• l’année dernière

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Transcription
00:00 La France bouge, la pépite du jour.
00:04 *Musique*
00:14 - Ah ça donne envie de danser, là directement Rémi Duprat, notre réalisateur, Beyoncé, "Crazy in love".
00:20 - C'est parfait. - Mais oui, parce que vous l'avez dit tout à l'heure, c'est pour réveiller la Beyoncé qui est en chacune,
00:25 j'ai dit chacune d'entre nous parce que c'est dédié aux femmes pour l'instant, Dancefloor.
00:28 - Pas dédié aux femmes, il se trouve qu'on a énormément de femmes parmi nos membres,
00:34 mais on a de plus en plus d'hommes et on est super ravis de les accueillir à chaque fois,
00:38 qui s'essayent dans pas mal de... - Et qui eux-mêmes font quoi ?
00:40 - Pardon ? - Ils font quoi ? Ils dansent comme Beyoncé ?
00:42 - Ah bah vous seriez surprise, on a beaucoup d'hommes qui font la danse classique parce qu'ils en ont toujours rêvé,
00:46 qu'ils n'ont jamais osé le faire et qu'ils le font chez nous.
00:48 J'ai des hommes qui rêvent de monter sur talons, donc ils dansent comme Beyoncé en talons,
00:51 mais j'ai aussi des hommes qui vont faire des pratiques où on les attend plus, comme le hip-hop, l'afro, le dancehall,
00:56 toutes les danses urbaines. C'est des danses qui sont vachement prisées par les hommes.
00:59 Et j'ai aussi du Broadway Jazz, ça dépend en fait de leurs appétences musicales,
01:03 comme chacun d'entre nous, on a des goûts différents.
01:06 - Alors votre projet est né en 2020, Fanny vous avez 34 ans, à la base vous êtes avocate en droit des affaires.
01:11 - Exactement. - Vous occupiez des contentieux des entreprises en difficulté,
01:15 j'ai pas envie de dire parce que je trouve qu'il y a un tel contraste.
01:18 Mais vous avez toujours dansé, même quand vous étiez en train de vous occuper de ces entreprises en difficulté.
01:24 - Oui, j'ai toujours dansé, c'est vraiment...
01:27 Beaucoup de jeunes filles commencent par la danse, et moi j'ai continué,
01:32 même quand j'étais avocate j'ai continué de danser,
01:34 mais c'est vrai que plus ma vie professionnelle s'est intensifiée,
01:37 et puis ma vie personnelle aussi, puisque je suis maman, j'ai eu deux bébés,
01:41 et bien j'avais de moins en moins de... je n'arrivais pas à trouver un lieu
01:44 où je pouvais le faire dans un cadre bienveillant, agréable, où je ne me sentais pas jugée, regardée.
01:49 - C'est important ce que vous dites, Fanny, jugée, regardée.
01:52 C'est vrai que parfois quand on va dans des cours de danse,
01:55 on est entouré de femmes qui en pratiquent très régulièrement,
02:00 et on a l'impression qu'elles n'ont jamais eu d'enfants, ou alors les kilos sont vite partis.
02:05 - On n'est pas toutes égales, c'est sûr.
02:07 - Donc vous, vous avez créé un concept.
02:10 - C'est vraiment la nouveauté avec Dancefloor,
02:13 et tous nos profs sont vraiment recrutés pour leur bienveillance, leur pédagogie.
02:17 On fait extrêmement attention à ça.
02:18 Quand on danse, on est face à un miroir, on est face à soi-même,
02:21 et on est aussi avec les autres.
02:22 On regarde les autres souvent pour s'aider, pour retenir les pas, etc.
02:25 Et donc c'est difficile de ne pas se comparer.
02:27 Donc le professeur, il a vraiment un rôle de mettre une ambiance agréable,
02:31 et de faire que ce soit un moment de plaisir.
02:33 - Un moment de plaisir d'abord, avant que ce soit un moment de performance.
02:36 Justement, vous, avec votre associé, vous avez quitté vos jobs respectifs.
02:42 On est juste un peu avant 2020, avant le confinement.
02:45 - Excellent timing.
02:46 - Et là, comme quoi, ça a aidé des gens.
02:48 Heureusement, ça n'a pas été qu'un drame pour tout le monde.
