Martin Garagnon : «L’ordre n’est pas un mot grossier, c’est le ciment de notre société»
Le vice-président de Renaissance 92, Martin Garagnon, rappelle que l’ordre n’est pas un mot grossier : «L’ordre n’est pas un mot grossier, c’est le ciment de notre société».
Category
🗞
NewsTranscript
00:00 à partir du moment où des événements du quotidien deviennent des scènes d'affrontement,
00:03 c'est très problématique.
00:04 Si on ne peut plus aller au cinéma, dans un stade de sport, etc. sans risquer,
00:08 le cinéma, par définition, c'est un moment de loisir, de détente, qu'on pratique entre amis,
00:12 en famille, etc.
00:13 Assister à ce type de scène, alors je ne connais pas les origines,
00:16 est-ce que c'est un débordement lié à des fréquentations de bandes, je ne sais quoi,
00:20 bon, on n'a pas d'explication sur le sujet.
00:22 Mais enfin, quand on voit les images que vous venez de diffuser,
00:24 qui ressemblent un peu à des scènes de chaos où tout le monde a l'air de s'en prendre aux uns et aux autres,
00:27 c'est effectivement problématique. Est-ce qu'il va falloir qu'on mette maintenant des policiers
00:30 devant chaque salle de cinéma ?
00:32 Je pense que ça témoigne de la nécessité qui est rappelée,
00:35 et qui a été très fortement rappelée par le Président, d'un retour à l'ordre.
00:39 Ce n'est pas un gros mot, une fois de plus, l'ordre, le travail ne sont pas des gros mots,
00:42 c'est le ciment de notre société.
00:45 Donc effectivement, voir ces scènes-là, qui ne sont pas nouvelles,
00:48 parce que malheureusement ça a été déjà le cas, et je crois que vous l'avez dit dans le sujet,
00:50 lors de la diffusion d'autres films.
00:52 Oui, pour Crit 3, film de boxe, ou pour Annabelle, film d'horreur, par exemple.
00:55 Donc le spectacle au cinéma, il est à l'écran, il n'est pas dans la salle.
00:58 Donc on ne peut que condamner, déplorer ces débordements.
01:02 C'est ça, c'est le bloc.
01:04 [Musique]