TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka !
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00:00 Non, moi je vois ça, j'essaie d'expliquer ça un peu comme le jeu de go.
00:05 Vous connaissez le jeu de go ?
00:06 Qui ça ?
00:07 Dans le jeu de go, à l'inverse des échecs, vous avez des gens qui avancent leur pion
00:14 et vous essayez d'entourer le pion ou le groupe de pion pour les éliminer.
00:19 Donc moi je suis très intéressé par cette histoire du doxychloroquine depuis le début.
00:25 Le vrai problème, la vraie poursuite qu'il devrait faire c'est contre le Lancet et contre
00:31 cet essai complètement délirant qui n'a pas eu lieu, qui est une pure escroquerie.
00:36 Soit disant sur 80 000 personnes dont 10% seraient morts, avec un traitement qui a été
00:41 prescrit plusieurs milliards de fois, c'est délirant.
00:43 Et à partir de ça, l'OMS et M. Véran prennent une réaction instantanée sur lequel il ne
00:49 pourra pas revenir.
00:50 Et donc ça c'est la première chose.
00:52 On dit d'abord c'est un truc qui tue.
00:55 Après on dit ça ne marche pas.
00:57 Très bien, mais il y a eu, j'ai eu l'occasion de vous le dire, il y a eu maintenant 393
01:01 études dans le monde sur le doxychloroquine qui trouvent globalement, à condition qu'on
01:06 ne trie pas celle que l'on veut, qui trouvent globalement les mêmes résultats que nous,
01:12 c'est-à-dire 70% d'amélioration du pronostic, c'est-à-dire de mort en moins si on traite
01:22 précocement, et 42% si on traite chez les patients hospitalisés.
01:25 C'est des données qui sont très importantes et puis vous pouvez toujours faire ce que
01:29 vous voulez, les données restent là.
01:31 Pourquoi ils ont fait cette tribune alors là ?
01:35 Parce que le dernier point, une fois qu'on a dit ça, vous avez bien vu, les gens, on
01:40 me dit tout ça, ça me passe à la trappe, le ministre, on me dit on ne va plus parler
01:43 de ça.
01:44 Moi j'ai fini mon travail sur le COVID, sur le traitement du COVID.
01:49 Pendant deux ans, je m'y suis consacré et on a traité 30 000 personnes.
01:53 On n'a pas fait d'essais thérapeutiques.
01:54 Il y en a qui ont été traités avec du hydroxychloroquine, d'autres avec du hydroxychloroquine, d'autres
01:59 qui ont eu que de l'azithromycine, d'autres qui ont eu de l'ivermectine.
02:02 Donc toute cette expérience qui est unique au monde, il est pour moi nécessaire de la
02:09 donner à analyser au monde entier.
02:12 Donc l'essentiel de ce travail, d'ailleurs je suis frappé que personne n'en ait parlé,
02:16 c'est que nous avons construit une banque de données et que cette banque de données,
02:20 elle est dans une banque de données américaine, une banque de données chinoise, où il y a
02:24 toutes les données certifiées par des juiciers pour pas qu'on nous accuse une fois encore
02:29 de mentir.
02:30 Et cette fois-là, tout le monde peut l'utiliser.
02:32 C'est dans l'histoire de la médecine, c'est dans l'histoire des sciences.
02:35 C'est la plus grande expérience au monde dans un institut unique sur le traitement
02:42 et la prise en charge du COVID.
02:43 – Professeur, vous avez fait des traitements avec l'hydroxychloroquine à Marseille pendant
02:48 la pandémie, donc ça vous nous le redites, parce que c'est ça qu'on vous reproche aussi.
02:52 – Bien sûr.
02:53 – Vous en aviez le droit ?
02:54 – Ah mais bien sûr, je vais vous donner trois exemples que j'ai, bien sûr, comme
03:00 je suis un homme combatif, je suis un homme prudent.