02:52 Vous vous lancez dans une école en ligne, ça prend.
02:55 Et le reste, vous allez nous le raconter.
02:57 Dancefloor, c'est quoi ?
02:58 Vous aussi, vous avez une minute.
03:00 On vous écoute.
03:01 - Dancefloor Paris vous propose de trouver votre Beyoncé intérieure.
03:05 Quelle que soit votre expérience de la danse.
03:07 Le projet est né de notre frustration personnelle.
03:09 On adorait la danse, mais on peinait à trouver un endroit
03:11 où l'on puisse la pratiquer dans une atmosphère bienveillante,
03:14 où la compétition et le regard des autres n'auraient pas leur place,
03:17 et où l'on puisse profiter d'une parenthèse dans nos vies citadines.
03:19 On a donc créé Dancefloor Paris.
03:21 On propose des cours de danse 100% feel good,
03:23 où l'on apprend les chorégraphies de Britney Spears,
03:25 de Beyoncé, bien entendu,
03:27 ou encore des films cultes qu'on adore, comme Grease ou Dirty Dancing.
03:30 On peut se mettre à la danse classique, au hip-hop ou à l'afro,
03:33 quel que soit son niveau de grand débutant à intermédiaire.
03:36 Nos professeurs de génie ont dansé sur scène avec Dua Lipa, Madonna ou à l'Opéra de Paris,
03:40 et ont tous en commun leur bienveillance et leur pédagogie.
03:42 Les cours sont proposés à Paris, dans notre studio du 11ème,
03:45 et bientôt dans d'autres localisations, on l'espère.
03:48 Notre studio a été conçu comme un cocon pour nos membres,
03:50 avec des beaux vestiaires, un sauna, un café ou débriefer du cours entre amis.
03:53 Et vous pouvez aussi suivre les cours en ligne, depuis chez vous,
03:56 partout dans le monde, en live ou en replay.
03:58 Une minute, elle est brillante un jour.
04:03 Dua Lipa, c'est parti !
04:05 Et voilà, on sent que Fanny, vous avez envie de danser, elle est assise là,
04:13 on est en plein cœur de Roland Garros, dans le studio Europe 1,
04:16 et ça bouge, et c'est vrai que ça donne envie de bouger.
04:20 Merci pour votre pitch, Fanny.
04:22 Dance floor, c'est une école de danse, on peut l'appeler comme ça ?
04:26 C'est une vraie école, parce qu'on a les adultes.
04:29 C'est des cours open, ça veut dire qu'on peut venir quand on veut,
04:32 il faut s'adapter à l'emploi du temps de chacun,
04:34 tout le monde est très occupé à son travail, etc.
04:36 Mais on incite vraiment nos membres à venir régulièrement,
04:39 à prendre le pas, parce que la danse, ça se fait vraiment dans la régularité.
04:42 Et on a aussi une école de danse pour les enfants.
04:44 Et pas plus tard qu'hier, on a fait notre tout premier gala des kids,
04:48 le gala de fin d'année, au Café de la danse.
04:51 Il y a eu beaucoup, beaucoup de musique.
04:53 Ma propre fille a dansé au gala, elle a 4 ans et demi,
04:55 donc c'était un énorme accomplissement pour nous tous.
04:57 On avait 120 enfants, 300 parents, etc.
05:01 Et quand on a fait de la danse quand on est petit,
05:04 on sait que c'est un grand moment, l'expérience de la scène,
05:06 c'est un moment collectif, c'est un moment pour soi.
05:09 Et voilà, donc c'est une vraie école,
05:11 vous allez apprendre des choses et vous allez progresser.
05:14 Mais par exemple, les enfants ont dansé sur quoi hier ?
05:17 Ils ont dansé sur Dua Lipa, qu'on a entendu,
05:20 ils ont dansé sur Beyoncé,
05:22 les danseuses classiques ont dansé sur le canon de Pachelbel,
05:27 mais elles ont aussi dansé sur Beyoncé,
05:28 parce qu'on peut faire de la danse classique sur tout.
05:30 Il y avait tous les styles musicaux, il y avait de l'afro, voilà.
