Le Talk : Revivez l'émission du vendredi 28 avril 2023

  • l’année dernière
Ce soir dans le Talk : Le couple sucré est avec nous en plateau. On revient avec eux sur la polémique de leur dernière vidéo sur l’intégration à la Réunion. Klowdy nous expliquera comment nous polluons tous à cause des réseaux sociaux. On reviendra aussi sur l’affaire Hosman Gangate accusé d’agression sexuelle. Tout ça c’est dans le Talk et c’est maintenant !
Transcript
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00:58 Désagiez-vous, Martine n'a pas trouvé un emploi en demandant dans les commentaires Facebook ni en
01:04 scrollant sur TikTok. Non, Martine s'est juste rendue sur une plateforme révolutionnaire,
01:14 incroyable et bouuuuustouflante. On exagère peut-être un peu. Pour trouver son emploi en un
01:21 clic, waouh un clic, mais c'est super ! Clic emploi. Avec clic emploi, vous aussi,
01:33 trouvez le job qu'il vous faut en un et un temps. Martine, on dit merci qui ? Pour des
01:39 raisons évidentes, Martine n'était pas disponible pour la photo. Bah ouais,
01:41 elle bosse. Merci clic emploi.
01:45 Nouveau. Visu devient 100% digital.
02:15 Retrouvez vos rubriques habituelles. Agenda, interview,
02:21 zerbage, télévision, jeux, horoscope. Vous retrouverez aussi votre programme télé.
02:28 Visu, à vos côtés depuis 40 ans.
02:33 Ensemble, suivons le talk et luttons contre le gaspillage alimentaire avec Leclerc et Zerogashi.
02:48 Leclerc.
03:01 Bonsoir la réunion et bienvenue dans le talk, l'émission la plus chaude, c'est plus la plus
03:06 fraîche parce qu'on est chaud sur ce plateau, on se met sur la gueule tous les jours, on est
03:10 vendredi, c'est le dernier jour de la semaine, j'espère que ça va aller aujourd'hui. Donc on va
03:13 parler dans cette émission, on va accueillir sur le plateau le couple sucré qu'on a déjà accueilli
03:17 sur le plateau, une nouvelle polémique encore, les réunionnais adorent faire des polémiques. On
03:22 va en parler avec vous, ils seront avec nous sur le plateau, on va aussi parler de l'affaire Gangate,
03:26 Thibaut tu nous fais un petit focus sur info, on peut dire ça ? Un focus info. Et on aura aussi
03:32 un jeu vidéo un peu trop réaliste, ce sera le "ça passe, ça casse" d'Arthur. On envoie l'émission
03:38 et on commence maintenant les amis, largué !
03:40 Et petit tour de plateau, Claudie ça va ? Oui ça va très bien, c'est vendredi. Depuis hier, ça va,
04:07 on s'est calmé un peu ? Ouais. Ok, je suis content de le savoir. Arthur, toi on dirait que tu es toujours
04:13 un peu tendax. Non mais il n'y a pas de cinéma, un peu de détente d'angoisse aujourd'hui, du coup
04:17 je ne sais pas comment ça va se passer, tu vois, j'ai peur. Ça va partir sur du jeu vidéo. Comment
04:21 ça va Laurent ? Bah écoute, plutôt bien. C'était quoi cette mou ? Elle est enfin calme, ça fait du bien.
04:32 Et toi, ça va Tibo ? Ça va, ça va très bien. Toi, t'aimes bien quand il y a des clashs, je te sens,
04:37 tu es avec ton pop-corn. Je suis là pour pousser un petit peu. Le gars de l'intérieur il fait "Oh,
04:43 j'aurais pas aimé". Le gars qui fait "Oh, le gars à jouer de moumou, oh". Je te vois très bien dans
04:50 la cour de l'école faire ça. On va commencer cette émission par une parenthèse. Alors lui,
04:54 pour le coup, je ne sais pas où il a eu son PMI, mais comme dirait Créole, c'est tellement dans
04:58 le bâtiment, nul. C'est un garçon. Alors, on va commencer par une parenthèse, c'est tellement dans le bâtiment,
05:04 c'est tellement dans le bâtiment, c'est tellement dans le bâtiment. Alors, on va commencer par une parenthèse,
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18:18 Alors, on va commencer par une parenthèse, c'est tellement dans le bâtiment.
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21:45 Alors, on va commencer par une parenthèse, c'est tellement dans le bâtiment.
21:48 Alors, on va commencer par une parenthèse, c'est tellement dans le bâtiment.
21:51 Alors, on envoie une petite page de publicité et on va faire monter notre taux de diabète
21:56 parce que le couple est sucré. Ils ramènent leur sac à rose.
22:00 [Musique]
22:04 Stop aux gâchis. Leclerc continue sa lutte contre le gaspillage alimentaire.
22:08 Vos magasins Leclerc de Lille adoptent la démarche zéro gâchis.
22:12 Tous les jours, des produits frais à dette courte sont remisés jusqu'à 70%.
22:17 En rayons ou dans les corners dédiés, profitez de bons produits à petit prix
22:21 et luttons ensemble contre le gaspillage alimentaire.
22:25 Leclerc.
22:27 Les aviez-vous ? Martine n'a pas trouvé un emploi en demandant dans les commentaires Facebook
22:31 ni en se collant sur TikTok ?
22:33 [Musique]
22:38 Non, Martine s'est juste rendue sur une plateforme révolutionnaire, incroyable et bouuuuustouflante.
22:45 On exagère peut-être un peu.
22:47 Pour trouver son emploi en un clic, waouh, un clic, mais c'est super !
22:51 Clique en bas.
22:53 [Musique]
22:59 Avec Clique emploi, vous aussi, trouvez le job qu'il vous faut en un instant.
23:02 Martine, on dit merci qui ?
23:04 [Rire]
23:06 Pour des raisons évidentes, Martine n'était pas disponible pour la photo.
23:08 Bah ouais, elle bosse.
23:10 Merci Clique emploi.
23:11 [Musique]
23:21 Ce samedi avec le Gire.
23:23 Retrouvez votre supplément gratuit KazMagazine.
23:26 Aménager, construire, notre guide de 18 pages spéciales.
23:31 Déco, les tendances 2023-2024.
23:35 Habitat durable, pensez le présent pour penser l'avenir.
23:39 [Musique]
23:42 KazMag, le magazine de la décoration et de l'immobilier.
23:49 100% La Réunion, la nouvelle marque du savoir-faire réunionnais pour soutenir nos producteurs pays.
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24:02 100% La Réunion a été créée par le département de La Réunion et ses partenaires.
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24:11 Consommer pays, consommer 100% La Réunion.
24:14 Le département, aux côtés des réunionnais.
24:17 [Musique]
24:33 [Musique]
24:37 [Musique]
24:41 Ensemble, suivons le talk et luttons contre le gaspillage alimentaire avec Leclerc et Zerogashi.
24:47 [Musique]
24:50 Leclerc.
24:51 De retour sur le plateau, j'espère que vous avez pris votre insuline, le couple sucré avec nous.
24:55 Monsieur et Madame Sucré, comment ça va ?
24:57 Ça va bien, merci.
24:58 La forme ? Malgré toute cette vague de polémique, on tient le coup ?
25:03 Ça va bien.
25:04 Ok, super. C'est ça aussi d'être créateur de contenu et influenceur.