03:03 Un, en décembre 2021, effectivement, je suis passé devant le conseil de l'ordre parce
03:11 que certaines personnes avaient considéré que je n'avais pas le droit à questionner
03:16 l'hydroxychloroquine et le conseil de l'ordre a conclu que j'avais parfaitement le droit,
03:20 que je n'avais pas mis la vie des gens en danger.
03:23 Et je peux vous dire, les résultats dans cette étude, des gens qui ont pris de l'hydroxychloroquine,
03:28 le taux de mortalité hospitalière des gens qui ont pris de l'hydroxychloroquine, c'est
03:32 de 7%.
03:33 C'est la plus basse série de mortalité au monde.
03:36 D'accord ? Donc bien entendu, j'avais le droit.
03:40 Deuxièmement, on a eu, on nous a envoyé, les deux ministres nous ont envoyé huit inspecteurs
03:47 pendant sept mois qui ont fouillé tout ce qu'ils ont trouvé et ils n'ont jamais reproché
03:52 le fait que nous n'ayons pas le droit de prescrire de l'hydroxychloroquine.
03:55 Et pourtant, ils ont fait un magnifique rapport de 100 pages.
03:58 Et ensuite, un de mes amis a demandé au professeur Salomon, qui était encore directeur général
04:03 de la Santé, avant qu'il parte à l'OMS, tu es d'accord que j'ai toujours le droit
04:07 de prescrire de l'hydroxychloroquine ? Et Salomon lui a dit, bien sûr, tu peux prescrire
04:11 si tu considères que c'est le meilleur traitement, c'est ton droit.
04:14 C'est le droit de tout médecin de prescrire en même temps.
04:17 C'est quoi le problème alors professeur ? Pourquoi ils ont fait cette tribune là ? Ils
04:20 dénoncent.
04:21 Parce que, à mon sens, ils sont follés.
04:23 Vous vous rendez compte du nombre de gens qui ont dit qu'il ne fallait pas faire ça.
04:26 Mais ils dénoncent l'inaction des autorités.
04:31 C'est-à-dire qu'ils ont fait une tribune pour que vous en preniez plein la gueule.
04:34 Non mais les autorités, elles n'ont pas arrêté d'agir.
04:37 Ils ne se sont pas cessés.
04:38 Mais ils n'ont pas le droit d'empêcher un médecin de prescrire un médicament qui
04:43 est un médicament ordinaire.
04:44 Ils n'ont pas le droit d'empêcher.
04:45 Alors à quoi elle sert cette tribune ? Alors écoutez, je ne sais pas, peut-être
04:50 ça calme un peu leurs nerfs.
04:52 Moi je serais malheureux et mal à l'aise si vraiment les gens disent, écoutez, nous
04:57 on pense qu'avec notre traitement ici à Marseille, on a empêché 800 personnes de
05:01 mourir à l'échelle de Marseille.
05:03 Si vous multipliez ça à l'échelle de la France, les gens qui ont pris la responsabilité
05:08 de poursuivre, de terrifier, moi je ne suis pas, on ne peut pas me faire peur.
05:11 Mais il y a une quantité de médecins qui ont été terrifiés.
05:14 Il y a des gens qui ont été suspendus par le Conseil de l'Ontario parce qu'ils n'avaient
05:18 pas les capacités à se défendre que j'ai, de me défendre.
05:21 Et donc on a régné par la terreur pour empêcher d'utiliser un des médicaments les plus anodins
05:27 du monde et les plus prescrits dans l'histoire de l'humanité.
05:30 Et si maintenant on revient dessus, ça les terrifie.
05:34 On voit bien qu'il ne vous est rien arrivé, qu'on ne vous est pas tombé dessus, vous
05:36 n'avez pas été pris de sanctions ou rien, non ?
05:38 Rien.
05:39 Donc qu'est-ce qu'ils ont ? Parce qu'ils veulent vous tuer professionnellement j'ai
05:41 l'impression.
05:42 Mais c'est fini.
05:43 Ils aiment pas, vous avez trop beaux cheveux.
05:44 Je les connais, ils sont jaloux.
05:45 Non mais c'est vrai.
