C'est Votre Avenir - Émission du 5 juin

  • l’année dernière
Retrouvez C'est Votre avenir avec Alexandre Delovane au micro de Trina Mac-Dinh, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio.
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##C_EST_VOTRE_AVENIR-2023-06-05##
Transcription
00:00 Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente.
00:07 Sud Radio, c'est votre avenir. Trina Magdine, Alexandre Deloval.
00:11 Bonjour à tous, bienvenue dans C'est votre avenir.
00:13 Merci d'être avec nous sur Sud Radio pour démarrer une nouvelle semaine.
00:16 Pendant cette prochaine heure, on va répondre à toutes les questions que vous vous posez sur votre présent et sur votre futur.
00:22 Si jamais vous avez l'impression de ne plus vous épanouir dans votre vie sentimentale ou professionnelle,
00:27 sachez qu'on peut vous aider à surmonter les épreuves et vous dévoiler en plus quelle sera votre situation dans les prochains mois et les prochaines années
00:35 grâce à notre coach intuitif, Alexandre Deloval. Bonjour.
00:39 Bonjour Trina, bonjour à tous.
00:41 Vous avez fini de vous installer ?
00:42 Oui, je suis installée.
00:43 J'ai cru que vous n'alliez jamais terminer.
00:44 On commence la semaine tranquillement, mais sûrement.
00:48 Mais sûrement.
00:49 Comment allez-vous Trina ?
00:50 Ça va très bien.
00:51 Vous avez passé un bon week-end ?
00:52 Oui, et vous ?
00:53 Oui, plutôt ensoleillé, donc c'était sympa.
00:56 Et puis, voilà.
00:58 Vous attendez que je vous dise quelque chose ?
01:00 Non, c'est trop fort.
01:02 Ah, peut-être.
01:04 Allez, pour passer à l'antenne et nous poser vos questions, direction le standard de Sud Radio 0826 300 300.
01:11 Cette semaine, on s'intéressera à l'hydromancie, au chakra coronal et au lien entre cauchemar et personnalité.
01:17 Et puis tout à l'heure, gros plan sur la méthode des 3 30 300 contre l'anxiété, avant la superstition du jour et l'ange du jour.
01:25 On démarre avec Aïcha.
01:27 Bonjour Aïcha.
01:28 Bonjour Trina, bonjour Alexandre.
01:30 Bienvenue Aïcha, vous nous appelez d'où ?
01:32 Je vous appelle de Versailles.
01:34 Très bien. Vous êtes inquiète pour votre fils ?
01:37 C'est ça, oui. J'ai un fils de 21 ans qui est totalement perdu.
01:42 Il est en train de chercher, de savoir qui il est, ce qu'il veut dans la vie.
01:48 Ça lui pose des soucis.
01:52 Moi, en tant que mère, je suis très inquiète parce qu'il ne sait pas ce qu'il veut faire dans la vie.
01:58 C'est un âge où, normalement, on fait des études, où on commence à apprendre son futur métier.
02:07 Et là, il est totalement perdu.
02:09 Il s'est arrêté à quel niveau des études ?
02:12 Il avait commencé une école de commerce, il a arrêté un an et demi après.
02:18 Et il vous a expliqué pourquoi il voulait arrêter ?
02:21 Parce que ça ne lui plaisait pas, parce qu'il ne se voyait pas dans ce domaine.
02:28 Et en fait, dès que je lui propose quelque chose, soit il me dit non, soit il me dit je ne sais pas.
02:35 Mais en général, je dis plus souvent non.
02:37 D'accord. Quelle relation vous avez avec lui, en dehors de ce souci d'études ?
02:43 Aujourd'hui, on se parle beaucoup.
02:48 D'accord, très bien.
02:49 Je pense que cette période difficile, elle a renforcé notre complicité.
02:54 J'ai toujours été proche de lui.
02:56 On a eu une période, en fait, après mon divorce, qui a été difficile pour lui, où il s'est éloigné de moi.
03:04 Lui, il a très mal vécu le divorce.
03:07 Comment ça s'est passé, ce divorce ?
03:09 En fait, ça faisait des années où je disais à son père, tu sais, moi c'est fini, je n'ai plus envie qu'on continue.
03:17 Et à chaque fois, il me disait, écoute, moi j'ai envie de voir mes enfants grandir, c'est important pour moi.
03:22 Donc j'ai encaissé, j'ai encaissé.
03:24 Et un jour, je suis allée voir une avocate.
03:27 Et elle lui a envoyé un courrier à la maison.
03:31 Et lui, ce qu'il a fait, c'est qu'il l'a montré à mon fils.
03:34 Il lui a dit, regarde ce qu'elle nous fait ta mère.
03:36 Ah, d'accord.
03:38 Et ça a été très, très, très difficile pour lui.
03:41 Quand je suis rentrée, il a pleuré.
03:44 Il sanglotait, c'était la première fois que je le voyais pleurer.
03:47 Et pour moi aussi, ça a été difficile parce que mon but dans la vie, c'est d'être la meilleure des mères.
03:53 J'assure.
03:54 Et en fait, là, je me suis sentie la plus mauvaise des mères.
03:56 Est-ce que c'est consécutif à tout ça, son changement au niveau des études, ce fait qu'il n'est plus la motivation ?
04:04 C'est possible.
04:08 En fait, moi, je l'ai toujours guidé dans l'idée accompagnée dans ses choix.
04:15 Et en fait, il m'a dit qu'en fait, il avait besoin que ce soit lui-même qui fasse ses choix.
04:24 D'accord.
04:25 Et l'école de commerce, c'est moi qui lui ai conseillé, mais en même temps, il ne savait pas quoi faire.
04:29 Mais pour moi, c'était le meilleur moyen de commencer dans la vie parce que dans une école de commerce, on apprend beaucoup de choses quand même.
04:36 Il a appris des choses, hein.
04:37 Mais ce n'est pas ce qui lui convient.
04:39 Mais il ne le voyait pas. Voilà, c'est ça.
04:40 Alexandre, selon vous, comment ça peut évoluer à l'avenir ?
04:44 Écoutez, alors pour moi, je sens une évolution.
04:46 Je sens une évolution, une évolution progressive, mais il y a une évolution qui va se mettre en place au fil du temps.
04:54 Aujourd'hui, je crois que volontairement, il a envie aussi de se laisser ce temps à la réflexion, peut-être aussi de vouloir vivre cette expérience dans la difficulté.
05:08 Alors, je ne dis pas que c'est fait consciemment, mais peut-être que de manière consciente, il y a quelque chose en lui qui lui permet aussi de se rendre compte de certaines difficultés,
05:20 de cette réalité-là et de certaines possibilités aussi et de se tester jusqu'où il peut aller.
