SMART JOB - Le cercle RH du jeudi 13 juillet 2023

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Jeudi 13 juillet 2023, SMART JOB reçoit Véronique Reille Soult (CEO, Backbone Consulting) , Antoine Foucher (Président, Quintet Conseil) et François Vigne (Associé, Sycomore Corporate Finance)

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Transcript
00:00 "What's the matter ?"
00:01 ...
00:11 -Le Cercle RH et les experts de Smart Job
00:14 pour parler de l'actualité.
00:16 C'est l'été, mais l'actualité est toujours très riche.
00:19 Une rencontre entre les syndicats au complet
00:21 avec Elisabeth Borne à Matignon.
00:24 On va parler de cette loi plein emploi,
00:26 mais qui est en fait la loi de préfiguration
00:29 qui permet aux travailleurs, c'est au Sénat,
00:31 avec des articles votés sur l'obligation
00:34 des allocataires du RSA, de s'inscrire automatiquement.
00:37 C'est une mesure intéressante.
00:39 On va parler de la précarisation du travail chez les jeunes.
00:42 On terminera par les vacances,
00:44 parce que c'est, malgré tout, pour certains,
00:47 le moment des vacances.
00:48 Véronique Railso est avec nous.
00:50 CEO de Backbone Consulting.
00:52 On aura un éclairage de ce que disent les Français
00:55 de tous ces sujets, ou pas, d'ailleurs,
00:58 parce que l'actualité fait divers.
01:00 Antoine Fouché est avec nous.
01:02 Bonjour, Antoine. Président de Quintet Conseil,
01:05 ancien directeur de cabinet de Muriel Pénicaud,
01:08 qui est intervenu sur l'alternance.
01:10 Elle s'est exprimée d'une manière assez vive.
01:13 François Vigne est avec nous.
01:14 Associé Secomore Corporate,
01:16 finance, membre des entrepreneurs
01:18 et dirigeant chrétien les EDC.
01:20 La rencontre des syndicats et de Matignon.
01:23 On a l'impression que l'histoire bégait,
01:26 que c'est l'éternel recommencement
01:28 avec des syndicats qui entrent,
01:30 des syndicats qui sortent.
01:32 Comment les Français regardent-ils ce nouveau "round",
01:35 si on peut l'appeler ?
01:36 -C'est pas un éternel recommencement pour eux
01:39 parce que, pendant quelque temps, les syndicats
01:42 avaient été un peu démonétisés,
01:44 ou en tout cas, il y avait moins d'intérêt.
01:46 Depuis la réforme des retraites,
01:48 il y a une réalité qu'on s'intéresse,
01:51 on les écoute, donc on fait plus attention.
01:53 -Les syndicats qui ont fait des recommencements
01:56 sur l'épargne des uns et des autres
01:58 commencent à prendre... En tout cas, on les écoute.
02:01 On doit être confiant sur la réalité.
02:04 -Des syndicats relégitimés,
02:05 à l'aune du mouvement social des retraites.
02:08 Ils ont quand même fixé leur ordre du jour.
02:11 Pénibilité, emploi des seniors, c'est intéressant, ça.
02:14 On veut bien parler avec vous, madame la Première ministre,
02:17 mais on va remettre sur la table ce qui n'avait pas été traité
02:21 et c'est ça que les syndicats disent.
02:23 -Ca a été traité, mais censuré par le Conseil constitutionnel.
02:27 C'est pour ça que les syndicats s'en emparent.
02:29 Mais est-ce qu'ils s'en emparent
02:31 ou est-ce qu'ils font malgré eux le service à prévente
02:34 de la réforme des retraites ?
02:36 On verra bien dans les mois qui viennent
02:38 la conclusion que les Français,
02:40 on va parler comme ça, en tireront.
02:43 Moi, je suis beaucoup plus interrogatif
02:45 sur la durée de la relégitimation de l'image des syndicats.
02:49 -Ephémère, vous pensez ? -Oui, c'est vraiment éphémère.
02:52 Ils ont été porte-parole
02:55 d'un d'un mécontentement général
02:58 contre cette réforme-là.