05:34 - Donc vous décloisonnez un peu cet univers de la danse,
05:39 vous nous autorisez à, finalement, être en tutu,
05:41 danser sur Beyoncé et l'inverse, non ?
05:43 - On essaie d'enlever ce côté intimidant de la danse
05:47 et de s'autoriser exactement à avoir des rêves de danse.
05:50 Et si vous avez un rêve de danse, vous nous appelez, on le réalise.
05:53 On réalise aussi des enterrements de vie de jeunes filles,
05:55 des anniversaires, et elles nous disent
05:57 "moi en fait, j'ai rêve de danser comme Britney Spears".
05:59 Bah go, on y va !
06:00 - Et vous avez combien de cours par semaine aujourd'hui ?
06:03 - Aujourd'hui, on a 90 cours par semaine,
06:05 et l'année prochaine, on en aura 100.
06:07 On augmente, on en rajoute chaque année.
06:09 Donc on a un beau studio dans Paris 11e arrondissement,
06:12 avec trois salles qui peuvent accueillir...
06:14 - Ça va peut-être s'agrandir, c'est l'objectif j'imagine ?
06:16 - C'est complètement l'objectif, on est en plein développement.
06:19 - Et bien, puisque vous êtes en plein développement,
06:21 on va demander à Nathalie Carrien,
06:22 chargée d'entrepreneuriat à la Chambre de Commerce et d'Industrie,
06:24 ce qu'elle en pense. Bonjour Nathalie !
06:26 - Bonjour Elisabeth, bonjour tout le monde.
06:28 - Alors, c'est votre métier, d'accompagner les entreprises
06:30 qui sont en train de se développer.
06:32 Fanny recherche d'autres lieux dans Paris
06:34 pour développer son concept de salle de danse.
06:36 C'est cher, on le sait.
06:38 C'est ce que nous disait Julien Falgou,
06:40 lui il est sorti de Paris.
06:42 Même chose pour José Manuel Escoigne,
06:44 pour la Casa Padel.
06:46 Que pouvez-vous lui conseiller, Nathalie ?
06:48 - Vous savez, comme souvent, avant d'avoir des idées,
06:50 j'ai des questions. Et donc, pourquoi Paris ?
06:52 Quand on regarde les photos de votre site internet,
06:54 ça fait très école de danse, vous venez d'en parler.
06:56 On peut le voir, ça me rappelle les anciennes séries américaines,
06:59 avec cette bande de copains, copines,
07:01 qui se retrouvent régulièrement en déjeuner ensemble,
07:03 se font un sauna ensemble. Du coup, on se dit
07:05 que ça s'adresse aux personnes conductant,
07:07 et pas juste les 45 minutes ou une heure de cours.
07:09 Donc, ils seront d'accord pour se déplacer,
07:11 pour aller dans cette salle, pour retrouver leur communauté,
07:13 pour créer des liens avec les autres.
07:15 Vous avez aussi un système d'achat de crédit très utile.
07:17 On peut acheter les cours à la carte, comme on veut,
07:19 pas besoin d'adhérer pour un an à un cours
07:21 avec un horaire particulier.
07:23 Et en plus, on a les cours en distance et en replay,
07:25 donc vous vous adressez aussi aux femmes et aux hommes
07:27 qui ont peu de temps et qui ne souhaitent pas
07:29 perdre de temps dans les transports en commun.
07:31 Alors, votre slogan, c'est "Trouve ta Beyoncé intérieure",
07:33 et vous proposez donc aussi des cours de danse classique.
07:36 Et depuis là, donc, finalement, vous vous adressez
07:38 à toutes les personnes qui souhaitent prendre soin
07:40 de leur corps et de leur tête par la danse,
07:42 qu'elles aient du temps ou pas vraiment,
07:44 et où qu'elles habitent.
07:46 Du coup, rien ne vous empêche d'avoir une salle ailleurs
07:49 que dans Paris pour baisser les coûts,
07:51 mais accessible en transport en commun.
07:53 Alors, il y a Montreuil, Mairie des Lézards, etc.
07:55 Votre communauté de fans se déplacera,
07:57 attirée par votre conseil, de votre concept, pardon,
07:59 et vous continuerez, avec le à distance et les replay,
08:01 à attirer les autres.