05:27 Donc, je ne veux pas dire pour autant qu'il alimente tous les jours cette fragilité, cette difficulté, mais malgré tout, il ne cherche pas aujourd'hui à essayer de l'améliorer.
05:42 Je crois très, enfin de manière intuitive, je crois qu'il a cette capacité de pouvoir rebondir.
05:50 Je sens que c'est quelqu'un qui, à un moment donné, va vouloir mettre un terme à cette vie un peu de précarité, où il va vouloir se prendre en main et décider d'aller vers autre chose.
06:04 Peut-être que ces derniers temps, il y a eu aussi des influences extérieures, que ça peut être lié à des relations, soit sentimentales ou peut-être amicales.
06:13 Peut-être qu'il y a eu un laissé-aller aussi, une période d'après-Covid qui a coupé son élan.
06:21 Et donc, je pense qu'il y a un ensemble de choses qui font qu'aujourd'hui, votre fils se retrouve dans cette fragilité, dans cette difficulté.
06:28 Mais ce que je ressens réellement pour votre fils, et souvent ça peut arriver chez les jeunes,
06:34 c'est qu'ils ont besoin de se retrouver dans cet état d'urgence, dans cet état de fragilité, pour à un moment donné rebondir et non pas forcément décliner au fil du temps.
06:44 Et vraiment, c'est ce qui me semble ressortir pour votre fils.
06:49 Et donc, pour moi, il y a de l'espoir, il y a des possibilités. Il est à la fin de ce cheminement d'autodestruction, parce qu'il y a quand même une certaine forme d'autodestruction, ça c'est sûr.
07:01 Mais il est à la fin de ce cheminement et vous verrez qu'à partir de 2024, il est amené à vouloir se reprendre en main, à vouloir repartir vers quelque chose de nouveau.
07:13 Et notamment, peut-être qu'il arrêtera avec cette notion de formation, de stage ou d'études, et plus, pour aller vers un projet professionnel.
07:23 Et je crois aussi qu'il y a une personne dans son entourage, une personne plus âgée, et ça peut s'agir d'un homme qui peut lui faire confiance et vouloir lui donner aussi sa chance.
07:33 Et donc, c'est à partir de là où il aura ce déclet, cette idée et cette ambition aussi de se dire "je lâche ma vie du passé pour aller vers quelque chose de mieux".
07:44 - Donc il aura une proposition d'ampleur en fait, d'embauche.
07:47 - Oui, d'embauche, exactement, avec la capacité peut-être de même de construire sa carrière, d'avoir une évolution.
07:54 - Ce qui est important dans votre histoire et par rapport à votre fils, c'est qu'il a quand même reçu toutes les valeurs de son éducation, et puis vous êtes là en tant que maman, vous êtes présente.
08:07 Donc pour moi, il a des repères et il ne coupe pas la communication avec vous.
08:14 Donc il y a quand même des signes qui sont assez porteurs de bons espoirs et qui vous permettront pour vous d'être beaucoup plus rassurés dans le temps.
08:23 - On espère que ça vous rassure déjà.
08:26 - Merci. En fait, moi j'ai aussi l'impression comme si en fait, dès qu'il veut faire quelque chose, il n'y arrive pas.
08:34 Est-ce que c'est cette motivation qui bloque ou j'ai l'impression en fait qu'il n'a pas de chance dans la vie ?
08:44 - C'est une question de timing ?
08:46 - Voilà, je crois qu'il y a une question de timing et puis je crois qu'en lui, il s'est laissé, alors peut-être perdre de confiance en lui, mais il s'est laissé aller dans un système, dans un fonctionnement de vie qui l'amène à ne pas attirer la chance.
09:04 Mais tout ça va disparaître avec le temps. Il faut qu'il crée l'ambition, il faut qu'il se remotive.
09:11 Et je crois que vous, en tant que parent, n'hésitez pas à lui donner justement cette notion d'espoir, d'encouragement jusqu'au jour où, bon, ça va prendre un peu de temps, mais à un moment donné, vous allez voir que votre fils prend le bon chemin.
09:24 Et en tous les cas, je suis, je reste assez optimiste, pas dans les jours à venir, mais dans les mois à venir, oui, ça me semble assez optimiste.
09:33 - Merci Aïcha d'avoir été avec nous.
09:35 Allez, on va s'intéresser dans un instant à la méthode des 3 30 300 et on vous attend sur Sud Radio 0826 300 300.
09:42 - Sud Radio, c'est votre avenir, le sujet du jour.
09:46 - Alors Trina, aujourd'hui, vous nous parlez d'une méthode assez particulière, le 3 30 300.
09:51 Alors c'est quoi ? C'est trois mariages, 30 aventures ?
09:54 - Ah bah si vous avez envie, chacun peut adapter après.
09:57 C'est une méthode qui aide à améliorer la santé mentale et le bien-être.
10:00 Alors la santé mentale est un état de bien-être qui permet à chacun de réaliser son potentiel, de faire face aux difficultés de la vie,
10:07 de travailler avec succès et de manière productive et d'être en mesure d'apporter une contribution à la communauté.
10:12 Il y a trois dimensions de la santé mentale.
10:15 La santé mentale positive qui recouvre le bien-être, l'épanouissement personnel, les ressources psychologiques et les capacités d'agir de l'individu.
10:23 Il y a la détresse psychologique réactionnelle induite par les situations difficiles, les deuils, les échecs scolaires, les problèmes relationnels, etc.
10:31 et les troubles psychiatriques, plus ou moins sévères, ça c'est encore autre chose.
10:34 - Alors pourquoi la méthode 3 30 300 est bénéfique ?
10:37 - Alors des chercheurs de l'Institut pour la santé globale de Barcelone ont analysé les données de 3 145 habitants âgés de 15 à 97 ans.
10:45 Les participants devaient répondre à un questionnaire concernant leur état de santé mentale.
10:49 8,3 % ont déclaré avoir consulté un psychologue au cours de l'année précédente.
10:53 18 % des participants ont déclaré avoir une mauvaise santé mentale.
10:58 Et 8,1 % ont déclaré avoir utilisé des antidépresseurs au cours des deux jours précédents.
11:03 Les scientifiques se sont ensuite basés sur la règle des 3 30 300,
11:07 donc qui a été mise en place par un forestier urbain et qui repose sur trois critères.
11:11 Voir au moins trois arbres depuis chez soi.
