Zoom Extra : Les syndicalistes font-ils face à une nouvelle forme de répression ? Deux syndicalistes, en l’occurrence Chid Rughoobur et Yogita Baboo, avaient été sommés de se présenter devant un comité disciplinaire institué par leur employeur respectif. Dans un cas, la décision a été annulée à la dernière minute et dans l’autre, la syndicaliste a refusé de se soumettre à l’instance disciplinaire. Syndicalistes et membres de la société civile évoquent, depuis un moment, une vague de répression qui s’abat sur les syndicats. Quelles en sont les raisons ? Pourquoi veut-on faire taire les voix des syndicalistes ? Michaël Jean Louis accueille Narendranath Gopee et Radhakrishna Sadien en studio à partir de 17 heures 30 dans le Zoom Extra. Vos appels au 213 7777.
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00:00:00 Bon après-midi à tous et bienvenue dans une nouvelle édition de Zoom Extra. Yéa Yogita Baburama, président de l'Association qui finit d'instituer pour la direction de l'entreprise, il finit réviser pour certaines raisons qui nous débattent aujourd'hui.
00:00:20 Cette fois des employés de la banque de Maurice, qui passe devant une comité disciplinaire ici, ça fait une fin de grande polémique, mais finalement la direction de l'organisation finit d'essayer de pour annuler cette décision-là.
00:00:36 Cette décision-là, ça décala, décalé plus récent, peut survenir dans un climat bien étrange et un sentiment assez malsain dans le pays et ça peut faire revenir de l'avant, c'est un argument qui est dans la répression contre les syndicalistes dans le pays.
00:00:52 C'est-à-dire, il y a des gens qui ont la perception qui ont une voix discordante, qui fait dénoncer pas tellement la bienvenue. Qu'est-ce qui fait cette perception-là?
00:01:02 Et est-ce qu'il y a une perception et qu'est-ce qui fait affaiter la voix des syndicats et des syndicalistes?
00:01:09 C'est ma question qui nous peut aborder aujourd'hui dans Zoom Extra avec nos deux invités en plateau, nos deux représentants syndicaux, Narendra Nath Gopi, qui fait une représente, Chid Ragobor et Radar Keshna Sadyen, qui est soutenu à Yogi Dababurama.
00:01:24 Donc, messieurs, bon après-midi et merci de votre présence sur le plateau.
00:01:27 Bon après-midi, Michael.
00:01:29 Bon après-midi, Michael et tout le monde de Radio-Pi.
00:01:31 Je vous rappelle qu'à 18h, vous pourrez avoir l'occasion d'entendre Radj Ramlagan, ancien syndicaliste et ancien démocrate, mais c'est davantage comme observateur qui lui pointe à venir sur ce sujet-là.
00:01:43 Mais tout de suite, après qu'il nous a fait l'invite, suivez-nous sur notre page Facebook, Top FM Mauritius.
00:01:48 Nous vous retrouvons celle qui finit d'écrire quelques mots, comme la superstar de la semaine.
00:01:54 Yogi Dababurama, bon après-midi et merci de votre présence dans l'émission.
00:01:58 Bonsoir, Michael, bonsoir, tous les auditeurs de Top FM et bonsoir, monsieur Sadyen et monsieur Gopi.
00:02:06 Voilà, donc, mon rappel, enfin, je vais vous rappeler Yogi Dababurama, qui s'est, pour l'anticipation, donc, sur ce plateau-là, dans l'émission, dans le Top FM, correct, pas correct, qui m'a été dans l'honneur de présenter, qui est la cause de ce problème que vous avez gagné là.
00:02:26 Avant de poser certaines questions, laisse-nous écouter un extrait, donc un court extrait de ce qu'il vous dit dire, ça joue là, d'un, des bannes critiques qu'il vous fait le faire.
00:02:36 Et après, nous, nous continuer, mon rappel. Mon rappel, si la régie n'a pas fait le nécessaire.
00:02:46 Allez, OK, nous, nous, nous, nous continuons en attendant que la régie fasse le nécessaire, donc, mon rappel.
00:02:52 Voilà. OK.
00:02:58 Avec le le la vidéo, donc euh, nous pour euh, la régie fait le nécessaire pour aller nous nous nous commençons, je vous pose la question. Donc euh,
00:03:08 la régie, euh,
00:03:14 et au fin refuser, au fin dire qu'il vous peut enfin faire aucun de fautes. Déjà, est-ce qu'il ou senti qu'il y en a un euh, sentiment, est-ce qu'il vous senti qu'il y a une répression
00:03:23 des syndicalistes? Et euh, comment vous trouvez c'est l'eau, l'eau à émission radio, c'est l'eau là qui euh, ça discipline les comités là euh, une, une basée.
00:03:39 Et l'eau radio, c'est comme un syndicat. Et c'est qui moi me ressorti c'est qui nous, nous en tant que syndicat, normalement, nous nous lavoie, nous bannons, c'est à travers nous qui
00:03:52 tous bannements, expriment tous ce bannements, qui peut être pas pour qu'à part dire directement au management, aux employeurs, et alors c'est bannements syndicats qui expriment tout ça.
00:04:03 Mais aujourd'hui quand vous pouvez exprimer votre déléance ou votre euh, bannement, vous pouvez faire discipliner les comités là eux-mêmes. Mais automatiquement, on peut sentir qu'il,
00:04:15 il va en droit de les écrire parce qu'il sait l'avoir qui a eu cause pour, ça, ça, du monde n'en est plus un droit de cause pour, d'une façon. Donc oui, nous nous senti
00:04:25 et euh, on pensait qu'il y a tout le monde qui ressent la même chose et il part de cette impression parce qu'il est tout un euh, un euh, un euh, un l'aide qui va dans l'enarmois.
00:04:38 Nous euh, monsieur Sardien-Cottenbien, nous dans le ministère, nous nous fais un, une "conciliation meeting" l'eau s'assurera qu'il va en avoir un droit pour nous, nous, nous, nous, nous bannons le travail euh, syndical,
00:04:52 que c'est d'après la loi, les bien établis euh, travail syndical euh, employé, il n'y a pas d'endroit intérféré là-dedans, mais même quand il, il explique euh, sa situation là au ministère, quand même ça, il me rejette une allure avant, il, il me demande à une comité disciplinaire.
00:05:12 Donc, il est euh, il est voilà. La la la régie fait donc euh, donc euh, le son, sa vidéo-là, donc, le Facebook, je ne sais pas trouver, mais bien évidemment à la radio, les sons, laisse-nous écouter un des euh, euh, qui vous fait dire, donc, dans l'émission.
00:05:32 Euh, le CIE, c'est euh, monsieur et moi, moi, une syndicat qui me représente euh, et nous, c'est le syndicat pour qui reconnaît pour moi, pour dans Maurice, mais jusqu'à aujourd'hui, on a pas de rendez-vous avec lui.
00:05:58 Donc, il est en train de se dire euh, dans Maurice, où se pose au banque syndicale, pour qu'une équipe est arrivée, où, où comprends, d'après, d'après ça, parce qu'il lit, c'est nous qui travaillent euh, c'est nous qui travaillent, vous comprenez, mais euh, il est bon qu'il y ait un entente entre nous, mais on peut trouver que ça,
00:06:18 c'est un syndicat, un syndicat spécifique. Voilà, donc c'était un des bannes critiques qui au final mettent euh, donc ça se joue là. Ce qu'ils ne vont pas comprendre c'est qu'il fait euh, bon euh, qu'il fait euh, il a, il a sa volonté peut-être euh, qui euh, fait dégager sa perception-là, pourquoi fêter à votre voix?
00:06:46 Pourquoi euh, même si bon euh, c'est important qu'il y a des gens qui connaissent qu'il y a 9 syndicats dans Ayamau-Richesse, ok? Il y a 9 syndicats parce que certains représentent une catégorie d'employés dans Ayamau-Richesse, mais euh, le syndicat, en tout cas, il ne représente pas de personnel d'emploi commercial, ok?
00:07:11 Mais euh, dans, dans l'administration, tout le bannes des autres syndicats, ils réussissent un accord collectif avec l'administrateur. Un nouveau accord collectif, quand ils n'ont pas de différentes conditions de travail. Mais euh, un accord collectif, normalement, vous avez négocié, mais quand nous, nous, nous essayons de négocier avec l'administrateur, puis nous, le bannes réussissent, ils temènent l'arrangement, nous, les bannes réussissent un nouveau accord collectif.
00:07:38 Et à partir de là, mon, qui me regarde, qui à partir de là, qui nous partage vraiment une communauté, c'est parce que, euh, depuis ça, nous, que ce soit mon bannement, que ce soit moi, nous sommes dans la compagnie et nous avons une, nous avons une chaîne entre, entre, bannes, bannes, stigmo de test et, et le management.
00:08:05 Et euh, et les accords collectifs qui ne nous signent pas. Et nous suivons la procédure, nous nous nâlons jusqu'au IOT et nous viennons de voir ce qui peut se passer au IOT.
00:08:21 Et je me rappelle un moment, tu as même un, un, un, un déman, une, une, une tentative pour museler les autres euh, un gagging order, c'était là, un déman renfort avec notre 50e syndicat.
00:08:32 Oui, ça c'était pendant la, l'administration en cours. C'est parce que le, le, le, le protocole sanitaire ne se trouvait pas assez approprié. Alors, quand on essaie de discuter de ça, vous connaissez, les plus, enfin, on n'a pas les trois solutions, je préfère arrêter de discuter, je ne vais pas essayer de trouver une solution.
00:08:56 Je préfère mettre un gag mode. Allez, le ministère a fait une fin de l'appel, donc avec le bon représentant, avec le conseil légal aussi, je me pensais, ils ont fait un appel au ministère du travail, le ministère du travail a fait une
00:09:08 fin de l'appel, il a dit qu'il n'est pas capable d'intervenir dans sa cas là et qui, qui a eu réaction par rapport à ça? Pour le ministère du travail, moi je suis bien déçue parce qu'il est, on peut trouver dans la loi, il y a une extra
00:09:23 beaucoup de sections et les diyaous qui représentent un syndicat, ils protègent par la loi. Mais malheureusement, aujourd'hui, je me sens tout le monde bien, mais il y a un défi encore moins, les gars qui sont dans la cour, ils ont qu'ils veulent venir, ils ne sont pas capables de venir là, ce qui fait qu'ils ont des pénalités.
00:09:45 Vous comprenez? Je me ressentis un peu dans cette situation-là parce qu'ils ont dit, le ministère a dit, il n'est pas capable d'intervenir là-dedans, il n'est pas capable de dire à la compagnie de faire un disciplinaire.
00:10:00 Je ne comprends pas ça, mais seulement, je comprends aussi qu'il y a un appel loin du disciplinaire. Je ne fais pas de change contre un président syndicat, ça vient de l'exécutif syndicat, mais il n'est pas pareil, la loi protège un représentant syndical.
00:10:17 Donc, il suffit de faire la différence. C'est à cause de ça que vous vous mettez devant le comité pour faire autre chose. Déjà, vous pouvez instaurer un comité disciplinaire en reconnaissant que vous êtes en train de faire un syndicalisme.
00:10:37 Donc, il n'est pas applicable dans le cas. C'est un doute. Oui, justement, parce qu'il y a une lettre de réprésentation, je me dis que si on était un président syndicat, on savait que l'avocat a un point de droit.
00:10:53 Quand il y a un problème entre une compagnie et un syndicat, il y a une procédure de l'agrément qui signifie ça. Donc, d'après cette procédure de l'agrément, quand il y a une litige, il ne faut pas que le disciplinaire se place au comité.
00:11:09 C'est-à-dire que quand il y a une litige, il ne faut pas qu'il arrive à régler ça avec un disciplinaire du comité. Il faut le faire aussi. Donc, il ne faut pas qu'il y ait un disciplinaire du comité contre moi.
00:11:24 Et c'est pour ça que je dis que c'est pour la bonnesse qu'il y a là-bas. Et c'est tout. Nous ne pouvons pas nous soumettre à ce défi-là.
00:11:34 Yogi Tharma, est-ce que vous regrettez que vous venez dans l'émission et que vous fassiez cette critique-là ?
00:11:39 Je ne me regrette pas du tout. Dans un pays où nous prenons la démocratie, nous ne pouvons pas faire ce point de vue, cette opinion, et que tout le monde a un droit d'expression.
00:11:55 Et pour moi, je pense que c'est grâce à la radio aujourd'hui, mon récit « Voice Out » qui sort de la voix, qui dit « Arrête de faire dominer avec nous ».
00:12:04 Et c'est beaucoup, beaucoup grâce à la presse aussi qui vient nous soutenir.
00:12:11 Et aussi, je peux vous dire une autre chose. Dans nos compagnies, nous ne pouvons pas faire de l'arme-carte. C'est parce qu'il y a Mauritius qui nous a donné le recours collectif en 2018, depuis 2014.