25:07 Ils sont à notre dossier du jour aujourd'hui. On les accueille encore une fois sur notre plateau.
25:11 On envoie le giggle et on revient tout de suite.
25:13 [Musique]
25:16 Et du coup, on a un dossier du jour sucré.
25:18 On vous a invité aujourd'hui sur ce plateau pour répondre un peu à la polémique
25:21 suscitée par une vidéo sur votre compte TikTok il y a une semaine à peu près qui a été supprimée.
25:26 C'est une jeune femme qui se plaint de ne pas s'être sentie bien à La Réunion,
25:30 pas bien intégrée en tout cas, c'est ce qu'elle raconte.
25:33 On va revoir l'objet du crime à un extrait de la vidéo.
25:36 On a enlevé la tête de la personne, mais on va regarder ça.
25:39 On a du mal à s'intégrer en fait dans une conversation avec des réunionnais
25:45 parce qu'ils utilisent beaucoup le langage créole, mine de rien, il faut le savoir.
25:49 Paquets de céréales à quasiment 6-7 euros, on n'est pas habitué.
25:53 On n'est pas habitué à avoir aussi chaud longtemps, sur du long terme.
25:58 Très, très mitigé d'avoir laissé la famille au quotidien qui n'est pas évident.
26:04 L'absence, l'éloignement, c'est quand même quelque chose qui n'est pas évident.
26:08 Pour l'objet du crime, monsieur et madame Sucré,
26:12 est-ce que vous, déjà, vous avez compris la polémique qu'il y a eu derrière cette vidéo ?
26:15 Par rapport à la vidéo, oui, on comprend que les propos aient pu être, comment dire,
26:21 blessants pour certains. Après, on ne pourra jamais juger
26:24 de comment les gens reçoivent l'information.
26:26 Bien sûr, naturellement, déjà moi, de base, j'ai vu les messages,
26:30 j'ai compris directement que ça avait blessé certains réunionnais.
26:33 Après, pour elle, pour la défendre un petit peu, c'est qu'elle a donné son ressenti.
26:37 Et c'est vrai que c'était un extrait de TikTok d'environ 50 secondes, 1 minute.
26:43 Et c'est vrai que l'extrait, dans la totalité, était sur YouTube.
26:46 Et sur YouTube, elle était beaucoup plus mitigée.
26:49 C'est-à-dire qu'elle était beaucoup plus... Il y a des côtés négatifs,
26:51 mais aussi des côtés positifs que j'aime bien, parce que j'étais déjà venu à la réunion.
26:54 Et c'est vrai que les gens ont vu uniquement ce qui s'est passé sur TikTok
26:57 et l'extrait de TikTok, plutôt que d'aller voir l'intégralité sur YouTube.
27:02 - Et avant de la balancer, avant de la publier, quand tu l'as montée,
27:07 est-ce que toi-même, tu t'es pas posé la question ? Pourquoi bien ?
27:11 - Je trouve très bien. - J'ai même pas compris la vraie.
27:13 - Le mot est bien dit. - Est-ce que tu pensais pas
27:15 que ça allait avoir un impact ? Ou tu pensais vraiment que,
27:17 comme c'était vos vidéos... - On a fait 4 témoignages, du coup,
27:21 parce que le concept, c'était de prendre le propos de personnes
27:25 qui ont habité en métropole ou ailleurs pour habiter à la réunion.
27:28 Et du coup, on a fait 4 témoignages. Elle était le quatrième.
27:32 Et les 3 premiers, c'était une Belge qui a décidé d'habiter à la réunion,
27:38 qui s'appelle Emeline. Ça a été ensuite un couple, un réunionnais
27:41 et une métropolitaine. Et ensuite, c'était Alexiane,
27:44 qui était, elle, une marxiniquaise, qui, par amour, avait décidé
27:47 d'habiter à la réunion. Les 3 premiers se sont très bien passés.
27:50 Le montage était le même. On a fait pareil, y avait pas eu quoi.
27:53 Et c'est juste que, forcément, ce qu'on a mis dans l'extrait de TikTok,
27:56 c'était vraiment les "moments" pour faire attirer,
27:59 derrière, ensuite, sur la vidéo YouTube. Parce que, moi, y a beaucoup de gens,
28:01 beaucoup de messages qui m'ont dit "Ah, j'ai vu l'extrait de TikTok",
28:03 mais c'est vrai que quand je vois l'intégralité de l'extrait sur YouTube,
28:06 elle est beaucoup plus modérée. Et forcément, quand on fait des cuts
28:09 sur TikTok, c'est le côté plus trident.
28:11 - Pour nous, honnêtement, est-ce que c'était pas un peu la volonté aussi
28:13 d'avoir un premier contenu qui suscite peut-être un débat,
28:16 une polémique ou quelque chose, un petit buzz, pour après
28:18 aller voir la vidéo YouTube ? - Franchement, pas du tout.
28:20 On fait des vidéos tous les jours sur Insta, TikTok, YouTube.
28:23 Si je dois penser aux trucs de buzz... Parce qu'en fait, nous,
28:26 on a vraiment ce truc-là de... On poste sur les réseaux,
28:29 mais après, ça nous appartient plus. C'est-à-dire que nous, quand on poste,
28:32 ça appartient aux réseaux, et après, c'est comment la personne
28:34 reçoit l'information, comment les gens reçoivent l'information.
28:36 Donc, si on doit penser à un buzz à chaque fois qu'on fait un truc,
28:38 en vrai, on n'a pas le temps. On a tellement de projets et tout...
28:41 - Juste une question, du coup, parce qu'en fait, sur l'intégralité de la vidéo
28:43 qui a été publiée sur YouTube, moi, je l'ai pas vue intégralement,
28:46 j'ai regardé, après, j'ai arrêté. Il y a un de nos chroniqueurs
28:48 qui a regardé jusqu'à la fin, et donc, la dame en question
28:51 avait confondu La Réunion aux Antilles, un truc comme ça.
28:54 - Non, pas du tout. - Non, pas du tout.
28:55 - Pas du tout. - Je peux juste confirmer avec Arthur.
28:57 - Ce que Arthur disait, il disait qu'en fait, il disait que
29:00 quand on est arrivé à La Réunion, on a dit "Ouf, on est au Caraïbes".
29:02 - Ah non, pas du tout. J'ai encore l'extrait, donc ça,
29:05 je pourrais vous renvoyer les extraits après, mais pas du tout.
29:07 - Moi, j'ai pas vu ça. Mais du coup, c'est vrai qu'on a eu ce débat
29:09 déjà la semaine dernière, on en a parlé sur le plateau.
29:11 Est-ce que finalement, là, c'est une question ouverte à tous,
29:13 mais de deux côtés... - C'est la voix, je veux dire.
29:15 - Non, mais est-ce que c'est pas plus la forme, c'est-à-dire la voix,
29:18 le ton, qui est, en plus, je pense, naturel, en fait, pour cette femme,
29:21 c'est-à-dire qu'elle a un ton peut-être un peu nonchalant,
29:24 un peu peut-être arrogant, comme si elle jugeait vraiment La Réunion.
29:27 Moi, dans les propos qu'elle a dit, je me retrouve complètement...
29:29 Moi, petits oreilles, yeux bleus, je vais en te dire.
29:31 - Petits oreilles, toi. - Ouais, petits oreilles.
