.
00:33:12 Donc ils ont d'abord compté sur les autres et après ils ont pris leurs responsabilités.
00:33:15 C'est Kevin Vauclain qui est en dernière position à l'arrière de ce peloton.
00:33:20 Ce n'est pas la meilleure position.
00:33:23 Mais peut-être qu'il a eu... Peut-être s'est-il arrêté ou a-t-il été voir la voiture de son directeur sportif ?
00:33:30 On n'est pas encore de toute façon dans la partie décisive de cette étape.
00:33:36 Mais on va pas tarder à arriver au pied du col de la vue des Alpes.
00:33:42 Et là on peut imaginer que Kevin Vauclain se replacera dans des positions un petit peu plus avantageuses.
00:33:48 Le pied du col de la vue des Alpes, un col qui fait un peu plus de 5 km, sera à 51 km environ de l'arrivée.
00:33:57 Donc on va y être tout de suite.
00:34:02 Allez, quelques images en gros plan.
00:34:07 Le tombeau encore marqué par les efforts.
00:34:12 Tomboly, il est davantage marqué par ses efforts en échappée.
00:34:17 Oui, il fait de l'huile.
00:34:22 On l'avait déjà vu tout à l'heure dans les ascensions où il ramait un petit peu.
00:34:30 Tomboly qui avait eu l'occasion il y a 5 ans à Fribourg de terminer 2ème du prologue du Tour de Romandie.
00:34:41 C'était Michael Matthews qui s'était imposé.
00:34:45 Et Tomboly avait terminé dans la même seconde que Michael Matthews.
00:34:50 Ce qui s'est passé cette année est inhabituel dans le sens où il y en a eu 3 qui ont terminé dans la même seconde.
00:34:55 Mais 2 dans la même seconde sur un prologue, ça arrive quand même de temps en temps.
00:35:00 Il nous fait tous les subterfuges pour pouvoir un petit peu profiter des petites rétropoussettes.
00:35:06 On lui a donné un premier bidon, c'était le sirop de fraise, il voulait de la grenadine.
00:35:11 Après un petit gel et là de nouveau, ah non, c'est toujours pas le bon.
00:35:15 C'est bizarre, c'est qu'il est au pied d'une ascension, là où ça fait bien mal.
00:35:20 C'est des toutes petites combines.
00:35:24 - Tu as joué avec ça un petit peu, non ? - Jamais, jamais, jamais.
00:35:27 Mais je vois faire, je vous regarde depuis des années.
00:35:32 En tant que passionné, je ne loue pas une épreuve à la télé.
00:35:37 - Et on voit qu'il n'est pas à son avantage. - Donc ça, tu ne l'avais pas intégré ?
00:35:41 - Non, non, non, non, non. - Ah bon ?
00:35:45 Parce que vous pensez que Pierre Roland n'avait pas un peu le vice, vu la carrière qu'il a fait ?
00:35:49 Pour durer aussi longtemps que ça, il a dû en faire des kilomètres accrochés.
00:35:54 Moi je peste pas là, parce que là, c'est un sursis qui est prolongé.
00:36:00 C'est une équipe suisse, il y a la télé, c'est important qu'il reste le plus longtemps possible aux avant-postes.
00:36:08 - C'est pas la marche comme ça. - Oui, c'est vrai.
00:36:11 - Quand une équipe a invité... - Là je fais le journaliste, je ne fais plus le consultant.
00:36:15 Mais moi je peste pour les coureurs qui s'accrochaient pour finir,
00:36:20 et puis le lendemain, ils allaient nous faire un sprint ou gagner une étape.
00:36:25 - Kevin Vauclin... - Je ne le sens pas bien.
00:36:28 Déjà hier, il était signalé quand même à l'arrière du peloton régulièrement.
00:36:33 Aujourd'hui, on le revoit à nouveau en dernière position, c'est pas tout à fait...
00:36:39 - Je le sens pas bien là. - C'est pas tout à fait bon.
00:36:42 On a l'impression qu'il y a quelque chose qui ne se passe pas comme d'habitude,
00:36:47 il y a quelque chose qui le dérange.
00:36:50 On espère pas, on espère juste qu'il attend sa voiture, qu'il met un petit peu de temps à remonter,
00:36:55 vu que le premier coureur d'Arkea est assez loin en classement général.
00:36:58 Il peut avoir un numéro de voiture assez loin dans la file.
00:37:03 Après, les routes sont larges, donc les directeurs mettent pas trop longtemps à remonter.
00:37:10 Mais c'est pas très encourageant.
00:37:13 - Ayuzo... Problème crevaison.
00:37:17 - Crevaison pour Juan Ayuzo.
00:37:20 Alors si vous ne connaissez pas ce coureur, Juan Ayuzo,
00:37:23 vous allez vous familiariser avec ce nom, parce que c'est un coureur qui est promis à un bel avenir.
00:37:29 Il y a un indice, on cite souvent, au-delà des résultats, bien sûr,
00:37:34 pour parler de ce jeune homme de 20 ans,
00:37:37 c'est qu'il a signé avec l'équipe UAE Team Emirates, l'équipe de Pogacar,
00:37:42 la meilleure équipe d'ailleurs au monde actuellement,
00:37:46 il a signé jusqu'en 2028 un contrat de longue durée pour ce jeune coureur espagnol
00:37:55 qui ne nous a encore quasiment rien montré.
00:37:58 Il n'a qu'une victoire à son palmarès, chez lui le circuit de Getxo,
00:38:03 chez lui en Espagne, qu'il a remporté l'année dernière,
00:38:07 et puis le Tour d'Espagne auquel il a participé l'année dernière.
00:38:12 Bon, attention quand même à ne pas se brûler les ailes,
00:38:16 on va essayer de ménager ce coureur, un coureur qui l'année dernière avait également fait deuxième du trophée La Eugélia, la course d'ouverture.
00:38:25 C'était...
00:38:29 - En tant que pédale avec les épaules comme ça, ça ne dure pas longtemps.
00:38:33 - Ah oui, ça m'a troublé, ça fait mal de le voir comme ça.
00:38:37 - Pour l'instant, il n'y a plus que le courage.
00:38:42 - Parce que Bernard, il en voit devant.
00:38:45 - Il faut quand même expliquer, c'est que quand il va se faire rattraper, ce sera encore pire.
00:38:50 Il va se faire rattraper au moment où le peloton va vraiment accélérer, il va avoir des attaques, etc.
00:38:55 - En fait, le peloton va le croiser.
00:38:57 - Oui, là, ce n'était peut-être pas une très bonne idée de se lancer dans la...
00:39:04 On voit que ça va être compliqué.
00:39:09 - Du coup, ils sont deux coureurs échappés.
00:39:12 On va apprendre les relais.
00:39:15 Allez, on voit à l'arrière, il y a un petit peu de pression.
00:39:18 - C'est un petit peu le pire.
00:39:20 - Oui, c'est un petit peu le pire.
00:39:22 - C'est un petit peu le pire.
00:39:24 - Oui, c'est un petit peu le pire.
00:39:26 - Oui, c'est un petit peu le pire.
00:39:28 - Oui, c'est un petit peu le pire.
00:39:30 - Oui, c'est un petit peu le pire.
00:39:32 - Oui, c'est un petit peu le pire.
00:39:34 - Oui, c'est un petit peu le pire.
00:39:36 - Oui, c'est un petit peu le pire.
00:39:38 - Oui, c'est un petit peu le pire.
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00:43:52 - Oui, c'est un petit peu le pire.
00:43:54 - C'est l'heure du casse-coute pour l'Autodestiny, à l'arrière du peloton.
00:43:59 - C'est Poulveda, un transfert pardif dans cette équipe, l'Autodestiny.
00:44:05 Il a signé son contrat il y a quelques semaines.
00:44:08 C'est très particulier d'arriver en courte saison comme ça.
00:44:13 - Effectivement, il était chez Drone Giocatelli.
00:44:15 Nous avons Arnaud Gérard, le directeur sportif d'Arkea Samsic en ligne.
00:44:19 Arnaud, bonjour.
00:44:20 Merci de nous accorder quelques instants sur la chaîne l'équipe.
00:44:24 On a vu Kevin Vauclin à l'arrière du peloton.
00:44:27 Déjà hier, il était noté souvent à l'arrière.
00:44:29 Est-ce que vous avez des informations à nous donner à son sujet ?
00:44:32 - Oui, non, pas d'informations particulières.
00:44:36 Il avait besoin d'un petit renseignement.
00:44:39 Rien de bien méchant pour le moment.
00:44:42 Donc oui, il a eu un petit départ difficile hier, effectivement.
00:44:46 On espère que tout va rentrer dans l'ordre en fin d'étape aujourd'hui.
00:44:50 - Ça ne vous inquiète pas plus que ça ?
00:44:52 C'est toujours sur lui, évidemment, que vous spéculez pour un bon classement général, j'imagine.
00:44:57 - Oui, parce que concrètement, la course lui correspond très bien avec des contrôles à montre.
00:45:03 Une étape difficile samedi et dès aujourd'hui, une étape qui va être animée dans le final.
00:45:08 Donc oui, c'est notre leader sur ce tour de Romandie.
00:45:11 Après, il y a plein de choses qui peuvent se passer.
00:45:13 - À l'arrivée, vous imaginez combien de coureurs se disputaient la gagne aujourd'hui ?
00:45:17 - Pas beaucoup. C'est toujours difficile de se prononcer.
00:45:22 Mais je pense qu'entre 15 et 25 coureurs, ce sera un bon chiffre.
00:45:28 - Merci Arnaud Gérard, je ne vous embête pas plus.
00:45:31 C'était le directeur sportif d'Arkea Samsic.
00:45:34 - Qui confirme quand même quelque part que tout ne va pas bien.