00:12:27 Je ne sais pas si il y a beaucoup de compagnies dans Mauritius qui doivent travailler presque 10 ans.
00:12:34 Donc, vous trouvez, nous pouvons faire un peu de bâton dans la roue parce qu'il y a envie de montrer que tout est rose à Mauritius, mais ce n'est pas le cas.
00:12:46 Ce qui fait que le pays reste tranquille, c'est parce qu'il prend dans l'administration une façade tellement pire qu'il peut mettre une autre façade, qu'ils ont dit qu'ils n'étaient plus capables de le faire.
00:12:58 Donc, c'est ça. Voilà. Merci beaucoup. Donc, ça les autres problèmes là, mais m'espérer, moi, pour retrouver de nouvelles émissions euh, que nous pouvons évoquer tout ça là.
00:13:08 Et m'espérer après, vous pas vous avez problème encore. Merci beaucoup. En tout cas, merci beaucoup Michael. Voilà.
00:13:17 Et puis, euh, lui, un petit la voix dans la Mauritius, mais qu'il fait un petit la voix là aussi, il paraît qu'il a envie de faire des euh, euh, envie de couper lui, envie de couper son, envie de couper pas tout.
00:13:27 Ça question là, bien, pose avec la Mauritius. Vous trouvez, madame, une, une, une, une faixe sur les vaines affaires, une faixe sur les vaines affaires, pour dire qu'il n'y a pas de problème dans la Mauritius, pas depuis aujourd'hui.
00:13:42 Et puis, je n'oublie pas aussi qu'il en tant que moi négociateur de AMCA, me connais dans Ianti et qu'il est là, qu'il savait quand il voulait.
00:13:52 Parce que le syndicat qui a eu une rencontre avec le CEO qui n'a pas gagné, troisièmement, quand le syndicat a pas seulement pas gagné, il a tout moyen pour amener des distinctions,
00:14:04 mais pas de syndicat. Et qu'il est en ce et nous connaissons disons euh, nous comme un de tourisme un pilier important nous l'économie et il y a pour autant qui nous n'a pas une
00:14:16 nationale qui a même passagé dans Maurice. Mais bande frontliner dans et ça prend une bonne qui fait prendre une mauvaise décision là ça. Ce sont
00:14:26 les c'est moi qui l'a la caisse. C'est ça. Quand on peut aller acheter trois avions là là là. Maintenant qui vous paye pas de l'argent pour payer ça va
00:14:38 travailler là. Au salon du boulot. Mais justement. Mais c'est ça la question. Et qui vous révise. Et vous connaissez Maurice. Il y a un pays qui
00:14:47 révise. C'est le travail. C'est l'instance internationale. Et le dialogue social veut dire qu'il faisait négocier le syndicat. Mais là, vous connaissez moi
00:14:56 même une réflexion hier qui m'a fait dire ici. Vous connaissez tout nous ban tout nous ban pionnier mouvement syndical. Et moi je l'ai lancé.
00:15:05 Il est là.
00:15:16 bon relation industrielle pour respecter c'est la raison pour laquelle
00:15:22 le syndicat.
00:15:27 syndicat
00:15:30 parce qu'il travaillait tout seul.
00:15:34 Et quand il y a une loi maintenant qui dit pas seulement apporter un syndicat, il faut des
00:15:40 interventions, il faut des paris, il y en a, il faut des victimisations, puis finalement une une une organisation comme
00:15:50 l'organisation du gouvernement de mettre de l'argent, que le gouvernement est dans une contrôle, ou
00:15:56 poser une question très bonne représentation syndicale de la sorte, mais qui peut attendre un pays qui est dans la loi, qui peut attendre un pays qui
00:16:04 m'emporte du bureau international du travail, qui peut attendre un pays qui se disout.
00:16:11 Donc, c'est pour ça que je veux dire, inspire-nous pour nous continuer à respecter moi syndical ou
00:16:18 peut-être nous prendre dans le détail.
00:16:23 avant un peu trop tranquille en ce moment.
00:16:30 donc d'ailleurs moi aussi dans une certaine façon donc nous
00:16:38 je vais dire reconnaître qu'il y a une difficulté pour comprendre qui euh c'est par rapport à
00:16:44 soumission un document donc un option qui est finit décidé, me rappelle que la décision finit annulée récemment après une après une
00:16:52 longue combat pour euh donc mettre un comité disciplinaire pour ce qui dit mon là une soumettre ce option
00:16:59 forme en retour. Est-ce qu'il me dit bien comprendre? Exactement Michael avant qu'il me vienne l'autre aspect de ce qui
00:17:08 concerne à Gouban, moi j'ai envie de dire une affaire, le la source du problème, c'est que le management de la banque Maurice, laisse-moi
00:17:16 être catégorique pour dire, le gouverneur de la banque de Maurice, c'est que ce dé actin governance qui est non? Député
00:17:23 de finir tout pour tout pour capable d'aimanter le syndicat au niveau de la banque Maurice et il est malheureux pour dire qu'ils ont
00:17:32 dit au niveau de la banque Maurice nous payons un syndicat et je finis même l'époque qui euh Raguba mais tous ces efforts pour
00:17:43 remonter le syndicat ça a été répression qui est devenu le banque travailler et le problème qui commençait quand tu
00:17:53 prenons ça euh négociation collectif l'eau euh salaire, nouveau salaire et condition service. Alors nous finissons le
00:18:03 syndicat et le management qui est obligé de mettre un joint committee pour nous capaciter, nous pour condition service, nous
00:18:11 pour discuter. Management salaire là, l'élève, l'élève point, l'élève point, les dires qui bon, le syndicat paré connaître.
00:18:20 Et c'est un syndicat qui négociait avec management depuis soixante-seize, puis vini même en démi-vindé ouvint
00:18:28 ça c'était une façon pour commencer démonter le syndicat là parce que je bien connais que quand je vois le tribunal s'y
00:18:35 en a pour aller la responsabilité le burden pour qu'à part présente l'évidence qui nous est non recognition du
00:18:43 syndicat. Et le syndicat c'est mon premier après-tirs soixante-seize m'en vini même. Il ne passe pas beaucoup là mais
00:18:50 beaucoup de dossiers en renouveau et des dossiers disparaissent. Alors quand le case est dans le tribunal, la question
00:18:57 fondamentale qui se finit là-bas, l'objection, je dis que le syndicat ne l'a pas reconnaître et s'il le reconnaît, il est
00:19:03 présent sur l'aide de reconnaissance. Bien nous payons. Et personnellement c'est moi qui tiens le case là-bas.
00:19:11 Je finis présente beaucoup d'évidence dans le tribunal, d'évidence qui nous appelle la circonstance, l'évidence,
00:19:19 je vous présente ça et mais malheureusement le tribunal n'a pas fini d'accepter ça et nous fini de perdre le cas.
00:19:26 Ça veut dire finalement nous prouver que le syndicat n'est pas reconnaissant. À part celle-là, le le le Raguba, il commence
00:19:35 à faire une application pour dire que nous n'avons pas de reconnaissance à ce terrain. C'est là qu'une répression commence et
00:19:41 le tout bain de travailleur dans la banque Boris là, tout bain de ce qui perd de re-rentre dans l'exécutif pour refaire
00:19:46 syndicat, il commence à gagner répression, il commence à gagner euh, bain, bain, persécution contre eux, même jusqu'à le
00:19:54 management, il ne s'est vu le de la banque Maurice pour avoir veuille ce dimoune dans la case bain d'employé pour faire
00:20:01 autre signe informe pour autres sondes de syndicat. Moi j'ai précisé qu'il n'y a aucun moyen vérifier ce qu'il vous
00:20:07 peut dire. Donc si jamais la direction, non, si jamais la direction de la banque de Maurice envie euh, téléphoner.
00:20:12 Exactement. Exactement. Réplique accusation ou allégation qui vous peut faire euh, donc euh, j'étais évidemment bienvenue
00:20:20 deux cent treize, sept, sept, sept, sept. Exactement. Donc il y en a qui en ligne. Et moi je suis content, je suis content, je
00:20:26 tréfie de ça. Donc vous avez précisé que moi de mon côté, moi je n'ai aucun moyen pour pour pour pour. Non, c'est vrai.
00:20:32 Ni vérifier. Moi, moi je peux dire tout ce qui me fait vivre. Right? Alors ça finit là il y a un incitant répression qui
00:20:40 vient de venir. Personne pas les trappes syndicales, pas les référents syndicales. Donc nous n'avons pas de
00:20:46 syndicats. Ah si vous pouvez pour la raison qui finit arrivé. Normalement euh, si nous guette euh, la loi
00:20:54 quand on vient le rapport infini sorti là. Hum hum. Par connaît qui commissaire salaire
00:21:01 commissaire salaire infini donne ce rapport. Par pénom syndical. Oui. Pénom syndical. Pas
00:21:09 d'initiative. Hum hum. Alors management qui fait l'option et d'après la loi, d'après section soixante-deux euh,
00:21:16 qu'est le nouveau section qui n'a pas de la loi, l'idéal que. Qui la loi hein? Euh, employment.
00:21:21 L'idée où c'est c'est le rapport salarial ça. Hum hum. L'idée où qu'ici d'une entreprise ou
00:21:27 pénal syndicat le patron n'est pas capable procède par voie de option. Alors qui appuie et s'il y a
00:21:35 non un syndicat reconnu, des besoins procède automatiquement par négociation collectif
00:21:40 comment il y a été dans cas alors le fait qu'ils ont fini démenter le syndicat. Pénom syndicat.
00:21:49 Je ne procède pas au sa rapport là il y en a beaucoup ben employés là-bas qui pas pédaco
00:21:56 avec sa rapport là mais j'ai pas dans aucun instance que tu te casses taper. Une espèce
00:22:00 qu'on va dire peut faux pour accepter rapport là. Mais titre raccourboir quand il a le
00:22:07 sa rapport là il est trouvé qu'il y en a beaucoup ben pour interrogation et il peut
00:22:11 attendre qu'il y ait une réunion avec manégement pour qu'il casse 10 kits sa bande
00:22:15 point là. Tant de bonnes raisons qu'il fait l'interdit pour donner son forme option.
00:22:19 Il n'y a pas eu de gagne ou qu'elle option dernière là. D'une soumette tito. Mais
00:22:23 maintenant moi moi j'ai envie de connaître. Justement laisse-moi poser la question.
00:22:26 Alors la soumission de option de forme après délai impératif ou délai prescrit est-ce
00:22:31 que c'est un délit? Dépendent des lits. Dépendent des lits. Il n'y a pas d'offense.
00:22:35 Il y a une offense sur les délits c'est pour prendre l'affaire pénale. Il y a une offense.
00:22:39 Il y a une offense et si vous sous n'importe quelle loi hein si vous prenez la loi
00:22:45 Employment Relations Worker's Rights même vous prenez la loi administrative qui est
00:22:50 non ou soit vous prenez la loi disciplinaire qui est non ou soit vous prenez Headbook
00:22:55 Employer's Handbook dans n'importe quelle institution qui a une option. Il n'y a aucun
00:23:01 délit. Il n'y a aucune offense qui est offerte ou qui n'a même pas donné sa option de
00:23:07 forme. Pas nécessairement un form management. Mais seulement l'it. Il a donné sa option
00:23:12 de forme en rétors. Quand vous lisez ce letter of charges là. Il peut dire aussi qu'il
00:23:17 a commis une offense sans n'importe quelle soumette ou forme. Mais moi moi j'ai envie
00:23:24 de connaitre. Moi j'ai envie de connaitre. Qui base sa allégation qu'il peut mettre
00:23:30 contre Ragubo. Qui base allégation. Qu'est ce qu'il écrit dans la loi ou soit dans
00:23:36 le manuel disciplinaire qui supposément peut servir pour mettre une soumette contre
00:23:42 Ragubo. Moi j'ai envie de connaitre qu'est ce qu'il écrit. Qu'il ne donne pas de
00:23:45 forme à lire. Il a donné une offense. Pas non. Aucune place pas non. Veuillez
00:23:50 finalement ça. Il mettait là tout illégal. Le comité disciplinaire lui-même l'illégal.
00:23:57 Il n'a pas gagné droit si c'est pour écouter ça. Et donc. Mais qu'est ce qui
00:24:03 est arrivé? Il est vrai que depuis quelques temps donc euh je vais trouver où avec
00:24:07 monsieur Ragubo. Enfin c'est où euh mon conseil monsieur Ragubo pas trop capable
00:24:12 causer dans les sources qui contenus de ce travail. Donc c'est où que je vais.
00:24:16 Donc euh qui est arrivé en le moment que tout fait comment dénonce ça à
00:24:23 l'institution de sa comité là et la décision donc d'annuler le comité disciplinaire.