29:33 - Quand elle dit "On a le mal du pays, il y a 10 000 km,
29:36 on est loin de chez nous", ça me manque, ou en tout cas,
29:39 je ne l'ai pas bien vécu. Ouais, de temps en temps, moi, ça m'arrive
29:42 d'aller dans une soirée où ça parlait créole dans tous les sens,
29:45 et au début, quand je suis arrivé, je parlais pas créole
29:47 ou je comprenais pas créole, du coup, c'était compliqué aussi.
29:49 On est mis à part, mais comme dans tout autre pays,
29:51 si tu vas en Espagne, en Angleterre, forcément, au début,
29:54 quand t'arrives, c'est comme ça. Est-ce que c'est pas ça ?
29:56 C'est pas plus le ton, en général, dans la vidéo ?
29:58 - Je sais pas, vas-y. - Non, non, vas-y.
30:00 - Je pense que le souci, ce qui a créé cette polémique
30:03 par rapport à la vidéo, c'est le propos, en fait.
30:06 C'est-à-dire, qui a tenu le propos ? Et en fait, c'est une métropolitaine
30:08 qui a tenu ce propos-là. Parce que moi, j'ai reçu
30:10 beaucoup de messages après, derrière, comme Chloé,
30:12 beaucoup moins, mais plus que moi, mais c'est que c'est...
30:14 On m'a beaucoup dit, en tout cas, des réunionnais,
30:16 ici, de la Réunion, m'ont dit que c'est comme si une métropolitaine
30:19 et ça sort de sa bouche, du coup, les gens ont du mal
30:22 à entendre ça venant d'elle, en fait.
30:25 - Oui, non, moi, en tant que réunionnaise, déjà, ça m'a choquée.
30:28 Moi, j'ai vraiment été blessée par les propos qui ont été sortis par la dame.
30:31 Après, je pense que chaque personne va recevoir la vidéo différemment.
30:34 Le truc, c'est que, en tant que, je pense,
30:37 quasi tous les réunionnais qu'on parle en métropole ou ici,
30:39 on a toujours été, enfin, on a tous été au moins une fois
30:42 confrontés à un zoreil qui nous assigne à des clichés,
30:45 qui nous dénigre, qui nous prend de haut, etc.
30:48 Et moi, j'ai vu, j'ai perçu, j'ai reçu cette vidéo
30:50 comme de la condescendance, un peu.
30:52 C'est ça qui m'a un peu saoulée.
30:56 J'ai réagi tout de suite sur le coup.
30:59 Après, tout n'est pas jeté dans la vidéo.
31:01 Elle soulève des faits qui sont vrais,
31:03 notamment les prix, le prix de la boîte de céréales, etc.
31:07 Mais après, on est assez fiers
31:11 et on est assez attachés à notre culture
31:13 et le fait de pointer du doigt, de dire que vous êtes,
31:15 que la personne est à la réunion et qu'on parle trop créole,
31:18 tu vois, moi, ça passe pas.
31:20 Je comprends que ça puisse blesser des personnes,
31:23 ça, je comprends entièrement, ça, je vais pas en retirer
31:25 par rapport à ça. Après, pour avoir été là,
31:27 parce que c'est moi qui filmais, j'étais derrière la caméra,
31:29 je lui pose des questions et elle parlait d'un ressenti
31:31 qu'elle avait à certains moments.
31:33 En fait, elle imaginait des scènes qu'elle avait vécues
31:35 et du coup, elle a juste dit, en fait,
31:37 par rapport aux questions que je lui posais.
31:39 Et après, il y a eu la comparaison aussi.
31:41 Je me souviens plus.
31:42 Parce que moi, je lui ai posé la question,
31:44 on l'entend dans la vidéo, on l'entend dans ma voix,
31:45 je lui pose la question, je lui dis,
31:46 "Mais du coup, par rapport à la Bretagne, comme tu es bretonne,
31:48 qu'est-ce que tu ressens comme différence
31:50 par rapport à la Réunion ? Comme c'est une communauté...
31:52 Je sais que les Bretons sont très chauvins aussi,
31:54 avec leur Bretagne, est-ce que la Réunion t'a ressenti aussi
31:56 un peu la même chose ?" Et celle-là donne sa réponse.
31:58 C'est parce que je lui ai posé la question comme ça.
32:00 Et les trois autres personnes à qui j'ai posé des questions,
32:02 c'était à chaque fois les mêmes questions,
32:04 c'était les points positifs, points négatifs,
32:06 c'est "Est-ce que tu ressens une différence en France
32:08 et la Réunion ?" Voilà, ce genre de choses.
32:10 - Et après, je pense que ça a illustré aussi,
32:12 le fait de voir des oreilles qui nous élivent.
32:14 Pas plus tard qu'hier, j'en ai encore vu.
32:16 Enfin, voilà.
32:18 - C'est un peu tout à l'heure sur le plateau.
32:20 - Est-ce que du coup, ça... Non mais tu vois, là, ça peut...
32:22 Excuse-moi, c'est un peu une forme de...
32:24 - Un truc qui existe réellement
32:26 et le fait que
32:28 cette dame-là ait dit ça,
32:30 même si elle ne le pensait pas au fond d'elle,
32:32 réellement, ou qu'elle n'avait pas une intention
32:34 mal... Enfin, que ce n'était pas mal intentionné en tout cas.
32:36 - Oui, c'est clair. - Ça a été...
32:38 - Mais du coup, ce qu'on va pas voir, c'est la Réunion ?
32:40 - Parce que nous, on vit... - Mais ça, je le comprends
32:42 tout à fait. C'est comme je dis à beaucoup de gens,
32:44 et je me suis défendu de ouf, j'ai essayé de parler avec les gens
32:46 sur les réseaux, j'ai dit "Les gars, n'oubliez pas,
32:48 je suis un homme noir." C'est-à-dire que, hé, on est dans la même équipe.
32:50 Je ressens la même chose aussi quand on... Mais vraiment !
32:52 Parce que les gens ont oublié des fois que... Parce que quand on dit...
32:54 - Ah, il y a une équipe, alors. - Non, mais...
32:56 - C'est Black Meteur. - Non, mais en vrai,
32:58 de vrai, moi, je le... Comment dire ?
33:00 Je ne l'ai pas vu comme ça, parce que je ne suis pas
33:02 réunionnais, du coup, peut-être que je n'ai pas ressenti
33:04 l'habitude pareille. - T'as pas eu cette perception ?
33:06 - Mais j'ai dit... - T'as pas dit que...
33:08 - Voilà, c'est ça. Mais j'ai dit que, forcément,
33:10 je l'ai dit dans la vidéo d'excuses, je crois,
33:12 j'ai dit aussi que moi, en tant que Congolais aussi,
33:14 parce que je suis Congolais, moi aussi, je peux comprendre
33:16 que certains propos, des fois, que j'entends sur les réseaux sociaux,
33:18 les Congolais, c'est que danser, c'est que ci, c'est que ça.
33:20 - Ça t'aurait pas choqué, toi, si t'étais au Congo, par exemple,
33:22 et que t'avais une personne qui dit "Ouais, je suis au Congo,
33:24 mais j'ai du mal à m'intégrer parce qu'on parle trop congolais ?"
33:26 - Moi, ça m'aurait pas choqué. Parce qu'en fait, je crois...