03:00 Donc c'est plus les Français qui ont utilisé les syndicats
03:03 que les syndicats qui ont utilisé les Français.
03:07 Dès qu'on aura à nouveau des questions
03:11 qui vont concerner que les syndicats,
03:14 sur la modalité de représentation du personnel
03:17 dans les entreprises, les Français n'en auront rien à faire.
03:20 -Vous êtes pas d'accord ? -On verra.
03:23 -Un mot et François.
03:25 Vous êtes pas d'accord ?
03:26 -C'est juste qu'en fait,
03:28 c'est pas tant que l'un ou l'autre se soit utilisé.
03:31 Les deux sont vrais.
03:32 C'est plus un sujet de la confiance dans les instances
03:35 et que ça, ça restera.
03:37 Il y a une défiance sur l'ensemble des instances.
03:40 -Mais moins sur les syndicats. -Mais moins sur les syndicats.
03:43 Après, les Français disent qu'ils ont plus confiance en eux,
03:47 qu'ils n'obtiennent pas grand-chose.
03:49 Ils ont apprécié le fait qu'ils étaient plutôt unis
03:52 et qu'ils n'étaient pas que dans la contradiction.
03:55 Après, ça restera aussi qu'ils n'obtiennent pas grand-chose.
03:58 -François Vigne, tout est intimement lié.
04:00 Au moment où ces syndicats sont reçus patronaux et salariaux
04:04 à Matignon, pour remettre sur la table un certain nombre de sujets,
04:08 arrive un nouveau président au MEDEF.
04:10 73,6 %, je crois.
04:13 J'ai regardé les élections précédentes
04:15 des autres présidents du MEDEF, femmes, une, et hommes,
04:18 pour la plupart, ils ont tous été très bien élus,
04:21 beaucoup mieux élus que Patrick Martin.
04:23 Est-ce que vous considérez, aux EDC,
04:26 parce que vous pesez, qu'il a été mal élu ?
04:28 -Je dirais pas ça. Il y avait deux candidats de deux valeurs
04:31 qui l'ont rassemblé, il finit plus de suffrages,
04:34 mais il y avait deux candidats de valeurs
04:36 qui avaient travaillé ensemble.
04:38 Nous avons de bons rapports avec les deux.
04:41 On a bâti depuis plusieurs années une bonne relation avec le MEDEF
04:45 avec les deux candidats d'oeuvrer ensemble
04:47 à une économie du bien commun,
04:49 avec Patrick Martin, on aurait fait la même chose
04:52 avec la candidate qui était opposée à lui.
04:54 Il y a un bon consensus autour de lui,
04:57 une équipe qui me paraît unie pour oeuvrer ensemble.
05:00 C'est utile d'avoir un patronat de confiance,
05:02 qui est la confiance.
05:03 L'entreprise a un rôle clé à jouer
05:05 dans une France extrêmement heurtée, divisée.
05:08 Je suis moins désireux que les syndicats gardent
05:11 leur légitimité et que le MEDEF puisse oeuvrer
05:14 avec d'autres mouvements à une économie du bien commun.
05:17 -Antoine Fouché et Véronique,
05:18 il y a une étude passionnante
05:20 qui est sortie il y a quelques semaines
05:22 sur le regard que portaient les TPE-PME
05:25 sur les organisations patronales.
05:27 Le MEDEF a totalement décroché.
05:29 C'est la CPME qui a repris...
05:30 -Ce sont les grandes entreprises.
05:33 -Oui, mais sauf qu'il a aussi dans son giron des petites.
05:36 Est-ce que le MEDEF, il a encore
05:38 cette espèce de splendeur du CNPF ?
05:40 C'est le CNPF qui est devenu le MEDEF.
05:42 Est-ce qu'il a encore cet oral MEDEF ?
05:44 J'ai l'impression qu'il est démonétisé.
05:47 -C'est un peu sévère, mais il est comme tous les corps intermédiaires
05:51 ou toutes les organisations collectives
05:53 qui souffrent d'un mouvement de suspicion
05:56 dans un mouvement d'individualisation de la société.