00:24:28 Oui exact. Là quand nous fin trouvent euh euh comme une trouve comment dire le
00:24:34 menace pour commencer à venir au Ragubo. Alors moi finir à Ragubo.
00:24:39 Reste dans le background toi laisse moi qui rentre pas devant maintenant.
00:24:42 On est rentré et quand le management fin donne lui un lettre euh de source
00:24:50 avocat fin faire un ce qu'on appelle un DOP. Il fait un DOP et que l'indien
00:24:58 de ce lettre que il pouvait assister pour moi en tant que syndicaliste.
00:25:04 Donc euh
00:25:09 quand les fins avouent ça les là les gains et réponse et dans son réponse
00:25:14 le le paragraphe trois il met les très clairs that the bank is not agreeable
00:25:21 le banque is not agreeable to the presence of mister NGOPI on the DC.
00:25:28 Il y a un pêche-moi accompagne sa travaillée là l'eau sa baude disciplinaire
00:25:33 qui encore une décision illégale. Ça veut dire que coûte que coûte je te parlais
00:25:40 gagné un syndicaliste là-bas pour le défendre. Et sur deux sur trois mois.
00:25:45 Right? Objection que moi tu voulais voir. Premier objection moi tu voulais voir.
00:25:50 Moi tu me faisais connaître. Qu'est-ce que tu as fait de trouver dans qui m'as-tu
00:25:53 trouvé? Qu'est-ce qui passe dans ton option? Qu'il y a une offense.
00:25:58 Alors là-là, moi je commence à me trouver ça commence à tourner un peu illégal, un peu grave.
00:26:05 Finalement un syndicaliste pas capable de surprendre le président de la fédération
00:26:10 pas capable de défendre un travailleur.
00:26:13 Première question que je me pose c'est que je suis dans un bureau international du travail.
00:26:16 Je ne suis pas le ministre avant. Le ministère du travail je ne suis pas là.
00:26:20 Je suis là pour vous apprendre. Je suis dans un bureau international du travail.
00:26:25 Je finis d'écrire le ITUC d'Afrique et de Bruxelles. Tous les deux je finis d'écrire.
00:26:30 Et bon, je ne connais pas. Mais seulement je finis d'amener une bataille assurée contre le management.
00:26:39 Peut-être une suivi du journal que vous avez trouvé. Je ne finis pas aucun chemin à management
00:26:45 pour lesquels ils ont fait ce qu'ils ont fait.
00:26:47 Donc c'est tout ça qui finit par se faire guerre.
00:26:50 Exactement, peut-être management. Et la dernière chose, je réécris le ministre du travail et je lui dis qu'il faut intervenir.
00:26:56 Il faut intervenir parce que...
00:26:58 Tu ne sais pas à quel point il va intervenir.
00:26:59 Je ne sais pas s'il va intervenir ou non. Je ne sais pas.
00:27:01 Et là, il y a des gens qui sont là pour me dire qu'il faut discontinuer le comité.
00:27:08 Je ne sais pas si je suis trop... Au fond, je peux accélérer ça.
00:27:13 Je ne sais pas si je peux défoncer la banque Maurice.
00:27:16 Mais bon, il me soulagait un peu.
00:27:18 En tout cas, on va le ressortir avec l'eau.
00:27:20 Non, il n'y a pas aucune garantie.
00:27:24 Parce que ça va nous aider bien.
00:27:26 Surtout ce député-gouverneur.
00:27:28 Non, je vous le dis.
00:27:30 Ce n'est pas Zodizou qui m'a dealé avec la banque Maurice.
00:27:33 Ce n'est pas Zodizou.
00:27:35 Ne pas personnaliser les choses.
00:27:37 Si la direction a institué un comité disciplinaire, évidemment, ce sont les trois dirigeants.
00:27:44 Mais ne pas personnaliser.
00:27:46 Si vous pouvez trouver que la banque de Maurice, en tant qu'employé,
00:27:51 la loi définit-elle comme un employé,
00:27:54 il y a besoin au moins de ce l'aide de réponse à avocat.
00:27:59 Il y a besoin de mettre un point de vue sur cette section de la loi.
00:28:02 L'emploi et la relation.
00:28:03 Il y a plus de trois vins de la banque.
00:28:05 Je suis d'accord.
00:28:07 Mais la loi donne au moins l'autorité pour accompagner.
00:28:10 C'est le seul problème.
00:28:12 Mais quel est le problème?
00:28:14 Je suis un caissier.
00:28:16 Je suis un caissier.
00:28:18 Je suis un caissier.
00:28:20 Si je ne peux pas accompagner, je ne peux pas dire que je n'ai pas gagné le droit.
00:28:23 Parce que je connais l'illégalité.
00:28:25 Théoriquement, c'est Ziaou qui est capable d'être accompagné, soit des représentants syndicaux, soit d'un avocat.
00:28:30 Ou même des députés.
00:28:32 Ou tous les deux.
00:28:34 Donc, on sait dès lors ou pas que tu n'as pas gagné.
00:28:36 Mais là, c'est un officier du ministère du travail.
00:28:38 Du ministère du travail, justement.
00:28:39 Tu peux payer, mais tu ne peux pas dire une bêtise.
00:28:41 Je ne peux pas dire que tu as gagné.
00:28:43 Non, non.
00:28:45 Trop beaucoup.
00:28:47 C'est un syndicat, c'est une voie syndicale.
00:28:49 Surtout dans un organisme où l'État a des actions.
00:28:52 Où l'État a des intérêts.
00:28:54 Pourquoi il pose des problèmes comme ça?
00:28:56 C'est la question qui nous vient d'aborder.
00:28:58 Nous avons une pause pour le temporaire.
00:29:00 Et nous retrouvons ça dans quelques secondes.
00:29:03 Désiccava, détox de Girnar.
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00:33:19 Je reviens à ma question avant la pause pour le temps réel.
00:33:23 Comment est-ce que certains joueurs peuvent se trouver dans un organisme,
00:33:29 soit parapublic ou public,
00:33:32 ou peut-être que le gouvernement l'a intérieur.
00:33:36 C'est nouveau, enfin assez nouveau,
00:33:40 qu'on peut trouver qui sait que c'est cette voix-là qui est dérangée.
00:33:44 Comment expliquer ça ?
00:33:46 Vous savez, il y a un gros problème.
00:33:49 C'est que si toutefois il y a un problème de gouvernance,
00:33:53 si toutefois il y a un problème de maladministration,
00:33:57 les devoirs, le rapport l'a dit par exemple, une sortie,
00:34:01 nous comme syndicat du public, nous ne critiquons pas le rapport.
00:34:05 Nous ne critiquons pas tout ça, pas le point qu'il a mentionné,
00:34:08 quand il y a un gaspillage de fonds public,
00:34:10 il y a aussi une pratique de mauvaise gouvernance,
00:34:13 mauvaise gestion, nous continuons de critiquer.
00:34:16 Donc une critique politique du gouvernement à plusieurs niveaux.
00:34:20 Est-ce qu'il faut que nous faisons un effort pour nous donner une explication
00:34:25 en tant qu'employés du gouvernement ?
00:34:28 Alors, je pense que là, il y a un problème, et là, il est plus réaliste qu'il ne l'est pas.
00:34:31 Un petit peu de précision, Michael,
00:34:34 je me disais qu'AMCA est un affilé de la Fédération,
00:34:37 c'est une police fédération.
00:34:39 Et en tant que président de l'ASER, je négociais avec sa syndicat.
00:34:42 Je ne parle pas seulement de l'unité, mais de devoir et de responsabilité
00:34:45 pour défendre justement le président de sa syndicat.
00:34:48 Et il ne faut pas oublier que nous, en tant que fédération,
00:34:50 nous avons aussi un sens international,
00:34:52 que nous avons filé, qui peut suivre sa dossière à des prix.
00:34:54 Alors, ça, il faut que nous le faisions aussi.
00:34:56 Pour quelle raison ? Vous revenez à cette question.
00:34:58 Pour quelle raison ? C'est la même question que vous nous avez posé.
00:35:01 Mais c'est moi une des affaires que je suis content de dire,
00:35:03 c'est que quand nous avons eu une rencontre avec le ministère du Travail,
00:35:06 quand Yogita a reçu sa première lettre,
00:35:08 quand nous avons eu, à la suite de sa participation dans l'émission de la radio,
00:35:12 nous avons reçu sa première lettre,
00:35:14 nous avons fait un appel au ministère du Travail.
00:35:16 Nous avons eu une réunion avec le ministère du Travail,
00:35:18 qui est présidé par le senior advisor du ministre du Travail.
00:35:22 Et lors de cette réunion-là, il m'a réussi à être présent,
00:35:25 à travers un avocat, monsieur Duda, avec son équipe.
00:35:29 Et là, le ministère a fait que je comprenne
00:35:32 que la loi est claire et en protection de notre syndicat.
00:35:36 Et le ministère a dit, maintenant, dans nos présences,
00:35:38 qu'il était raisonnable.
00:35:40 Mais qu'est-ce qu'ils ont fait?
00:35:42 Je crois qu'ils ont déraisonné.
00:35:44 Et là, quelques jours après, je tiens cette lettre,
00:35:48 je me suis dit, il y a un comité disciplinaire.
00:35:50 Alors, je me suis trouvé que je devais dire,
00:35:52 il y a un conseil qu'ils ont gagné du ministère,
00:35:55 qui est venu, je ne sais pas, je ne comprends pas.
00:35:57 Mais justement, suite à cette demande,
00:35:59 vous demandez au ministère d'intervenir,
00:36:01 et le ministère a dit, ce que je comprends,
00:36:03 d'ailleurs, vous m'avez annoncé ça à la radio,
00:36:06 que le ministère a dit qu'il n'est pas convaincu d'intervenir.
00:36:09 Il a utilisé une expression, une image,
00:36:13 qui dit que c'est comme un chien qui s'est soulevé,
00:36:16 et qui a voulu rentrer, donc, il a intrus rentrer,
00:36:18 et il a trouvé que le chien n'a pas été dans ce coup-là.
00:36:20 Mais est-ce que vous ne vous déçiez pas de ça?
00:36:22 Une petite correction, Michael, une petite correction.
00:36:25 C'est la lettre que nous avons reçue du ministère,
00:36:27 et ensuite, il nous a demandé de faire une deuxième demande
00:36:30 que le syndicat a fait.
00:36:31 Le ministère vient dire qu'il n'est pas,
00:36:34 il n'est pas en pouvoir pour empêcher sa comitée disciplinaire.
00:36:38 Il dit ça, hein?
00:36:40 Après, il dit que le syndicat n'est pas capable de la cour suprême s'il le veut.
00:36:44 Ça veut dire que le ministère ne reconnaît pas qu'il y a un problème là-dedans,
00:36:48 qu'il n'est pas en pouvoir, mais la cour,
00:36:50 il a fini de dire non, sinon, il ne pourrait pas mettre ça dans sa lettre.
00:36:52 Ça veut dire qu'il n'y a pas de cas devant la cour.
00:36:54 Maintenant, je veux préciser une chose.
00:36:56 Moi, je fais une différence entre une comitée disciplinaire
00:37:00 qui met sur pied, disons, un employé d'une entreprise.
00:37:03 Il a fini de faire une faute dans l'entreprise.
00:37:05 Et dans une comitée disciplinaire, qui le mettait,
00:37:08 dans ce cas-là, mon cas comprend qu'il peut-être,
00:37:11 le ministère n'a pas pour cas interféré.
00:37:13 Mais dans le cas de Yogita, il est différent.
00:37:17 Lui, il a fini d'agir selon la disposition de la loi.
00:37:20 Il fait son travail comme un syndicaliste
00:37:23 qui est protégé par la loi, dans une cause section 29 et section 30,
00:37:27 et il dit clairement dans cette section 31-là qu'il n'est pas un employé
00:37:31 qui peut violer cette section-là,
00:37:33 il peut commettre une offense.
00:37:36 Et il a même jusqu'à 100.000 rubis de la main.
00:37:39 Alors, je fais une différence.
00:37:40 Alors, pour moi, cette lettre-là, peut-être, il y a une confusion.
00:37:44 C'est qu'il est très clair.
00:37:46 Mon cas comprend qu'il y a une comitée disciplinaire par rapport à un employé,
00:37:50 mais ici, il y a une comitée disciplinaire qui le met sur pied
00:37:53 parce que, justement, ce syndicaliste a fini de causer
00:37:56 une affaire et il a appelé les différents comités en tant que syndicalistes.
00:37:59 Pour moi, il y a une différence.
00:38:01 Il y a une différence.
00:38:02 Une différence fondamentale.
00:38:04 Alors, sinon, je pose une question,
00:38:06 mais qu'est-ce que fait la loi pour protéger ce travail?