11:14 Vivre dans un quartier ayant une couverture arborée de 30 % et ne pas habiter à plus de 300 mètres d'un parc ou d'une forêt.
11:21 Et bien figurez-vous que seulement 4,7 % de la population interrogée remplissait les trois critères.
11:27 - Et bien aujourd'hui si on habite dans des villes où justement ça manque d'arbres...
11:32 - Beaucoup plus anxiogène.
11:33 - Effectivement. Mais si on plante par exemple trois arbres à l'intérieur de son appartement, c'est pas mal non ?
11:38 - Bah écoutez, si vous y arrivez, oui !
11:40 - Alors encore une preuve que la nature est importante pour notre bien-être.
11:43 - Tout à fait. Ce n'est pas la première fois que le monde scientifique fait le lien entre nature et bien-être.
11:47 Une étude publiée en 2015 dans la revue de l'Académie nationale des sciences avait montré comment une simple promenade en zone naturelle
11:54 pouvait soulager certains problèmes de santé mentale et d'angoisse.
11:57 En fait, contrairement à ceux qui avaient marché dans un environnement urbain,
12:01 les participants qui avaient marché 90 minutes dans un environnement naturel
12:04 avaient signalé des niveaux de rumination plus faibles et une activité neuronale réduite
12:09 dans une zone du cerveau liée au risque de maladies mentales.
12:12 Donc si vous remplissez les trois critères de cette méthode, vous aurez une meilleure santé mentale,
12:16 moins de stress, moins de consommation de médicaments, moins de visites chez un psychologue
12:21 et plus de facilité à gérer vos émotions.
12:23 Il paraît que ça marche très très fort là-bas.
12:26 Tout le monde essaie de se concentrer autour des arbres et de la nature.
12:29 - Effectivement, et si on vit dans une forêt, là il n'y a plus de soucis.
12:31 - Ah bah là c'est encore mieux !
12:32 - Il y a trop de bien-être.
12:34 - Voilà, ouais quand même.
12:36 Louise nous a rejoint. Bonjour Louise.
12:38 - Oui, bonjour Trina, bonjour Alexandre, merci de pouvoir passer votre émission.
12:43 - Merci à vous, c'est gentil Louise, vous nous apprenez d'où ?
12:46 - À Quy-Thènes, enfin dans le Périgord.
12:49 - Très bien, alors votre fille se fait harceler à son travail.
12:53 - Voilà, c'est ça, et ça pose problème.
12:56 Enfin voilà, je souffre énormément aussi parce que bon, pas plus tard qu'à une heure, j'ai eu le téléphone.
13:01 Je pense aussi qu'elle s'est auto-flagellée elle-même
13:05 parce que bon, j'ai beau lui dire qu'aujourd'hui la société elle est faite comme ça
13:09 et qu'on n'y peut rien, donc voilà, elle se donne à fond dans son travail.
13:13 Elle n'a pas beaucoup de retour par rapport à ce qu'elle fait en fait.
13:17 Donc du coup, elle a du mal à accepter tout ça, voilà.
13:20 Donc elle est un peu harcelée par les collègues, par le chef, son chef de brigade,
13:25 mais bon, lui ça va se résoudre parce qu'il s'en va de sa brigade et va ailleurs.
13:30 Donc du coup, c'est jusqu'au mois de septembre, mais c'est surtout par rapport à ses collègues en fait.
13:36 - Elle fait quoi comme travail ?
13:38 - Elle est dans la fonction publique aux impôts, dans les impôts.
13:44 - Et quand vous dites donc qu'elle se fait harceler, comment concrètement ça se traduit ?
13:49 Comment ça se manifeste ça au quotidien ?
13:51 - En fait, les collègues avec des airs, les amis tous, qu'on dit,
13:56 par exemple, je vais donner des exemples,
14:00 soit par exemple, elle est grande, donc si elle met des talons,
14:05 déjà si elle est grande, pourquoi tu mets des talons ?
14:08 Ou s'il pleut, ou si par exemple, elle est habillée un peu plus courbe,
14:13 s'il pleut, pourquoi t'as pas froid ?
14:16 Vous voyez des trucs comme ça, avec le sourire, tout ça, ça passe,
14:20 mais bon, quelque part, c'est quand même un peu de harcèlement.
14:23 Voilà, c'est des exemples, et puis bon, même par rapport au travail,
14:27 elle arrive à faire tous ses dossiers, les autres arrivent moins,
14:31 donc du coup, les collègues, ça tire la tête,
14:33 elle a des visages, la tête aux pieds, enfin bon, voilà, c'est tout comme ça.
14:39 - Et son chef, comment ça se concorde ?
14:42 - Son chef, en fait, c'est un coup il est gentil, un coup voilà, c'est bien,
14:45 un coup il appelle mère par son nom de famille,
14:49 un coup, il fait des doigts d'honneur aussi, par moment,
14:54 oui, oui, oui, des doigts d'honneur, mais là, ça s'est un peu calmé,
14:57 parce qu'à force de conditionner ma fille, de lui dire, voilà,
15:00 tu ne laisses pas faire, tu le rends, enfin, on le prévend gentiment,
15:03 professionnellement, mais tu lui fais comprendre s'il continue,
15:07 qu'il faut aller à RH, à la direction, voilà,
15:11 ou alors, voilà, c'est tout comme ça, quoi,
15:15 et puis un coup, il va être gentil, puis après, le lendemain,
15:18 il la casse, quoi, en fait, voilà, soit il n'écoute pas,
15:22 soit il est pressé, soit il est, voilà, alors qu'il passe du temps
15:26 avec les collègues, voilà, et tout ça, ça l'a amère d'elle, quoi, en fait, voilà.
15:30 - Bon, Alexandre, alors, il y en a énormément des histoires de harcèlement,
15:34 j'ai envie de dire depuis très longtemps, mais je pense que peut-être
15:37 que ça se démocratise un peu plus d'en parler aujourd'hui.
15:39 - En fait, moi, c'est ma question, c'était parce qu'elle demande une lutte,
15:42 donc elle a, quand même, j'ai conseillé qu'elle me demande une mutation
15:45 pour sortir de ses collègues, bon, après, comme je dis,
15:50 ailleurs, il y aura des collègues aussi, auquel ça passera bien,
15:53 d'autres, ça va moins bien se passer, mais je dois dire,
15:56 il faut qu'elle fasse avec, parce qu'aujourd'hui,
15:59 une société qui est tellement compliquée que, voilà, on ne peut pas, voilà.
16:03 - Alexandre ? - Oui ? - Par rapport à sa mutation,
16:06 si éventuellement... - Alors, bon, avant toute chose,
16:11 ce qui est important à savoir, c'est déjà si elle aime son métier,
16:14 est-ce qu'elle aime son métier, aujourd'hui ?