33:28 Moi, ça m'aurait pas choqué parce qu'en fait,
33:30 à partir du moment où la personne donne un ressenti,
33:32 c'est comme s'il disait aux gens d'arrêter d'être...
33:34 - De recevoir le ressenti. - Oui, voilà, c'est ça, en fait.
33:36 - Mais après, je vais quand même t'expliquer aussi comment nous, on l'a reçu.
33:38 Je parle peut-être en mon nom et après, peut-être que d'autres
33:40 personnes vont s'identifier dans ce que je vais dire,
33:42 mais on a déjà entendu des trucs genre
33:44 "Ouais, le créole, c'est pas une langue,
33:46 le créole, c'est n'importe quoi..."
33:48 - C'est pas ce qu'elle dit ?
33:50 - C'est pas ce qu'elle dit. Mais en fait,
33:52 vu comment elle l'a dit, et encore une fois,
33:54 je lui ai dit, ça peut être interprété.
33:56 - C'est le ton. - Après, c'est chacun...
33:58 - C'est l'interprétation de chacun.
34:00 - Est-ce que ça mérite d'être solide ?
34:02 - Oui, clairement, mais ça, personne ne peut cautionner.
34:04 J'espère bien, vu l'émission qu'on a fait hier
34:06 sur ce que tu cautionnes et ce que tu cautionnes pas.
34:08 En fait, moi, je pense, voilà, c'est ça.
34:10 Il y avait un ton nonchalant,
34:12 et après, il y a des gens qui sont comme ça,
34:14 de nature, tu vois, nonchalants.
34:16 - Nonchalance, c'est pas le condescendant.
34:18 - Non, c'est pas le condescendant, mais attends,
34:20 il y a des gens qui prennent la nonchalance
34:22 pour de la condescendance, tu vois,
34:24 à l'image d'un prof, quand il voit un élève rentrer
34:26 comme ça, il va mal prendre ça, tu vois.
34:28 Moi, je veux revenir un peu sur les propos.
34:30 Vous avez vu tout à l'heure, en début d'émission,
34:32 ce que j'ai partagé. Vous, à titre personnel,
34:34 est-ce que sur vos réseaux, je sais pas, toi ou Chloé,
34:36 est-ce que vous avez reçu, vous, des messages
34:38 un peu condescendants, finalement,
34:40 qui vous rendent dedans un peu, enfin,
34:42 comme le message qu'on a vu en tout début ?
34:44 - En fait, oui. Surtout Andro,
34:46 parce que moi, là, cette période...
34:48 Ma maman venait d'arriver à La Réunion,
34:50 donc moi, j'ai pas trop regardé, mais c'est vrai
34:52 qu'on a eu beaucoup de messages de gens
34:54 qui ont tout mélangé, qui ont dit "Oui, vous êtes là
34:56 pour chercher les buzzs."
34:58 Faut dire que le mot "buzz", et nous,
35:00 c'est pas du tout, ça ne nous représente pas, en fait.
35:02 On fait des vidéos tous les jours. Il y a des vidéos
35:04 qui marchent, d'autres qui marchent moins,
35:06 d'autres qui sont interprétées comme si, comme ça, celle-ci.
35:08 Elle a, du coup, marché
35:10 dans le négatif, mais c'est pas
35:12 notre but, en fait. Notre but, c'était de faire
35:14 des témoignages de gens, donc un coup
35:16 des oreilles, peut-être un coup des réunionnais
35:18 qui sont partis en métropole, qui vont revenir,
35:20 un coup, je sais pas, des malbars, voilà.
35:22 On s'est arrêtés aux oreilles,
35:24 on a vu que ça a fait un mauvais buzz, mais c'était
35:26 pas du tout le but, en fait.
35:28 - Enfin, si je peux me permettre, juste quelques secondes.
35:30 Votre fond de commerce,
35:32 c'est tout simplement de filmer La Réunion,
35:34 vous êtes les ambassadeurs de la beauté de Lille,
35:36 jusqu'ici, tout va bien, et on est contents.
35:38 - Je suis pas d'accord avec ça.
35:40 - De façon générale, je dirais,
35:42 vous allez mettre le livre de La Réunion en l'air.
35:44 Par contre, c'est vrai que,
35:46 tu l'as dit à l'instant,
35:48 il y a du chauvinisme, les réunionnais
35:50 ou les créoles sont ainsi,
35:52 je pense qu'en jetant en pâture, et là, je mesure pas du tout
35:54 mes mots, c'est clair, en jetant en pâture
35:56 cette personne, vous saviez très bien
35:58 ce qu'elle est arrivée, parce que, j'ai envie de dire,
36:00 connaissant les mentalités, connaissant
36:02 la façon dont ça allait être reçu, je pense pas
36:04 que vous vous êtes... ça allait passer inaperçu.
36:06 Ça, c'est la première chose. Par contre,
36:08 si cette personne, aujourd'hui, en est à ce point
36:10 arrivée à ne plus être à La Réunion,
36:12 mais surtout pire encore, a dû recevoir
36:14 des insultes, du harcèlement,
36:16 vous savez que si ça avait été plus loin,
36:18 quelqu'un de trop virulent, quelqu'un d'un petit peu,
36:20 je dirais, secoué du caberlot,
36:22 qui serait arrivé devant elle et qui l'aurait
36:24 tué, voire même agressé, vous auriez porté
36:26 les conséquences. Vous avez "posté"
36:28 sa mise à mort. Pourquoi ?
36:30 Parce que, j'ai envie de dire, si on commence
36:32 à mettre des personnes en opposition
36:34 les unes des autres, ça peut être très dangereux.
36:36 Et les réseaux sociaux, on sait très bien,
36:38 c'est un équilibre très très instable,
36:40 il faut faire très très attention. Les jeunes
36:42 sur les cours d'école, ça finit très mal,
36:44 il y a des insultes, il y a du harcèlement.
36:46 Donc, j'ai envie de dire, moi, je sais pas comment
36:48 prendre la chose. Si vous, vous vouliez pas faire
36:50 du buzz, comme vous dites si bien, en tout cas, c'est réussi.
36:52 - Non, non, non. - Tu penses qu'ils ont
36:54 volontairement mis en danger
36:56 la vie de cette femme ? - Non, je pense pas.
36:58 - Pas tout du moment. Tu mets en réseau des propos...
37:00 - C'est pas... - Non, mais, tu sais très bien
37:02 que c'est dangereux. - Je sais que c'est dangereux,
37:04 mais de la dire que c'était volontaire...
37:06 - Non, mais j'ai raison, je vais répondre.
37:08 Il y a plusieurs choses qui ont été dites, donc je vais revenir point par point.
37:10 - Merci. - Vous me laissez le temps de répondre.
37:12 Première chose, déjà, le fait de dire,
37:14 parce qu'on a reçu ce message, votre fonds
37:16 de commerce, c'est par rapport à la Réunion.