00:45:37 - Ah, j'adore ! Il vient de nous dire le contraire.
00:45:41 - Ah non, non, vous voulez réécouter ?
00:45:43 - Oui, non, on ne va pas faire ça.
00:45:45 - Non, mais si vous réécoutez...
00:45:47 - Je crois comprendre ce que vous avez noté dans ses propos.
00:45:50 Quel est le mot, qu'est-ce qu'il vous a dit qui vous laisse penser qu'il n'était pas à l'arrière ?
00:45:57 - Parce que tout son discours, il est sur la défensive, on verra.
00:46:02 Il s'est juste arrêté pour aller chercher un petit renseignement.
00:46:07 Et puis il dit, oui, hier il a eu un départ difficile,
00:46:11 mais maintenant, tout son discours, c'est pour ne pas dire qu'il a un problème.
00:46:17 Je veux bien qu'on le réécoute, parce que je n'ai pas noté mot par mot.
00:46:21 - Non, non, mais je ne vais pas vous plaiger.
00:46:23 - Non, non, mais écoutez, vous allez voir.
00:46:25 - Non, non, non, attendez, ne demandez pas l'impossible.
00:46:28 - Pourquoi on ne peut pas ?
00:46:29 - Parce qu'on ne peut pas maintenant, Cyril.
00:46:31 - Ah non !
00:46:32 - C'est incroyable.
00:46:34 - Ou alors vous allez voir le monsieur Dussault et vous réglez ça avec lui.
00:46:37 Non, mais c'est compliqué, là.
00:46:38 - On arrive en plus, là.
00:46:39 - On l'a entendu une fois.
00:46:40 - Une belle descente.
00:46:41 - Est-ce que vous êtes d'accord avec ce que vient de dire Cyril ?
00:46:43 Est-ce que ça ne balaye pas tous les doutes ?
00:46:45 Est-ce qu'il en subsiste, après ce qu'on vient d'entendre d'Arnaud Gérard, le directeur sportif ?
00:46:50 - De toute façon, on va vite être fixé.
00:46:52 - Ce n'est pas la réponse.
00:46:54 - On va vite être dans les difficultés.
00:46:56 - Non, oui, je n'ai pas analysé aussi précisément que Cyril le discours.
00:47:02 Mais en tout cas, il a mis un petit moment, Arnaud Gérard.
00:47:04 Peut-être qu'il fallait qu'il appuie un peu sur l'accélérateur pour aller le dépanner,
00:47:09 lui donner l'information.
00:47:12 Mais bon, on va vite être fixé.
00:47:15 Et puis après, il y a quand même un paramètre à prendre en compte,
00:47:18 c'est que le lendemain de chrono, du coup, je parle pour l'étape d'hier,
00:47:22 le lendemain de compte la monte de prologue,
00:47:24 des fois, on peut avoir des départs un peu compliqués.
00:47:28 Donc voilà, ça peut s'expliquer assez simplement, des fois.
00:47:31 - Je vais aller plus loin dans l'analyse.
00:47:33 - Vite fait alors.
00:47:34 - Oui, mais vite fait, c'est très court, trois minutes.
00:47:37 Quand vous avez un coureur qui est sûr, votre ton est différent.
00:47:42 Et vous dites non, non, il n'y a aucun problème.
00:47:44 Et là, vous affirmez les choses, alors que là, ça a été...
00:47:49 Comment je vais m'en sortir, en gros ?
00:47:52 - On sent le vécu.
00:47:53 Cyril, de toute façon, il a toujours dit que quand il était directeur sportif,
00:47:57 il disait toujours le contraire de ce qu'il pensait réellement.
00:47:59 Donc c'est un peu pour ça.
00:48:01 À chaque fois que vous réagissez de cette façon, vous êtes persuadé.
00:48:03 - On a dit de faire court.
00:48:04 - Carnot.
00:48:05 Oui, bon, d'accord.
00:48:06 Alors écoutez, vous savez ce qui se passe quand on arrive en haut d'un col
00:48:08 et qu'on aborde une descente surtout aussi large et peu technique
00:48:11 que celle du col de la vue des Alpes.
00:48:13 On en profite sur la chaîne équipe pour tourner une page de publicité.
00:48:16 On vient dans quelques minutes, à tout de suite.
00:48:28 37 kilomètres à parcourir dans cette deuxième étape du Tour de Romandie
00:48:32 entre Morteau et Lachaudefonds.
00:48:35 Départ donné de France de Morteau, arrivée jugée à Lachaudefonds
00:48:40 avec entre-temps 162 kilomètres.
00:48:44 Il en reste encore 37.
00:48:46 On a franchi trois difficultés de deuxième catégorie
00:48:49 et l'ascension du communal, qui est une côte de troisième catégorie.
00:48:52 Il reste encore le col de la Tourne et à nouveau l'ascension du communal,
00:48:56 dont le sommet est situé à une dizaine de kilomètres de l'arrivée.
00:49:01 Pour l'instant, il reste deux hommes en tête.
00:49:03 Ils étaient trois, mais Tom Bely, le Suisse de la formation Tudor, a été distancé.
00:49:09 Julien Bernard est aux avant-postes, maillot bleu ciel.
00:49:12 Oui, vous allez me dire bleu ciel, l'autre, on va dire Astana, c'est maillot bleu turquoise.
00:49:16 Tout est dans la subtilité, la nuance.
00:49:18 Julien Bernard a empêché les points de la montagne
00:49:21 et c'est son objectif principal aujourd'hui encore.
00:49:23 Il sait très bien qu'avec un écart aussi mince,
00:49:26 les deux hommes vont être maintenant rapidement repris.
00:49:29 Il va quand même essayer de rester aux avant-postes jusqu'au sommet du col de la Tourne
00:49:34 afin de prendre des points encore un peu plus.
00:49:38 Mais ne rêvons pas, le communal, la dernière côte, il ne sera plus devant.
00:49:41 Et même le col de la Tourne, Pierre Roland, on peut avoir des doutes.
00:49:44 Ça va être juste, je pense sincèrement que la course va se déclencher dans ce col de la Tourne.
00:49:53 D'ici 4-5 kilomètres, grand max, il devrait y avoir des mouvements dans le peloton.
00:49:59 Alors des mouvements individuels ou des mouvements collectifs, ça on ne sait pas.
00:50:03 En tout cas, la course risque de décanter, de commencer réellement dans 3-4 kilomètres.
00:50:11 Et pendant les kilomètres de descente que nous avons vécu,
00:50:15 on tournait une page de publicité à ce moment-là, dans la descente du col de la vue des Alpes,
00:50:19 et bien ça roulait très très vite, puisqu'on a atteint des vitesses de supérieur à 100 km/h pour les coureurs.
00:50:27 On ne dépasse pas souvent les 100 km/h quand même à vélo.
00:50:31 Ce soir dans le bus, ça va être la compétition de qui va à la vitesse max.
00:50:36 Parce que les compteurs enregistrent les vitesses max, il y a tout le temps des petites statistiques.
00:50:41 Et ça va être "toi tu as fait combien, moi j'ai fait tant".
00:50:44 Mais en tout cas, oui, ils ont dépassé la plupart des coureurs, surtout ceux qui sont en tête,
00:50:48 parce qu'ils vont plus vite, ils voient plus loin, donc ils peuvent lâcher vraiment les freins.
00:50:52 Ils ont dépassé les 100 km/h et ça reste quelque chose d'assez rare et d'assez impressionnant.
00:50:59 Parce que les pneus font quelques centimètres et rouler à cette vitesse avec les vélos de route,
00:51:08 c'est quand même quelque chose de très impressionnant.
00:51:10 C'est toujours ce que les cyclistes ont beaucoup de mal à faire comprendre aux automobilistes ou même aux motards.
00:51:16 C'est qu'eux, ils évoluent sur une bande de roulement, vous dites quelques centimètres,
00:51:20 la zone de contact n'est pas très importante.
00:51:25 Oui, la bande de roulement, elle est minime, c'est quelques millimètres.
00:51:32 Après, les boyaux, les pneus ou les tubeless mesurent 25 millimètres,
00:51:36 donc deux centimètres et demi à peu près, c'est une moyenne.
00:51:41 Mais la bande de roulement, c'est 3, 4, 5 millimètres sur le haut du pneu.
00:51:46 Donc, parfois, c'est pour ça aussi qu'il faut faire attention à l'adhérence,
00:51:51 il faut comprendre aussi que la trajectoire est allée à toi.
00:51:54 En fait, on est à moins de 8 centimètres carrés au sol.
00:51:58 Bon alors là, ça ne va pas dire grand chose, 8 centimètres carrés, on a compris.
00:52:06 Effectivement, ça dépend après de la façon dont on a gonflé ces boyaux.
00:52:10 Si vous êtes crevé, ça fait plus.
00:52:12 Et pourtant, les risques sont bien supérieurs de tomber.
00:52:15 À 100 km/h, une crevaison, quand on est à cette vitesse-là,
00:52:21 des fois, ça nous arrive de réfléchir à ce qui peut arriver de pire.
00:52:25 Et là, on ne passe pas un bon moment.
00:52:27 Après, il ne faut pas y penser.
00:52:30 - Une neuf, il ne faut pas y penser.
00:52:32 - Ah oui, mais... - Il faut essayer.
00:52:34 Mais ce n'est pas donné à tout le monde de ne pas penser à ces choses qui peuvent arriver.
00:52:40 Après, on voit, les routes sont parfaites.
00:52:42 Il n'y a pas un trou, il n'y a pas un caillou, il n'y a pas d'obstacle sur la route.
00:52:48 C'est aussi la raison pour laquelle ils prennent 100 km/h.
00:52:52 - L'arrière du peloton, toujours avec Kevin Vauclin, qui ne quitte pas les dernières positions.