16:17 - Elle aime son métier, puisqu'elle se donne un fond,
16:19 et elle n'a pas de retour, en fait. Mais bon, il y a des fois,
16:22 elle se pose la question si vraiment, c'est son métier.
16:25 - Si elle aime son métier, il ne faut pas du tout qu'elle s'arrête là,
16:28 il faut qu'elle continue à avancer, et je crois que, bon,
16:31 ce que vous évoquez, au-delà du harcèlement,
16:35 parce que, bien sûr, on n'est pas là pour juger,
16:38 mais il y a effectivement un peu de sexisme, de machisme,
16:41 de tout ça, mais je crois qu'il faut, justement,
16:46 qu'elle fasse remonter l'information, et d'arrêter de subir,
16:49 et faire remonter l'information, pour se faire aider,
16:52 et à un moment donné, pour se faire entendre.
16:54 Parce que sinon, si elle accepte tous les jours ce genre de situation,
16:59 je ne suis pas en train de dire qu'elle cautionne, pas du tout,
17:02 mais je ne pense pas que ça puisse s'arranger pour elle.
17:06 Donc, elle laisse cette possibilité à ce que,
17:09 quand vous dites que, par exemple, son supérieur fait des doigts d'honneur,
17:14 voilà, bon, je veux dire, c'est inacceptable,
17:17 quel que soit dans le milieu de l'entreprise.
17:19 Alors, pour moi, c'est à elle d'être sur sa défense,
17:23 et faire en sorte de faire stopper ça, et de faire cesser ça,
17:27 et non pas de ruminer ses problèmes, ou, tout simplement,
17:31 de subir ce qu'elle est en train de subir.
17:35 Ensuite, par rapport à son évolution, oui, il y a une évolution,
17:39 il y a quelque chose qui s'annonce pour elle,
17:42 je pense qu'il y a la possibilité d'un changement,
17:45 soit de service, ou de fonction, qui lui sera proposé.
17:50 Et là, c'est une bonne période pour que ça puisse se faire.
17:55 Donc, il ne faut pas hésiter à ce qu'elle demande,
17:57 il ne faut surtout pas hésiter à ce qu'elle se mette en contact avec sa RH,
18:03 pour essayer de voir quelle est son évolution,
18:06 quelles sont ses possibilités de changement pour elle,
18:09 et puis sortir du problème dans lequel elle est aujourd'hui.
18:12 Et vous verrez que si elle met tout ça en action,
18:16 et bien, elle est dans une bonne période,
18:18 en ce moment, plutôt favorable pour ce changement-là,
18:21 et justement pour la soulager, et ne pas rester avec des traumatismes,
18:26 ou avec des blocages psychologiques, comme un peu Lévi aujourd'hui.
18:30 Merci Louise, en tout cas, pour votre témoignage, et à bientôt.
18:33 Allez, venez nous rejoindre vous aussi,
18:35 si vous voulez avoir le ressenti de notre coach intuitif,
18:37 Alexandre 0826 300 300, on revient dans un très court instant.
18:41 Sud Radio, c'est votre avenir, Trina Magdine, Alexandre Deloval.
18:45 De retour, dans "C'est votre avenir", c'est toujours Alexandre,
18:48 notre coach intuitif, qui répond à toutes vos questions,
18:50 donc n'hésitez pas à nous appeler au 0826 300 300.
18:55 On va voir Bruno dans un instant, mais d'abord, c'est la superstition du jour.
18:58 - Et oui, aujourd'hui, je vais vous parler de noisettes.
19:00 - Ah d'accord.
19:02 - Vous aimez ça ?
19:03 - Euh non.
19:04 - Non, vous n'aimez pas les noisettes ?
19:05 - Non, c'est pas du tout mon truc.
19:06 - D'accord, ben écoutez, il y a une superstition autour des noisettes,
19:08 alors c'est une superstition ancienne.
19:10 On disait qu'autrefois, les fiancés qui voulaient avoir des enfants,
19:14 eh bien, ils devaient demander au repas de noces
19:18 qu'on leur serve un dessert à base de noisettes.
19:22 - D'accord.
19:23 - Alors, je ne sais pas si ça fonctionne ou pas,
19:25 mais apparemment, c'est une superstition ancienne.
19:28 Et si, par ailleurs, vous avez un noisetier dans votre jardin,
19:31 eh bien, les années où votre noisetier fournit beaucoup de fruits,
19:36 il est fort possible que vous appreniez des naissances proches de vous
19:40 ou que vous ayez la possibilité d'avoir un enfant, si bien sûr tel est le cas.
19:44 - D'accord.
19:45 - Voilà.
19:46 - Donc, les noisettes.
19:47 - Voilà.
19:48 - Vous aimez bien, vous, les noisettes ?
19:49 - Oui, j'aime bien.
19:50 J'aime bien les ramasser sur l'arbre.
19:52 Je trouve ça sympa.
19:53 - Je vous imagine bien.
19:55 Je visualise très bien la chose.
19:57 - Moi, de toute façon, tous les fruits, je préfère les manger directement sur l'arbre.
20:00 - Ça ne m'étonne pas.
20:01 - S'ils ne sont pas traités avec des produits toxiques.
20:04 Mais sinon, oui, j'aime bien.
20:05 - D'accord.
20:06 On retrouve Bruno.
20:07 Bonjour, Bruno.
20:08 - Bonjour, Trina.
20:11 Bonjour, Alexandra.
20:12 - Bienvenue, Bruno.
20:13 Vous nous appelez d'où ?
20:14 - Merci.
20:15 Je vous appelle de Sénémane.
20:17 - Très bien.
20:18 Alors, vous vous êtes attiré par une collègue de travail, c'est ça ?
20:21 - C'est ça.
20:23 Ça fait 4-5 ans.
20:25 - Ça vous fait sourire, Bruno.
20:27 - Oui, ça me fait sourire.
20:29 - Qu'elle lui plaît.
20:31 - Ça me fait sourire.
20:33 Ça fait 4-5 ans qu'on se côtoie.
20:35 Et puis, ça montre crescendo.
20:39 On connaît un petit peu notre vie privée, nos parcours privés.
20:43 Et le week-end dernier, nous sommes allés dans un parc.
20:49 Je ne sais pas si je peux le nommer.
20:51 - On va éviter.
20:52 - D'accord.
20:53 Dans l'Ouest de la France, un week-end qui était organisé par notre CSE.
21:01 Elle devait y partir avec une de ses collègues.