05:59 On a moins confiance dans les syndicats,
06:01 dans le patronat, dans les partis politiques,
06:04 toutes les organisations collectives.
06:06 -C'est un paradoxe. L'entreprise n'a jamais été
06:09 autant au centre des préoccupations.
06:11 -Pas toutes les entreprises.
06:13 -Elle garde la confiance des Français.
06:15 -Quand vous avez la proximité, que vous vous jugez par vous-même
06:19 et que vous participez à la décision...
06:21 -C'est la relation du maire avec les électeurs.
06:24 -Exactement.
06:25 Donc oui, il a perdu de son influence,
06:27 mais ça, c'est factuel.
06:29 Malheureusement pour lui, il n'y est pas pour grand-chose.
06:33 Sur le dernier quinquennat, par exemple,
06:35 il y a eu 5 fois moins d'accords nationaux interprofessionnels.
06:39 C'est de l'influence, de la production de normes.
06:42 -C'est du lobbying.
06:43 -Sur la production de normes post-2017,
06:46 il n'y a plus de normes.
06:47 Parce que c'est une décentralisation.
06:49 La régulation se fait dans l'entreprise.
06:52 Le MEDEF l'a porté aussi.
06:54 En un sens, il n'y a plus d'accords nationaux interprofessionnels
06:57 à faire sur les sujets d'organisation du travail.
07:00 Il n'en a fait aucun, avec une portée normative pendant 5 ans.
07:03 Sur la gestion paritaire,
07:05 qui est la gestion des fonds du patronat et des syndicats,
07:09 il n'y a plus l'assurance-chômage, la formation.
07:11 Il ne reste que les retraites complémentaires.
07:14 Sur le lobbying, c'est en matière sociale
07:16 que le MEDEF a toujours été le plus puissant.
07:19 Quand vous produisez moins de normes,
07:21 ça a un effet sur le lobbying.
07:23 Mais ce n'est pas lié à la personne ou à l'organisation.
07:26 C'est lié à l'évolution de la place des corps intermédiaires
07:30 dans la société.
07:31 -Véronique Raïl-Soult n'est pas d'accord avec vous.
07:34 Vous dites que ce n'est pas de la faute du MEDEF.
07:37 Vous dites que c'est de sa faute. -Bien sûr que c'est de sa faute.
07:41 Il y a le sujet du contexte,
07:43 la réalité des normes qui sont plus complexes,
07:45 mais le rôle de ce syndicat,
07:48 il est extrêmement flou.
07:50 Il a une image vieillissante,
07:52 le sentiment que c'est un entre-soi.
07:54 Pour les chefs d'entreprise,
07:56 on ne voit pas dans le fond en quoi ils défendent.
07:59 L'impression que si on est dans ce petit entre-soi,
08:02 peut-être qu'il y a des intérêts,
08:04 et que c'est plus du réseautage.
08:06 -C'est plus fort qu'il y a 10 ans ?
08:08 -Oui, parce qu'il y a une réalité,
08:10 c'est qu'aujourd'hui, comme il n'y a plus de corps intermédiaires
08:14 et que l'on recherche un tiers de confiance ou des liens,
08:17 comme il n'y a pas cette partie-là,
08:19 la communication fait partie de la vie d'un syndicat.
08:23 La communication, on ne peut pas dire qu'elle soit large.
08:26 On les a peu entendues.
08:27 On parle de la réforme des retraites.
08:30 On les a peu entendues, on les a peu vues mouiller le maillot.
08:33 -C'est vrai. Dans un contexte électoral.
08:36 -La meilleure manière d'aider le gouvernement,
08:38 c'était de se taire.
08:40 -C'est le sujet de "Aider le gouvernement".
08:42 -Il était pour.
08:44 -Il n'avait rien à dire.
08:45 -C'était l'intérêt de la société.
08:47 -C'était juste pour répondre à un commentaire.
08:50 Je ne porte pas de jugement dessus.
08:52 Les Français ont une image du MEDEF qui est assez floue.
08:56 -Ca ressort, vous l'avez ?
08:57 -Quand ils en ont une.
08:59 -C'est un peu flou, ils ne voient pas trop à quoi ça sert.