00:38:08 Et parce que ça, nous finissons une convention qui s'appelle
00:38:11 "Co-Liberty Standards", une convention de base.
00:38:13 Il y a une convention 87 et une convention 98.
00:38:17 La convention 98, la cause protection, la cause "Freedom of Association",
00:38:22 "Liberté syndicale".
00:38:23 Et mon cas, je dis au BIT, il n'est pas comme à l'époque qu'il y a une instance internationale.
00:38:27 BIT, c'est une instance tripartite.
00:38:29 Et il y a une instance des Nations Unies.
00:38:32 Et le gouvernement, quand il ratifie une convention,
00:38:34 il y a une obligation pour lui rassurer
00:38:37 que l'article de sa convention-là peut être respecté dans son pays.
00:38:41 Sinon, nous, comme syndicats, nous avons le droit d'appel.
00:38:45 Nous ne pouvons pas faire appel au BIT pour respecter sa convention-là quand il y a une violation.
00:38:49 Et c'est ça qui peut arriver quand, maintenant, M. Rouches peut voter.
00:38:52 Il peut violer pas seulement la loi du pays, qui est votée par le Parlement,
00:38:56 mais il peut aussi violer la convention 98,
00:38:59 qui le gouvernement mauricien a ratifiée il y a des années.
00:39:02 Pas seulement ça, il y a un troisième élément, Michael,
00:39:05 quand Yogi Thaïlande mentionne ça,
00:39:07 tous ces gens qui ne peuvent pas faire le vaccin,
00:39:10 il y a une douzaine d'entre eux, ils sont "grounded".
00:39:12 Ça veut dire qu'ils n'ont pas le droit de travailler.
00:39:16 Et quand même le ministère de la Santé nous dit qu'ils n'ont pas besoin de vaccins pour rentrer.
00:39:20 Tout le monde peut rentrer sans avoir de vaccin.
00:39:22 Vous comprenez? Mais qu'est-ce qu'on peut faire?
00:39:24 Donc, il y a un problème. Moi, je crois qu'il y a 10 personnes qui peuvent faire la ficelle dans M. Rouches,
00:39:28 qui ont pris la tête dans ce syndicat-là.
00:39:30 Maintenant, je ne veux plus que ces 10 personnes viennent dans un autre lit de pied.
00:39:34 C'est pourquoi, peut-être, ces 10 personnes qui me disent ça,
00:39:37 c'est peut-être qu'ils peuvent recevoir ces 10 personnes-là en incognito.
00:39:41 Mais quand les syndicats peuvent venir sous leurs points,
00:39:45 je me pose une question.
00:39:47 Parce que si maintenant, nous faisons un cas d'événement tribunal, nous, en copie à teinte,
00:39:50 si on rentre à la réunion, on peut pas faire une réunion. Mais qu'est-ce qu'on peut faire?
00:39:52 Et je dis que c'est une raison pour laquelle nos radios expliquent la situation.
00:39:55 Ils représentent les employés.
00:39:57 Et c'est clé dans la loi qui nous votait aussi,
00:39:59 qui nous donne le droit de porter dans le syndicat.
00:40:02 Troisième point, tu peux dire, tu peux me le dire,
00:40:04 Convention 190, qui a été ratifiée en juin.
00:40:08 Le 1er juin 2021, il a été ratifiée.
00:40:11 Et Mauritie, c'est l'un des premiers pays africains qui a ratifié cette convention-là.
00:40:15 Parce qu'il y a eu un enseignement de violence dans le travail.
00:40:19 Et un enseignement de violence dans la société mauritienne.
00:40:22 Mais qu'est-ce qu'ils ont fait avec Yogeeta?
00:40:24 Mais justement, ils ont violé cette convention 190.
00:40:27 C'est cela qui nous fait faire une demande.
00:40:29 Alors, nous pouvons attendre maintenant, encore une fois,
00:40:32 qu'il y ait l'autorité mauritienne à agir.
00:40:35 Ou sinon, peut-être qu'on pourra demander à Yogeeta de nous faire attendre.
00:40:38 Alors, on va aller à la question.
00:40:41 Je vais poser la même question que René-François.
00:40:44 Comment trouvez-vous la voix de ces compagnies,
00:40:47 quand l'État a un intérêt, un grand intérêt,
00:40:50 où ils contrôlent carrément, sans aucun intérêt?
00:40:53 Comment trouvez-vous la voix de ces syndicats-là,
00:40:56 particulièrement là, dans ce qu'ils ont trouvé là, gênant?
00:40:59 C'est trop clair.
00:41:02 Trop clair.
00:41:05 C'est un peu comme si on avait un européen qui l'a pris,
00:41:08 qui l'a statuté, tout ça, hein?
00:41:11 Tout est dans le bord.
00:41:14 Et il y a ce groupe qui nomme ce groupe-là, le bord.
00:41:17 Est-ce que ce groupe qui fait nommer les autres couleurs politiques,
00:41:20 c'est le bord, là? Les autres beaux politiques, c'est le bord.
00:41:23 C'est le ministre qui le nomme, il n'y a pas d'autre premier ministre nommé.
00:41:26 Je prends par exemple le premier ministre, il n'y a pas celui-là, là.
00:41:29 Est-ce que ce groupe-là, le bord, hein?
00:41:32 Je me demande, est-ce que ce groupe-là travaille dans l'intérêt de la compagnie,
00:41:37 ou soit il travaille dans l'intérêt politique?
00:41:40 Si c'est la nomination, c'est les 10 personnes qu'il nomme, là,
00:41:43 qui travaillent dans l'intérêt de la compagnie,
00:41:46 et moi, je suis un peu dans la situation qu'il y a aujourd'hui.
00:41:49 Alors, est-ce que vraiment je suis dans l'intérêt de la compagnie, là?
00:41:52 Quand vous causez l'intérêt de la compagnie, vous pouvez causer l'intérêt du travailleur.
00:41:57 Parce que ce travailleur-là, il bloque la fondation qui fait la compagnie, là.
00:42:02 Peut-être qu'il y a des gens derrière Mauritius qui ne comprennent pas l'importance du travailleur de la compagnie.
00:42:08 Ils peuvent penser que quand ils assistent à un bureau et qu'ils peuvent prendre des décisions,
00:42:12 c'est ça qui peut rouler à Mauritius. Mais non, oublié.
00:42:15 Si on met en situation hypothétique que tout travailleur quitte Mauritius,
00:42:20 la compagnie est grédée en place.
00:42:22 Donc, quand on cause l'intérêt d'une compagnie, on cause l'intérêt de ce travailleur.
00:42:27 Mais quand on a des gens qui nous mettent politiquement au bord,
00:42:30 est-ce qu'ils ont un intérêt de travailleur?
00:42:32 C'est une bonne raison.
00:42:34 C'est plus facile de taper un travailleur.
00:42:36 Il est un peu plus difficile de taper un syndicaliste.
00:42:38 Mais si on trouve un syndicaliste,
00:42:41 si on trouve un syndicaliste qui peut déranger la politique de la compagnie,
00:42:47 je ne veux pas dire la politique administrative ou internationale qui vous a fait un nom.
00:42:53 Je veux dire aussi la politique politique de la compagnie pour vous introuver dans le système.
00:42:59 Et nous avons une grosse faille dans notre loi.
00:43:02 Il est vrai que le camarade Radda évoque la section 31.
00:43:06 Il donne trois protections contre interférence.
00:43:10 Il ne se trompe pas, il rentre dans le "day-to-day running of trade union" et c'est bloqué.
00:43:17 Mais la protection pour le syndicaliste,
00:43:22 on la trouve dans la section 64 du "Workers' Rights Act".
00:43:25 Une section qui met ça.
00:43:27 Qui dit que si jamais un syndicaliste met des hauts,
00:43:32 tu n'as pas de rapport à cette section-là.
00:43:35 Tu n'as pas de rapport à un litige au tribunal pour un "reinstatement".
00:43:40 Pour ce qui te, tu peux faire un travail syndical et c'est la cause de ça qui te met des hauts.
00:43:44 Un peu comme Yogi Thababou était là.
00:43:47 Mais c'est moi plutôt à le tribunal que je peux faire toi référence.
00:43:52 Peut-être que je ne vais pas sortir des hauts sujets là.
00:43:55 Non, non, non. Terminé, terminé.
00:43:57 C'est le point important pour nous connaître qui est notre tribunal,
00:44:00 comment nous avons la cour, parfois, je ne comprends pas le monde syndical.
00:44:05 Sans aucun préjudice à la cour, de la façon dont elle s'opère,
00:44:09 mais je suis bien là.
00:44:11 Je suis bien là parce que il y a quelqu'un qui vient de la radio ici qui est là.
00:44:14 Et moi aussi je suis là.
00:44:16 Nous la cour, elle ne comprend pas le monde syndical,
00:44:20 elle ne comprend pas le monde du travail.
00:44:22 Elle connaît le monde du travail quand elle lit la loi travail.
00:44:26 C'est tout ce qu'elle connaît.
00:44:27 Mais le déçu qui nous est né dans le monde du travail,
00:44:30 ce harcèlement qu'elle peut gagner là, je ne reconnais pas tout ça.
00:44:33 C'est une bonne raison pour laquelle le ministère du travail me dit
00:44:38 "bon, je te calme la cour".
00:44:41 Mais moi je ne sais pas ce qui se passe.
00:44:43 Je vais te dire une chose, je vais te mettre des hauts sujets.
00:44:45 Pour ce qui est de la cour, ce n'est pas pour un TFL,
00:44:48 le judiciaire n'est pas pour un TFL dans l'exécutif de ce travail.
00:44:52 Il est pour aller au salle.
00:44:54 C'est là qu'il faut aller au comité disciplinaire.
00:44:57 Quand on a une finie prévention.
00:44:59 Ça veut dire qu'il y a différentes étapes, il faut suivre toutes les étapes.
00:45:03 Mais, un grand point d'interrogation,
00:45:06 si la cour comprend le nitty-gritty du monde du travail,
00:45:12 elle ne peut pas vous dire ça.
00:45:14 On fait une critique mais on le fait de manière polie,
00:45:17 on ne le souhaite pas.
00:45:19 Mais deuxième question,
00:45:21 on a aussi des membres de la présidence de la cour,
00:45:24 donc on a aussi la présidence de la cour,
00:45:26 parce qu'on peut accompagner,
00:45:28 donc c'était ce devoir, accompagner Yogita Baburama.
00:45:31 Et beaucoup de gens qui sont venus pour manifester,
00:45:34 c'est à cause de répression syndicale.
00:45:37 Donc, c'est à cause de la décalage,
00:45:40 mais, le commune quand on a fini la cour,
00:45:43 on va dire pour qu'il y ait sa perception,
00:45:46 qu'il y ait un sourd, qu'il y ait une vague de répression,
00:45:49 pas que le terme est bien,
00:45:51 mais qu'il y ait une répression,
00:45:53 qu'il y ait un genre de répression dans le syndicat.
00:45:55 Oui, le monsieur que tu allais là,
00:45:58 Yogita Babu,
00:46:03 le monsieur que Yogita Babu,
00:46:05 il prend le nom, il fait référence,
00:46:07 c'est l'inférieur sur deux victimes,
00:46:09 Yogita Babu c'est deux victimes.
00:46:11 La première victime c'est Chauvin Sanasi,
00:46:13 de l'air bourgeoise,
00:46:15 qui est dans l'airport de la Bourgeoise,
00:46:18 qui défend l'inférieur,
00:46:21 ce plus gros,
00:46:23 offre supposément l'inférieur,
00:46:26 il dénonce le manquement
00:46:29 dans son pension AML.
00:46:32 Comment vous expliquer qu'ils ont dit,
00:46:34 vous faites une conférence de presse,
00:46:36 vous dénoncez ça,
00:46:38 dans l'espace une semaine,
00:46:40 on a fini par dire qu'il manquait là.
00:46:42 C'est à dire, ça veut dire,
00:46:44 il manquait,
00:46:46 alors ça fait une semaine qu'il y a là,
00:46:48 il a trouvé un moyen
00:46:50 pour débarrasser,
00:46:52 pas qu'à débarrasser,
00:46:54 il vient expliquer que quand il a des informations,
00:46:56 il manquait,
00:46:58 parce qu'il a fini par payer là-bas,
00:47:00 alors qu'est-ce qu'ils ont fait,
00:47:02 ils ont rentré sur Facebook,
00:47:04 parce que le AML,
00:47:06 Airports of Mauritius Limited,
00:47:08 Staff Association,
00:47:10 l'ISN, compte Facebook,
00:47:12 et vous bien connaissez, on travaillait comme on l'était,
00:47:14 et là, comme on a dit, s'ils n'ont pas frotté en manège,
00:47:16 ils n'ont pas senti le bien.
00:47:18 Alors,
00:47:20 mais c'est une réalité, je peux vous dire.