21:05 Elle était en maladie.
21:07 Donc, elle n'a pas pu y aller.
21:08 J'étais sur une île à pente.
21:10 Et j'ai pu profiter de ce week-end.
21:13 Et comment dire, elle a appelé le CSE pour dire que je veux bien que Bruno vienne avec moi.
21:23 Oui, mais après, il y a des contraintes.
21:25 Vous êtes très dans la même chambre.
21:26 Oui, ce n'est pas un problème.
21:27 On a passé un super week-end.
21:32 Comme des amours, je dirais.
21:34 Ça fait longtemps qu'on se connaît.
21:36 On se côtoie aussi à l'extérieur.
21:38 On fait des cinémas.
21:40 On se fait des concerts.
21:41 On se fait des restaurants.
21:42 Je sais où elle habite.
21:44 Je sais où je m'habite.
21:46 J'ai été un petit peu désarçonné à la fin du week-end.
21:53 Je me suis dit, mais ça va aboutir où ?
21:56 C'est ça la question.
21:58 C'est ça la question.
21:59 Elle m'annonce qu'elle est seule en ce moment.
22:03 Moi aussi.
22:05 Voilà, c'était ma question.
22:09 D'accord, c'est ça uniquement votre questionnement.
22:13 Est-ce qu'il y a quelque chose que vous trouvez peut-être un peu louche dans son comportement ou non ?
22:20 Elle est surprenante.
22:29 Je ne la comprends pas.
22:34 Comment dire ?
22:35 Je la sens très proche de moi.
22:37 Et je ne sais pas trop bien où aller.
22:43 Est-ce que je dois m'investir ou pas ?
22:46 Alexandre ?
22:47 Oui, alors moi de ce que j'entends et de ce que je capte aussi comme information,
22:53 c'est qu'elle vous désarme un petit peu.
22:55 C'est-à-dire que quand vous dites qu'elle est un peu surprenante,
22:58 je ne veux pas dire qu'elle vous teste,
23:00 mais elle a une personnalité qui vous intimide un petit peu.
23:05 À la fois non pas de pouvoir échanger, de pouvoir communiquer,
23:09 de pouvoir passer de bons moments ensemble,
23:11 mais d'aller sur des terrains plus intimistes.
23:15 Et bien là, vous êtes un petit peu intimidée.
23:18 Pardonnez-moi de parler de manière directe,
23:21 mais il faut que votre côté masculin ressorte
23:27 et que c'est à vous maintenant de la surprendre.
23:30 Ça inverse les rôles.
23:33 Là, il y a un silence, M. Bruno.
23:36 Non, non, non, Alexandre.
23:39 Je pense la surprendre parce que dans notre week-end,
23:43 je suis quelqu'un de très joyeux, très amusant et tout ça.
23:48 Et elle m'a dit, je plaisantais surtout avec des serveuses,
23:54 c'est pas facile leur travail, donc je les détends.
23:57 À un moment donné, elle me regarde, elle rougit, mais arrête de draguer.
24:01 Ça, c'est surprendre.
24:04 Je sais pas.
24:06 Le montrer à côté de séducteur.
24:08 Non, mais alors par contre, si elle montre des signes de jalousie un petit peu,
24:11 c'est bon signe.
24:13 Oui, je suis d'accord.
24:16 Mais à quel moment vous l'avez surprise de draguer cette fille ?
24:22 Oui, c'était en fait une accumulation de trois personnes que j'ai rencontrées.
24:29 Elle me disait, vous voulez mon ticket de carte ?
24:33 Non, non, je vous le laisse, j'ai mon 06 dessus.
24:36 Mais c'était de la taquinerie.
24:39 Non, il va falloir que je vous donne des conseils.
24:42 Il faut coacher.
24:43 C'est pas ça de surprendre.
24:45 Il est coaché en relation amoureuse aussi.
24:47 Quand je vous dis de surprendre, c'est de l'amener vers un chemin
24:52 ou vers en tous les cas un moment un peu insolite
24:55 où elle va faire "Waouh" dans votre univers à tous les deux.
24:58 Et non pas un univers de femmes autour.
25:02 Il ne faut pas trop taquiner, sans vouloir donner d'ordre.
25:05 Il ne faut pas trop taquiner de manière générale une femme qu'on essaie de séduire.
25:09 Et là, vous avez les bons conseils d'une femme.
25:12 Oui, merci Trina.
25:14 Mais en fin de compte, je la surprends aussi, je l'invite dans plusieurs choses.
25:20 Elle dit "Waouh, ça fait un sacré programme".
25:23 Oui, c'est normal.
25:25 Pour moi c'est normal.
25:26 Bon, Alessandre, est-ce que ça peut donner quelque chose ?
25:30 Oui, ça peut donner quelque chose.
25:32 C'est pour ça que j'insiste à dire qu'il faut la surprendre.
25:34 Il ne faut pas se laisser intimider.
25:36 Pardonnez-moi si je suis un peu, pas intrusif, mais un peu direct avec vous.
25:42 Mais allez-y.
25:43 Je ne veux pas dire pour autant qu'elle acceptera tout de vous, bien entendu.
25:47 Je crois que chacun a sa personnalité.
25:50 Il y a des choses sur lesquelles on doit faire attention ou on doit être vigilant.
25:53 Donc faites-le avec beaucoup de délicatesse, comme vous savez le faire.
25:57 Mais en attendant, on dirait quand même que tous les deux, il y a un jeu qui s'est installé.
26:03 Un jeu de séduction, un jeu de charme.
26:05 Et il faut faire attention qu'à un moment donné, ça ne devienne pas une amitié de complice.
26:11 Parce que parfois, à force de ne pas oser franchir le pas, la peur de la réaction de l'autre,
26:21 on s'installe dans une relation plutôt amicale que dans une relation sentimentale.
26:26 Et là, c'est pour ça qu'il faut passer un peu à la vitesse supérieure.
26:30 Mais attention, je ne suis pas en train de vouloir vous amener vers le vertige ou vers le ravin.
26:36 Mais je pense que vous avez cette capacité, cette possibilité à justement la surprendre.
26:42 Comme moi, je l'entends, mais pas peut-être de la même manière que vous l'avez confirmé.
26:47 Mais ça peut fonctionner.
26:49 Et puis, après, laissez le temps se mettre en place.
26:52 C'est-à-dire ne pas précipiter les choses.
26:54 Parce que je crois que cette personne a besoin de s'abouffer d'oxygène.
26:57 Elle a besoin de se retrouver parfois.
26:59 Donc, il ne faut pas qu'elle se sente trop asphyxiée.