00:52:56 Le coureur, le leader même de la formation Arkea-Samsic.
00:52:59 Il y a des coureurs de l'équipe Ineos également qui sont à l'arrière de ce peloton.
00:53:04 Mais sur le côté opposé de qui il s'agit ces coureurs, c'est Yanar Vaes,
00:53:11 il y avait Cameron Wurz pour Ineos.
00:53:14 Et Gann Bernal n'est pas à l'arrière du peloton.
00:53:18 On avait vu Viviani tout à l'heure qui avait été distancé.
00:53:21 Le sprinter italien de cette équipe Ineos.
00:53:24 Et puis Ethan Haighter, on imagine qu'il est bien placé lui aussi.
00:53:27 - Et Groupama FDJ vient se positionner en tête.
00:53:31 - Avec Lenny Martinez que vous apercevez, le petit gabarit caché dans l'ombre de ses équipiers.
00:53:39 On a deux petits grimpeurs qui vont bien, ce sont des coureurs de poche.
00:53:44 - Et là, Julien Bernard, il ne va peut-être pas pouvoir aller chercher les points au col de la Tourne.
00:53:56 - On va dire que ça va dépendre du peloton et plus tellement de lui.
00:54:02 Les coureurs compris sur la gauche, ce n'était pas la bonne stratégie.
00:54:09 Mais là, la guerre des trains à l'avant du peloton a commencé.
00:54:14 Avec les équipes qui se mettent les unes à côté des autres pour arriver placées dans la prochaine difficulté.
00:54:19 - Vous voulez vivre en direct et sans interruption le col de la Tourne, le communal et tout le final de cette étape sans être interrompu.
00:54:26 Dans ce cas-là, on a trois petites minutes de pub à tourner.
00:54:30 On va le faire tout de suite, c'est un peu rapproché, mais c'est pour la bonne cause.
00:54:33 - On a besoin d'une respiration. - Voilà, respirez bien.
00:54:36 - Le leader est lâché à l'instant même, à 30 km de l'arrivée.
00:54:44 Un groupe vient de se faire distancer par le reste du peloton.
00:54:48 Et là, on s'est complètement relevé. Sergio Higuita ici au premier plan.
00:54:51 Mais également, c'est peut-être moins surprenant que Sergio Higuita finalement, le vainqueur de l'étape hier.
00:54:56 Le britannique est Anne Vernon qui est dans ce petit groupe que vous avez aperçu à l'arrière.
00:55:01 Devant, on a toujours Julien Bernard et Gleb Brusenski, le coureur kazakh de l'équipe Astana.
00:55:08 Mais en se retournant, Julien Bernard a compris qu'il ne parviendrait pas au sommet du col de la Tourne, situé à 25 km de l'arrivée,
00:55:15 pour prendre les points nécessaires.
00:55:17 Lui qui fait du maillot de meilleur grimpeur, qu'il porte déjà depuis le départ de cette étape, un objectif sur ce tour de Romandie.
00:55:24 Il laisse partir le coureur kazakh, mais pour combien de temps ?
00:55:28 Le peloton est là, ça y est, de toute façon c'est terminé.
00:55:30 Sous l'impulsion des coureurs de l'équipe Jumbo-Visma, les équipiers de Tobias Foss, le regroupement s'opère.
00:55:36 Et surtout, on durcit la course et on cherche à, et bien tout simplement, Cyril Guimard, à écrémer ce peloton,
00:55:42 à se délester des éléments superflus, des spricteurs, un peu comme hier, des coureurs rapides, en vue de la victoire d'étape.
00:55:49 Et puis pourquoi pas, mettre en difficulté certains favoris annoncés.
00:55:53 C'est déjà commencé pour Vernon, le lead, qui a sauté, donc Cerny redevient lead.
00:56:00 Au sein de cette équipe Sudal Quick-Step, pour Igita c'est quand même plus surprenant, Pierre-Roland.
00:56:07 Non, on savait qu'il n'était pas bien.
00:56:09 On savait qu'il n'était pas bien ? Eh bien moi je ne savais pas.
00:56:12 Ah ben je ne dis pas tout.
00:56:14 Alors il y en a un autre qui n'est pas très bien non plus, autant vous le dire.
00:56:19 Et si on voit le peloton à nouveau, c'est une confirmation, c'est Kevin Vauclin.
00:56:23 Kevin Vauclin d'ailleurs est-il encore au contact du peloton ?
00:56:27 Non, il est lâché.
00:56:29 Et on retrouve ici un groupe, alors ce que ce sont des spricteurs que l'on va retrouver dans ce groupe de lâchés.
00:56:38 On avait Pierre-Luc Périchon qui était distancé, on avait Lewis Askey.
00:56:42 Alors que ici on vous détaille le col de la Tourne, un col qui propose une pente moyenne de 7,1%, 7% pendant un peu plus de 4,5 km.
00:56:54 Donc c'est quand même, Pierre-Roland, une difficulté qui peut causer des dégâts au sein de ce peloton si on décide de le franchir à vive allure.
00:57:05 Oui, surtout qu'avant même l'ascension, ça commençait à monter.
00:57:09 Donc là les coureurs sont vraiment au réel pied, ce que vous avez dit, les 4,4 km à 7%.
00:57:17 Le pied est très difficile avec des kilomètres à 8, 8,5 et 1 km à 9% au milieu de cette difficulté.
00:57:25 Ça vise, ça vise.
00:57:27 Et ça va écrémer, c'est du travail de sable qui a commencé même hier.
00:57:32 Et voilà, on veut essayer de distancer les coureurs les plus rapides.
00:57:36 Bon, c'est pas une surprise de voir Julien Bernard distancer et son ancien compagnon d'échappée de l'équipe Astana-Brusenski,
00:57:43 qui lui aussi, vous l'apercevez là-bas, va retrouver finalement son compagnon, mais à l'arrière du peloton cette fois.
00:57:50 Il a raison, vous disiez, Cyril Limar, en vue des prochaines étapes ?
00:57:54 Bien sûr, il a fait un footing hier, il refait un footing aujourd'hui.
00:57:59 Là le peloton arrive, il faut qu'il aille dans le groupe des sprinters pour finir traquette-traquette.
00:58:04 Bon, j'ai pas besoin de traduire, on a tous compris.
00:58:07 Bon, allez, tranquillement.
00:58:09 Et là, c'est Jonathan Bogli qui est lâché.
00:58:12 Il appartient à l'équipe, à la sélection helvétique au départ de ce tour de Romandie.
00:58:19 Un coureur de la formation Opperheim Victorius.
00:58:22 Le ménage est en train de se faire.
00:58:25 Il y a des groupes, on a entreaperçu les bonnes grappes de coureurs se faire distancer.
00:58:30 On les voit.
00:58:31 Pryce Petersen a été distancé.
00:58:34 On est en train de remonter, les coureurs qui ont travaillé également, Domaine Novak, pour l'équipe UAE.
00:58:39 En tête de peloton, c'était les Jumbo Visma, et ils ont fait tourner l'effectif.
00:58:46 Les rouleurs se sont écartés.
00:58:47 Maintenant c'est Robert Gesink qui roule en tête devant Steven Kruijswijk.
00:58:52 Donc voilà, des purs grimpeurs.
00:58:55 Gesink qui va mettre un tempo très très haut pendant toute cette ascension.
00:59:00 Ça monte vite, ça monte vite, ça va pas tarder à exploser.
00:59:03 Et donc un peloton groupé, personne compte tenu de ce tempo semble en mesure d'attaquer.
00:59:16 Et ça se passe surtout derrière.
00:59:20 Si on attaque, on se pose 50 mètres devant, on fait un petit kilomètre grand maximum, et on revient dans le rang.
00:59:28 Simon Gueschke, distancé à son tour, le vainqueur d'étapes sur les routes du Tour de France.
00:59:34 C'était à Pralou.
00:59:36 Il y avait Ria pour la Movistar, distancé.
00:59:40 Il n'est pas le seul de son équipe.
00:59:42 Il y a Mozzato pour la Arkea Samsic.
00:59:44 Ivan Romeo également de Movistar.
00:59:46 Oui, je reviens à Kevin Vauclin, c'est quand même une surprise et une déconvenue de le voir distancé.
00:59:56 Ici c'est son coéquipier, Luca Mozzato, mais il a été distancé avant le sprinter.
01:00:02 Donc ça veut dire qu'il y a quelque chose.
01:00:04 Arnaud Gérard, il ne nous a pas tout dit.
01:00:06 Tout à l'heure, lorsque nous l'avons appelé dans sa voiture, Cyril Guimard, vous aviez parfaitement dessiné chez lui une certaine gêne.
01:00:15 Peut-être à dévoiler, bien sûr, aux adversaires.
01:00:19 Mais de toute façon, c'était écrit visiblement qu'il ne pourrait pas accompagner les meilleurs.
01:00:24 Est-il souffrant ?
01:00:26 Il n'avait pas réalisé un prologue à la hauteur de ses espérances.
01:00:32 Oui, il y a eu plein de situations.
01:00:36 Le vélo qui est modifié au niveau des positions.
01:00:41 Modifié parce que les commissaires avaient estimé que le vélo n'était pas réglé exactement de façon réglementaire.
01:00:49 Donc on l'avait au contraint à modifier sa position.
01:00:53 Et ça, ça fait perturbant juste avant le départ.
01:00:55 Mais là, il y a quand même autre chose.
01:00:57 Il y a autre chose. On l'a déjà vu bien avant.
01:00:59 C'est vrai qu'Arnaud Gérard a hésité à dire "oui, il n'est pas bien".
01:01:04 Je crois que dans certaines circonstances, ce n'est pas être honteux que de dire "oui, mon coureur, il n'est pas bien".