00:47:22 Non, non, l'idée, c'est qu'on est des
00:47:24 sécuristes, on sait ça.
00:47:26 Mais vous n'avez pas fait...
00:47:28 Nous défendre travailler, oui, mais quand vous prenez
00:47:30 ça, l'image là, malheureusement,
00:47:32 vous n'avez pas pu défendre nous.
00:47:34 Parce qu'ils ont fait ça,
00:47:36 qu'ils ont dit ça, c'est une faille de travail,
00:47:38 ils ont fini par rentrer sur Facebook,
00:47:40 ils ont fini par faire un extrait
00:47:42 de cette information, et on leur a donné ça
00:47:44 à leur gros patron.
00:47:46 Alors, il y a une base là,
00:47:48 ça, ils ont fini par mettre un comité disciplinaire,
00:47:50 après ils sont venus s'assoir, ils ont mis le board,
00:47:52 et là,
00:47:54 c'est ce qu'il y a eu.
00:47:56 C'est que, les membres de leur propre syndicat
00:47:58 ont créé
00:48:00 ce départ, ils ont fait mettre l'idée là.
00:48:02 Et,
00:48:04 le management,
00:48:06 qui peut faire tout pour tout pour
00:48:08 faire la mise dans le syndicat.
00:48:10 Allez, trois cas là, allez, troisième, trois cas.
00:48:12 Il y en a encore? - 120, c'est ainsi.
00:48:14 Nous, on n'a pas d'autres, la poche.
00:48:16 Même chose, il y a le tribunal, nous, on n'a pas fini
00:48:18 par prouver qu'il a causé, ça c'est d'après
00:48:20 ce que le tribunal a dit là, hein.
00:48:22 Le tribunal, il n'a pas fini par prouver
00:48:24 qu'il a causé cette responsabilité
00:48:26 syndicale qu'il a mis là-haut.
00:48:28 Mais, les choses, vous comprenez, c'est moi qui termine
00:48:30 le tribunal, par compréhension du monde du travail là.
00:48:32 Moi, j'ai envie qu'on ait
00:48:34 qui, employé, pour donner
00:48:36 un syndicaliste, un l'aide,
00:48:38 pour dire lui, que la cause
00:48:40 de cette responsabilité
00:48:42 syndicale, ou la cause
00:48:44 de ce travail syndical,
00:48:46 nous permettra d'aller en haut.
00:48:48 Nous ne pouvons pas se relever de notre disciplinaire.
00:48:50 Qui est syndicaliste?
00:48:52 Il a besoin de dire, as a trade unionist,
00:48:54 tu ne fais ça, ça, ça.
00:48:56 Là, il y a une évidence directe
00:48:58 qui voit le tribunal, qui dit, voilà
00:49:00 monsieur, on a une évidence directe, qui dit,
00:49:02 la cause d'un syndicaliste, il a besoin de répondre
00:49:04 à cette chose-là, il peut être satisfait
00:49:06 de mettre moi en haut.
00:49:08 Aucun employé n'est pas prêt pour ça.
00:49:10 Mais par contre, quand tu as le section 31,
00:49:12 qui est une faire référence,
00:49:14 il y a des choses qui sont là-bas,
00:49:16 qui donnent ta protection pour ton travail syndical.
00:49:18 Ils donnent ça à toi.
00:49:20 Absolument.
00:49:22 Quand tu as de l'emploi syndical, qui est là-dedans?
00:49:24 Un, c'est, si tu peux rapporter
00:49:26 ce qui arrive dans la rue.
00:49:28 Si tu peux rapporter
00:49:30 le manque qu'il y a dans ton
00:49:32 euh, euh, euh, le monde du travail,
00:49:34 quand tu peux travailler,
00:49:36 tu as un gros problème bien dangereux
00:49:38 là-bas, quand tu as un défilé
00:49:40 courant qui te fait traîner,
00:49:42 et de l'eau habité, ramassée là-bas.
00:49:44 Ils te rapportent ça pour dire
00:49:46 qu'il y a une électrocution dans ces affaires-là.
00:49:48 Trois problèmes, ils le rapportent,
00:49:52 après, troisième problème,
00:49:54 ils te rendent l'aide pour venir, ils te donnent
00:49:56 l'eau pour discipliner, mon frère.
00:49:58 Alors, c'est ce qui est arrivé. Alors, on a sorti une scène
00:50:00 de la guerre. Premier syndicaliste
00:50:02 Badalde,
00:50:04 troisième
00:50:06 CIP
00:50:08 le niveau
00:50:10 MRES
00:50:12 Nul
00:50:14 L'allée navale sur la cour suprême
00:50:16 Oui, depuis la guerre
00:50:18 quatrième
00:50:20 Ragubo
00:50:22 Cinquième
00:50:24 Mais pour aller
00:50:26 comme ça, pour aller comme ça,
00:50:28 le troisième
00:50:30 président syndical du NCCB
00:50:32 Là-bas,
00:50:34 il recevait une lettre
00:50:36 d'interdiction, le troisième
00:50:38 Sur les lettres des camarades,
00:50:40 ils ont reçu une lettre
00:50:42 pour répondre à des charges
00:50:44 mêmes charges. Il a reçu une interdiction
00:50:46 il est président syndical
00:50:48 Il met un comité disciplinaire
00:50:50 et on est gros l'horizon qui est impliqué là-bas
00:50:52 dans le nouveau cas
00:50:54 de Chambers
00:50:56 qui est pour le comité
00:50:58 et fait les commentaires, il est temps de mettre ces trois charges là
00:51:01 tout enculé, trois tombées
00:51:03 On a fait le cas
00:51:05 devant le comité là, on s'est même bien écrit à Yellow
00:51:07 On a bien impliqué le ministère Travaille
00:51:09 là-dedans, nous expliquait comment
00:51:11 et heureusement, il y a eu une évidence
00:51:13 pour montrer que la personne n'a pas agi à peu près lui-même
00:51:15 il a envoyé un message, ça veut dire
00:51:17 il y a eu une communication, mais il y a eu tout ce qu'il y avait en mail là
00:51:19 Là-bas, il a essayé de trouver
00:51:21 comment il a fait la discrimination
00:51:23 pour ne pas avoir une interdiction, quand il y a une interdiction, il y a une charge
00:51:25 contre lui, nous avons donné
00:51:27 la possibilité pour lui répondre
00:51:29 qu'il ne se soit pas fait
00:51:31 Alors, ce qui est arrivé, c'est que
00:51:33 ça aussi, comme mon camarade Gopi peut le mentionner
00:51:35 il y a eu quelqu'un qui a été nommé
00:51:37 politiquement à la tête de ces six gens-là
00:51:39 et il a dit que tout le monde
00:51:41 peut reprendre la décision
00:51:43 et là, ce qui est arrivé, nous
00:51:45 quand on a fini de faire cela, on a fait
00:51:47 une demande
00:51:49 vers la fin de l'année, la personne
00:51:51 a dit
00:51:53 il a été interdit pendant des mois
00:51:55 et des mois, ok, ça veut dire
00:51:57 on peut réinstaller tout
00:51:59 et là, on a fini, comme ça
00:52:01 ça veut dire, tu sais ce que tu peux dire
00:52:03 tout ce problème
00:52:05 moral que tu as traversé là
00:52:07 tout cela, comment
00:52:09 tu peux y aller comme ça? Mais moi je pensais, c'est pas possible
00:52:11 ça veut dire qu'il y a quelque part,
00:52:13 si c'est des gens qui prennent une décision
00:52:15 pour travailler
00:52:17 dans un comité disciplinaire
00:52:19 ils doivent répondre aussi
00:52:21 parce que finalement, ces gens-là
00:52:23 ont eu une mauvaise démarche
00:52:25 dans le public, c'est pas possible
00:52:27 sur l'entourage, sur la famille
00:52:29 ce que tu peux faire, tu peux jouer avec ça
00:52:31 sur la santé, sur le moral
00:52:33 mais tu ne peux pas y aller
00:52:35 tu peux y aller tout facilement. Tu te trouves syndicaliste dans la prison?
00:52:37 Oui, oui, le secrétaire
00:52:39 de prison officers association
00:52:41 lui, je crois qu'il est venu
00:52:43 au Radio M, il a fait un programme
00:52:45 une émission et je crois
00:52:47 que Mervyn Bitton
00:52:49 lui, il a fait ce programme-là et à
00:52:51 le début, il a fait
00:52:53 un réseau qui a mis sur sa plate-forme
00:52:55 en tant que secrétaire de prison officers association
00:52:57 donc un syndicaliste
00:52:59 mais là, il y a une lettre
00:53:01 qui lui a demandé de prendre une permission
00:53:03 supposément
00:53:05 il devait prendre une permission, il ne l'a pas fait
00:53:07 il devait prendre une permission
00:53:09 et le commissaire de prison
00:53:11 à l'époque, je crois que c'était Mr Abadou
00:53:13 alors
00:53:15 et c'est qui est comique là-dedans?
00:53:17 C'est un représentant du commissaire de prison qui vient ici
00:53:19 pour participer au programme
00:53:21 quand il peut venir là-haut
00:53:23 ici pour participer, il a un coup de téléphone, il ne va pas participer
00:53:25 il ne va pas participer
00:53:27 donc quand ça
00:53:29 il finit, il finit de participer
00:53:31 tout ça, l'affaire qui nous a senti
00:53:33 c'est une répression contre les syndicalistes
00:53:35 est-ce qu'il vous pensait
00:53:37 qu'il pensait qu'il y avait des
00:53:39 affaires qui n'étaient pas correctes
00:53:41 dans l'organisme
00:53:43 là, dans tout ce cas-là
00:53:45 c'est surtout par rapport à l'article ou par rapport à la public
00:53:47 est-ce que c'est ça qui
00:53:49 Michael, qui nous fait dénoncer?
00:53:51 Je prends Kayce Yogitababou
00:53:53 il a le droit à une négociation collective
00:53:55 il a fait une dénonciation
00:53:57 il n'a pas de détails là-dedans, il dit "bon, il nous faut un jour
00:53:59 pour faire une négociation collective"
00:54:01 mais qui nous aime lui là-dedans?
00:54:03 c'est que la loi peut dire "moi, je peux faire ça même"
00:54:05 alors
00:54:07 en d'autres mots, si vous pouvez venir prendre sanction contre moi
00:54:09 vous pouvez venir dire "moi, qui c'est qui
00:54:11 mettez dans la loi l'illégal"
00:54:13 et il n'y a rien qui nous dérange
00:54:15 nous dérange
00:54:17 le gouvernement plutôt
00:54:19 parce que quand nous
00:54:21 critiquons le Auditors' Report
00:54:23 chaque année, c'est que nous dérange le gouvernement
00:54:25 mais nous ne dérange pas le Corporat Étatique
00:54:27 je prends
00:54:29 le cas de Sorvin Sanasi, qui nous fait qui nous déranger?
00:54:31 il dit "vous me cassez dans vos fonctions"
00:54:33 nous, on peut prendre Badaal
00:54:35 il a fait une preuve
00:54:37 de manque de travail
00:54:39 dans le geste de la gestion des droits des humains
00:54:41 il dit "non, il n'y a rien"
00:54:43 même chose pour les autres qui nous disent
00:54:45 même chose pour
00:54:47 les sixième cas qui nous ont élevé
00:54:49 il y a un autre secteur
00:54:51 qui s'appelle "manufacturing sector welfare"
00:54:53 il y en a trois du monde immédiat
00:54:55 alors, il m'a dit "essaye dans le privé"
00:54:57 Michael, dans le privé
00:54:59 vous savez ce qu'il veut faire
00:55:01 moi, j'ai des organisations privées
00:55:03 qui ont fait des tentatives
00:55:05 parce que la loi est claire, vous ne pouvez pas faire partie du syndicat
00:55:07 vous ne pouvez pas être membre
00:55:09 vous n'êtes pas capable de faire partie du syndicat
00:55:11 mais quand il y a un mouvement pour créer un syndicat
00:55:13 le patron qui fait un moyen
00:55:15 pour prendre une action, il ne peut pas prendre une action
00:55:17 parce qu'il n'y a pas d'opportunité
00:55:19 il peut commencer à faire un mouvement
00:55:21 il a une nouvelle
00:55:23 mais c'est pas un autre prétexte
00:55:25 alors, il dit "back out"
00:55:27 ça veut dire que la loi est là
00:55:29 pour protéger ce travailleur
00:55:31 mais il y a une attitude, une mentalité
00:55:33 malheureusement qui ne prend
00:55:35 sur face aux dix jours
00:55:37 c'est le problème de la parité
00:55:39 même dans le privé
00:55:41 dans le privé, souvent
00:55:43 on peut dire que oui
00:55:45 il y a un employé
00:55:47 qui est capable de servir
00:55:49 ça, on le connait
00:55:51 mais c'est pas de la parité, tout le temps on pense
00:55:53 au contraire, si on a des gens qui sont mieux
00:55:55 et qu'ils ont des contraintes
00:55:57 peut-être qu'ils vont fonctionner
00:55:59 et de l'autre côté
00:56:01 ils ont même l'avantage
00:56:03 d'une certaine façon
00:56:05 c'est ça qu'ils ont changé
00:56:07 je vous dis où est le problème
00:56:09 je vous le dis dans mon émission
00:56:11 nous ne comprenons pas la loi
00:56:13 nous, le problème, c'est que la loi
00:56:15 ne peut pas être en pratique
00:56:17 je vous cite un exemple
00:56:19 l'utilisation de la loi
00:56:21 qui est la cause de la question du public gathering
00:56:23 ça, la loi
00:56:25 n'est pas de qui, on ne sait pas qui est arrivé
00:56:27 ça veut dire que si la police
00:56:29 veut faire un léger
00:56:31 mettre des bandes de léger pour ne pas trouver une manifestation
00:56:33 parce que sa manifestation
00:56:35 peut-être, il fait au plaisir
00:56:37 ou soit, il n'est pas légal, il a un problème
00:56:39 là-là, on ne les a pas trouvé
00:56:41 mais si vous tenez l'autre groupe de onze personnes
00:56:43 qui sont besoin parce que ça les gêne
00:56:45 là-là, vous commencez à galoper
00:56:47 la police vient vous demander, non,
00:56:49 prend tout votre pancarte, notez, après ça,
00:56:51 tu peux ramasser, alors ça, la loi-là
00:56:53 malheureusement, elle date de 91
00:56:55 comment le gouvernement peut-il gagner ?