05:46 Peut-être.
05:47 C'est possible.
05:48 En tout cas, professionnellement, je peux vous dire, je n'ai pas de problème.
05:52 Donc c'est ça l'important.
05:54 Je ne suis plus inscrit au Conseil de l'Ordre puisque je suis à la retraite et que je ne
05:58 vois plus de malade, donc je m'en fiche complètement.
06:00 Mais vous ne risquez rien, vous ne risquez aucune sanction, c'est bien de le dire ce
06:02 soir, c'est important.
06:03 Ah non mais je ne vois pas trop ce qu'on me ferait comme sanction, encore une fois.
06:07 Maintenant, le plus récemment, ils s'engueulaient entre la NSM et la DGS parce qu'ils pensaient
06:11 différemment, ce qui m'amuse beaucoup.
06:13 Dans le même ministère, ils s'engueulaient, c'est très amusant.
06:17 Oui.
06:18 Alors, j'ai l'impression qu'ils veulent s'en prendre à votre réputation, à votre
06:22 honneur, ils veulent vous blesser, non ?
06:23 Je ne sais pas.
06:24 Discréditer.
06:25 Vous savez, je ne cherche pas à savoir ce qu'ils veulent, je m'en fiche un peu.
06:32 Quand vous avez lu la tribune, vous n'étiez pas un peu énervé ?
06:35 Je ne l'ai pas lu.
06:36 Vous n'avez pas lu, vous voulez que je vous en lise un peu ?
06:38 Non.
06:39 Non, vous savez, ça n'a aucun intérêt.
06:47 Moi, je n'écoute pas les gens qui disent du mal de moi, je ne les lis pas et ils ne
06:52 m'intéressent pas.
06:53 Je fais pareil.
06:54 Je peux te dire que je n'ai pas grand-chose à me dire.
06:59 J'ai remarqué que vous étiez la cible aussi de pas mal de malfaisance.
07:04 On adore ça.
07:05 On vit très bien avec ça.
07:06 Non, mais c'est vrai, on vit très bien comme ça.
07:09 On partira en vacances ensemble, professeur.
07:11 On va être bien tous les deux.
07:13 Non, mais c'est vrai que c'est incroyable.
07:14 Je vous jure, on en rigole, mais moi, professeur, je suis content que vous le preniez comme
07:18 ça, mais moi, écrire une tribune, je suis désolé, les gars.
07:21 Une tribune pour dire que dénoncer l'inaction des autorités, je suis désolé, les mecs,
07:27 on est où, là ?
07:28 C'est quoi ?
07:29 Gilles Verdez, vous vouliez dire un truc ?
07:30 Surtout aujourd'hui, oui, moi, j'avais une question pour le professeur, parce que vous
07:32 faites une étude que vous appelez étude d'observation, observationnelle.
07:36 Vous dites, elle sert et elle servira pour l'histoire, effectivement, les États-Unis
07:40 et la Chine s'en inspirent et on a ces sociétés savantes qui publient la tribune.
07:44 Donc, professeur, il faut être clair, c'est de la jalousie, de la mesquinerie du milieu
07:48 médical à votre encontre.
07:50 Ils veulent vous détruire aujourd'hui.
07:52 Je ne vois pas, franchement, je crois que c'est de la peur.
07:56 Je vais vous dire, il n'y a qu'un essai illégal, à ma connaissance, c'est la vaccination.
08:01 C'est un essai vaccinal, c'est-à-dire un essai qualifié comme un essai vaccinal.
08:08 D'ailleurs, tous les gens qui ont été vaccinés, on leur a demandé leur consentement pour
08:13 pouvoir être vaccinés parce que le vaccin n'a pas été évalué entièrement.
08:20 On ne peut pas évaluer un vaccin en trois ou six mois.
08:23 Ce n'est pas possible, vous le voyez bien d'ailleurs.
08:24 Et donc, on demandait aux gens un consentement qui est un mensonge puisque énormément de
08:30 gens qui se faisaient vacciner se faisaient vacciner parce qu'ils étaient obligés de
08:35 se vacciner pour avoir une vie normale ou pour se déplacer, pour travailler à l'hôpital.