01:01:11 Et puis il a tel ou tel problème. Je crois que c'est plus clair, c'est plus honnête que de dire la langue de bois qui est en plus fausse.
01:01:20 Oui, et puis de toute façon, les adversaires, qu'est-ce qu'ils en ont à faire ?
01:01:23 Si le coureur est souffrant, si de toute façon la vérité s'écrit sur la route et à quelques minutes de distance.
01:01:30 On n'est pas content qu'on nous parle comme ça, qu'on mente éhontément comme ça à l'antenne de la chaîne d'équipe.
01:01:36 Ça ne se fait pas.
01:01:37 Regardez comment ça continue.
01:01:39 C'est la partie la plus difficile de cette ascension avec quelques lacets, une pente à plus de 9%.
01:01:45 C'est là que ça fait le plus mal aux jambes et après sur le haut aussi, la pente descend un petit peu,
01:01:51 mais les coureurs vont reprendre de la vitesse et c'est là que les écarts peuvent se faire.
01:01:55 J'aimerais bien qu'on revienne sur la queue du peloton.
01:02:03 Il y a des premiers.
01:02:29 Milan-Menten en difficulté. Les sprinteurs, évidemment, ils passent un sale moment.
01:02:33 On savait de toute façon que les sprinteurs allaient se retrouver écartés.
01:02:40 Tout le monde était d'accord.
01:02:41 Pierre Roland, Arnaud Gérard, sur ce point, nous l'avons précisé aussi.
01:02:45 Attendre peut-être 15-20 coureurs à l'arrivée de cette étape à la chaude fond.
01:02:49 On n'y est pas encore.
01:02:50 On a vu deux coureurs de l'équipe DSM qui étaient en difficulté.
01:02:55 Marco Brenner est le sprinteur de cette équipe, Alberto Deinezze.
01:02:59 Et on est en train de remonter vers les premières positions.
01:03:04 On voit plus l'arrière que l'avant, mais parce que tout simplement,
01:03:06 il se passe plus de choses derrière que devant.
01:03:09 À l'heure actuelle, devant, c'est le rouleau compresseur de l'équipe Jumbo-Vispa
01:03:13 qui écrase la course pour l'instant.
01:03:19 Allez, on continue avec Nico Dens à son tour.
01:03:26 Distancé.
01:03:29 Et alors, il lui reste combien d'équipiers ?
01:03:39 Deux équipiers, encore trois.
01:03:40 Trois pour Tobias Voss, donc pas de soucis.
01:03:46 En ce qui concerne le leader de la course,
01:03:49 qui est à une seconde seulement au classement général.
01:03:53 Il était ce matin à une seconde d'Ethan Vernon.
01:03:56 Donc très bien parti pour endosser le maillot de leader
01:04:00 si bien sûr il se maintient aux avant-postes jusqu'à la fin de cette étape.
01:04:04 Il commence à avoir quelques signes de fatigue.
01:04:08 On le voit un petit peu grimacer dans la route, ses équipiers.
01:04:12 Et puis, il ne faut pas oublier qu'il y a des bonifications à prendre à l'arrivée.
01:04:15 Donc il faudra quand même regarder parmi tous les coureurs
01:04:19 qui étaient devant hier à l'issue de cette étape,
01:04:22 s'ils ne restent pas encore en sa compagnie quand on arrivera à la chaude fin.
01:04:28 Quentin Nermann, c'est un de l'équipe Alpecin de Canucks,
01:04:30 aurait pu être un client sur un profil comme aujourd'hui.
01:04:34 Anthony Perez de la Cofidis.
01:04:38 Le vainqueur de la Drôme classique en compagnie.
01:04:43 De Clément Venturini.
01:04:46 C'est des coureurs qui passent bien les bosses normalement.
01:04:52 Donc ça veut vraiment dire que le tempo est très soutenu.
01:04:55 Il a été soutenu toute la journée.
01:04:58 C'était quoi ? C'était le panneau indiquant la fin de ce col.
01:05:03 Il doit rester à 1,5 km, c'est ça ?
01:05:06 C'était le panneau en tout cas à l'arrière du peloton qu'on a vu.
01:05:09 Ils sont un petit peu plus haut maintenant.
01:05:13 On est dans le dernier kilomètre d'ascension à peu près.
01:05:17 Bientôt en tout cas.
01:05:20 Vous voyez Juana Yuzo qui a saisi un bidon,
01:05:26 qui est dans les premières positions.
01:05:28 L'Espagnol de l'équipe UAE, porteur du maillot blanc.
01:05:32 Alors qu'à l'arrière, Yann Christen se fait lâcher.
01:05:36 Yann Christen de la sélection helvétique.
01:05:42 Ce n'est pas la dernière difficulté,
01:05:54 puisqu'après le col de la Tourne,
01:05:56 les coureurs redescendront sur la Sagne,
01:05:59 où tout à l'heure il y a eu le sprint intermédiaire
01:06:03 qui n'a pas vraiment été discuté d'ailleurs,
01:06:06 avant d'attaquer à nouveau le communal.
01:06:10 Ce sera la dernière côte du parcours,
01:06:12 mais qui est beaucoup plus courte et moins difficile
01:06:16 que l'ascension du col de la Tourne.
01:06:20 Et après avoir basculé au sommet de cette dernière côte,
01:06:24 il restera 10 km pour rejoindre l'arrivée.
01:06:31 Je vais émettre un doute sur ce qu'on a dit
01:06:34 par rapport à Kevin Vauclin.
01:06:36 J'ai l'impression qu'il y a un coureur de son équipe
01:06:39 qui a le même gabarit,
01:06:41 mais j'ai un doute sur le fait qu'il soit distancé.
01:06:43 On aurait pris quelqu'un d'autre,
01:06:45 je serais obligé de m'excuser publiquement,
01:06:47 mais je le ferai sans aucun scrupule.
01:06:49 Il y a Erwan Kostou qui lui ressemble au niveau du gabarit.
01:06:54 C'est vrai que tous ces maillots rouges
01:06:56 entre Ineos, Bahrein, Arkea,
01:06:59 on s'y confond quand l'image est un peu de loin.
01:07:03 Tout à l'heure, il a quand même perdu quelques mètres sur le peloton
01:07:06 et on avait vraiment le sentiment
01:07:08 qu'il était en train de se faire distancer.
01:07:10 Est-ce qu'il a eu à nouveau un incident mécanique ?
01:07:13 Sur cette vue, peut-être qu'on va mieux voir
01:07:15 les coureurs passés.
01:07:17 Le coureur espagnol de l'Arkea.
01:07:26 Le coureur espagnol de l'équipe Arkea,
01:07:28 c'est Cristian Rodriguez.
01:07:30 Lui, il est dans ce premier groupe.
01:07:32 On est en train de remonter, justement.
01:07:34 On remercie le réalisateur
01:07:36 qui nous permet d'avoir cette vue.
01:07:38 On voit les coureurs ici qui ne sont pas très bien placés
01:07:41 dans ce peloton.
01:07:43 Tony Galopin pour la Trek Sega Fredo.
01:07:47 Kei Sedo.
01:07:49 On a vu à l'instant Enzo Paleni.
01:07:52 Le Wacy pour Fredo.
01:07:54 Le 162 pour l'équipe Arkea Samsic.
01:08:00 C'est Clément Champouça.
01:08:02 Et Erwann Costiou.
01:08:04 Il n'y a pas de Kevin Vauclin.
01:08:06 Il a bien été distancé tout à l'heure
01:08:08 au pied de cette montée.
01:08:10 On est en train de continuer
01:08:12 à remonter vers les hauteurs du peloton.
01:08:16 Et vous avez vu, bien placé l'équipe UAE
01:08:20 avec Rafa Maïka,
01:08:22 avec Adam Yetz,
01:08:24 avec également Juan Ayuso.
01:08:29 On voit ce que j'essayais de vous expliquer tout à l'heure.
01:08:34 Quand il y a de la pente, c'est très difficile.
01:08:36 Mais quand ça se raplanit,
01:08:38 l'élastique se tend.
01:08:40 Et là, c'était très difficile pour les coureurs en queue de peloton.
01:08:44 Ils ne passaient pas un très bon moment.
01:08:47 Tout ce qu'on a énuméré.
01:08:49 J'ai oublié de citer pour l'équipe UAE,
01:08:52 il y a également Michael Bjerg,
01:08:54 qui est encore présent dans ce peloton.
01:08:59 Allez, Jorgensen et Barta pour l'équipe Movistar.
01:09:05 Ils sont roues dans roues.
01:09:07 Egan Bernal est bien présent.
01:09:11 Il n'y a pas de problème.
01:09:13 Les coureurs de l'équipe UAE,
01:09:19 avec Magnus Kort, Simon Carr,
01:09:22 et je crois que c'était A. King que l'on a vu.
01:09:29 On a perdu des unités,
01:09:31 mais on a encore un peloton assez consistant.
01:09:36 Je ne vais pas vous dire exactement combien ils sont.
01:09:38 Comme ça, j'aurais envie de dire qu'ils sont encore 60-70.
01:09:42 Thibaut Pinot à l'arrière du peloton principal,
01:09:45 sur la droite.
01:09:48 On a vu Germani et Paleni, ses équipiers.
01:09:51 Leni Martinez est également présent dans ce groupe.
01:09:55 Voilà en ce qui concerne l'équipe Groupama FDJ.
01:09:58 Peut-être que j'oublie un coureur,
01:10:00 mais on vous parle de ceux que l'on a vus.
01:10:04 C'est un peu plus loin.
01:10:07 On a vu un peu plus loin.
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01:21:10 On a vu un peu plus loin.
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01:21:16 On a vu un peu plus loin.
01:21:19 On a vu un peu plus loin.