00:56:57 et je veux dire, je ne vais pas vous personnaliser
00:56:59 moi, camarade Tulsir, je vais vous
00:57:01 dire, il est poursuivi sous sa loi-là
00:57:03 vous connaissez comme un syndicaliste, il est poursuivi sous sa loi-là
00:57:05 ça veut dire la répréhension elle-même
00:57:07 elle se retrouve dans l'application de la loi
00:57:09 et ça, la loi-là, elle est amendée
00:57:11 alors, c'est ce que j'ai envie de dire, pour ne pas seulement
00:57:13 nous critiquer, nous dire
00:57:15 mais dans le système, il y a un amendement qui est
00:57:17 bien, il est bien drastique
00:57:19 d'un amendement dans la loi
00:57:21 là, on trouve par exemple, quand le ministère
00:57:23 nous mentionne sa case
00:57:25 qui n'est pas capable, n'est pas capable
00:57:27 d'interférer dans un comité disciplinaire
00:57:29 mon pensée est bien plus claire
00:57:31 dans le cas, parce que là, il y a un syndicaliste
00:57:33 PGA pareil, il est bien capable
00:57:35 le commissaire de la police n'est pas capable de gagner
00:57:37 un pouvoir absolu
00:57:39 il a décidé, quand il nous donne la permission
00:57:41 quand il ne nous donne pas, tout ça, c'est normal
00:57:43 un groupe de 25, je ne sais pas si c'est 15
00:57:45 madame, un groupe de 25
00:57:47 des hommes, plein d'eau
00:57:49 on peut protester, la police
00:57:51 elle interpelle eux-mêmes
00:57:53 on poursuit maintenant, et écoute, on peut y aller
00:57:55 à cause de la démocratie
00:57:57 on peut y aller, on peut y aller
00:57:59 mais on va y aller
00:58:01 est-ce que quand on trouve ce qui peut se passer
00:58:03 donc sa perception
00:58:05 qu'il y a une certaine loi au sein de
00:58:07 l'organisme là, qui peut envie
00:58:09 donc une perception qui peut envie
00:58:11 de faire une autre labouse
00:58:13 est-ce que c'est pas symptomatique
00:58:15 de l'état
00:58:17 de
00:58:19 de la
00:58:21 de la gestion de certaines
00:58:23 coopératives là, est-ce que
00:58:25 c'est l'exemple qui nous peut gagner
00:58:27 pas plus montrer nous, c'est à dire
00:58:29 c'est à dire, devant, on peut trouver
00:58:31 maintenant, que oui, pas juste
00:58:33 parce qu'il a dit de dire
00:58:35 donc le dit qui est bien, c'est qu'il peut passer dans la fonction publique
00:58:37 mais, je vous dis, on peut de plus en plus
00:58:39 trouver que, voilà, dans les coopératives
00:58:41 étatiques aussi, il y a un gros problème de
00:58:43 de gestion
00:58:45 certainement, et non, et rapport au dit
00:58:47 il met très bien clair, alors que
00:58:49 comme une coopérative étatique, pas une
00:58:51 financialité, ça veut dire
00:58:53 que je peux vous dire, je vais faire que vous compreniez
00:58:55 que moi, je ne parlais pas
00:58:57 envers le gouvernement
00:58:59 je prends le cas du gouvernement, je roule
00:59:01 mon institution, mais qu'il y en a pour répondre
00:59:03 ou pas pour répondre
00:59:05 c'est une insulte au gouvernement
00:59:07 ça va là, qui peut insulter le gouvernement
00:59:09 et vous pensez, ce gouvernement qui
00:59:11 prend une action contre ça, ça va là
00:59:13 quand
00:59:15 2014 élection
00:59:17 finis 2015
00:59:19 le gouvernement qui dit, le gouvernement élu qui dit
00:59:21 je vais vous dire, je vois de votre espèce
00:59:23 je vous prends le compétence
00:59:25 pour faire interview
00:59:27 si vous tenez un bon
00:59:29 compétent
00:59:31 un cinéma comme ça qui peut arriver
00:59:33 là
00:59:35 et mon vrai
00:59:37 qui finit
00:59:39 là, je peux défendre
00:59:41 politique du gouvernement
00:59:43 et ne pas la politique
00:59:45 de l'institution là
00:59:47 pour le bien-être des bains travailleurs et l'avancement
00:59:49 de l'institution là. Mais là ce qui nous parle
00:59:51 donc
00:59:53 vicieux, vicieux
00:59:55 c'est-à-dire que
00:59:57 qui peut-être
00:59:59 les compétences, peut-être
01:00:01 pas gérer
01:00:03 euh, organisation là euh,
01:00:05 selon mon stand-off, donc quelque part
01:00:07 comme un syndicat peut venir critiquer
01:00:09 parce que si jamais ça fait la
01:00:11 qui considère que
01:00:13 t'es pas capable, t'es pas capable
01:00:15 des affaires. Parfois
01:00:17 c'est un représentant
01:00:19 un ministère présent.
01:00:21 Il est pas
01:00:23 parce que c'est
01:00:25 dans le gouvernement là,
01:00:27 il a dit
01:00:29 mais ça technicien, ça professionnel
01:00:31 là, c'est lui qui vous donne
01:00:33 technique. Mais il pose
01:00:35 une question quand on parle de ça
01:00:37 là, c'est pas
01:00:39 qui dit mais
01:00:41 vous comprenez là?
01:00:43 qui fait là-même
01:00:45 technicien ou
01:00:47 administrateur? Vous comprenez
01:00:49 qu'il peut arriver. Ça veut dire
01:00:51 compétence. Il a raison.
01:00:53 Si maintenant ça va être
01:00:55 technicien, je trouve ça
01:00:57 là. Je vais donner une
01:00:59 technique. Oui. Mais
01:01:01 maintenant ça va être qui peut
01:01:03 gagner l'occasion de représenter
01:01:05 aussi. Et nous tous
01:01:07 dénonce ça. Disons le ministère
01:01:09 concerné, il y en a un sur
01:01:11 représentant, ce c'est
01:01:13 pas moi qui le sais, c'est le
01:01:15 ministre qui le sait.
01:01:17 Est-ce qu'ils ont vraiment
01:01:19 besoin de moi?
01:01:21 Parce qu'ils sont là moi.
01:01:23 Est-ce qu'ils ont pas pété
01:01:25 pour l'eau là? Donc c'est ça,
01:01:27 donc le fait qu'il y ait une mauvaise gestion
01:01:29 qui fait qu'il y a une nécessité
01:01:31 donc pour faire tirer les voix
01:01:33 c'est-à-dire
01:01:35 il dérange quelque part
01:01:37 et quand ça dérange
01:01:39 je trouve n'importe
01:01:41 qui qui est là pour
01:01:43 débarrasser.
01:01:45 Et le premier du monde qui se poussait à le débarrasser
01:01:47 c'est pas le petit employé, c'est pas le syndicaliste
01:01:49 parce que c'est qui c'est qui amène problème
01:01:51 à l'attention du management, c'est le syndicaliste
01:01:53 qui est allé.
01:01:55 Alors le premier du monde qui s'est débarrassé
01:01:57 c'est lui-même.
01:01:59 Je finis de lire
01:02:01 ou soit qui je ne connais
01:02:03 que
01:02:05 dans la loi travail
01:02:07 ça, je pensais
01:02:09 que c'était un tout savant
01:02:11 gestionnaire de coopératives
01:02:13 qui a fait une cour de pratique
01:02:15 qui a fait une fin de
01:02:17 relation qui a existé
01:02:19 entre l'employé
01:02:21 et l'employé. Il y a une fin de métier là dans ça.
01:02:23 Et il a fait une fin de
01:02:25 comment créer cette atmosphère là.
01:02:27 Et il a dit là dans le syndicat
01:02:29 c'est un
01:02:31 partenaire de l'employé là-bas.
01:02:33 C'est-à-dire qu'un syndicat
01:02:35 quand les narcisses sont à la table
01:02:37 avec un employé
01:02:39 puis un employé avec le syndicat là.
01:02:41 Tout finit pareil là.
01:02:43 C'est la même force, c'est-à-dire
01:02:45 les mêmes armes.
01:02:47 Mais puis dans ça,
01:02:49 quand ils ont eu
01:02:51 une négociation, quand ils
01:02:53 ont été gestionnaires
01:02:55 de coopératives
01:02:57 ils ont trouvé que c'était un
01:02:59 syndicat. Allez, on va finir
01:03:01 ça pour la suite. Donc on va faire une pause
01:03:03 et on se retrouve dans quelques secondes. J'espère qu'entre-temps
01:03:05 on va avoir une nouvelle histoire.
01:03:07 Donc, on se retrouve dans quelques secondes.
01:03:09 Le téléphone est là dans 15 minutes. J'espère qu'on va avoir une nouvelle histoire.
01:03:11 Donc, on va faire la pause.
01:03:13 Au revoir.
01:03:15 (Musique)
01:03:17 (Musique)
01:03:19 Mais nous battons dans la rue, ou avec nous, nous avec vous, nous pas pour qu'il est !
01:03:26 L'armée dans l'armée, nous pas pour les se-libertés menacées,
01:03:31 Sans frayer, à n'y faveur, nous amène-vous la vérité.
01:03:35 La roue l'a tournée, mais nous battons dans la roue, ou avec nous, nous avec vous, nous pas pour qu'il est !
01:03:43 L'armée dans l'armée, nous pas pour les se-libertés menacées,
01:03:48 Sans frayer, à n'y faveur, nous amène-vous la vérité.
01:03:54 L'armée dans l'armée, nous pas pour les se-libertés menacées,
01:03:58 Sans frayer, à n'y faveur, nous amène-vous la vérité.
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01:04:10 [Générique]
01:04:21 [Générique]
01:04:36 De retour dans Zoom Extra, qui fait cette envoie syndicale pour déronger ?
01:04:40 C'est la question que nous avons abordée aujourd'hui.
01:04:42 Nous avons sur le plateau, Naren Ranat Gopi et Radha Krishna Sardien,
01:04:46 deux représentants de négociateurs syndicaux,
01:04:49 et aussi en ligne, nous avons Raj Ramlangan, ancien syndicaliste et ancien manager,
01:04:56 si je ne me trompe pas, d'Airboreal.
01:04:57 Raj Ramlangan, bon après-midi ou bonsoir, je pense que nous finissons par nous.
01:05:01 Oui, bonsoir, bonsoir, sorry, sorry.
01:05:03 Non, pas de problème.
01:05:06 Bonsoir, tu m'as invité, sorry, je suis un petit peu bourré, j'ai un peu dérangé, mais pas grave.
01:05:09 Allez, Radha Ramlangan, qui fait cette envoie syndicale aujourd'hui pour déranger ?
01:05:15 Pour sembler déranger ?
01:05:17 Ma gueule, si tu comprends, je vais te poser une question,
01:05:20 de façon un peu basique, nous prenons du début.
01:05:23 Vous savez, un contrat dans une entreprise, il y a un employé et un employeur.
01:05:28 Et de ce fait, nous savons que, de facto,
01:05:31 l'employé dans le rapport de force, c'est toujours plus fort.