08:03 Vous pouvez évidemment dupliquer ça en grande banlieue,
08:05 en région, peut-être les lieux sont plus faciles à trouver.
08:07 En revanche, juste une info, peut-être revoir
08:09 le site Internet qui n'exprime pas toutes ces possibilités
08:11 que vous offrez, puisque garder le Beyoncé intérieur,
08:15 mais vous pouvez tout simplement ajouter,
08:17 avec nous, vous pouvez danser en groupe
08:19 ou dans notre salle à distance, mais aussi en replay,
08:21 c'est vous qui choisissez, enfin un truc dans le style.
08:23 Mais au-delà de ça, la question est,
08:25 plusieurs salles ou une salle emblématique,
08:27 occupée 24/24 ou presque,
08:29 avec des satellites en France et dans le monde,
08:31 parce qu'il y a des Français et des Françaises
08:33 dans le monde entier qui ont envie de danser
08:35 avec vos professionnels.
08:36 Alors, vous pourriez être une solution
08:38 pour toutes les salles de danse de France,
08:40 de Navarre et d'ailleurs, qui pourraient utiliser
08:42 vos replay ou vos cours en ligne pour animer
08:44 vos profs, mais qui, en tout cas,
08:46 dans la plupart, n'ont pas la possibilité
08:48 d'attirer les profs que vous avez.
08:50 Les profs locaux pourraient attirer une nouvelle clientèle
08:52 avec des masterclass le week-end, par exemple,
08:54 avec vous, ou des cours en semaine, peu importe.
08:56 On aurait le meilleur de la proximité
08:58 avec la qualité de vos cours, et ainsi,
09:00 des communautés Beyoncé se créeraient
09:02 partout dans ces petites salles, et petit à petit,
09:04 ce serait peut-être le début d'un réseau
09:06 de salles dancefloor de par le monde.
09:08 Tout ça, ça demande du temps,
09:10 on verra le sujet des ressources humaines ensuite.
09:12 - Quelle carrière portez-vous sur dancefloor ?
09:14 - Moi, ça parle beaucoup, j'ai une petite rose
09:16 qui a 6 ans et demi, et elle rêve de faire
09:18 comme Clara Luciani, donc je suis en plein dedans.
09:20 - Je l'attends.
09:22 - Je vais bien m'occuper d'elle.
09:24 - Vous ne pourriez pas faire la danse,
09:26 par exemple, au sein des Urban Soccer ?
09:28 Vu les mètres carrés que vous avez...
09:30 - Non, mais après, nous,
09:32 on a développé beaucoup d'immobilier aussi,
09:34 on a une marque qui s'appelle Urban Village,
09:36 où on fait des complexes de sport et de loisirs,
09:38 on installe dedans un Urban Soccer, un Urban Paddle,
09:40 mais je pense qu'il faut commencer par Paris,
09:42 la région parisienne, et puis après se développer,
09:44 parce que se développer, c'est beaucoup de temps,
09:46 c'est très chronophable.
09:48 - Donc déjà, éprouver le concept à Paris.
09:50 Nathalie, tout cela prend du temps,
09:52 Fanny a besoin de recruter,
09:54 comment ne pas se tromper ?
09:56 Parce qu'on l'a compris,
09:58 sa différence, c'est aussi par le choix des professeurs.
10:00 - Eh bien oui,
10:02 et donc la question, finalement,
10:04 ce n'est pas est-ce que c'est vraiment une ou plusieurs
10:06 salles en propre, est-ce que c'est des salles en propre
10:08 en franchise, ou un réseau de salles utilisatrices
10:10 de votre concept, ni même est-ce que
10:12 chaque salle est une entreprise ou simplement un établissement,
10:14 il y a des dizaines de modèles possibles
10:16 pour vous développer, la question en fait, c'est vous.
10:18 Vous et votre associé. Vous voulez
10:20 faire quoi pendant les 30 prochaines années ?
10:22 Où prenez-vous du plaisir ? A danser ?
10:24 A chercher les meilleurs profs ? A accueillir
10:26 les élèves ? Faire en sorte que tout le monde se sente bien ?
10:28 Projetez-vous avec plusieurs salles en propre
10:30 et des responsables de salles ?