27:02 Et là, vous verrez que si vous arrivez à maintenir une relation comme ça,
27:07 elle sera plutôt homogène, équilibrée et très, très sympa à vivre.
27:11 Et avec beaucoup de surprises.
27:13 Bon, eh bien, on vous le souhaite en tout cas, Bruno.
27:16 Donnez-nous de vos nouvelles.
27:17 Merci, bien sûr, sans problème.
27:19 A bientôt, Bruno.
27:20 A bientôt, Alexandre et Trina.
27:22 Allez, on passe à l'Ange du jour, Alexandre.
27:24 Quel ange célèbre le 5 juin ? Quelle fête ? Quel dicton ? Quel anniversaire ?
27:28 Eh oui, alors ce 5 juin, c'est la Saint-Igore.
27:31 Très bien.
27:32 Un prêt est bien, vaut rien, quand on juin, il ne donne rien.
27:36 Ça, c'est le dicton du jour.
27:38 L'ange qui gouverne cette journée, c'est Citaël.
27:41 Il apporte sobriété, il vous donne le sens pratique.
27:43 Il aide aussi à soulever les difficultés.
27:45 Alors, sa formule d'invocation est celle de dire, "Ange Citaël, aide-moi à prendre conscience de mes erreurs afin de vaincre l'adversité."
27:53 Vaincre...
27:54 Oui, c'est l'accent du sud qui revient.
27:57 Désolé, ça arrive parfois.
27:59 Bordelais, là.
28:00 Oui.
28:01 Mais, bon, on est à côté.
28:03 Vous allez souvent à Toulouse.
28:04 Voilà, exactement.
28:05 Vous êtes un mix des deux.
28:06 Voilà, un mix des deux.
28:07 Mais vous avez un bel accent aussi, vous Savoyard.
28:10 Oh, Savoyard.
28:11 Il est plus haut, oui.
28:13 Allez, pour faire une bonne invocation, vous pouvez visualiser la couleur violette et pauvre.
28:18 Alors, sa pierre de chance, c'est le saphir.
28:21 Vous savez que dans les traditions de l'Égypte ancienne et en Rome antique, le saphir était une pierre sacrée de la vérité et de la justice.
28:29 En orient, elle représente l'irrationnel et la connaissance intuitive.
28:33 Et puis, symboliquement, la pierre saphir représente aussi la fidélité à l'être suprême.
28:40 Alors, vous savez que le saphir bleu est surtout lié au signe de la balance.
28:45 Et d'autres l'associent aussi au taureau, non pas aux gémeaux comme vous, ma chère Trina.
28:51 Et on dit que ça aiderait à se mettre en accord avec soi-même et à écouter son intuition.
28:58 Cette pierre, c'est la pierre de la naissance des enfants du mois de septembre, puisque c'est la balance.
29:04 Alors, un anniversaire du jour.
29:06 Vous en voulez deux ?
29:07 Allez.
29:08 Allez, c'est gratuit.
29:09 De l'humoriste Elisabeth Buffet et d'un chroniqueur qui, justement, intervient très régulièrement à Sud Radio, Guy Carlier.
29:17 Très bien.
29:18 Et hier, c'était l'anniversaire de Jacques Pessis.
29:20 Bon anniversaire, Jacques.
29:22 Un souvenir.
29:24 Vous savez qu'en l'an 2000, pour la première fois en France, une équipe médicale a réussi à implanter un cœur artificiel complètement autonome.
29:34 C'était il y a 23 ans.
29:37 Très bien. On accueille Marie. Bonjour Marie.
29:40 Bonjour Trina. Bonjour Alexandre. Merci de me recevoir.
29:44 Merci à vous Marie. Vous avez deux questions.
29:47 J'aime beaucoup votre émission. Je vous écoute souvent.
29:51 Et aujourd'hui, c'est vrai que j'ai besoin d'être éclairée.
29:54 Je vais faire juste un petit résumé de ma situation actuelle.
29:57 J'étais mariée avec un homme de 30 ans qui était manipulateur, mais ça malheureusement, je ne l'ai su qu'après.
30:03 Dans cette relation, je n'étais ni heureuse ni épanouie, mais il correspondait à mes valeurs, à savoir la fidélité, le sens de la famille, l'honnêteté.
30:14 Et puis surtout, il venait apaiser un petit peu les blessures d'enfance et d'adolescence, plus un syndrome de l'abandon.
30:23 Donc j'ai foncé dans cette relation tête baissée, dans l'éducation de mes enfants, la gestion de la famille.
30:30 Je me suis un petit peu oubliée jusqu'au jour où j'ai découvert une liaison qui m'a un petit peu anéantie.
30:38 Je dis toujours que j'ai reçu la claque de ma vie parce que je l'avais mis sur un pied d'estal.
30:43 Et j'ai eu l'impression que pendant ces 30 ans, j'ai construit un château en sable qui s'est dérobé sur mes pieds.
30:50 C'était très douloureux. La séparation, bien sûr, a été très douloureuse.
30:56 Mais malgré tout, j'ai entrepris des études, une reconversion professionnelle.
31:01 En me disant que j'allais reprendre un petit peu une revanche sur la vie, réussir quelque chose d'enfant.
31:06 J'ai obtenu un diplôme. Donc, 7 ans après cette séparation, ma vie est un désert sentimental et professionnel.
31:17 J'ai l'impression que les années défilent et se ressemblent. Je suis bloquée.
31:22 Je ne sais pas du tout quelle direction prendre. Aujourd'hui, j'ai mon activité qui ne décolle pas du tout.
31:30 Je ne sais pas si un jour, parce que je fais deux métiers, un qui est alimentaire et qui ne me plaît absolument pas,
31:35 mon activité qui me déprime parce qu'elle ne décolle pas, je ne sais pas si un jour je vais découvrir quand même
31:42 une relation apaisante et surtout quelqu'un qui est aimant et sur qui je peux faire confiance.
31:51 Je suis un petit peu perdue.
31:53 Quel est le travail que vous faites ? Celui que vous aimez, celui que vous n'aimez pas ?
31:59 Je suis auxiliaire PR dans un grand établissement qui ne me plaît absolument pas du tout.
32:06 Je suis allée faire un diplôme de la nutrition et j'ai ouvert mon cabinet.
32:13 Alors, Alexandre, sur ces deux plans, on vous écoute.
32:18 J'ai bien écouté attentivement votre témoignage Marie et touchant.
32:23 Je comprends et malheureusement beaucoup de personnes se retrouvent dans votre cas.
32:28 Ce sont des douleurs qui demandent avec du temps à pouvoir sortir de tout ça et guérir.
