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Dimanche 18 juin 2023, SMART TECH reçoit François Lavernos (directeur informatique, marque Renault et Industrie) et Eric Marchiol (Directeur Metaverse Industrie & Qualité, Renault Group)

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00:00 On avait suivi cette annonce, on était au Mondial de l'Auto ensemble avec le groupe Renault au moment de l'annonce de la naissance du premier Métaverse industriel.
00:15 On continue d'en parler avec Eric Markeul, vice-président de la transformation numérique, de la fabrication de la chaîne d'approvisionnement du groupe Renault.
00:23 Renault, vous êtes le directeur Métaverse et Industrie qualité Renault Group. A côté de vous, François Lavernos, directeur Informatique et Industrie pour le groupe.
00:33 Vous portez notamment ce sujet du Métaverse. On a suivi l'annonce, on en est où aujourd'hui ? Est-ce que le premier top départ a été lancé véritablement du Métaverse industriel ?
00:46 Oui, on le met en place déjà avec tout ce qu'on avait réalisé depuis 2016. Avec toute l'infrastructure qu'on a mis en place, c'est ce qui nous permet de prendre de l'avance et de démarrer dans les premières usines, les premières opérations.
01:02 On va rappeler l'ambition de ce projet, l'envergure que ça représente, son histoire. Comment on en est arrivé là à se dire, tiens, chez Renault, on va bâtir ce Métaverse industriel ?
01:16 Je pense qu'on n'a jamais, depuis le départ, puisqu'on a que cette histoire a commencé il y a quelques années. On ramène ça aux années 2016 à peu près, avec les premiers investissements industriels.
01:27 Mais c'est vrai que quand on a démarré, on n'imaginait pas aujourd'hui pouvoir délivrer et parler de Métaverse. Donc ça s'est construit au fil de l'eau, avec beaucoup de valeur à chaque fois.
01:35 C'est une des caractéristiques, c'est qu'on a été chercher de la valeur en permanence pour travailler autour de la compétitivité. Mais cette notion de Métaverse, elle s'est construite autour de la donnée et cette capacité à créer ce répliqua physique, temps réel, de nos usines.
01:49 Et la notion de Métaverse est arrivée assez tardivement, puisqu'on a commencé à y travailler à peu près l'année dernière. Mais c'était une construction qui s'évade dans la continuité.
01:57 Le projet à l'origine, c'est vraiment la numérisation de l'usine, de fabrication des voitures, des véhicules ?
02:06 Oui, c'est la numérisation, mais c'est vraiment aller au-delà du simple jumeau numérique. C'est-à-dire être capable d'activer, de le faire bouger en temps réel et d'avoir des boucles de rétroaction.
02:18 Donc c'est non seulement on capte des données dans toutes nos machines, sur tout ce qui se passe dans nos usines, mais en plus, avec de l'intelligence artificielle, en déduire des actions correctives ou prédictives et de réinfuser ça en dynamique dans nos modèles de nos opérations.
02:33 C'est vraiment ça, l'étape d'après, un jumeau numérique, ce qu'on va chercher comme nouvelle performance.
02:40 Ça veut dire que c'est un projet de système d'information d'abord ?
02:43 C'est un projet technologique. Il est clair que le driver de tout ça, ça reste la techno qui nous permet d'aller chercher cette notion de Métaverse.
02:52 Mais l'objectif, ce n'est pas la techno. L'objectif, c'est comme le dit Eric, de délivrer de la performance, de la compétitivité en continu pour nos usines avec effectivement un levier techno qui, grâce aujourd'hui notamment à l'intelligence artificielle, mais pas que, nous permet d'aller chercher des choses qu'on n'imaginait pas.
03:08 Typiquement aujourd'hui, par exemple, sur tout ce qui est effectivement optimisation de l'énergie, le digital ne permet pas de faire de l'énergie verte, mais nous permet de mieux comprendre comment on consomme et d'aller optimiser ça.
03:20 C'est là où le digital a sa valeur et nous permet de faire effectivement ses bons comme vient de l'évoquer Eric.