01:05:34 C'est comme si on avait un ministère de travail,
01:05:35 ou une institution qui est commencée, c'est un IOT,
01:05:38 et un IOC, etc., etc.
01:05:40 C'est pour ça que la loi du plus fort, la loi de l'argent, n'a pas pris valeur.
01:05:43 Avant, on disait comme ça, que tout pouvoir dans la main, employeur.
01:05:48 Au fur et à mesure, avec l'évolution,
01:05:50 on commence à faire des grands, grands slogans,
01:05:53 on connaît comment se montre le personnel management.
01:05:55 Après, je dis non, l'employé, c'est l'asset de l'entreprise.
01:05:59 C'est-à-dire, il y a le "human resource management".
01:06:01 Et là, le "human resource management", c'est ce qu'il veut dire.
01:06:03 Vous savez, quand je parle de l'indicat, je vais faire un peu de pédagogie, disons-le.
01:06:07 Parce que, mon titre d'indicat et mon titre de management,
01:06:09 ne sont pas des clés qui me donnent des perspectives,
01:06:11 mais je ne connais plus les deux côtés.
01:06:13 Ça veut dire que, vous savez, le "human resource management",
01:06:17 il amène des "hier issues",
01:06:21 il amène des litiges industriels à de l'infini.
01:06:24 Parce que, quand on fait une proactivité de gestion,
01:06:27 de la ressource humaine,
01:06:29 après, on a des blabla, on croit déroulé,
01:06:31 j'ai une chance, "human resource management",
01:06:33 ça veut dire que, j'ai un peu l'oeuvre, je vais appeler "employer relations".
01:06:35 Je vais vous dire, je vais appeler "talent management".
01:06:37 On a tous les 10 membres du gouvernement,
01:06:39 on peut tout appeler ça, et nous, on a assez de ces 10 membres.
01:06:42 Enfin, dans une entreprise,
01:06:44 je prends l'écoute de mon travail, moi, disons,
01:06:46 et mon service industriel.
01:06:47 C'est une école de choses, c'est aux 10 membres
01:06:49 qui fait la différence dans le "competitive edge".
01:06:52 Parce que c'est un "people intensive",
01:06:54 et il pourrait tout le temps, un "people intensive" secteur.
01:06:59 Alors, on vient, et là, en armes,
01:07:01 les professionnels et les strictiés,
01:07:03 qui nous mettent en place,
01:07:05 pour qu'ils ne nous appellent pas à "hier issues",
01:07:07 à l'infini.
01:07:08 Si je vous dis, moi, j'ai un coup d'en, dans "CTM",
01:07:10 dans "IoT",
01:07:12 j'ai depuis 5 dernières années,
01:07:14 une compagnie qui a autant d'argent,
01:07:16 qui a autant de "hier compétences",
01:07:18 qui est capable, aussi,
01:07:20 de faire des choses qui sont pourries,
01:07:22 en termes de "human resources management",
01:07:24 à tel point qu'il y a une seule manière
01:07:26 pour qu'un "CEO",
01:07:28 qu'il est quand il vient,
01:07:30 avec le plus grand, disons, avec Auréolée, etc.,
01:07:32 s'il ne connaît pas le rapport de force,
01:07:35 il a qu'il s'est de l'entreprise,
01:07:37 ou il est un otage,
01:07:39 ou soit une victime,
01:07:41 ou n'a pas pour espèce qu'il ait des mois, 3 mois,
01:07:43 dans cette entreprise-là.
01:07:45 Surtout, une entreprise comme "Emotions",
01:07:47 un politicien,
01:07:49 un politicien avec un autre politicien,
01:07:51 alors, ça, rapport de force, ça, il est important.
01:07:53 "A CEO, pourquoi il se bat ?"
01:07:55 Il y a des façons.
01:07:57 Si on fait un "djimoun" qui travaille extrêmement bien,
01:07:59 mais pour faire ça extrêmement bien,
01:08:01 on peut dire qu'un politicien,
01:08:03 parce qu'il y a une compagnie d'État,
01:08:05 ou une coopérative, ou une "state-owned enterprise",
01:08:07 peut-être qu'un politicien, il valorise
01:08:09 le "djimoun" qui est capable.
01:08:11 Si il ne valorise pas le "djimoun" qui est capable,
01:08:13 bien, c'est un "djimoun" qui est autre,
01:08:15 mais c'est un reflet des autres.
01:08:17 Donc, "A CEO la paix" ou "A CEO la paix industrielle".
01:08:19 Et comment on "A CEO la paix industrielle" ?
01:08:21 On peut dire, soit,
01:08:23 on s'est vu "threat",
01:08:25 ça veut dire qu'on "crass-porte-tout",
01:08:27 ou "crass-porte-tout",
01:08:29 soit, on fait, on a un syndicaliste,
01:08:31 et on va l'employer "mercenaire",
01:08:33 qui, comme on a dit, a un "sold",
01:08:35 ou donne une autre promotion, ou donne une autre...
01:08:37 C'est tout en ville.
01:08:39 A ce qu'il y a des "partis-au-delà",
01:08:41 ou il y a un parti-syndicat, ou un service-syndicat,
01:08:43 pour faire des autres,
01:08:45 c'est qu'il y a des choses qui arrivent en ce moment.
01:08:47 Si Mme Babou,
01:08:49 qui fait "morse" avec Management,
01:08:51 pas "management",
01:08:53 fait "morse" avec ce qu'on lui dit à la tête-là,
01:08:55 ben, je lui dis "si, je vous dis non".
01:08:57 C'est clair et net.
01:08:59 Et quand on est venu, on a eu
01:09:01 Gopi, Indien de l'affaire,
01:09:03 il ne fallait pas nous,
01:09:05 on connait, moi, mon syndicat, pendant des années,
01:09:07 on connait, on a 88, 88, 8 000 "coms",
01:09:09 lui, il prend les 188.
01:09:11 Moi, mon président syndical,
01:09:13 je suis venu ici,
01:09:15 il y a beaucoup de travail,
01:09:17 nous, le médecin syndical,
01:09:19 on a un problème industriel à l'infini.
01:09:21 C'est à l'époque, c'était la tière de la maison.
01:09:23 On connaît, il y a un "HR",
01:09:25 qui comprend cette entreprise-là,
01:09:27 qui est capable d'engager,
01:09:29 des "taux",
01:09:31 des "crises", des diplômes,
01:09:33 "Rasse la vie", dans 24 heures,
01:09:35 dans 5, 6 mois.
01:09:37 Il y a un "HR" qui est venu en 88,
01:09:39 à peu près,
01:09:41 et il a été "inspiré" par la paix,
01:09:43 parce qu'il a réglé un problème,
01:09:45 il a mis tout le litige qui était là,
01:09:47 nous l'avons récupéré. Mais très vite après,
01:09:49 très vite après, on trouve,
01:09:51 on rentre dans une espèce de siècle vicieux,
01:09:53 quand le rapport de fausse arrêt.
01:09:55 On ne connait pas, moi, mon syndicat aussi,
01:09:57 il a une responsabilité, parce que quand je
01:09:59 j'ai servi, j'ai de la fausse,
01:10:01 comment on appelle ça, "blackmailing",
01:10:03 vous voyez, c'est du management, c'est du management "masculine".
01:10:05 En 2005 et 2004,
01:10:07 2014, "mocadio",
01:10:09 c'était extraordinaire,
01:10:11 un nombre de médias qui ont
01:10:13 tous eu ce sujet-là, et ils ont aidé,
01:10:15 et pour aider, ils ont mis un syndicat.
01:10:17 Moi, je ne suis pas un "suspect",
01:10:19 moi, je ne suis pas un "expert",
01:10:21 je suis un "suspect", je suis une cause d'expérience,
01:10:23 moi, Michael.
01:10:25 Ce n'est pas moi qui le fais, parce que mon relation
01:10:27 avec le management, pour la bonne et saine raison,
01:10:29 qui m'a insisté,
01:10:31 qui a fait une enquête,
01:10:33 et qui a fait une enquête,
01:10:35 et qui a fait une enquête,
01:10:37 et qui a fait une enquête,
01:10:39 et qui a fait une enquête,
01:10:41 et qui a fait une enquête,
01:10:43 et qui a fait une enquête,
01:10:45 et qui a fait une enquête,
01:10:47 et qui a fait une enquête,
01:10:49 et qui a fait une enquête,
01:10:51 et qui a fait une enquête,
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01:15:11 et qui a fait une enquête,
01:15:13 et qui a fait une enquête,
01:15:15 et qui a fait une enquête,
01:15:17 et qui a fait une enquête.
01:15:19 En tout cas, merci, malgré tout,
01:15:21 une fière vite pour rendre la case,
01:15:23 pour être capable d'intervenir dans sa émission,
01:15:25 dont le thème, on le connaît,
01:15:27 intéressant au plus haut point.
01:15:29 Allez, voilà.
01:15:31 - Bon vent.
01:15:33 - Merci. Une question que nous avons.
01:15:35 Est-ce que le ministère du Travail,
01:15:37 quand on parle de la répression syndicale,
01:15:39 est-ce que le ministère du Travail
01:15:41 a des affaires qu'il nous a apportées?
01:15:43 Est-ce que le ministère du Travail
01:15:45 a des affaires qu'il nous a apportées?
01:15:47 - Je vais dire ce mot,
01:15:49 les plus employés pour être capable d'intervenir,
01:15:51 parce que souvent, nous on dirait que
01:15:53 quand on parle de la banca,
01:15:55 quand on parle de la légalité,
01:15:57 quand on parle de la perte de droit,
01:15:59 on fait un petit bonjour au ministère du Travail,
01:16:01 souvent, nous on trouve que,
01:16:03 soit, comment tu peux dire,
01:16:05 je dis que je ne suis pas employé,
01:16:07 donc je n'ai pas le pouvoir
01:16:09 pour arrêter de faire des affaires,
01:16:11 est-ce que tu veux dire qu'on a encore plus de pouvoir?
01:16:13 - Je veux dire que le ministère du Travail
01:16:15 trouve qu'il finit par écouter
01:16:17 le business, beaucoup, quand il permet
01:16:19 la loi Travail en 2019.
01:16:21 On connaît qu'il nous a proposé,
01:16:23 parce qu'il nous a proposé le Banque Comité Disciplinaire
01:16:25 dans le Banque Comité Paralytique
01:16:27 pour faire beaucoup de fracas.
01:16:29 Pour arrêter ces fracas-là,
01:16:31 il nous a proposé,
01:16:33 il nous a dit que le ministère du Travail
01:16:35 a besoin de son propre Comité Disciplinaire.
01:16:37 C'est lui qui a choisi
01:16:39 ce TMI, ce mot-là,
01:16:41 et de surcroît, il n'y a pas
01:16:43 de magistrat, d'avocat ou de quoi que ce soit.
01:16:45 C'est lui qui a choisi.
01:16:47 Et cet avocat-là, il peut en avoir des associés
01:16:49 pour l'écouter.
01:16:51 Quand un employé a un problème
01:16:53 avec un travailleur qui est un syndicaliste,
01:16:55 il écrit à ce mot-là,
01:16:57 il met ce letter of charge là-bas.
01:16:59 - Donc là, pour l'instant, l'employeur,
01:17:01 c'est-à-dire qu'il soit du privé,
01:17:03 donc il change de l'entreprise,
01:17:05 mais si dans le cas d'un corps paralytique,
01:17:07 c'est le board, c'est lui qui choisit
01:17:09 le président du Comité Disciplinaire.
01:17:11 - C'est-à-dire qu'il peut retirer
01:17:13 son pouvoir disciplinaire
01:17:15 avec ce board-là.
01:17:17 Il y a un gros problème
01:17:19 quand on comprend la façon dont
01:17:21 il prend les sanctions disciplinaires
01:17:23 dans le Paralytique et dans le gouvernement,
01:17:25 c'est là qu'on peut trouver qu'il a été failli.
01:17:27 Dans le corps paralytique, ce genre de choses-là,
01:17:29 il ne les approuve pas au board,
01:17:31 soit pas au employé.
01:17:33 L'employé approuve ce genre de choses-là.
01:17:35 Il n'y a pas de gens qui ne sont pas au courant du board.
01:17:37 Parce que le board disciplinaire
01:17:39 prend des décisions,
01:17:41 met tout d'abord,
01:17:43 met un syndicaliste d'abord.
01:17:45 On a droit à l'appel.
01:17:47 Donc ça, on fait l'appel là.
01:17:49 On fait l'appel avec ce board-là.
01:17:51 D'accord?
01:17:53 Le board-là, il est déjà au courant
01:17:55 qu'il peut prendre des sanctions disciplinaires.
01:17:57 Il finit par mettre tout d'abord,
01:17:59 on fait l'appel en ce board-là-même.