08:40 Donc ça, c'est un véritable essai thérapeutique illégal qui ne répond à aucune des normes
08:46 de la déclaration d'El-Zinki, par exemple, qui dit que les gens doivent pouvoir avoir
08:50 un consentement éclairé sans être pénalisés s'ils ne consentent pas.
08:55 Or, c'est l'inverse que l'on a fait.
08:58 Ça, c'est un problème moral.
08:59 Et si vous me demandez ce qui est le fond du problème, je pense que ces gens ont peur
09:03 parce qu'ils ont fait des choses qui ne sont pas licites ni morales et que finalement,
09:07 le temps les retrouve.
09:08 – Alors, est-ce que vous pensez qu'il y a de la jalousie ?
09:14 On en avait parlé la dernière fois parce que dans votre livre, vous disiez, vous avez
09:19 dit, vous avez tapé sur des collègues.
09:20 Pendant que beaucoup de collègues faisaient de la politique sur les plateaux de télévision
09:22 à Paris, nous avons continué à faire de la science à Marseille.
09:25 Votre livre, il a dû les énerver aussi.
09:26 – Ah, tant mieux ! – Bah ouais, j'adore ça !
09:30 – Je ne sais pas s'ils l'achètent pour le lire.
09:32 – Mais bravo, c'est bien ! Ils ont dû lire les petites phrases.
09:34 Mais c'est bien, c'est bien.
09:36 Ça vous fait marrer ? J'aime bien, moi.
09:38 – Écoutez, franchement, moi, je me sens étenu de rendre compte, si vous voulez, du
09:47 travail que nous avons fait avec toute mon équipe.
09:49 Je vous ai dit, il y a des centaines de bénévoles qui sont venus nous aider pour téléphoner
09:54 aux gens, pour saisir les données.
09:55 La masse de données qu'il y a là-dedans est inouïe.
09:59 Et c'est la première fois, et c'est ce qui m'intéresse, c'est pour ça d'ailleurs
10:02 que ça a l'air, c'est la première fois que l'on donne les banques de données avant
10:06 même de publier l'article.
10:08 Toutes nos données sont disponibles pour tous les gens qui veulent les voir.
10:12 Et je peux vous dire que c'est déjà consulté, c'est déjà analysé.
10:16 Il y a des gens qui s'en servent et qui vont se retourner vers les donneurs d'ordre pour
10:21 leur dire « mais pourquoi est-ce que nous n'avons pas pu utiliser ça ? ».
10:25 Et donc c'est le rôle que j'estime que je dois jouer, c'est de donner tout ce que
10:32 j'ai pu apprendre et tout ce que nous avons pu collecter pour que l'ensemble de la communauté
10:38 scientifique en France et bien ailleurs puisse l'utiliser et en tirer une leçon.
10:43 Alors, professeur, je voudrais revenir sur deux petites choses.
10:47 La semaine dernière, on en a beaucoup parlé, on a beaucoup parlé de vous dans les médias,
10:52 sur les réseaux, à cause d'une petite phrase que vous avez dite.
10:54 Vous disiez que les vaccinés étaient moins morts que les non-vaccinés.
10:57 Ça avait surpris certaines personnes selon qui vous aviez changé de discours.
11:00 On peut revenir là-dessus ? Oui, vous savez, depuis le début, j'ai essayé
11:06 d'expliquer une chose.
11:07 Il y a des maladies qui sont immunisantes, que vous connaissez bien, c'est les maladies
11:14 de l'enfance.
11:15 C'est des maladies qu'on ne fait qu'une seule fois.
11:17 La rougeole, la rubeole, la varicelle, les oreillons.
11:22 Voilà, ça, pour ça, on peut faire des vaccins qui vont les remplacer et ces vaccins
11:29 marchent en général, on a de très bons vaccins.
