• l’année dernière
Vladimir Poutine a été confronté à son plus grand défi depuis son arrivée au pouvoir fin 1999. Le chef du groupe paramilitaire russe Wagner Evguéni Prigojine est entré en rébellion armée contre Moscou, causant la panique. Le président russe l'a accusé de "trahison" et mis en garde contre une "guerre civile".

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Transcription
00:00 Il aura suffi d'une journée, une journée pour voir vassier l'un des chefs d'Etat les plus puissants et redoutés de la planète.
00:06 Alors que Moscou se barricade, Vladimir Poutine promet la fermeté contre les miliciens.
00:11 Ceux qui ont consciemment choisi la voie de la trahison, du chantage des métaux terroristes vont être punis très rapidement.
00:23 L'objectif du dirigeant Russecler montrait l'image d'un Etat fort, inébranlable.
00:29 Les troupes d'Evgeny Prigozhin ont pourtant eu aucune difficulté à prendre la ville de Rostov comme nous le confiait une habitante.
00:36 On ne sait toujours pas comment ça a pu arriver que ces troupes aient pu rentrer aussi librement et pourquoi on ne les a pas arrêtés lorsqu'ils sont passés des checkpoints plus tôt. C'est très étrange.
00:45 Et en fin de journée, après l'arrédition de Wagner, marche arrière du Kremlin qui abandonne les poursuites. Vladimir Poutine apparaît plus affaibli que jamais.
00:53 On était le plus proche qu'on a jamais eu à la fin de l'époque de Vladimir Poutine. C'est ça qui va compter.
01:00 On a vu aussi que pendant cet émeute d'Evgeny Prigozhin, il y a eu beaucoup de gens qui ont trahi visiblement et qui n'ont pas pensé que Vladimir Poutine, lui, il va tenir jusqu'à la fin.
01:10 Une tentative de coup d'Etat qui ne dit pas son nom et qui rappelle selon certains spécialistes le putsch de 1991 contre Mikhail Gorbatchev qui a précipité la chute de l'URSS.

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