03:26 Mais très concrètement, on est à quel stade aujourd'hui du projet ?
03:29 Aujourd'hui, on est sur le lancement du Métaverse dans les premières usines, dans les deux usines principales, celles autour d'Electricity.
03:39 Et en parallèle, on déploie des fonctions dans l'ensemble des sites en utilisant déjà tout ce qu'on a réalisé sur l'utilisation de la donnée.
03:49 Donc l'année dernière, on a fait déjà pas mal d'économies substantielles, on va dire dans nos opérations.
03:56 A chaque fois, c'est plus d'une centaine de millions d'euros qu'on va chercher, plus nos gains qualité et stock dans nos opérations.
04:04 Donc soit sur de l'optimisation, sur la chaîne de fabrication, sur les économies d'énergie.
04:09 C'est 10 à 15% d'économies d'énergie de l'année dernière. C'est des rebuts évités dans notre chaîne de fabrication.
04:18 C'est des traitements ultra rapides des quelques défaillances qu'on peut avoir sur nos voitures, nos chaînes de fabrication.
04:25 Et donc, on va aller rechercher sur les années en cours plus de 300 millions d'euros sur nos performances opérationnelles,
04:34 au-delà de 200 millions d'euros sur nos stocks. Et également un sujet qui est vraiment important pour nous aussi,
04:41 c'est finalement notre capacité à faire des choses d'innovation et d'attirer des talents dans notre système industriel.
04:49 C'est ça, parce que quelle est la différence entre un projet de digitalisation, comme dans n'importe quelle industrie,
04:54 on peut en mener, et celui de vraiment créer un métavers industriel ? Comment vous faites la différence entre les deux ?
05:01 Il y a plusieurs différences. Il y a d'abord une différence dans la façon dont on travaille.
05:05 Aujourd'hui, il y a une complémentarité très forte entre les équipes métiers et les équipes digitales.
05:10 On met au défi tout le monde de bien comprendre qui est où dans l'organisation.
05:14 Je pense qu'il y a ce maillage qui fait qu'on a une grosse différence par rapport à des projets classiques qu'on avait l'habitude de mener.
05:20 Deux, la technologie aujourd'hui est autant portée par le métier, notamment autour de l'usage de la data et de l'AI,
05:26 autant portée par le métier et par les équipes informatiques. Cette grosse différence est essentiellement dans la façon de travailler.
05:33 Il n'y a pas que l'agile, mais dans la porosité qu'il y a entre nos équipes.
05:37 Je crois que c'est ça le gros levier et qui fait aussi tout l'intérêt de cet environnement-là,
05:42 comme l'évoquait Eric, en termes d'attractivité pour les jeunes de nous rejoindre, parce que c'est très maillé.
05:48 La chose qui étonne aussi quand on vient nous voir, c'est finalement le niveau de déploiement et de passage à l'échelle.
05:56 Dans pas mal d'autres entreprises qui ont un plan digital, ils sont un peu ce que j'appelle englués dans le purgatoire d'époque.
06:04 Ils font un truc très bien dans un atelier, mais ils n'ont pas la capacité de passer à l'échelle et de le mettre dans les 40 usines,
06:13 dans l'ensemble des ateliers, dans l'ensemble des procédés.
06:16 Grâce aux standards, tout ce qu'on a mis en place sur la data et cette dynamique technique qu'on a avec les outils qu'on met en place,
06:24 on a vraiment quelque chose qui fait une transformation de l'ensemble du système industriel de Renault.
06:30 Et ça, je pense qu'on espère créer une page intéressante de l'histoire avec ça.
06:35 De l'histoire de l'automobile, de l'histoire pour les constructeurs automobiles de manière générale ?
06:40 Oui, Toyota dans les années 90 a vraiment un peu révolutionné la manière de fabriquer avec la mise en place du Lean, la qualité totale, etc.
06:52 Là, notre ambition, c'est d'arriver avec le métavers industriel à franchir une nouvelle étape et être vraiment leader grâce à tout ce système-là
07:04 et d'ouvrir une nouvelle page dans l'histoire de l'industrie automobile grâce à ça.