32:35 Mais ça laisse forcément certaines blessures et je vous sens avec cette volonté de vouloir vous en sortir.
32:44 Je vous sens avec cette envie d'y croire encore et c'est ce qu'il y a de plus important.
32:50 C'est ce qu'il y a de plus important, mais parfois, au niveau du calendrier, au niveau des échéances,
32:56 au niveau du temps, ça ne correspond pas forcément à ce qu'on souhaite.
33:00 C'est ce qui vous fait perdre, peut-être aujourd'hui, courage et aussi c'est ce qui crée cette impatience.
33:07 Mais ce que je veux vous dire, et en ce qui vous concerne pour vous, Marie,
33:12 pour moi, je vous sens malgré tout rencontrer quelqu'un.
33:16 Alors, ce n'est pas évident parce que vous avez des valeurs,
33:19 parce qu'aujourd'hui, peut-être que les hommes que vous pouvez rencontrer
33:24 se rencontrent peut-être autrement et différemment avec des moyens qui ne sont peut-être pas ceux d'avant.
33:31 Je ne parle pas forcément des anciennes générations, mais avec d'autres principes,
33:37 avec d'autres valeurs, avec aussi, je dirais, une approche que vous aimiez auparavant
33:46 et que vous ne retrouvez plus aujourd'hui.
33:49 Et donc, c'est ce qui fait que vous avez du mal à rencontrer la personne.
33:54 Mais pour moi, vous verrez qu'il existe aussi encore des personnes qui pensent comme vous
33:59 et qui ont un désir d'aller dans ce même schéma de rencontre.
34:03 Ça vous fait réagir ?
34:05 Marie ?
34:07 Oui, parce que je me dis peut-être que ça existe encore, j'ai du mal à le croire.
34:12 Mais oui, il le faut.
34:14 Bien sûr, et ça existe encore.
34:16 Bien sûr que ça devient de plus en plus rare, mais il faut s'adapter avec les temps modernes.
34:21 Il faut malheureusement s'adapter aux changements.
34:23 Mais en tous les cas, vous êtes amené à rencontrer quelqu'un
34:29 qui sera dans le même mode de pensée que vous et dans cette même recherche.
34:34 Donc là, il y a quelque chose de bon et de positif.
34:36 Alors, ce n'est pas tout de suite et malheureusement, je sais que vous aimeriez que je vous annonce ça
34:42 tout à l'heure dans une heure, mais je ne le vois pas là.
34:46 Ça va demander encore quelques mois, peut-être jusqu'à deux ans avant d'arriver à cette belle rencontre.
34:52 Et vous verrez que ce sera improbable comme rencontre,
34:56 dans le sens où ce sera une rencontre qui se fera sur un lieu extérieur,
35:00 à un moment donné où vous n'y attendez pas et peut-être que vous serez accompagné de certaines personnes.
35:06 Mais c'est une personne inconnue et qui vient d'un autre environnement
35:11 et c'est à partir de là où il y aura cette possibilité de connexion entre vous.
35:16 Et puis, professionnellement, vous êtes épuisé du métier de base que vous faites.
35:23 Vous êtes un peu épuisé, effectivement.
35:25 Vous allez vers une reconversion. Je ne sais pas si vous avez dit à l'antenne la reconversion.
35:29 Oui, j'ai fait la reconversion, j'ai obtenu mon diplôme.
35:33 Nutritionniste.
35:35 Ça va se mettre en place, mais je vois quand même des hauts et des bas.
35:39 Je ne vais pas dire que c'est aléatoire.
35:41 Un peu.
35:42 Un peu quand même.
35:44 Donc, il faut persévérer.
35:46 Je ne sais pas si à côté de ça, vous n'avez peut-être pas besoin de continuer votre ancien métier
35:50 ou de l'orienter autrement et différemment,
35:53 ou de le gérer aussi peut-être avec une autre gestion du temps
35:57 pour que ça ne vous épuise pas trop et que ça vous permette de vous consacrer à ce nouveau métier.
36:02 Mais persévérez, persévérez et continuez à y croire
36:05 parce que ce qu'il y a de plus important dans la vie, c'est d'y croire.
36:08 C'est sûr.
36:09 Merci beaucoup Marie, vraiment pour votre témoignage.
36:12 Je vous remercie.
36:13 Donnez-nous de vos nouvelles.
36:14 Oui, sûrement.
36:15 A bientôt Marie.
36:16 Bonne journée, au revoir.
36:18 Allez, venez nous rejoindre sur Sud Radio. 0800 26 300 300.
36:22 Sud Radio, c'est votre avenir. Trina Magdine, Alexandre Deloval.
36:26 Et de retour pour la dernière partie de C'est votre avenir.
36:29 Une dernière partie avec Vanessa. Bonjour Vanessa.
36:32 Oui, bonjour Trina. Bonjour Alexandre.
36:36 Bonjour. Alors Vanessa, vous nous appelez concernant votre fille.
36:39 Oui, qui est très inquiète parce qu'on actuellement,
36:43 elle a la recherche d'un stage et on n'a pas encore de bonne réponse.
36:48 Donc on aimerait savoir vers où il faut qu'on se tourne pour trouver quelqu'un qui l'accepte en stage.
36:53 Et surtout, elle a fait une demande pour changer d'école,
36:57 en troisième préparation des métiers dans un autre collège
37:01 parce qu'elle est en grande difficulté scolaire.
37:03 Et du coup, ça serait beaucoup plus adapté pour elle au niveau scolaire.
37:07 Et en plus, on a fait une demande d'AVS et on ne sait pas si ce dossier va aboutir vers du positif ou non.
37:16 Quand vous dites qu'elle est en grande difficulté scolaire, qu'est-ce qu'elle a exactement ?
37:20 Alors elle est dyslexique, dysorthographique et dyscalculique.
37:24 D'accord. On a eu beaucoup de témoignages comme ça.
37:27 Alors c'est quel stage qu'elle doit faire exactement ?
37:31 Alors c'est un stage découverte d'une semaine.
37:34 On a fait beaucoup de demandes chez des vétérinaires qui n'ont pas abouti,
37:38 vers des éducateurs canins, mais ça n'a pas abouti non plus.
37:43 Là, il nous reste éventuellement pour le moment l'option de son centre équestre
37:50 ou alors éventuellement le travail de ma sœur.
37:54 Mais bon, du coup...
37:56 Mais forcément autour des animaux ?
37:58 Voilà, tout à fait.
38:00 D'accord. Et c'est pour quand ?
38:02 En fait, normalement elle aurait déjà dû rendre les conventions.