09:02 C'est un entre-soi.
09:03 Ils se posent la question, dans le fond,
09:06 est-ce que c'est vraiment utile, alors qu'ils connaissent plus
09:09 la CPME, la réalité des positions sur les petites entreprises.
09:13 -Et si on partait au Sénat ?
09:14 Le texte plein emploi a démarré au Sénat
09:17 pour ensuite aller à l'Assemblée nationale,
09:19 ce qui se fait de temps à autre.
09:21 Ca se fait de plus en plus, que le Sénat démarre les débats.
09:26 La loi plein emploi, François,
09:29 c'est une loi qui préfigure les bases, les piliers
09:32 de France Travail, qui va donc déboulonner Pôle emploi
09:37 pour remettre une nouvelle marque, un nouvel état d'esprit.
09:41 L'article 1 a été voté,
09:43 qui oblige les allocataires RSA à s'inscrire à Pôle emploi.
09:47 Certains membres de l'opposition sont montés au créneau,
09:50 sur les 15-20h, en disant qu'ils allaient utiliser
09:53 une main-d'oeuvre pas chère.
09:55 Comment vous regardez cette mesure ?
09:57 Elle est de bon sens, d'inscrire les allocataires éloignés
10:00 de Pôle emploi à Pôle emploi ?
10:03 -Tout ce qui favorise le plein emploi,
10:05 nous sommes favorables.
10:06 C'est la 1re chose.
10:08 Tout ce qui favorise le retour vers l'emploi
10:10 des personnes les plus éloignées, nous y sommes favorables.
10:13 Après, il faut se méfier.
10:15 On sait que c'est pas si facile que ça d'arriver à encadrer
10:19 des personnes loin de l'emploi.
10:20 Il faut créer des structures.
10:22 Il ne suffit pas de le décréter.
10:24 -Vous, les 15-20h, vous êtes chef d'entreprise,
10:27 vous dites que vous allez prendre des allocataires
10:30 sur le chemin de la réinsertion ?
10:32 -Oui. Nous ne pourrons pas tous les prendre.
10:34 Il faut créer des structures pour les accueillir.
10:37 Il va falloir, après...
10:39 L'effet d'annonce est très bien, l'objectif est très bien,
10:42 mais il va falloir rentrer dans la pratique.
10:44 C'est ça qui est important.
10:46 C'est bien de voter, de faire avancer les lois,
10:49 mais il faut être dans la pratique
10:51 pour que ces personnes éloignées de l'emploi puissent y revenir.
10:54 -D'ailleurs, la rapporteuse, la sénatrice, a évoqué,
10:58 ça n'a pas été très médiatisé, de garder le non-pôle emploi
11:01 pour ne pas le transformer en France Travail.
11:04 Le diable se cache dans les détails,
11:06 elle veut garder la marque.
11:07 Sur les allocataires RSA,
11:09 ils sont payés par les départements.
11:11 Une partie de ces allocataires sont éloignés de l'emploi
11:14 depuis si longtemps qu'il ne s'agit pas de les remettre en emploi,
11:18 mais de les faire se lever le matin et d'avoir un cadre de vie.
11:21 Est-ce qu'on n'est pas là sur un projet trop ambitieux ?
11:25 Il n'est pas logique de les inscrire,
11:27 mais on a un nombre de personnes sans cynisme
11:29 qui ne sont pas réinsérables.
11:31 Est-ce que je le dis d'une manière un peu trop dure ?
11:34 -Non, mais sur le fond, c'est contestable.
11:38 Cette hypothèse, là, qui est une hypothèse,
11:40 je pense qu'elle est contestable,
11:42 parce qu'avec un accompagnement individualisé,
11:45 là, pour le coup, le slogan du gouvernement
11:48 me semble assez juste, "personne n'est inemployable".
11:51 Et je pense que les personnes qu'on peut rencontrer
11:54 qui ont des problèmes,
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18:20 - Vous avez déconnecté.
18:22 - Je vais à la montagne.
18:24 Il n'y a plus de téléphone.
18:26 C'est un bonheur.
18:28 Quand je descends,
18:30 je me rue sur mon téléphone.

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