01:18:01 On croit que le board-là peut dire non,
01:18:03 dire que les actions disciplinaires ne sont pas bonnes.
01:18:05 Donc finalement, on a un filtre quelque part.
01:18:07 Le dernier remport, c'est la PSI.
01:18:09 On a des procédures
01:18:13 dans nos publics
01:18:15 services,
01:18:17 commissions, regulations.
01:18:19 Et les délégués de pouvoir
01:18:21 ont une responsabilité
01:18:23 pour lesquels ils peuvent prendre des actions disciplinaires.
01:18:25 Mais il y a des petites actions disciplinaires.
01:18:27 Bon.
01:18:29 Et il n'y a pas pourquoi
01:18:31 interdire.
01:18:33 Donc, ce qu'on a là, c'est que...
01:18:35 Un petit coup de la règle, Léodrois.
01:18:37 Deuxième, s'il y a une
01:18:39 offense grave,
01:18:41 là, il faut que vous rapportez ça.
01:18:43 Il faut faire une investigation.
01:18:45 Quand on te dit qu'on fait ça,
01:18:47 il faut faire une investigation.
01:18:49 C'est la PSI qui peut prendre des décisions.
01:18:51 C'est elle qui peut mettre ce comité disciplinaire.
01:18:53 Et donc,
01:18:55 on peut passer là-bas.
01:18:57 Mais toutes ces procédures-là n'ont pas existé.
01:18:59 Si la PSI aussi, elle prend mal ses décisions là-bas.
01:19:01 Donc, il doit faire l'appel.
01:19:03 Vous comprenez?
01:19:05 Mais ces procédures-là n'ont pas existé
01:19:07 dans notre coopération étatique.
01:19:09 Parce que pour eux, c'est l'esprit.
01:19:11 Non. Tant qu'il n'y a pas de syndicat,
01:19:13 c'est tout. Voilà ce qu'ils ont fait.
01:19:15 Non, ça veut dire qu'il y a un problème systémique.
01:19:17 Donc, il est important d'adresser ces affaires-là.
01:19:19 Mon conseil est important parce que sinon,
01:19:21 il faut rassurer qu'il y a un comité
01:19:23 qui est limité et qui est indépendant.
01:19:25 Et la seule façon, peut-être,
01:19:27 qu'il est indépendant, c'est que
01:19:29 l'administration n'est pas capable, lui-même,
01:19:31 de donner le appel à lui-même.
01:19:33 Et puis, il y a un gros problème, je crois,
01:19:35 qui est une méconnaissance du dialogue social.
01:19:37 Justement, c'était ma dernière question.
01:19:39 Donc, souvent, on peut en dire qu'au dialogue social,
01:19:41 le dialogue social, d'abord, c'est quoi?
01:19:43 Et deuxièmement, est-ce qu'il peut mettre en pratique?
01:19:45 Vous connaissez, je vais vous dire une chose, moi.
01:19:47 Une quinquaine, bon, ça va faire une nomination politique-là,
01:19:50 ce n'est pas une affaire qui date d'aujourd'hui, ça.
01:19:52 Il n'a pas existé depuis qu'on y a existé.
01:19:54 Depuis qu'on y a existé.
01:19:56 On a trouvé pendant des années, des années,
01:19:58 mais il fallait que ce groupe de gens qui est nommé là,
01:20:00 ils se réalisent.
01:20:02 Une fois, ils ont deviné, ils ont une responsabilité,
01:20:04 une compétence, qu'ils ont mis en valeur.
01:20:07 Mais il ne faut pas, comment dire, ça,
01:20:09 l'esprit partisan, il continue de prévaloir,
01:20:11 même quand ils n'occupent pas sa position-là, maintenant.
01:20:13 Donc, il est important qu'ils comprennent ça.
01:20:15 Je dis souvent professionnel.
01:20:17 Et puis, vous savez, il y a une affaire
01:20:19 que moi, je me suis découvert.
01:20:21 Alors, beaucoup de gens, ils disent,
01:20:23 je fais tout syndical, comment dire, comme un opposant.
01:20:25 Caméraman, vous pouvez mentionner une affaire
01:20:27 parce que vous connaissez le syndicat comme un légitime dans le passé.
01:20:29 Il y a eu beaucoup d'évolution.
01:20:31 Aujourd'hui, le syndicat peut être un problème de société.
01:20:33 Nous ne pouvons pas seulement avoir ce qu'on appelle des choses,
01:20:35 mais il y a des conditions de travail.
01:20:37 Il y a des questions d'environnement, des questions de population, et tout.
01:20:39 Ça veut dire, et moi, j'ai l'expérience,
01:20:41 dis-moi, qu'il y a beaucoup de gens qui
01:20:43 mettent NPCC, aujourd'hui,
01:20:45 qui le mettent sur pied.
01:20:47 C'est grâce aux implications syndicales.
01:20:49 À l'intérieur.
01:20:51 Alors, si je peux dire, on commence
01:20:53 à mettre le syndicat d'un côté,
01:20:55 ou prendre une décision d'une façon unilatérale,
01:20:57 mais bien sûr, vous avez un syndicat au bout de la route
01:20:59 parce qu'il a une mauvaise compréhension,
01:21:01 nous devons discuter ensemble.
01:21:03 C'est pourquoi nous, nous, nous, nous,
01:21:05 nous devons toujours soutenir,
01:21:07 et d'ailleurs, pas nous tous ceux qui disent ça,
01:21:09 mais au niveau BIT, le directeur NGLI,
01:21:11 un développement durable pour pouvoir faire, si seulement,
01:21:13 un dialogue social. Donc, il faut un dialogue social.
01:21:15 Mais il faut savoir que les gens comprennent.
01:21:17 C'est pas toujours le ministre qui est responsable.
01:21:19 Beaucoup de fois, il y a des fonctionnaires, aussi,
01:21:21 des officiers, qui sont plus réalistes que les voisins.
01:21:23 - Un autre affaire, aussi, qui nous pente,
01:21:25 c'est qu'ils ont dit, bon, nous, nous, nous, nous,
01:21:27 nous, nous, nous, nous, nous, nous, nous, nous,
01:21:29 nous dire qu'avec le développement, etc.,
01:21:31 donc, il y a moins de taux de syndicalisation
01:21:33 des employés, et en même temps,
01:21:35 partout où on parle de syndicalisme,
01:21:37 ils ont dit qu'il n'y avait pas de bloc parallèle
01:21:39 dans le secteur, comme peut-être n'était pas le cas
01:21:41 avant, donc, en même temps,
01:21:43 en même temps, considérer comme étant une menace.
01:21:45 C'est une affaire de paradoxal, quelque part.
01:21:49 - L'évolution syndicale,
01:21:51 l'évolution syndicale,
01:21:53 l'inévitable, suive la ligne
01:21:55 de conduite de l'époque industrielle.
01:21:59 Inévoluée, inévoluée,
01:22:01 et la façon de faire le syndicalisme,
01:22:04 la loi travail, elle réfaçonne ça.
01:22:07 Donc, voilà. Mais, il y a certaines
01:22:09 pratiques qui ont existé,
01:22:17 par exemple, la grève,
01:22:19 qui était servi dans l'époque,
01:22:21 longtemps. Il y a un gars qui disait
01:22:23 qu'il avait laissé un droit fondamental
01:22:25 pour un travailleur, mais maintenant,
01:22:28 on coupe la grève là,
01:22:30 avec la répression qu'un travailleur
01:22:32 a gagnée, jour par jour,
01:22:34 quand il peut suivre sa quantité de problèmes
01:22:36 qu'il a, comme on dit, qu'on peut mettre dessus.
01:22:38 Pendant la COVID, comment on met dessus?
01:22:40 La COVID, c'est une prison banale,
01:22:42 on dit qu'on a perdu le travail.
01:22:44 Mais, ça, on dit qu'on a perdu le travail.
01:22:46 Ou pour qu'il y ait d'autres, on dit qu'on va faire la grève.
01:22:49 Qu'est-ce qu'on va faire pour aller?
01:22:51 Parce que, maintenant, c'est l'espérance
01:22:53 qu'on peut peut-être re-entrer dans le travail.
01:22:55 Alors, on ne va pas descendre le chemin.
01:22:58 Donc, il y a une frayeur parmi les travailleurs,
01:23:00 aujourd'hui, qui a développé, peut-être,
01:23:02 un syndicalisme. Je ne suis pas tout à fait d'accord avec ça.
01:23:05 Mais, il y a une frayeur qui a développé,
01:23:07 qui empêche le syndicat de descendre
01:23:11 le chemin.
01:23:13 Mais, ça ne veut pas dire qu'il ne peut pas descendre.
01:23:16 Si le gouvernement pensait qu'il pouvait faire
01:23:18 pour que le syndicat perdure, et qu'il ne descend pas
01:23:20 le chemin, mais, ça n'a pas de gouvernement
01:23:22 pour faire une fausse route.
01:23:24 Alors, la façon de faire le syndicat
01:23:27 finit par être moulée par la loi
01:23:29 qui nous connait, l'Employment Relations Act.
01:23:32 Mais, je vais continuer de dire que nous avons
01:23:36 une omission fondamentale de cette loi-là,
01:23:39 ce qu'on appelle la protection du syndicat,
01:23:41 le syndicalisme, et non.
01:23:43 Est-ce que vous pouvez nous dire, pour conclure,
01:23:45 que la répression, la perception de répression
01:23:48 des banques syndicalistes est proportionnelle
01:23:50 à l'état de gestion des banques d'institution
01:23:54 et aussi de la situation économique du pays?
01:23:59 Donc, plus les conseils, plus on a de l'autre côté,
01:24:03 en même temps, plus on a plus de paroles,
01:24:05 plus de critiques que vous voulez.
01:24:07 Plus un pays est développé, plus il y a
01:24:09 de banques syndicalistes, plus le monde du travail
01:24:11 est changé.
01:24:13 Et là, il y a beaucoup de monde qui peut
01:24:17 prendre plaisir, comme je disais,
01:24:19 un petit chat qui commence à rentrer là.
01:24:21 Il peut rentrer. Il y a du monde qui peut
01:24:23 prendre bon plaisir à ça.
01:24:25 Mais je ne veux pas dire que dans ce cas-là,
01:24:27 ça peut amener, pour changer le monde du travail,
01:24:30 pour faire le monde du travail plus fragile,
01:24:32 et pour donner des outils aux méemployés
01:24:35 pour dire, si vous n'êtes pas satisfaits,
01:24:36 vous pouvez aller, il y a des robots qui
01:24:37 peuvent travailler à ce terme.
01:24:39 Voilà le monde du travail qui peut venir après.
01:24:42 Donc, on est dans l'anarchie,
01:24:44 donc c'est comme dans l'Odyssée.
01:24:47 Exactement, exactement.
01:24:49 Il y a un danger, je peux vous dire,
01:24:51 parfois, quand il y a des syndicats,
01:24:53 ils ne peuvent pas réaliser quels problèmes
01:24:55 peuvent venir en face, et surtout,
01:24:57 quand la façon dont ils peuvent promouvoir
01:24:59 ces petits chats, ces EIs,
01:25:02 je peux vous dire, franchement, je peux vous dire,
01:25:04 il y a un monde restreint,
01:25:06 quand on ouvre dans 100 ans,
01:25:08 40 bureaux, où tous ces robots
01:25:10 qui peuvent travailler partout,
01:25:11 et il y a du monde.
01:25:12 Il y a un gros défi,
01:25:13 il y a un gros défi pour nous.
01:25:15 Mais Michael, je veux aussi
01:25:16 répondre à une chose.
01:25:17 On est dans la loi travail,
01:25:18 pas depuis aujourd'hui,
01:25:20 les causes de participation dans la gestion,
01:25:24 on croise, et il y a ça même dans ce code de conduite.
01:25:27 Participation collective.
01:25:28 Participation.
01:25:29 Ça veut dire comment faire participation ?
01:25:31 On va vous faire, les voisins,
01:25:32 tu vas travailler individuellement,
01:25:34 vous avez fait bien travailler les syndicats.
01:25:36 Alors, vous pensez à le travail d'éducation
01:25:37 qu'ils faisaient faire à différents niveaux ?
01:25:39 En tout cas, nous, on a un gros travail à faire.
01:25:42 Un gros travail.
01:25:43 Allez, voilà, merci beaucoup,
01:25:44 Radha Christosadjé, merci.
01:25:45 Merci, Michael.
01:25:46 Merci, Nayan, Anad Gopi,
01:25:47 et merci aussi à Raj Ramlagan,
01:25:48 et Yogita, Babou, Rama,
01:25:50 donc, bonne soirée à vous tous,
01:25:51 et bonne soirée à vous, messieurs.
01:25:52 Merci.
01:25:53 Merci.
01:25:54 *Bruit de la télé*
01:25:56 [SILENCE]