37:18 Déjà, premièrement, on a fait 16 pays
37:20 en quasiment deux ans. On a fait
37:22 plusieurs pays sur le Kenya, sur la
37:24 Tanzanie, Dubaï, on a fait plein
37:26 de vidéos YouTube par rapport à ça. Et en fait, c'est juste
37:28 que nous, comme on est des influenceurs
37:30 voyage, aujourd'hui, on fait des créateurs... On est là
37:32 à créer son contenu par rapport au voyage. C'est juste qu'aujourd'hui,
37:34 après tous les voyages qu'on a faits, on s'est dit qu'à la Réunion,
37:36 c'était vraiment l'île parfaite
37:38 pour créer du contenu, tout ce qui est lié au voyage,
37:40 les paysages, etc. Donc, moi, c'est le premier point pour dire que
37:42 c'est pas la Réunion en mode business. Ça aurait pu être
37:44 la Thaïlande, Abali, comme il y a beaucoup de créateurs
37:46 de contenu qui habitent à Bali, comme il y a beaucoup de créateurs de contenu
37:48 qui sont à Dubaï ou aux Etats-Unis. Ça, c'est le premier point.
37:50 Deuxième chose, ensuite, on a lancé
37:52 un concept où on a dit que justement, on voulait
37:54 que des personnes comme nous qui ont kiffé la Réunion
37:56 parlent de leur expérience ou autres, ou donnent des conseils.
37:58 Elle, elle est venue me contacter.
38:00 C'est-à-dire que c'est pas nous qui l'avons mise à mort.
38:02 Elle est venue me contacter. J'ai envie de partager mon expérience.
38:04 Ça, c'est la deuxième chose. Et la troisième chose,
38:06 par rapport aux propos qu'elle a dit,
38:08 je redis encore une fois, c'est votre avis,
38:10 il n'y a pas de souci par rapport à ça,
38:12 mais nous, en aucun cas, et je le redis, on fait des vidéos
38:14 tous les jours, des photos tous les jours. On ne peut pas
38:16 penser et se dire que c'est un contenu buzz
38:18 parce que derrière, il y aura ça, il y aura ça.
38:20 C'est pas voulu. Pourquoi ? Parce que dès qu'elle m'a envoyé
38:22 un message pour me dire que je suis pas bien par rapport à ça,
38:24 ma fille, elle est menacée,
38:26 on lui a dit "OK, très bien, on va supprimer la vidéo,
38:28 on fera une vidéo desqueuse". Si vraiment,
38:30 je voulais buzz ou quoi que ce soit, il y a rien...
38:32 - Evident qu'elle serait menacée. - Pour vous, c'est peut-être
38:34 évident pour vous. Oui, mais en ce cas,
38:36 on n'est pas d'accord par rapport à ça.
38:38 - Après, moi, je pense que c'est un point de vue.
38:40 Là où je vous comprends totalement, c'est que
38:42 ils viennent de la métropole aussi.
38:44 Quand t'arrives ici, tu te dis "OK, c'est peut-être
38:46 du chauvinisme", mais pas dans
38:48 cette ampleur-là. Moi, en tant que réunionnais,
38:50 j'aurais vu cette vidéo avant qu'il ne l'ait pas, j'aurais dit "Les gars,
38:52 moulot, eux, eux, eux, eux,
38:54 eux, ils ont dit
38:56 "Écoute, ça reste un partage, les gens seront
38:58 d'accord ou pas d'accord". Quand tu mets une vidéo
39:00 sur les réseaux, ça divise des fois,
39:02 mais je suis pas... Enfin, c'est un peu
39:04 dur, je pense, ce que tu dis. Je comprends,
39:06 encore une fois, comme hier, que tu dis "mais c'est un peu dur".
39:08 Mais attends, on a plus de temps de toute façon pour
39:10 conclure. Qu'est-ce que vous voulez dire ?
39:12 Le but, c'est sûr, c'est de faire des vues, on va pas se mentir.
39:14 Comme ici, le talk, c'est de faire
39:16 de l'audience. Donc, forcément,
39:18 le but, c'est de faire des vues, mais sur chaque vidéo,
39:20 c'est pas "Ah, celle-ci, tiens, on va faire encore plus
39:22 de vues, du bad-bad". Non, pas du tout. C'était vraiment,
39:24 mais vraiment pas le but. S'il y a des gens
39:26 qui se sont sentis touchés, autant elle, sa
39:28 famille et des réunionnais,
39:30 c'était pas le but. C'était vraiment, mais alors
39:32 vraiment pas le but. Oui, on veut qu'il y ait des vues.
39:34 Vous voulez qu'il y ait de l'audience.
39:36 N'importe quel business, n'importe quelle entreprise, qu'il y ait une vidéo, c'est le but.
39:38 On a fait une vidéo sur l'entre-deux, on aurait
39:40 voulu qu'elle ait presque autant de vues que celle-ci.
39:42 Faut qu'on réveille.
39:44 On sait ce qui marche, on sait ce qui marche pas.
39:46 Franchement, le mot "buzz",
39:48 c'était vraiment pas... Pour moi, cette vidéo,
39:50 elle sera du coup l'occasion de
39:52 prendre conscience qu'il y a plein de choses, en fait,
39:54 qu'elles le sont attirées. Oui, forcément, elles le sont
39:56 attirées, mais dans un sens, moi, je trouve que c'est
39:58 dommage que sur ça, alors encore une fois, on comprend
40:00 les personnes qui ont été blessées, mais je trouve ça dommage...
40:02 C'est surtout pour ça, en fait.
40:04 On peut pas non plus minimiser le fait que les gens
40:06 aient été blessés. C'est pour ça qu'on a changé la vidéo.
40:08 C'est pour ça qu'il y a eu autant de vues
40:10 et autant de partages, c'est parce que les gens,
40:12 ça a pas été... Quand je dis ça, ça veut pas dire
40:14 que le contraire est faux. Je dis pas le contraire,
40:16 je dis juste que ça met du coup en divisance
40:18 certaines choses, où je trouve ça dommage qu'il y a
40:20 certaines vidéos aussi qui ne sont pas mises en avant
40:22 et qui mettent aussi en avant plein de choses positives. Parce que,
40:24 comme je vous le dis, on a fait quatre témoignages,
40:26 trois autres témoignages où les gens donnent des commentaires positifs
40:28 sur la Réunion, sur la communauté, etc.
40:30 Et là, du coup, il y a eu un avis mitigé,
40:32 un avis où elle a eu des propos qui ont été
40:34 mal interprétés, elle a blessé des gens,
40:36 et ça, je trouve ça dommage. C'est ça. Alors qu'il y avait
40:38 trois témoignages qui étaient vraiment hyper intéressants.
40:40 - Rapidement, le mot de la fin, Thibault.
40:42 - Comment va la jeune femme, justement ? Elle a quitté la Réunion, ce que disait
40:44 Laurent, comment elle va ? - Du coup, elle était
40:46 très blessée, elle a été touchée,
40:48 ses enfants ont eu beaucoup de harcèlement à l'école.
40:50 Du coup, là, elle est retournée en métropole pour le moment
40:52 et elle nous a dit qu'elle verrait plus tard
40:54 si elle reviendrait à la Réunion ou pas,
40:56 mais que c'était compliqué pour elle.
40:58 - On n'a plus de temps.
41:00 - Question qui aurait peut-être pu...
41:02 - Petite question rapidement
41:04 pour faire le mot de la fin. - Peut-être qu'on
41:06 l'a pas assez ressentie dans la vidéo, c'est une personne
41:08 qui appréciait quand même la Réunion, elle aimait bien l'île,
41:10 elle s'y sentait bien, au-delà
41:12 de la barrière de la langue.
41:14 - Petite question à dire, Claudine.