11:32 Et puis, il y a des maladies qui ne sont pas immunisantes, au moins pas longtemps, comme
11:37 la grippe par exemple, voyez, et comme le Covid.
11:40 Donc le Covid, vous savez bien qu'il y a des gens qui ont fait 2, 3, 4 Covid.
11:45 Donc cette maladie n'est pas immunisante.
11:47 Donc l'idée qu'on va faire un vaccin qui va faire mieux qu'une infection naturelle
11:52 qui n'est pas immunisante n'est pas raisonnable.
11:54 Donc vous n'allez pas pouvoir avoir un vaccin qui soit l'équivalent de ces vaccins
11:59 qu'il marche.
12:00 Ce que vous pouvez avoir au mieux, c'est un vaccin qui soit comme le vaccin contre
12:02 la grippe.
12:03 Donc vous n'avez pas changé d'avis ?
12:04 Je ne dis toujours pas changer d'avis, mais dans le vaccin contre la grippe, ça ne va
12:08 pas vous empêcher d'avoir la grippe l'année prochaine et parfois même pas l'année
12:13 même, ça couvre 70% du risque.
12:16 Mais chez les gens qui risquent de faire des formes graves, eh bien, ça diminue le risque
12:21 d'en faire et ça diminue le risque d'en mourir.
12:23 Et donc on sait très bien que les gens qui font un Covid, ceux qui meurent, ont plus
12:29 de 60 ans.
12:30 Donc ça, dès qu'on a vu comment était, ça n'empêchait pas du tout la contagion
12:34 qui n'avait jamais été testée par Pfizer.
12:37 Et Pfizer l'a dit.
12:38 Ça veut dire que ça n'avait pas de sens de faire une vaccination généralisée.
12:42 Et nous, on l'a su au bout de six mois parce qu'on voyait que… on posait la question
12:46 aux gens, il y avait 2000-3000 personnes qui venaient se faire tester par jour.
12:49 On leur demandait "êtes-vous vacciné ?" "Mais est-ce que vous n'êtes pas vacciné ?"
12:52 Et on regardait le pourcentage des gens qui étaient positifs et ceux qui n'étaient
12:56 pas.
12:57 Et très rapidement, on a vu que les gens qui étaient vaccinés étaient aussi positifs
12:59 que ceux qui n'étaient pas vaccinés.
13:00 Donc c'est vrai que les gens qui ont plus de 70 ans, qui sont ceux qui meurent, ont
13:07 un effet de la vaccination dans les trois ou six mois avant.
13:11 Pas tout loin que ça.
13:12 J'ai une question également de Maé Christophe qui me dit "il est où le Covid, il est où ?"
13:16 Il y en a toujours.
13:20 Mais là, c'est intéressant, on est passé dans une autre partie.
13:25 C'est une autre forme complète, celle du Omicron.
13:28 Ça ne donne pas les mêmes symptômes.
13:30 Vous vous rappelez, les autres, ça donnait… on ne sentait plus, on ne goûtait plus.
13:33 Là, ça n'existe plus dans celui-là.
13:35 Mais en revanche, il y a des conjonctivites qu'on ne voyait pas dans le premier.
13:38 Il y a beaucoup moins d'atteintes pulmonaires.
13:39 Et du coup, la mortalité a été divisée par trois, y compris dans la même population.
13:44 Donc c'est beaucoup moins grave, ce n'est pas les mêmes symptômes.
13:47 Et malheureusement, ce virus-là ne rentre pas par la même porte que les autres virus
13:52 avant et il n'est pas sensible, lui, à l'hydroxychloroquine.
13:55 Ce matin, vous étiez chez BFM, chez Bruce Toussaint.
13:59 Vous avez été menacé de quitter l'interview.
14:01 On vous regarde ? Professeur, vous vous en foutez ?
14:05 Non, je m'en fiche.
14:08 On regarde.
14:10 On regarde.
14:11 Je vous propose d'écouter maintenant le professeur Mollimar,
14:14 qui est chef de service de pharmacologie médicale au CIATU de Bordeaux.
14:17 Non, mais c'est lui.