10:32 Est-ce que vous prendrez du plaisir à sillonner les routes
10:34 pour contrôler le respect de votre cahier des charges, au moins
10:36 pendant le temps que vous puissiez embaucher un responsable qualité ?
10:38 Est-ce que vous prendrez du plaisir à gérer les agendas
10:40 des salles pour répartir vos profs entre chacune
10:42 d'elles ? A gérer non plus 40 profs
10:44 mais 100 ou plus en fonction du développement
10:46 des salles ? Bref, le sujet est moins
10:48 comment recruter sans se tromper, parce que pour ça, il y a
10:50 des professionnels parfaitement compétents qui peuvent vous aider,
10:52 mais plutôt à la tête de quel type
10:54 d'entreprise vous voulez être vous et votre
10:56 associé dans 5 ou 10 ans, et avec
10:58 quel rôle pour vous et votre associé.
11:00 Et en fonction de ça, pour quel modèle d'entreprise
11:02 vous allez opter, et donc en fonction de ça,
11:04 qu'allez-vous déléguer, et donc de quelles compétences
11:06 vous avez besoin. Il est donc temps de vous mettre
11:08 au vert avec votre associé pour vous projeter dans
11:10 5, 10, 15 ans, et de vous poser
11:12 vos rêves sur papier. On espère que vos
11:14 rêves, à toutes les deux, à long terme, se rejoigneront
11:16 sinon, à chaque problème, il y a une solution.
11:18 Et une fois que vos rêves se rejoignent et sont
11:20 clairs, vous aurez votre but. Alors, il sera
11:22 très facile de poser des objectifs, à long,
11:24 moyen, court terme, et de dessiner
11:26 le meilleur chemin pour vous, et les
11:28 meilleures personnes avec lesquelles travailler,
11:30 pour que votre rêve à vous devienne réalité.
11:32 En tout cas, moi, je vous remercie, parce que
11:34 ça fait très longtemps que je voulais reprendre la danse classique,
11:36 et enfin, grâce à vos cours à distance
11:38 et vos replays, vous allez transformer
11:40 mon rêve en réalité. - Bon, alors déjà,
11:42 Nathalie Carré est comblée,
11:44 on va combler la petite rose,
11:46 la fille de Julien Falgout. - Je suis ravie, Nathalie.
11:48 Je pensais, Nathalie, que vous seriez sur le plateau, je vous avais
11:50 ramené une petite paire de chaussettes "Dancing Queen"
11:52 du studio. - Ah, on va lui transmettre. - Mais oui, parce que
11:54 pour que les auditeurs comprennent, Nathalie,
11:56 elle est salariée de la Chambre de Commerce et
11:58 d'Industrie, donc elle est
12:00 en liaison technique,
12:02 parce qu'elle ne peut pas être toujours parmi nous,
12:04 puisqu'elle a un métier aussi par ailleurs.
12:06 Mais on va lui transmettre, évidemment,
12:08 Fanny, les petites chaussettes
12:10 de "Dancing Queen".
12:12 Ce que j'ai aimé aussi, c'est que
12:14 vous vous adaptez à la vie des gens qui travaillent,
12:16 donc même au niveau des horaires. - C'est ça.
12:18 - On propose des... Est-ce que je peux juste rebondir
12:20 sur ce que tu disais, Nathalie ? - Évidemment, évidemment.
12:22 Effectivement, ce qu'elle dit est très, très juste.
12:24 Si on se développe
12:26 et on se développera, notre vie va changer,
12:28 on n'aura plus le même métier.
12:30 On en prend aujourd'hui la mesure avec mon associé,
12:32 on profite de chaque instant,
12:34 on prend énormément de cours dans nos studios,
12:36 on organise nous-mêmes le gala des enfants,
12:38 etc. Et puis tout ça n'a qu'un temps,
12:40 et on passera à une autre phase de l'entreprise
12:42 quand on aura plus de centres
12:44 et qu'on prendra de la hauteur, et on aura aussi hâte
12:46 de cette période, et on prendra le temps de le faire
12:48 en se posant les bonnes questions, donc
12:50 j'aspirais énormément à ça,
12:52 et donc je le remercie pour sa remarque.
12:54 - C'est rempli d'énergie, ce que vous nous dites, Fanny Seroka.
12:56 au cas où vous êtes la cofondatrice de Dancefloor.

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