07:09 Ça veut dire qu'il faut maîtriser quel type de technologies en particulier ?
07:13 Parce qu'on parle beaucoup de réalité virtuelle, c'est pas uniquement ça.
07:19 Vous nous avez dit qu'il y a aussi la gestion des données, la remontée des données, le big data.
07:24 Quels sont les technos qui sont vraiment importants ?
07:26 Je pense que vous faites bien de parler au pluriel. En fait, ce n'est pas une technologie.
07:30 La valeur de tout ça, c'est d'avoir su faire converger plusieurs technologies.
07:34 L'objectif quand on parle de métaverse, on pense tout de suite au monde immersif.
07:38 Même si ce n'est pas un objectif pour nous, on a quelques technologies qui viennent du monde du jeu
07:42 pour donner des moyens de se plonger pour la formation, notamment pour la simulation.
07:48 Mais ce n'est pas l'essentiel. L'essentiel, il vient, comme l'a évoqué Eric, de la data.
07:53 On a beaucoup travaillé autour de l'intelligence artificielle. C'est un vrai sujet.
07:57 On est dans un monde industriel, donc temps réel. Les infrastructures sont très importantes.
08:02 Ça veut dire qu'il faut passer à la 5G ?
08:05 On n'a pas basculé sur la 5G encore parce qu'on a fait beaucoup d'investissements sur nos infrastructures Wi-Fi.
08:12 Mais pour revenir sur l'infrastructure, on a beaucoup innové sur ce qu'on appelle le Cloud Edge,
08:16 c'est-à-dire l'apport du Cloud dans l'usine. On a beaucoup travaillé sur la cyber, qui est un vrai sujet.
08:21 Plus vous augmentez l'empreinte digitale, plus les risques sont importants.
08:25 C'est une convergence de beaucoup de choses aujourd'hui qui nous a permis d'arriver avec ce métaverse
08:30 et d'offrir tous les services qu'on évoque.
08:33 Sur la 5G, c'est la prochaine étape ?
08:35 On est assez pragmatique. C'est certainement un sujet qu'on va regarder.
08:40 Mais le leitmotiv qu'on a, c'est qu'un euro dépensé doit générer au minimum un euro.
08:47 Aujourd'hui, la 5G, on ne voit pas encore tout à fait la valeur à notre niveau.
08:51 Ça viendra certainement à un moment.
08:53 On en parle beaucoup pour cette industrie 4.0.
08:56 Là, vous nous dites que ce n'est pas juste de l'industrie 4.0 qu'on fait.
09:00 Oui, mais comme le disait François, on a déjà les infrastructures,
09:04 on a déjà la connexion de nos machines, on a déjà le Wi-Fi dans l'ensemble de nos usines.
09:10 Une usine comme Plain, c'est 57 hectares de bâtiments qui sont équipés d'infrastructures.
09:14 Et donc, vous avez accès à l'Internet au débit interne Renault à l'intérieur de nos sites.
09:21 Donc, utiliser la 5G en supplément, en supplément, aujourd'hui, pour nous,
09:27 ce n'est pas un marqueur du changement.
09:30 Peut-être qu'un jour, il y aura des nouvelles technos qu'on n'arrivera pas à aller chercher.
09:35 Mais pour le moment, ce n'est pas le cas.
09:37 Alors, vous avez évoqué la question des compétences, des nouveaux talents à attirer.
09:43 Comment on fait ça quand on est un industriel comme Renault?
09:47 Ce n'est pas simple déjà d'expliquer qu'on fait du métavers.
09:50 À quoi ça peut ressembler?
09:52 Quel type de talent vous recherchez et quel type de talent vous arrivez à capter?
09:56 C'est souvent, en fait, là, on parle effectivement d'une communauté de jeunes ingénieurs.
10:01 Donc, c'est vrai qu'aujourd'hui, être capable de communiquer autour de la technologie
10:05 et de l'apport de la technologie, c'est un levier supplémentaire très, très fort.