01:21:22 On a vu un peu plus loin.
01:21:25 On a vu un peu plus loin.
01:21:28 - On se délaisse des bidons.
01:21:31 C'est une zone de déchet.
01:21:34 Avant d'attaquer la dernière difficulté.
01:21:37 - Si on repart de Bernal,
01:21:40 il était dans le sprint hier.
01:21:43 - Ça se passe bien.
01:21:46 - On voit la vallée large.
01:21:49 Cette localité traversée par cette rue principale.
01:21:52 - Ça se positionne.
01:21:55 Dans un petit kilomètre,
01:21:58 les coureurs seront au pied de la dernière difficulté.
01:22:01 - Ils sont déjà en prise.
01:22:04 Ils accélèrent, mais ça monte un peu.
01:22:07 - Les pourcentages les plus raides sont au pied.
01:22:10 - On va voir si Bernal a retrouvé un peu de vie.
01:22:13 - L'épingle à cheveux.
01:22:16 - C'est bien.
01:22:19 Ça va y tirer du peloton.
01:22:22 - On voulait aborder cet épingle à cheveux en test.
01:22:25 - C'est le début du col.
01:22:28 - 1,67 km à 7,6 %.
01:22:31 Avec au pied ce petit mur à 10 %.
01:22:34 - Ça sort tout de suite.
01:22:37 - Avec l'équilibre.
01:22:40 - Avec l'équipe Astana.
01:22:43 L'un d'entre eux a décidé de prendre les devants.
01:22:46 - Il ne fait pas mine.
01:22:49 Il a tombé les dents.
01:22:52 Il en remet.
01:22:55 - Michael Woods d'Israël.
01:22:58 4e position.
01:23:01 C'est Paterrada qu'on a en 1re position.
01:23:04 On a 4 coureurs à l'arrière.
01:23:07 - Michael Woods qui va.
01:23:10 Le puncher.
01:23:13 Un spécialiste de ses efforts.
01:23:16 Il est vraiment...
01:23:19 2 ou 3 minutes, c'est là où il excelle.
01:23:22 - On a vu des coureurs se garer.
01:23:25 - Qui est là ?
01:23:28 On a Woods.
01:23:31 Derrière, on va retrouver Thomas Glog.
01:23:34 Le britannique de l'équipe.
01:23:37 Ensuite, Oscar Onley.
01:23:40 Donné dans les pronostics.
01:23:43 Le 4e, je n'ai pas vu qui c'était.
01:23:46 Pour l'équipe Movistar.
01:23:49 Qui est en train de s'accrocher.
01:23:52 C'est difficile pour Onley.
01:23:55 Qui a reculé.
01:23:58 - Ça pète bien.
01:24:01 - Onley n'arrive pas à suivre.
01:24:04 Oscar Onley est en train de laisser partir Michael Woods.
01:24:07 En compagnie de Thomas Glog.
01:24:10 Et le 3e pour l'équipe Movistar.
01:24:13 - Mühlberger.
01:24:16 - Onley a été repris par le peloton.
01:24:19 - C'est tendu.
01:24:22 - Un paquet qui sont en sursaut.
01:24:25 - On a le 3e.
01:24:28 - Il y a le champion d'Italie qui fait l'effort.
01:24:31 - La descente est technique.
01:24:34 Rapide.
01:24:37 Dans les bois.
01:24:40 Avec quelques belles courbes.
01:24:43 On va être dans le long faux plat.
01:24:46 Qui va mener les coureurs à la ligne d'arrivée.
01:24:49 Romain Bardec est bien positionné.
01:24:52 - L'effort de Philippe Ozana aura été de courte durée.
01:24:55 Il a été débordé.
01:24:58 - On voit les meilleurs qui se détachent.
01:25:01 - La particularité de Michael Woods, c'est qu'il ne se rassoie
01:25:04 quasiment jamais dans ce type d'effort.
01:25:07 Il monte tout en danseuse.
01:25:10 Avec un braquet assez important.
01:25:13 Et c'est...
01:25:16 Jets qui réagit à son tour.
01:25:19 Romain Bardec essaye de boucher le bras.
01:25:22 250 mètres du meilleur grimpeur du classement.
01:25:25 La descente technique.
01:25:28 Il y a des dégâts.
01:25:31 C'est limite, limite.
01:25:34 On est tout proche.
01:25:37 - A l'arrière.
01:25:40 Magnus Cort qui est en difficulté.
01:25:43 Avec son équipier Jonathan Caicedo.
01:25:46 Encore 250 mètres à tenir.
01:25:49 - Il fait un peu tampon pour essayer de le ramener
01:25:52 le plus gentiment possible.
01:25:55 On a vu.
01:25:58 - On passe au sommet.
01:26:01 A 11 km de l'arrivée.
01:26:04 - Thibaut Pinot devant.
01:26:07 - Léni Martinez est un peu en...
01:26:10 - Et Claubias Fosse qui passe avec un peu de retard.
01:26:13 - Grandes chances de revenir.
01:26:16 - Rémi Cavagna.
01:26:19 C'est un peu juste.
01:26:22 Peut-être compliqué.
01:26:25 - Caicedo et Magnus Cort qui passent maintenant
01:26:28 avec Kruijswijk.
01:26:31 - La ligne avec Kruijswijk qui est en dernière position.
01:26:34 - Heureusement que cette côte faisait qu'un kilomètre et demi.
01:26:37 Sinon il y aurait eu beaucoup plus de dégâts.
01:26:40 - On voit que Kruijswijk a fait un peu les frais
01:26:43 pour se rendre à l'arrivée.
01:26:46 - Il a peut-être bossé.
01:26:49 - Il ne semble pas.
01:26:52 - C'est l'équipe Jumbo-Visma qui a durci la course.
01:26:55 C'est peut-être le travail fait en amont qui a permis
01:26:58 de rendre cette dernière difficulté sélective.
01:27:01 Est-ce qu'on va se regrouper devant ?
01:27:04 Tout dépendra de l'allure.
01:27:07 - Les UAE ont pris la main.
01:27:10 - On va voir ce qu'ils vont faire à 10 km de l'arrivée
01:27:13 après les micro-cassures qui ont été opérées dans cette côte.
01:27:16 - Kruijswijk ne rentre pas car il descend comme un verre passé.
01:27:19 - S'il y avait un kilomètre 600 de montée,
01:27:22 il n'y aura pas beaucoup de descente non plus.
01:27:25 Je vérifie sur mon profil.
01:27:28 La descente est quand même plus longue que la montée.
01:27:31 - Oui, parce qu'après il faut remonter sur la Chaux-de-Fonds.
01:27:34 - La fin de ce circuit n'est pas la fin.
01:27:37 - Thibaut Pinot en tête du peloton.
01:27:40 - Devant Romain Bardet.
01:27:43 - Un marquage à la culotte !
01:27:46 - Il va faire le premier Français de l'étape du jour.
01:27:49 - Oh, dis donc !
01:27:52 - C'est pour nous ça !
01:27:55 - C'est notre pronom !
01:27:58 - C'est le premier français de l'étape du jour.
01:28:01 - C'est le premier français de l'étape du jour.
01:28:04 - C'est la partie un peu plus technique de cette descente.
01:28:07 - Magnus Kortnilsen vient d'opérer la jonction à l'arrière du peloton.
01:28:10 - Il y a eu un petit moment de flottement.
01:28:13 C'est ce qui lui a permis de revenir avec l'aide de son équipier,
01:28:16 Caicedo.
01:28:19 - Tous les coureurs qui avaient été légèrement distancés
01:28:22 ont pu rentrer.
01:28:25 - Magnus Kortnilsen et Caicedo, c'est un peu la même chose.
01:28:28 - C'est un peu la même chose.
01:28:31 - Magnus Kortnilsen et Caicedo, c'est certainement les derniers coureurs
01:28:34 à opérer la jonction.
01:28:37 C'était eux qui étaient le plus à la limite.
01:28:40 Une petite partie technique dans les bois.
01:28:43 Quelques belles courbes qui se prennent assez vite.
01:28:46 - Attention au commun.
01:28:49 Ils sont passés déjà, on le rappelle.
01:28:52 Puisque c'est la deuxième fois que l'on passe sur ce secteur
01:28:55 autour de cette côte du communal.
01:28:58 - Damiano Caruso qui fait la descente.
01:29:01 Un excellent descendeur.
01:29:04 - Caruso, deuxième du Tour d'Italie il y a deux ans.
01:29:07 Damiano Caruso qui disputera à nouveau ce Tour d'Italie
01:29:10 pour la sixième fois dans quelques jours.
01:29:13 pour la sixième fois dans quelques jours.
01:29:16 pour la sixième fois dans quelques jours.
01:29:19 - La moto, la moto, la moto.
01:29:22 Vise, vise, vise.
01:29:25 - Allez, emmène-le bien.
01:29:28 - Il a pris un bon relais.
01:29:31 Qui c'est ce coureur ? Difficile de l'identifier.
01:29:34 - Là c'est en file indienne.
01:29:43 - Il va y avoir des cassures quand ils vont retourner sur la droite.
01:29:46 On va voir tout un tas de cassures.
01:29:49 Après, à savoir si l'effort va être poursuivi ou pas.
01:29:52 - Il y a quelques mètres, ils vont tourner sur la droite
01:29:55 et ils vont prendre ce long, long, long faux-plat interminable.
01:29:58 C'est vraiment très, très long.
01:30:01 Et là si la relance est faite, il va y avoir quelques cassures à l'arrière.
01:30:04 Non, la relance ne se fait pas.
01:30:07 - Non, on temporise.
01:30:10 - Ça pour Magnus Cornilsen, c'est très, très bien.
01:30:13 Mais même si la relance ne se fait pas, vu que le peloton est très, très étiré.