41:16 - À la fin de la vidéo, moi, en tout cas,
41:18 comment je l'ai ressentie, c'est que c'est une femme qui, du coup,
41:20 à cause d'une mutation, ou grâce à une mutation
41:22 de son époux, elle a dû venir à la Réunion,
41:24 elle est venue avec des ressentis,
41:26 peut-être des préjugés et tout,
41:28 mais au final, elle s'y sent bien,
41:30 elle se dit que c'est une belle parenthèse de vie.
41:32 - Elle avait vécu son plus beau moment
41:34 de vie à la Réunion, elle disait qu'elle avait vu
41:36 le volcan péter et que c'était le plus beau moment
41:38 qu'elle avait vécu de toute sa vie.
41:40 - Et ça, personne l'a retenu.
41:42 - Et pour conclure, vraiment,
41:44 on va finir ce beau dossier du jour,
41:46 est-ce que vous avez un petit mot à la communauté,
41:48 juste vraiment pour conclure, rapidement ?
41:50 - Euh... - Bah que...
41:52 - À bientôt. - Ouais.
41:54 - À bientôt sur les réseaux. - Bon, bah, j'ai pas de...
41:56 - Non, c'est pas grave, y a pas de soucis.
41:58 Bon, je vais pas vous donner
42:00 leurs réseaux sociaux, vous les connaissez déjà.
42:02 On va conclure ce doss du jour qui était
42:04 très prenant. En tout cas, ça a été un plaisir
42:06 de vous accueillir ce soir. - Merci d'avoir partagé.
42:08 - Merci d'être venus et d'avoir discuté avec nous.
42:10 On envoie une petite page de publicité,
42:12 les amis, et on revient tout de suite.
42:14 - Merci.
42:16 ...
42:18 ...
42:20 ...
42:22 - VISU devient 100% digital.
42:24 ...
42:26 Retrouvez vos rubriques habituelles.
42:28 Agenda, interview,
42:30 zerbage, télévision, jeu,
42:32 horoscope.
42:34 Vous retrouverez aussi
42:36 votre programme télé.
42:38 ...
42:40 VISU, à vos côtés depuis
42:42 40 ans.
42:44 - Stop au gâchis, Leclerc
42:46 continue sa lutte contre le gaspillage
42:48 alimentaire. Vos magasins Leclerc de
42:50 Lille adoptent la démarche
42:52 zéro gâchis. Tous les jours, des produits
42:54 frais à dette courte sont remisés
42:56 jusqu'à 70%. En rayons
42:58 ou dans les corners dédiés, profitez
43:00 de bons produits à petit prix et luttons
43:02 ensemble contre le gaspillage
43:04 alimentaire.
43:06 Leclerc.
43:08 - Ce samedi avec le Gire.
43:10 Retrouvez votre supplément gratuit
43:12 Caz Magazine. Aménager,
43:14 construire, notre guide de
43:16 18 pages spéciales.
43:18 DECO, les tendances
43:20 2023-2024.
43:22 Habitat durable, pensez le présent
43:24 pour penser l'avenir.
43:26 Caz Mag, le magazine
43:30 de la décoration et de l'immobilier.
43:32 - 100% La Réunion,
43:36 la nouvelle marque du savoir-faire
43:38 réunionnais pour soutenir nos producteurs
43:40 pays. 100% La Réunion, garantie
43:42 aux consommateurs des produits aux matières
43:44 premières 100% locales. Marque
43:46 authentique, gage de qualité.
43:48 100% La Réunion a été créée par
43:50 le département de La Réunion et ses partenaires.
43:52 Retrouvez tous les produits 100%
43:54 La Réunion sur le site
43:56 100%réunion.fr. Consommer
43:58 pays, consommer 100% La Réunion.
44:00 Le département, aux côtés
44:02 des réunionnais.
44:04 [Musique]
44:18 - Les aviez-vous ?
44:20 Martine n'a pas trouvé un emploi en demandant
44:22 dans les commentaires Facebook, ni en scrollant sur TikTok ?
44:24 [Musique]
44:30 - Non. Martine s'est juste rendue
44:32 une plateforme révolutionnaire. Incroyable.
44:34 Et peu... soufflante.
44:36 On exagère peut-être un peu.
44:38 Pour trouver son emploi en un
44:40 clic ? Wouah ! Un clic ?
44:42 Mais c'est super ! Clic en quoi ?
44:44 [Musique]
44:50 Avec clic en quoi, vous aussi,
44:52 trouvez le job qu'il vous faut en un rien de temps.
44:54 Martine, on dit merci qui ?
44:56 [Rire]
44:58 Pour des raisons évidentes, Martine n'était pas disponible pour la photo.
45:00 Bah ouais, elle bosse.
45:02 Merci, clic en quoi ?
45:04 [Musique]
45:12 [Musique]
45:16 [Musique]
45:20 - Ensemble, suivons le talk
45:22 et luttons contre le gaspillage alimentaire
45:24 avec Leclerc et Zerogachi.
45:26 [Musique]
45:28 Leclerc.
45:30 - Et de retour sur le plateau
45:32 encore une fois, comme je vous le dis, le plus chaud.
45:34 Avant, c'était l'émission la plus fraîche, mais maintenant, c'est chaud
45:36 parce que tout le monde est remonté à chaque fois.
45:38 On va parler de l'affaire Gangad.
45:40 Mais qu'est-ce qu'il a fait encore, monsieur Gangad ?
45:42 C'est le Focus Info ? - Et oui, c'est le Focus Info. - T'as un jingle ?
45:44 - Jingle ? - Allez, bah, jingle.
45:46 [Musique]
45:48 - Gangad... - Et oui, on focus
45:50 aujourd'hui sur une autre polémique, l'affaire
45:52 Haussman-Gangad. Vous le savez, depuis février,
45:54 le directeur technique de la Ligue Réunionnaise
45:56 de football a été mis en examen pour viol,
45:58 agression sexuelle, harcèlement moral
46:00 et violence par conjoint et placé en détention provisoire.
46:02 - Bien ça. - Voilà.
46:04 Il est mis en cause par quatre ex-compagnes,
46:06 dont deux ont déposé plainte contre lui.
46:08 Donc deux ont déposé plainte contre lui.
46:10 Mercredi, il a déposé une troisième demande de liberté.
46:12 On apprend un peu plus, en fait, sur le
46:14 personnage, sur le comportement de ce directeur technique.
46:16 Selon les témoignages des victimes,
46:18 Haussman-Gangad est un homme à la libido démesuré
46:20 qui filmait ses ébats en catimini
46:22 avant d'en extraire des photos postées sur les réseaux sociaux.
46:24 Une deuxième ex-compagne
46:26 dit avoir vécu un calvaire.
46:28 Elle évoque un contexte de violence verbale et physique
46:30 comme les autres à l'avoue ne pas avoir été
46:32 épargnés par ses addictions sexuelles.
46:34 Une troisième ex-compagne
46:36 dit être toujours sous l'emprise et avoir peur
46:38 de l'homme. Enfin, toutes parlent d'un
46:40 homme rongé par une addiction, celle de l'alcool.
46:42 Du coup, la question de sa remise en liberté
46:44 a été débattue avant-hier.
46:46 Et là aussi, on apprend que monsieur Gangad fait intimider
46:48 en fait ses victimes. L'une d'entre elles
46:50 a été attendue à la sortie de la gendarmerie.
46:52 Le suspect a tenté de heurter le véhicule
46:54 d'une plaignante pour l'impressionner, a déclaré l'avocate générale.