10:09 Et de retrouver aujourd'hui ces technologies qu'on voit dans le grand public.
10:13 Je parlais tout à l'heure du gaming. Je parlais de la virtualisation.
10:16 C'est effectivement des leviers qu'on n'avait pas jusqu'à présent
10:19 et qui nous permet, quand on est face à des étudiants ou à des écoles,
10:22 de parler un peu différemment du monde industriel et notamment du monde industriel automobile
10:26 qui est en pleine révolution au-delà même du métavers.
10:29 Il y a effectivement deux intérêts. Il y a l'attrait finalement de technologies de pointe
10:33 puisqu'on est aujourd'hui vraiment en pointe dans ce qui se fait de mieux dans cette partie-là.
10:37 En venant travailler chez Renault, les jeunes âgés, les jeunes talents vont pouvoir côtoyer
10:43 les meilleurs experts mondiaux parce qu'on a beaucoup de partenaires pour aller mettre en place ça.
10:49 Deuxième intérêt. Ils nous écoutent là. Ils entendent le message.
10:53 Ça a toujours été finalement l'intérêt de Renault depuis le début.
10:58 C'est de promouvoir énormément de parcours différents, d'avoir des formations,
11:02 de pouvoir passer de plein de métiers passionnants de l'un à l'autre.
11:06 Et ça fait partie des gènes de Renault de proposer ça à l'ensemble de nos équipiers qui viennent nous rejoindre.
11:13 Et vous allez globalement former aussi les talents déjà en interne à ce métavers 4.0 ?
11:19 Alors là où vous avez raison, c'est qu'il y a un côté attractivité pour l'extérieur,
11:23 mais il y a un côté attractivité pour l'intérieur déjà pour garder nos sachants.
11:27 Donc ça fait partie aussi de cette notion d'attractivité.
11:30 Et bien évidemment, il y a tout un plan de formation à la fois techno, mais à la fois métier
11:36 qui s'accompagne effectivement de cette montée en puissance et de cette transformation massive.
11:40 Et c'est ce qu'on fait en parallèle déjà depuis quelques années.
11:43 Vous voulez ajouter quelque chose ?
11:44 Oui, vraiment le plan de formation.
11:46 On a un plan de formation massif sur la data et on arrive aussi à dénicher des gens dans nos équipes
11:54 qui n'ont pas du tout sur le papier de compétence et qui vont se révéler très intéressants
12:02 et avec à la fois une connaissance du métier, donc des problèmes à traiter,
12:07 et des capacités finalement d'utilisation de la data.
12:10 Il y a extraordinaire.
12:12 Donc c'est vraiment une belle expérience.
12:15 Quelle est la prochaine étape ?
12:17 La prochaine étape, c'est effectivement d'être toujours en mesure de capter les technologies
12:23 et la valeur de ces technologies dans notre univers.
12:26 Vous le voyez, il ne se passe pas un mois sans qu'il y ait des annonces.
12:29 Alors en ce moment, effectivement, c'est beaucoup autour du Generative AI, mais il n'y a pas que ça.
12:32 Notre fonction aussi, notre mission, c'est d'essayer de regarder et d'être en permanence en veille
12:37 et d'aller catcher, d'aller récupérer ce qui fait le plus sens pour nous.
12:41 Donc c'est une évolution qui va s'inscrire de toute façon dans la durée, pour la formation, pour le déploiement,
12:45 mais aussi pour l'apport de toutes ces nouvelles technologies.
12:48 Il y a une roadmap très précise justement sur la montée en puissance autour du projet METAVERT ?
12:54 Oui, alors pour moi la prochaine étape, ce serait que vous veniez nous voir en usine
12:58 et qu'on vous fasse la totalité de ces démonstrations.
13:02 Par exemple, à la fin de l'année, sur un de nos sites, vraiment pour vous montrer,
13:07 faire toucher à l'ensemble de vos auditeurs finalement, en quoi on transforme la vie industrielle.