01:30:16 - Derrière, ça fait mal.
01:30:19 - C'est Romain qui est en 3ème position.
01:30:22 - Oui, c'est Romain apparemment.
01:30:25 - Le 27.
01:30:28 - Non, c'est Max Poul.
01:30:31 - Max Poul.
01:30:34 - Le jeune Poul.
01:30:37 - En compagnie de l'américain William Bartha.
01:30:40 - Et Yon Isaguirre.
01:30:43 - Et Michael Woods qui retourne avec Kenny Ellison.
01:30:46 On ne laisse pas sortir.
01:30:49 - Il ne reste que 6 km.
01:30:52 Ce n'est pas le moment de rigoler.
01:30:55 Et Rémi est là.
01:30:58 - Oui, à l'arrière du peloton.
01:31:01 Ils vont reprendre une petite descente.
01:31:04 Ils vont retourner de nouveau sur la droite.
01:31:07 Et ça va de nouveau remonter.
01:31:10 Et ils vont reprendre une petite descente.
01:31:13 Ils vont retourner de nouveau sur la droite.
01:31:16 Et ça va de nouveau remonter.
01:31:19 - Côte non répertoriée.
01:31:22 Pas très longue.
01:31:25 Mais peut-être suffisante pour faire des écarts.
01:31:28 C'est ce que tente de faire le Canadien Michael Woods.
01:31:31 Il va contrer.
01:31:34 Tout le monde suit.
01:31:37 - Pour l'instant.
01:31:40 - Il y a un type de long long faux plat.
01:31:43 Dans les roues, quand on est en 15e ou 20e position,
01:31:46 on se dit que ce n'est pas compliqué.
01:31:49 - On va peut-être voir une attaque de Bernal.
01:31:52 - C'est Simon Yates qui est là en 2e position.
01:31:55 - Attendez.
01:31:58 - C'est Adam.
01:32:01 - Non, c'est Eddie Dunbar.
01:32:04 - Jonathan Narvaez qui roule en tête de ce peloton.
01:32:07 - On va commencer à se mettre en place au niveau d'Ineos.
01:32:10 Pour Ethan Haïter.
01:32:13 On va miser tout sur Ethan Haïter.
01:32:16 Pour l'étape et éventuellement prendre le maillot de leader.
01:32:19 - C'est le coureur de l'équipe Bora.
01:32:22 Eutebrooks, coureur de grand talent en Belgique.
01:32:25 On va voir s'il est capable.
01:32:28 Ça peut être une étape pour lui.
01:32:31 On aurait pu le citer dans les pronostics.
01:32:34 Mais là, il faudrait le voir rentrer en action.
01:32:37 - Ça va être difficile d'attaquer.
01:32:40 Si Narvaez et Castroviero se mettent à rouler,
01:32:43 ça va être compliqué.
01:32:46 Et Wan-Kosthu pour l'Arkea qui s'accroche.
01:32:49 - Et Wan-Kosthu pour l'équipe Arkea-Semsi
01:32:53 qui est à l'arrière de ce peloton.
01:32:56 Aux côtés de Magnus Kortnilsen.
01:32:59 Alors que devant, les Bahreins roulent.
01:33:02 - Et ils ne vont pas courir après celui-là.
01:33:05 Qui vient d'attaquer à l'instant.
01:33:08 Parce que Gino Madère tente de s'échapper.
01:33:11 - Et c'est Bernat qui fait l'effort derrière.
01:33:15 - Ça n'a pas cassé.
01:33:18 Ça a bien toxiné.
01:33:21 - Les petits espaces de 1 ou 2 m
01:33:24 entre les coureurs, ce n'est pas pour prendre
01:33:27 une distance de sécurité.
01:33:30 Parce que ça fait très mal aux jambes.
01:33:33 - C'est un peu comme un peu de la France.
01:33:36 - C'est un peu comme un peu de la France.
01:33:39 - C'est un peu comme un peu de la France.
01:33:42 - C'est un peu comme un peu de la France.
01:33:45 - C'est un peu comme un peu de la France.
01:33:48 - C'est un peu comme un peu de la France.
01:33:51 - C'est un peu comme un peu de la France.
01:33:54 - C'est un peu comme un peu de la France.
01:33:57 - C'est un peu comme un peu de la France.
01:34:00 - C'est un peu comme un peu de la France.
01:34:03 - C'est un peu comme un peu de la France.
01:34:06 - C'est un peu comme un peu de la France.
01:34:09 - Thino Madère est surmotivé.
01:34:12 Il saute sur tout ce qui bouge, il attaque.
01:34:15 Je pense qu'il a dû écouter le supporter
01:34:18 qui l'a donné favori.
01:34:21 - Oui, ça c'était dans l'émission de Claire Bricogne
01:34:24 qu'on a pu entendre tout à l'heure.
01:34:27 Tobias Fausse bien placé, attaque sur la droite.
01:34:30 Le porteur du maillot blanc, Juan Ayuso
01:34:33 qui tente de sortir, Filippo Zanna qui contrôle.
01:34:36 Et en troisième position dans la roue de Filippo Zanna,
01:34:39 on avait Damiano Caruso.
01:34:42 Ayuso se relève.
01:34:45 - Il n'est pas têtu.
01:34:48 - On a également Thomas Glog, ce jeune coureur britannique,
01:34:51 vainqueur sur les routes du Tour de l'Avenir
01:34:54 et sur les routes de la Ronde de l'Isard.
01:34:57 Il appartient à l'équipe Jumbo-Visma.
01:35:00 Attaque sur le côté droit.
01:35:03 C'est Thibaut Pinot qui tente d'y aller.
01:35:06 - C'est bien tenté.
01:35:09 - Oui, mais pas de bonne sortie.
01:35:12 Si personne n'arrive à trouver l'ouverture,
01:35:15 il n'y a pas d'hésitation derrière.
01:35:18 Toujours un coureur pour sauter dans la roue des attaquants.
01:35:21 On signale l'abandon de Kevin Vauclin,
01:35:24 l'abandon du leader de la formation Arkea-Samsic.
01:35:27 Confirmation que quelque chose n'allait pas
01:35:30 chez le récent vainqueur du Tour du Jura.
01:35:33 Vainqueur également du Tour des Alpes-Maritimes et du Var.
01:35:36 Pour l'instant, peloton groupé.
01:35:39 On prendra bien sûr des nouvelles de Kevin Vauclin.
01:35:42 Vous en saurez plus si ce n'est ce soir,
01:35:45 en tout cas demain, avant le départ,
01:35:48 avant le début de cette retransmission
01:35:51 pour la troisième étape.
01:35:54 - Tony Gallopin pour la Trek.
01:35:57 - Il part à deux, j'ai l'impression.
01:36:00 - Kenny Ellison dans la roue.
01:36:03 - Oui.
01:36:06 - Gallopin, Ellison.
01:36:09 - Je crois que Gallopin a sorti Ellison.
01:36:12 - C'est Rafa Maïka qui est revenu sur eux.
01:36:15 - Il va lui faire la cassure,
01:36:18 Kenny, à la sortie du rond-point.
01:36:21 - Il y a déjà quelqu'un.
01:36:24 On s'est un peu frotté d'ailleurs
01:36:27 entre Kenny Ellison et peut-être bien nouveau Eddie Dunbar.
01:36:30 Deux kilomètres encore.
01:36:33 - Il faudrait qu'il laisse partir.
01:36:36 - Il y a un autre coureur de la même équipe.
01:36:39 - On peut faire la cassure,
01:36:42 mais on ne s'est pas bien compris devant.
01:36:45 - Etat-Nahiter, Nambès et Bernal.
01:36:48 Bernal qui est en deuxième position.
01:36:52 - Il reste 1,6 km.
01:36:55 - Ça va être comme hier.
01:36:58 Ce n'est pas un sprint très académique.
01:37:01 Les Ineos, c'est l'équipe la mieux organisée de loin.
01:37:04 - Un coureur de l'équipe Cofidis
01:37:07 est passé sur la droite.
01:37:10 C'était peut-être pas volontaire.
01:37:13 Le rond-point va permettre de rester sur la droite.
01:37:16 - Il ne pouvait pas.
01:37:19 - Il a dû quitter la gauche.
01:37:22 Sinon, il fait un strike.
01:37:25 - On avait Hicking en dernière position.
01:37:28 Romain va aller faire le sprint.
01:37:31 Il a pris un capital confiance hier.
01:37:34 Ça joue des coups d'aïka yuzo.
01:37:37 - Et c'est Bernal qui roule.
01:37:40 - Il y a des bonifications à prendre à l'arrivée de cette étape.
01:37:43 Ça frotte entre Romain et le coureur de l'équipe UAE.
01:37:46 - C'est la roue à prendre.
01:37:49 Romain a un équipier dans sa roue.
01:37:52 A savoir s'il va faire le sprint pour lui ou pour son équipier.
01:37:55 - C'est Oscar-Only qui est dans sa roue.
01:37:58 On a toujours les deux coureurs de la formation Ineos.
01:38:01 Narvaez qui est en train d'emmener.
01:38:04 Et Tan Haïter.
01:38:07 Narvaez, Haïter.
01:38:10 Derrière, Bardet.
01:38:13 Haïzo.
01:38:16 C'est lui qui est venu frotter avec Romain Bardet.
01:38:19 Et Oscar-Only, le coéquipier de Romain Bardet.
01:38:22 Oscar-Only de Sarcem 26.
01:38:25 - Les DSM vont se frotter l'un et l'autre.
01:38:28 - Avec Swinney qui va disputer le sprint.
01:38:31 Le coureur de l'Auto-Destiny.
01:38:34 Tan Haïter toujours en première position.
01:38:37 Roi d'Aïzo qui essaie de remonter.