14:18 Écoutez, ce type n'arrête pas de m'insulter.
14:20 C'est lui qui ne me met en cause.
14:21 Je ne l'écoute pas.
14:23 Je raccroche si vous faites ça, ce n'est pas compliqué.
14:25 Je ne parle pas aux gens qui m'insultent.
14:27 Je n'écoute pas les gens qui m'insultent.
14:28 Je ne le fais pas.
14:29 Ce n'est pas compliqué.
14:30 Il ne va pas.
14:31 Non, mais je ne le fais pas.
14:32 Non, mais très bien, on arrête l'interview maintenant.
14:35 Non, non, non, c'est bon, c'est bon, professeur.
14:37 Ne vous énervez pas.
14:38 Vous n'avez pas besoin de vous énerver comme ça.
14:40 N'hésitez pas à me le faire au coup de force.
14:41 Vous savez, vous avez bien remarqué, ce n'est pas ma nature.
14:43 Je n'ai pas l'habitude de me laisser faire.
14:45 Non, professeur, je pense qu'on s'est mal compris.
14:47 Je ne vous proposez pas de discuter avec le professeur Mollimar.
14:50 Non, non, non, je ne veux ni.
14:52 Écoutez, je ne lis pas vos bêtises.
14:54 Je n'écoute pas votre télé.
14:56 Je ne lis pas les journaux qui médisent de moi.
14:58 Je ne le fais pas.
15:00 Est-ce qu'on peut avancer ?
15:01 Je ne le fais pas.
15:02 Professeur, on a une surprise pour vous.
15:04 Le professeur Mollimar, il a sorti.
15:06 Non, je rigole.
15:08 [Applaudissements]
15:12 Professeur, je vous dis la vérité, je comprends tout à fait.
15:15 Les mecs, ils l'insultent toute la journée.
15:17 Sur les réseaux, ils l'insultent tout le temps.
15:19 Et après, ils veulent lui poser des questions.
15:21 Non, mais les mecs, c'est des fous.
15:23 On marche sur la tête.
15:25 Non, mais c'est incroyable.
15:26 Professeur, qu'est-ce qui s'est passé ?
15:28 Ça vous a énervé ?
15:29 Je comprends.
15:30 Moi, je me serais barré.
15:31 Non, mais ce n'est pas ça.
15:32 Si vous voulez, les rapports humains, et dans votre monde, c'est souvent le cas,
15:39 les gens s'imaginent pouvoir jouer de rapports de force.
15:43 Vous savez, jouer des rapports de force avec moi, il faut réfléchir avant.
15:47 Oui.
15:48 Ce n'est pas ma nature de me laisser faire.
15:51 Bien sûr. Vous avez bien fait, professeur.
15:53 Bon, professeur, vous savez que je vous vois comme ça, j'ai une idée d'émission.
15:56 [Rires]
15:58 Allô Didier.
15:59 Les gens appellent Didier Raoult, sans rigoler, et ils posent des questions sur la rétine.
16:02 Je vous jure que c'est vrai.
16:03 Ça serait incroyable.
16:04 Moi, il est hypnotique, Didier Raoult.
16:05 Je peux rester des heures à le regarder.
16:07 Non, mais je vous jure que c'est vrai.
16:09 Je le pense vraiment.
16:10 Merci, Didier Raoult.
16:11 Je vous jure, moi, je peux vous entendre des heures, je peux vous écouter parler pendant des heures.
16:14 Vous êtes chez vous, là ?
16:16 Oui.
16:17 Ça va.
16:18 Vous avez fait Hanoukka ?
16:19 [Rires]
16:20 [Applaudissements]
16:28 C'est le cabinet de ma femme.
16:30 Ah d'accord.
16:31 Vous l'embrassez de ma part.
16:32 Vous embrassez la famille.
16:33 Merci Didier.
16:34 Et c'est bien qu'on ait posé les choses ce soir.
16:35 Merci beaucoup, Didier Raoult.
16:36 Merci beaucoup.
16:37 [Musique]