13:15 Donc vous pourriez avoir des choses à montrer à la fin de l'année ?
13:18 Tout à fait.
13:19 Et comment vous voyez les choses un petit peu à plus long terme, dans un, deux ans ?
13:24 Déjà, on va être très cadencé par la révolution produit, voiture, voiture et software.
13:31 Comme vous le savez certainement, il y a une énorme révolution qui se fait sur ce qu'on appelle le software design véhicule.
13:36 Donc nous, on va être aussi largement emmené dans cette direction d'un point de vue industriel,
13:40 parce que ça va changer un certain nombre de choses.
13:42 Il y a l'électrification aussi, qui change profondément aussi nos process.
13:46 Donc il y a toutes ces dimensions-là aussi que nous, on est amené à suivre
13:49 et sur lesquelles le METAVERT va apporter aussi beaucoup de valeur.
13:52 Oui, très attendu j'imagine sur ces sujets.
13:55 Un des points marquants, au-delà des usines déjà, sur les process qu'on connaît déjà,
13:59 c'est vraiment ce qu'on est en train de faire sur toutes les nouvelles technologies,
14:02 nouvelles technologies de moteur électrique, d'assemblage batterie, etc.
14:05 Sur lesquelles les technologies qu'on implémente de METAVERT vont nous permettre de, entre guillemets,
14:11 de changer la donne dans la vitesse de montée en cadence,
14:14 la vitesse de mise au point de ces installations pour la transformation qu'on est en train de vivre.
14:19 Donc vraiment pour nous, c'est une étape très importante d'accompagner finalement
14:23 cette mutation aussi sur les produits pour les marqueurs d'eau.
14:28 J'imagine que vous êtes évidemment très attendu sur cette nouvelle façon de concevoir les véhicules.
14:33 On avait, avec le concept car, présenté Human First Vision,
14:37 l'idée que vraiment il y a une poussée du logiciel, j'ai envie de dire,
14:42 presque plus importante aujourd'hui que sur le matériel dans la voiture.
14:45 D'un autre côté, dans le sens inverse, est-ce que ce METAVERT industriel
14:50 pourrait permettre de proposer des idées nouvelles dans la conception automobile ?
14:55 Des idées nouvelles certainement, mais déjà d'être au rendez-vous de la production
15:00 avec effectivement un enjeu très fort de réduire les temps de cycle.
15:04 Pour nous, il y a une grosse logique de compétitivité,
15:07 de pouvoir sortir très très rapidement la partie de tout les parties un peu novatrices.
15:12 C'est un enjeu compétitif ça sur le marché ?
15:14 Oui, complètement. On l'a évoqué tout à l'heure un tout petit peu,
15:17 il y a effectivement un énorme enjeu d'énergie, puisqu'on s'est engagé aujourd'hui
15:23 sur l'ensemble du cycle, et pas uniquement d'utilisation,
15:26 mais de production du véhicule, d'être carbon neutral.
15:28 Donc là, le METAVERT et le digital ont toute sa valeur et on y travaille énormément.
15:33 Donc vous voyez que l'intérêt aussi de tout ça, c'est l'hétérogénéité
15:38 et la profondeur de tous ces sujets, ce qui fait vraiment l'intérêt des postes autour de nous.
15:43 Juste un mot de conclusion, rapidement peut-être, Eric ?
15:46 On est vraiment très enthousiastes avec toutes les équipes sur cette transformation.
15:55 On déploie finalement aussi ce qu'on appelle nos Tech Days dans l'ensemble des usines du groupe
16:01 et ça génère un enthousiasme dingue dans l'ensemble des usines de la planète,
16:06 en France, au Maroc, en Espagne, etc. C'est une belle aventure.
16:11 Ça ne se passe pas qu'à VivaTech, évidemment.
16:13 Merci beaucoup Eric Marquiel, directeur METAVERT, c'est l'industrie qualité de Renault,
16:18 et François Lavernaus, directeur informatique et industrie également pour Renault Group.
16:21 Merci beaucoup.
16:22 Merci.
16:23 Merci.