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Le vice-président de Renaissance 92, Martin Garagnon, est revenu sur la lettre ouverte des familles de victimes adressée à Emmanuel Macron : «La sécurité passe par l'ordre».

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Transcription
00:00 Il faut le rappeler à chaque fois, mais la première des libertés,
00:03 c'est la liberté de vivre, c'est la liberté des biens et des personnes.
00:05 Donc c'est la sécurité. La sécurité, elle passe par l'ordre.
00:08 Donc le rétablissement d'un ordre, il se fait de plusieurs façons,
00:13 mais il se fait dans un premier temps par une réponse pénale
00:15 qui doit être implacable, qui doit être comprise et partagée par les Français.
00:19 C'est-à-dire que tout le monde doit savoir à quoi s'attendre
00:22 au niveau de la réponse pénale.
00:23 Je crois qu'on en a eu encore la preuve il y a très peu de temps,
00:25 parce qu'il me semble que même, vous l'avez indiqué dans votre sommaire,
00:28 mais les premières décisions, les premiers verdicts rendus
00:33 dans le cadre des émeutes ont été extrêmement durs, extrêmement sévères,
00:36 qui sont allés parfois au-delà des réquisitions demandées.
00:39 Donc on a une preuve d'une réponse pénale qui est forte.
00:42 Mais au-delà de cette réponse pénale, il ne faut pas se leurrer.
00:45 La violence, elle ne sera jamais éradiquée.
00:48 La violence, elle est consubstantielle d'une société.
00:50 C'est quelque chose qu'on n'arrêtera jamais.
00:52 Jamais il n'y aura zéro mort sur les routes.
00:54 Jamais il n'y aura plus aucun mort par arme à feu ou par arme blanche.
00:59 Ça n'existe pas.
01:00 Ça, il faut l'admettre.
01:02 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:06 [SILENCE]

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