01:38:40 - Je pense que Bardet fait 3.
01:38:43 - Une fois de plus, Romain Bardet va chercher une place d'honneur.
01:38:46 4e peut-être derrière Roi d'Aïzo.
01:38:49 Oh là là !
01:38:52 Il a failli tomber à l'instant.
01:38:55 Il y avait un régulateur qui s'était avancé sur la route.
01:38:58 Ils se sont touchés.
01:39:01 Il s'en est fallu de peu pour que l'on ait une chute
01:39:04 derrière la ligne d'arrivée avec le 20e.
01:39:07 Quoi qu'il en soit, on s'en sort avec une belle frayeur.
01:39:10 Tan Haïter a donc remporté cette étape.
01:39:13 Tan Haïter qui va faire une excellente opération
01:39:16 au classement général.
01:39:19 Puisqu'on vous l'a dit, Tan Vernon n'était pas présent
01:39:22 aux avant-postes dans le final de cette étape.
01:39:25 Tan Haïter était à 5.5.
01:39:28 Il a fait une bonne course.
01:39:31 Il a fait une bonne course.
01:39:34 Il a fait une bonne course.
01:39:37 Il est allé jusqu'à la fin de cette étape.
01:39:40 Il était à 5.10.
01:39:43 Normalement, c'est lui qui devrait prendre le maillot
01:39:46 de leader à l'issue de cette étape.
01:39:49 Il me semble qu'aucun des coureurs intercalés
01:39:52 ne prend de bonification dans ce sprint final.
01:39:55 On voit ici l'explication avec Romain Bardet
01:39:58 qui va se faire remonter par Roi d'Aïzo.
01:40:01 Aïzo va prendre la deuxième place.
01:40:04 Là, ça se joue avec le coureur de la formation Jaïko.
01:40:07 Peut-être bien... Je ne veux pas m'avancer
01:40:10 sur le nom du coureur de l'équipe Jaïko.
01:40:13 Quoi qu'il en soit, on a vécu
01:40:16 un final d'étapes passionnant.
01:40:19 C'est Sombrero qui va chercher une place pour Jaïko.
01:40:22 Peut-être troisième ou quatrième
01:40:25 en fonction de la photo finish
01:40:28 de la première étape.
01:40:31 Et Romain Bardet que vous voyez sur le côté gauche de la route.
01:40:34 Romain Bardet qu'on annonce même troisième
01:40:37 pour l'instant, à confirmer officiellement.
01:40:40 Et on va être avec nos envoyés spéciaux
01:40:43 qui ne sont pas très loin de lui.
01:40:46 Incroyable ce sprint, incroyable également tout ce final.
01:40:49 Il y a eu énormément d'attaques.
01:40:52 On va prendre le temps de redébriefer tout ça.
01:40:55 Le sprint a été chaud.
01:40:58 Ça a frotté dur entre Ayuso et Romain.
01:41:01 Et puis même Romain avec son équipier.
01:41:04 Je pense qu'il y aura un petit débrief à faire
01:41:07 parce qu'on ne s'est pas trop bien compris au niveau de la décennie.
01:41:10 C'est-à-dire que les deux ont sprinté et que ce n'est pas normal ?
01:41:13 Non, je ne dis pas que ce n'est pas normal.
01:41:16 Mais ils étaient côte à côte à 250 m.
01:41:19 Ils se sont un peu gênés.
01:41:22 On va analyser. Ça méritera peut-être une palette.
01:41:25 La question que je me pose,
01:41:28 est-ce qu'Onet ne voulait pas tout simplement
01:41:31 emmener Romain et Romain pris dans son truc,
01:41:34 dans la roue de Vepens ?
01:41:37 Alors que si Onet passe et qu'il sort,
01:41:40 ça change.
01:41:43 Romain est dans la bonne roue.
01:41:46 Et Itter, c'était la roue qu'il fallait.
01:41:49 Je ne sais pas si Romain peut le doubler.
01:41:52 Il se gêne un peu.
01:41:55 Est-ce qu'on se rend compte, messieurs,
01:41:58 que Romain Bardet, le nouveau sprinter français,
01:42:01 peut-être, regardez, c'est incroyable,
01:42:04 il termine 3e voire 4e pour l'instant.
01:42:07 On attend l'officialisation.
01:42:10 Mais encore une fois, une place dans un sprint massif à nouveau pour Romain Pia.
01:42:13 Alors un sprint demi-massif. Désolé, je ne veux pas casser l'ambiance.
01:42:16 Et par ailleurs, le plateau de sprinter est un peu amoindri
01:42:19 de par les abandons, de par les coureurs qui ont été distancés dans cette étape.
01:42:22 Mais plus qu'évidemment une éventuelle transformation
01:42:25 et un changement de registre,
01:42:28 ça confirme une nouvelle fois qu'il a les dents qui rayent, le bitume.
01:42:31 Et je trouve que c'est d'ailleurs la caractéristique de ce tour de Romandie.
01:42:34 Le vainqueur revient d'une fracture de la clavicule.
01:42:37 A Yousso, il revient de blessures, de maladies, etc.
01:42:40 Et on a Romain Bardet qui a très très faim.
01:42:43 Et le petit truc qui est sur sa dernière saison, c'est la course
01:42:46 des coureurs qui ont faim, qui sont affamés.
01:42:49 Que ce soit un sprint massif ou semi-massif,
01:42:52 je vous apporte quand même la précision que jamais Romain Bardet
01:42:55 dans un sprint de cette nature, avait été capable de faire
01:42:58 troisième au cours de sa carrière.
01:43:01 C'est donc vraiment quand même...
01:43:04 Il sort de son registre, c'est indéniable. Il sort des sentiers battus.
01:43:07 On pourrait dire "mais c'était pas l'arrivée au sentier, l'arrivée au sentier c'était hier".
01:43:10 Donc on la fera pas celle-là.
01:43:13 On va attendre le classement officiel de ce top 10, mais pour l'instant on l'annonce quand même vraiment
01:43:16 troisième Romain Bardet, donc au-dessus de sa place d'hier, encore incroyable.
01:43:19 Là on est en train de suivre le peloton, le maillot jaune,
01:43:22 en tout cas qui a perdu pied plutôt tôt, Ethan Vernon,
01:43:25 et qui donc perd également le
01:43:28 classement général et le maillot de leader. Patrick ?
01:43:31 Le classement effectivement avec les deux coureurs d'équipe DSM dans les 5 premiers
01:43:34 qui se sont peut-être gênés, intercalés.
01:43:37 Mathéo Sobrero. Et puis donc derrière on a,
01:43:40 vous l'avez vu, le coureur de l'équipe Loto Destiny
01:43:43 qui n'a jamais finalement réussi à déborder,
01:43:46 c'est l'Australien Aris Swinney, mec du sport
01:43:49 qui doit se contenter de la 8e place.
01:43:52 Et là on a des coureurs qui passent la ligne au fur et à mesure.
01:43:55 Bien sûr avec ces paquets... Vous êtes surpris un peu, Cyril ?
01:43:58 D'avoir vu autant de coureurs lâchés-pris,
01:44:01 surtout quand Vernon a lâché, on s'est un peu demandé ce qui se passait.
01:44:04 Non, pas surpris, parce que ça a monté très très vite
01:44:07 et on sait qu'à la vitesse où ça montait, compte tenu de la durée
01:44:10 de la montée, un certain nombre de coureurs
01:44:13 qui pèsent un petit peu plus lourd que les autres
01:44:16 vont toxiner et puis ils comprennent aussi.
01:44:19 Il y a un moment où tu comprends que tu n'as plus rien à jouer.
01:44:22 Quoi qu'il arrive, de toute façon, tu ne basculeras pas.
01:44:25 Donc on lève le pied, on fait un petit peu comme dans le Tour de France,
01:44:28 un petit mini-autobus
01:44:31 et on rentre tranquille. Non, là, tu ne peux pas tricher
01:44:34 à la vitesse où ça monte. Et encore, je trouve
01:44:37 qu'on a beaucoup de monde à l'arrivée.
01:44:40 Cyril, on revoit cette image là quand même. C'est Romain Bardet qui vient faire 3
01:44:43 derrière. Regardez cette attitude. Moi, je suis un peu subjuguée quand même.
01:44:46 Je trouve ça génial en fait. Je trouve ça fantastique de le voir
01:44:49 là derrière Ethan Haïter quasiment dans la même allure.
01:44:52 En tout cas, il est assis. Il se rassit bien sûr.
01:44:55 Derrière, il s'est rassi. Oui, la sprintée,
01:44:58 il s'est rassi parce que ce n'est pas son style.
01:45:01 Il y avait la barre dans les deux pistes. Mais en tout cas, au placement,
01:45:04 il n'y a rien à dire. Il est dans la bonne roue. Il se bat avec Ayuso
01:45:07 pendant un bon petit moment. Ayuso fait 2 quand même.
01:45:10 Ayuso, s'il a la place de... Peut-être qu'il vient
01:45:13 un petit peu chatouiller Ethan Haïter.
01:45:16 Ethan Haïter, c'était de loin le plus fort. Il a pris la tête.
01:45:19 Il n'y a pas photo. Mais en tout cas, Romain Bardet, très très bon comportement.
01:45:22 Donc ça veut dire que des coureurs se sont encore replacés pour la suite
01:45:25 du classement général. Bien sûr, vous allez suivre l'équipe de Greg
01:45:28 dans quelques minutes. On attend pourquoi pas la réaction de Romain Bardet
01:45:31 au micro de nos envoyés spéciaux.
01:45:34 On retient Ayuso. On retient aussi Bardet pour demain
01:45:37 avant le contre la montre. Bardet qui revient 7e au général.
01:45:40 Ils ont débouché les gicleurs.