46:56 L'avocat de Osmonde Gangad
46:58 a plaidé lui pour un bracelet électronique
47:00 sur son client pour qu'il puisse se rendre à son travail
47:02 à la ligue de football à Saint-Denis.
47:04 Au final, quand même, la demande de liberté
47:06 a été refusée.
47:08 Il est toujours, effectivement.
47:10 Je pensais qu'il n'était plus en poste.
47:12 - Ils ne l'ont pas limogé ? - Non, pas encore.
47:14 - Pas encore. Waouh, c'est quand même lourd !
47:16 - Il faut pas le faire, mais c'est surtout surprenant.
47:18 - Les premières accusations, on va dire,
47:20 je pense que ce n'est pas récent.
47:22 - Ça date, il y a quatre femmes.
47:24 - C'est surtout que ce truc-là, c'est le genre
47:26 de secret de catimini où...
47:28 - Je crois qu'il y en a une qui craque.
47:30 - Même avant qu'une de ces dames craque,
47:32 ce bouc, c'est le genre à se vanter,
47:34 c'est le genre de ces débats sexuels et tout.
47:36 C'est le genre de truc, à mon avis,
47:38 où toute la ligue, limite, connaissait.
47:40 Dès que tu connais un peu le bouc...
47:42 - C'est pas vrai, parce que moi, pour le coup,
47:44 je connais mon frère qui jouait au foot,
47:46 qui connaissait bien le monsieur.
47:48 Il a dit que...
47:50 Enfin, on n'a pas l'impression, quoi.
47:52 C'est vraiment le gars qui cache vraiment son jeu.
47:54 Et il y en a plein qui sont tombés de haut.
47:56 Personne n'aurait pu penser
47:58 que M. Gangate aurait pu faire
48:00 ce genre de choses atroces.
48:02 - Moi aussi, pour l'avoir rencontré
48:04 pour des reportages sur le foot ou quoi,
48:06 c'est quelqu'un vraiment... - Hyper calme.
48:08 - Hyper calme, hyper calme. - Posé.
48:10 - Je savais même pas qu'il avait des problèmes
48:12 avec l'alcool. - C'est le contraste.
48:14 - C'est impossible de ça. - Vous avez entendu
48:16 parler de ça ? - Non, pas du tout.
48:18 - Vous savez qui est Osmond Gangate ?
48:20 - C'est directeur de la Ligue de football.
48:22 - C'est ça ? - La Ligue réunionnaise de football.
48:24 - Je suis très choqué. - C'est hyper choquant.
48:26 C'est le directeur technique, on me souffle
48:28 à l'oreillette, effectivement. Et toi,
48:30 t'as entendu parler de ça, Claudie, avant...
48:32 Ouais, ça te choque ? - Bah oui, forcément.
48:34 - Je sais pas, le personnage, ça choque pas
48:36 de lui, etc. Et du coup, la suite
48:38 de l'affaire, c'est quand ? - Du coup,
48:40 il y aura son procès pour l'instant.
48:42 Il est toujours en détention. - Y a une date ?
48:44 - Il dit pour sa libération qu'en fait,
48:46 il représente plein d'enjeux pour la société.
48:48 Mais si en même temps, il envoie des gars...
48:50 (rires)
48:52 Niveau définition de danger, ça rentre dedans,
48:54 tu vois ? - C'est totalement un danger.
48:56 En tout cas, écoute, moi, je suis bien
48:58 choqué. Tu m'envoies... Désolé,
49:00 Thibault, de cette histoire.
49:02 Et j'espère que tu nous tiendras au courant
49:04 de la date du procès et que ce mec ira en prison,
49:06 bien évidemment. - Déjà ?
49:08 - Arthur, Chroniques cinéma, maintenant,
49:10 c'est la page... Bien évidemment. Claudie,
49:12 on parle culture. On parle de quoi, aujourd'hui,
49:14 dans la culture ? - On va parler de la pollution numérique.
49:16 - Eh ben, on envoie le jingle.
49:18 (musique)
49:20 (musique)
49:22 (musique)
49:24 Pollution numérique, c'est pas la culture,
49:26 finalement. - Non, c'est pas la culture.
49:28 - Alors, pollution numérique, tu nous en dis plus ?
49:30 - Avant de commencer, j'ai une petite question pour vous.
49:32 Lequel de ces contextes pollue
49:34 le plus, selon vous ? Est-ce que c'est
49:36 avoir 3 millions d'abonnés
49:38 ou faire 481 vols
49:40 Paris-New York par an ?
49:42 - Combien d'abonnés vous avez, vous, d'ailleurs ?
49:44 - Sur l'ensemble de l'encontre ? - Cumulé, ouais.
49:46 - On a 1 million. - 1 million.
49:48 - Est-ce que vous polluez plus que
49:50 280 voyages par année ?
49:52 - Nouvelle sauce !
49:54 Nouvelle polémique ! Le clip,
49:56 le coup sucré des pollueurs !
49:58 Je rigole, bien évidemment. Je sais pas.
50:00 - J'aurais dit 3 millions d'abonnés, du coup.
50:02 - Je veux dire, avec les métadonnées,
50:04 parce qu'il y a des bâtiments entiers
50:06 qui ont des serveurs et tout, et ça consomme
50:08 de l'eau pour refroidir l'électricité,
50:10 à Paris, la planète, c'est vraiment...
50:12 - Un bordel. - Ouais. En tout cas,
50:14 chacune de ces 2 situations que j'ai énoncées
50:16 de tout à l'heure émet la même quantité de CO2,
50:18 soit 1072 tonnes
50:20 par an. Donc, juste pour que vous puissiez visualiser
50:22 ce que ça représente,
50:24 1 tonne de CO2, c'est l'équivalent
50:26 de 61 smartphones ou encore
50:28 54 jours de chauffage.
50:30 Je vous laisse donc imaginer
50:32 1072 tonnes, c'est juste énorme.
50:34 - Mais attends, ça veut dire que Cristiano Ronaldo
50:36 avec ses 500... - Ah oui, oui, oui.
50:38 - C'est le pollueur de l'extrême, les gars !
50:40 - Non mais attends, je vais quand même vous expliquer un peu
50:42 pourquoi c'est... - Une question.
50:44 Le CO2, c'est un gaz, non ?
50:46 - Oui, c'est le gaz.
50:48 - Comment on pèse ?
50:50 Parce que vous parlez de tonnes. - Alors là, il faut demander
50:52 aux scientifiques. - Alors là, c'est une question.
50:54 - Ça fait l'équivalent de 1 tonne et je suis tombée sur là.
50:56 - Je pense que tout a un poids, finalement, c'est les molécules.
50:58 Les molécules ont un poids et quand tu cumules tout le poids des molécules,
51:00 ça fait des tonnes. On demandera à la barre.
51:02 À la barre, vous verrez.
51:04 - Tu peux continuer, Claudie ?
51:06 - C'est une récente étude menée par
51:08 Foodprint et Milhead
51:10 sur la population numérique qui a révélé
51:12 ces chiffres alarmants. Pour arriver à ce résultat,
51:14 les chercheurs ont créé une influenceuse fictive
51:16 en se basant sur les profils
51:18 et les données d'influenceurs existants.