38:06 Donc voilà. Donc c'est assez urgent à trouver une solution.
38:10 Mais sinon le stage aurait lieu du 3 juillet au 7 juillet.
38:14 Très bien. Alexandre, est-ce que ça va se faire ce stage ?
38:18 Et est-ce que ça va bien se passer ?
38:20 Oui, ça va bien se passer.
38:22 Mais la fragilité c'est par rapport au secteur d'activité.
38:26 C'est-à-dire que pour moi, j'ai l'impression que malheureusement,
38:29 ça va être difficile de trouver un stage qui corresponde au secteur d'activité
38:33 dans lequel elle recherche.
38:35 Et on dirait qu'elle ira vers un secteur d'activité un peu dérivé.
38:39 Alors, je sens qu'il y a quelque chose qui peut être proche,
38:43 et je ne dis pas que c'est exactement ça,
38:45 mais de tout ce qui est médico-social ou autre,
38:47 il y a quelque chose de possible pour elle à ce niveau-là,
38:50 ou à travers une association qui peut-être,
38:53 cette association gère la notion,
38:56 enfin, ou à une gestion des animaux,
38:59 ou de prévention par rapport au monde animal,
39:02 mais ça n'est pas forcément,
39:05 ou ça n'est pas lié directement à ce qu'elle recherche.
39:10 C'est intéressant ce que vous dites, les associations.
39:12 Vous avez essayé de ce côté-là ?
39:14 Alors, ça pourrait représenter ce que fait ma soeur,
39:17 parce qu'elle est dans le domaine,
39:19 c'est une ferme pédagogique en fait,
39:22 et elle accueille des enfants en difficulté.
39:25 C'est un lieu de vie.
39:27 Ça, on ne le savait pas, mais ça correspond totalement à ce que vous ressentez, Alexandre.
39:30 Est-ce qu'elle est une touche dans cet endroit-là, ou dans ce lieu-là ?
39:33 J'ai demandé à ma soeur si c'était possible,
39:36 mais là, on attend éventuellement,
39:38 sinon dans son club équestre,
39:40 son club, un, deux, trois,
39:42 son club équestre à la Ouest-P, de l'équitation.
39:45 D'accord, alors moi je pense que, effectivement,
39:47 dans cette ferme pédagogique, il y a peut-être,
39:49 je ne dis pas que c'est à tout prix cette ferme-là,
39:51 parce qu'effectivement, on ressort le côté,
39:54 on dirait, de l'humain,
39:56 de l'aide, du soin à l'humain,
39:59 et puis aussi, peut-être un environnement
40:02 concernant le monde animal,
40:04 où il y a cet aspect-là,
40:06 il y a ces deux aspects qui peuvent s'associer,
40:08 mais qui ne sont pas liés directement
40:10 à ce qu'elle veut faire.
40:12 Mais, malgré tout, ça lui permet
40:14 de pouvoir faire ce stage,
40:16 et puis malgré ses fragilités,
40:18 je ne parle pas d'handicap,
40:20 mais ses fragilités-là,
40:22 elle va y arriver, elle est dans une réussite,
40:24 parce qu'elle est volontaire, votre fille.
40:26 Alors, là où je voulais savoir si ça allait réussir,
40:28 c'est sa demande de dossier
40:30 dans un autre collège,
40:34 pour l'année prochaine, en troisième, en fait.
40:36 Oui, oui, moi je sens que c'est bon.
40:38 Je ne sens pas d'obstacle.
40:40 Tenez-nous au courant, Vanessa.
40:42 Merci d'avoir été avec nous sur Sud Radio.
40:44 Merci, Alexandre. Rendez-vous demain,
40:46 on s'intéressera à l'hydromancy,
40:48 et à la polluation, et à la polluation par l'eau.
40:50 Bonsoir, mon cher Philippe David.
40:52 Vous aviez deviné.
40:54 Inutile de dire que vous allez vous mouiller.
40:56 Ah bah oui, voilà.
40:58 C'est vrai que l'eau, ça mouille.
41:00 Et le feu, ça brûle.
41:02 Le charlier lulu.
41:04 On voit ce qu'ont les cultures musicales.
41:06 Entre Louis de Funès et...
41:08 Je préfère Louis de Funès et Charlie Lulu.
41:10 C'est différent.
41:12 Le menu des vrais voix,
41:14 17h30, notre grand débat.
41:16 On a un commentaire à vendre de la nourriture
41:18 pour toutes les confessions.
41:20 Pourquoi ? Parce que ça a fait le buzz ce week-end,
41:22 aux mureaux, Auchan va fermer.
41:24 Il y aura juste H-Market, qui fait du 100% halal,
41:26 et qui ne vend même pas d'alcool.
41:28 Alors, je sais pas, vous habitez les mureaux,
41:30 vous avez des amis qui débarquent à l'improviste,
41:32 vous ne pouvez même pas aller acheter une bouteille de champagne.
41:34 Ça pose quand même question.
41:36 Dans tous les supermarchés, on va dire, standards,
41:38 il y a un rayon kachère, il y a un rayon halal,
41:40 il y a un rayon standard.
41:42 Est-ce qu'il ne faudrait pas obliger pour que tous les gens du quartier,
41:44 tous ensemble, puissent aller s'approvisionner ?
41:46 Vous êtes victime de ceci ?
41:48 Vous l'avez vu dans votre quartier ?
41:50 Vous nous appelez pour témoigner
41:52 au 0826 300 300.
41:54 À 18h30,
41:56 réunion à Montpellier hier.
41:58 Tribune, dans le journal du dimanche,
42:00 ce week-end,
42:02 y a-t-il un espace à gauche en dehors de la nuppes ?
42:04 Oui, les partisans de Bernard Cazeneuve,
42:06 ceux de Carole Delga,
42:08 commencent à, on va dire,
42:10 montrer le bout de leur nez de plus en plus.
42:12 Et aujourd'hui, la gauche s'est totalement agglomérée
42:14 dans la nupes, mais est-ce qu'il y a
42:16 une place, un créneau politique
42:18 à côté de la nupes ?
42:20 Vous pensez que oui, vous pensez que non.
42:22 Le même numéro de téléphone, le 0826 300 300.
42:26 Le numéro de téléphone le plus important de France et de Navarre,
42:28 de midi à minuit,
42:30 et de minuit à midi.
42:32 Avec Cécile Domenibus ce soir, on va avoir trois vrais voix
42:34 qui vont vraiment mettre le débat
42:36 et les pieds dans le plat.
42:38 Philippe Bilger, Jean Dorido, Miquel Salouna.

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