01:45:43 Non, mais ce qui était drôle, c'était au-delà du sprint, c'était tout le final
01:45:46 qui était décousu, magnifique. On aurait dit une cour junior. C'est très rare
01:45:49 de voir ça au niveau World Tour. Des coureurs isolés, pas d'équipiers.
01:45:52 On pensait à un moment donné si on n'allait pas voir un coureur terminé
01:45:55 en finisseur ou en poursuiteur. En réalité, c'était un petit peu
01:45:58 comme dans les montées qu'on a vues aujourd'hui. Ça roulait tellement vite
01:46:01 qu'aucun coureur n'a réussi à se détacher. Mais enfin, il y a eu des tentatives
01:46:04 presque de tout le monde ou en tout cas d'un certain nombre de leaders.
01:46:07 C'était une journée un petit peu longue au milieu des sapins
01:46:10 et du plateau. Mais le final était assez haut en couleurs.
01:46:13 - Allez, on revoit à nouveau ce sprint.
01:46:16 Qui devient... Est-ce que vous avez eu
01:46:19 des indications aujourd'hui sur celui qui va peut-être
01:46:24 s'imposer à la fin du classement général dimanche ?
01:46:28 On rappelle que malheureusement Kevin Vauclin notamment a abandonné.
01:46:31 Ça me permet de redonner cette information. - Ayuzo, très très fort.
01:46:34 Nikita, surprise de le voir distancé. On ne sait pas exactement ce qu'il a.
01:46:38 Mais Ayuzo, très très fort. Je pense que le tendon va plutôt bien.
01:46:42 Et il a attaqué dans le final. Il s'est relevé. Il a vu que ce n'était pas utile.
01:46:46 Là, c'est le seul à remonter un petit peu.
01:46:49 - On rappelle que c'est sa première course cette saison.
01:46:52 - Très fort en chrono, bon grimpeur.
01:46:55 Toutes les étoiles sont alignées pour lui.
01:46:58 - Allez, on va écouter Ethan Aiter.
01:47:01 - Ça semblait un sprint facile pour vous. Il n'y avait pas vraiment de rivales.
01:47:10 - Oui, ce n'était pas si facile que ça.
01:47:13 C'était une étape difficile dans toute sa longueur.
01:47:16 J'étais vraiment à la limite dans la dernière montée.
01:47:19 Il y avait beaucoup d'attaques. J'ai tenu bon.
01:47:22 C'était un bon sprint. Je dois remercier mon équipe.
01:47:26 On m'a ramené à l'avant très tôt.
01:47:29 Mais c'était la bonne solution aujourd'hui.
01:47:32 J'attendais vraiment de lancer mon sprint.
01:47:37 J'ai vu quelqu'un arriver dans ma roue.
01:47:40 Je lui ai sauté dessus un peu.
01:47:43 Je n'ai plus dépassé.
01:47:46 - Vous aviez quelques doutes de pouvoir survivre cette journée ?
01:47:51 - Vous avez un peu...
01:47:54 J'ai bien monté.
01:47:57 Déjà hier, j'étais en forme dans les montées.
01:48:01 C'était la même chose aujourd'hui.
01:48:04 C'est la deuxième fois que vous portez le jersey jaune.
01:48:08 - La sensation est peut-être différente ?
01:48:11 - Oui, c'était une couleur différente l'année dernière.
01:48:15 - Oui, ça va être bien de porter le maillot de leader sur les épaules.
01:48:20 - Ça va être bien de faire ce chrono avec le maillot de leader sur les épaules.
01:48:24 - Ça va être peut-être un peu trop hilly demain, mais je vais me faire un bon départ.
01:48:28 - Demain, c'est peut-être possible de le porter.
01:48:32 - Vous allez peut-être pouvoir garder ce maillot.
01:48:35 - Oui, je suis plutôt à l'aise sur la discipline.
01:48:39 Il y a aussi une belle montée au milieu, ça me convient bien.
01:48:43 - Merci à Théo Barbéduc qui est également pour la traduction.
01:48:46 On écoute Romain Bardet, 3e de l'étape du jour.
01:48:49 Ensuite, on accueillera Greg Acher.
01:48:52 On fera le point sur le classement général avec Patrick Chassé.
01:48:55 Même si vous avez compris qu'il y a un nouveau leader.
01:48:58 - Vous avez voulu vous faire plaisir en ce sprint.
01:49:01 Aujourd'hui, c'était prévu que vous finissiez à une belle 3e place.
01:49:04 - Oui, on a vu qu'il y avait plus de possibilités aujourd'hui, que la course allait être plus dure.
01:49:08 On a fait une très belle course collective.
01:49:11 On était avec Oscar et Max encore dans le final.
01:49:14 On s'est un peu amusé au sprint, c'était pas très compliqué.
01:49:18 Il fallait juste prendre la roue à éther pour aller le plus rapide.
01:49:21 C'est une 3e place, donc c'est toujours sympa de pouvoir faire des choses un peu différentes sur ces courses-là.
01:49:28 - Le consultant était un peu surpris de vous voir à hauteur d'Oscar dans le final.
01:49:33 C'était quoi le lead-out qui devait mener l'autre vers la victoire ?
01:49:37 - On s'est un petit peu gêné, mais avec la 2e place en jeu, c'était pas...
01:49:43 Oscar voulait bien faire, voulait me protéger de l'arrière, mais il s'est retrouvé avec de la vitesse.
01:49:47 Donc j'ai pris un levant un peu plus tôt, mais de toute façon, on ne se prétendait pas batailler des aérosprints.
01:49:51 C'était juste... Je pense qu'il y a moyen de faire un second, mais c'est pas assez... C'est pour l'anecdote.
01:49:57 - D'un point de vue comptable, c'est quand même intéressant, ça fait des bonifs.
01:50:00 - Oui, c'est bien. Maintenant, je prends le jour, on s'est encore facillé.
01:50:04 On ne s'en passe super bien, donc on va voir.
01:50:07 - Demain, c'est un chrono qui est difficile, avec une belle bosse et une belle descente.
01:50:10 Vous le voyez comment ?
01:50:11 - Apparemment, on ne se connaît pas, donc on verra demain matin.
01:50:14 - Merci Romain Bardin.
01:50:15 - Merci à Romain Bardin pour son explication également.
01:50:18 On reviendra demain sur ça, 14h45, pour le contre-la-montre, et on fera ce point-là.
01:50:23 Patrick, le classement général avant d'accueillir le magnifique Greg Ascher.
01:50:28 - Oui, le classement général avec Romain Bardin, qui gagne 15 places au classement
01:50:32 et qui vient se hisser à la 7e place avant ce contre-la-montre, qui sera peut-être difficile pour lui.
01:50:39 Avantage à Juan Ayuso, qui est 4e ce soir.
01:50:42 Attention à Sobrero également, qui est 5e et qui est excellent contre-la-montre.
01:50:46 Le match est lancé entre les montagnards et les coureurs plus à l'aise dans le contre-la-montre.
01:50:50 Et Tanahiter et Tobias Foss, les deux premiers du classement général, seront-ils de la partie ?
01:50:55 Je ne suis pas certain, mais en tout cas, ils défendront chèrement leur pot.
01:50:58 - Ça fait partie, bien sûr, des questions qu'on se posera 14h45.
01:51:03 Donc, demain, avec cette petite... Allez, Cédric Pinault qui nous demande de rendre l'antenne.
01:51:08 Salut, Cédric ! On est contents de le croiser, également consultant de la chaîne L'Equipe, Greg Ascher.
01:51:13 Vous pouvez venir, comme vous voulez.
01:51:15 C'est pas mal, il manquait le son.
01:51:17 - Oui, mais on l'a deviné, quoi.
01:51:19 - Bonjour à tous. - Bonjour, Greg.
01:51:20 - Bonjour, Laura, vous êtes en forme ? C'est pas une belle étape.
01:51:22 - Et vous ?
01:51:23 - Vous êtes la vraie des haters sur les réseaux sociaux ?
01:51:25 - Non, non. - Vous êtes la vraie clameur, quand même ?
01:51:26 - Oui, vous êtes la vraie Greg Ascher. - Oui, complètement.
01:51:28 On va parler de la vente... Enfin, le PSG qui pourrait quitter le Parc des Princes pour aller au Stade de France.
01:51:33 C'est un gros débat, on en parle beaucoup, parce que ça touche évidemment à l'histoire de ce club.
01:51:36 On parlera de ce qui s'est passé hier avec la raclée affligée par City à Arsenal.
01:51:39 Le titre est-il joué ? Est-ce qu'ils peuvent viser le triplé ?
01:51:41 Parce que là, ils sont vraiment plus impressionnants que jamais.
01:51:43 Et on se demandera si Haaland peut viser le ballon d'or.
01:51:45 Parce que comme il marque à chaque fois, ça fait partie des petits thèmes.
01:51:48 Et puis on aura le replay d'Antoine Pinault, puis on le verra.
01:51:50 Voilà. 14h40, vous, demain ?
01:51:52 - 45. Mais vous, vous êtes là à 40. - Faut être là à 40.
01:51:54 - Il faut être là à 40. - Explosé là tout le temps. Éteignez pas.
01:51:56 - Nous, on parlera de Pinault, de Bardet également, mais aussi du nouveau leader, Ethan Meitner.
01:52:00 C'est un contrôle à montre demain.
01:52:01 Et en plus, on a toujours des super coulisses à vous faire vivre à ce moment-là.
01:52:05 Mais vous allez peut-être prendre ma place demain. Tiens, on va peut-être faire ça.
01:52:07 - Je serai pas là demain, moi. Après, vacances, y a rien.
01:52:09 - Pas tout de suite. Attendez. Les jeux vont peut-être venir à 14h45, j'espère. À demain.
01:52:13 [Musique]

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