51:20 Cette influenceuse s'appelle Clara,
51:22 elle est française, elle a 3 millions d'abonnés
51:24 sur Instagram, TikTok et YouTube
51:26 qui cumulent 345 millions de vues
51:28 par an sur ces 15 heures
51:30 de contenu mis en ligne.
51:32 Comment expliquer l'empreinte
51:34 carbone de Clara ? Les auteurs de l'étude
51:36 expliquent que c'est dû au stockage
51:38 des données et de ces contenus dans les centres
51:40 de données, qu'on appelle aussi les "data centers".
51:42 Je ne sais pas si vous voyez un peu
51:44 comment ça fonctionne en général, quand on envoie un message,
51:46 ça envoie une data qui... Il y a tout un roulement
51:48 qui se passe. Autre raison,
51:50 c'est le transfert via
51:52 des réseaux de télécom, puis
51:54 la réception et le streaming sur nos appareils
51:56 électroniques. Donc, le fait d'avoir des followers,
51:58 les personnes qui consomment
52:00 les contenus de ces influenceurs
52:02 contribuent à sa pollution numérique.
52:04 Je ne sais pas si vous avez...
52:06 Donc, YouTube serait la plateforme qui produit
52:08 près de 94%
52:10 des émissions de CO2 de Clara
52:12 pour cause des vidéos plus longues,
52:14 plus qualies, etc.
52:16 Donc, bien évidemment, un Français bien loin de ce niveau
52:18 d'émission carbone, en moyenne,
52:20 l'empreinte carbone d'un Français est
52:22 de 8,2 tonnes de CO2 par an.
52:24 Et je voulais savoir, est-ce que
52:26 vous contrôlez un peu vos
52:28 émissions numériques ?
52:30 - Quand le téléphone
52:32 commence à fumer, merde ! - Moi, pas du tout.
52:34 Franchement, à part essayer d'éteindre la lumière,
52:36 ne pas laisser l'eau couler... - C'est déjà très bien.
52:38 - C'est déjà très bien, il y en a qui le font pas.
52:40 Je ne contrôle pas sur les réseaux, je veux dire,
52:42 mon taux de CO2. Je ne sais pas pour vous ?
52:44 - Ça me paraît très compliqué de le faire.
52:46 - C'est pas mal pas. - C'est un ton de métier.
52:48 Comment tu fais ? - Oui, c'est clair.
52:50 Après, moi, j'ai trouvé ces petites images,
52:52 je ne les ai pas mises là, je les ai protocopiées
52:54 juste pour vous montrer un peu ce que représente, par exemple,
52:56 envoyer seulement un e-mail
52:58 avec une pièce jointe, c'est comme si on allumait
53:00 une ampoule pendant une heure.
53:02 - Du coup, maintenant, je vais envoyer
53:04 les mails dans le noir.
53:06 - Très belle répartie, je t'adore.
53:08 - C'est déjà dans la vraie vie,
53:10 il y a aussi trier,
53:12 c'est mes lignes, les ouvrir,
53:14 les spam, etc.,
53:16 il faut les supprimer, tout ça, ça contribue.
53:18 - Est-ce qu'on peut faire vraiment quelque chose pour réduire ça ?
53:20 - Vu le monde, comment il est en train de partir,
53:22 je ne pense pas trop qu'on puisse faire moins de choses.
53:24 - Pourquoi vous ne produisez pas de miens de manger ?
53:26 - En émettant cette émission,
53:28 on est en train de polluer, clairement,
53:30 mais après, je pense que...
53:32 - C'est une émission de CO2 !
53:34 - Ah, les gars !
53:36 - Je suis chaud, je suis chaud, je suis chaud, je suis chaud.
53:38 - Donc, ça veut dire que si on revient sur
53:40 l'affaire sucrée, la vidéo qu'ils ont supprimée,
53:42 heureusement que vous l'avez supprimée,
53:44 parce que c'était en train de polluer de ouf !
53:46 Il faut saluer, mesdames et messieurs, quand même,
53:48 ils ont investi pour l'écologique,
53:50 incroyable, c'est ouf, du coup.
53:52 - Merci beaucoup, Claudie, de nous avoir fait
53:54 cette petite chronique. Merci à vous,
53:56 Le Coup Secret, d'avoir été avec nous, c'est toujours un plaisir
53:58 de vous avoir en plateau. Merci Thibault,
54:00 mon petit oreille préféré. Merci...
54:02 Arthur, mon liable préféré !
54:04 - Bonjour, bonjour !
54:06 - Merci, Claudie, on va conclure cette émission.
54:08 Les amis, likez, partagez,
54:10 commentez, envoyez-les à tous vos amis,
54:12 histoire de bien polluer. Bien évidemment,
54:14 on se retrouve la semaine prochaine,
54:16 18h35, même chaîne, même l'heure.
54:18 Et comme ils disent à chaque fois, Marmaille,
54:20 la chaîne va brûler les autres yeux.
54:22 Bonne soirée, La Réunion ! Salut à vous !
54:24 - Ciao, ciao !
54:26 (indicatif musical)
54:28 (ding!)
54:46 (indicatif musical)
54:48 - Ce samedi avec le Gire.
54:50 Retrouvez votre supplément
54:52 gratuit KazMagazine.
54:54 Aménager, construire,
54:56 notre guide de 18 pages spéciales.
54:58 Déco, les tendances 2023-2024.
55:00 Habitat durable,
55:02 pensez le présent
55:04 pour penser l'avenir.
55:06 KazMag,
55:08 le magazine de la décoration
55:10 et de l'immobilier.
55:12 - Stop au gâchis,
55:14 le casque, le casque,
55:16 Stop aux gâchis. Leclerc continue sa lutte contre le gaspillage alimentaire.
55:21 Vos magasins Leclerc de Lille adoptent la démarche "Zéro gâchis".
55:25 Tous les jours, des produits frais à dettes courtes sont remisés jusqu'à 70% !
55:30 En rayons ou dans les corners dédiés, profitez de bons produits à petit prix
55:34 et luttons ensemble contre le gaspillage alimentaire.
55:37 Les aviez-vous ? Martine n'a pas trouvé un emploi en demandant dans les commentaires
55:43 Facebook ni en scrollant sur TikTok ?
55:45 Non, Martine s'est juste rendue sur une plateforme révolutionnaire, incroyable et
55:55 peu estofflante.
55:57 On exagère peut-être un peu.
55:59 Pour trouver son emploi en un clic ?
56:01 Un clic ? C'est super !
56:08 Avec Clic Enploi, vous aussi, trouvez le job qu'il vous faut en un et un temps.
56:15 Martine, on dit merci qui ?
56:16 Pour des raisons évidentes, Martine n'était pas disponible pour la photo.
56:21 Bah ouais, elle bosse !
56:22 Merci Clic Enploi !
56:23 100% La Réunion, la nouvelle marque du savoir-faire.
56:53 Réunionnais pour soutenir nos producteurs pays.
56:56 100% La Réunion, garantie aux consommateurs des produits aux matières premières 100%
57:00 locales.
57:01 Marque authentique, gage de qualité.
57:03 100% La Réunion a été créée par le département de La Réunion et ses partenaires.
57:08 Retrouvez tous les produits 100% La Réunion sur le site 100%réunion.fr.
57:13 Consommer pays, consommer 100% La Réunion.
57:16 Le département, aux côtés des Réunionnais.
57:18 - Merci.
57:19 (Générique)

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