Molières : la ministre de la Culture interpellée par deux comédiennes

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Transcription
00:00 Madame la ministre, nous ne sommes pas des chiens.
00:02 Ni des chiennes.
00:04 Et nous ne rentrerons pas à la niche.
00:06 Alors ?
00:06 A mes frères et à mes sœurs de lutte, que la lutte continue.
00:10 Et vive les casserolades !
00:12 [Applaudissements]
00:15 Pardon, je sais que vous n'avez pas le temps, mais ça va.
00:18 D'habitude le rôle du ministre c'est de rester assis à rien dire, mais là c'est pas possible.
00:23 Cette phrase de Gérard Philippe qui a été dite, elle date de 1957.
00:27 Il n'y avait même pas de ministère de la culture à l'époque.
00:30 Vous avez un ministère qui a débloqué des aides massives pendant la crise pour vous soutenir tous,
00:34 pour soutenir tous les secteurs de la culture.
00:36 Le 7 février on avait une réunion, vous avez demandé à la reporter.
00:39 On l'a reportée au 16 mars.
00:41 Vous n'êtes pas venu, vous avez demandé à la reporter.
00:44 Elle est reportée au 27 avril, c'est jeudi.
00:46 Vous avez encore demandé à l'annuler.
00:48 Il est encore temps de changer d'avis, je suis là, ma porte est ouverte.
00:51 Et bonne soirée à tous.
00:52 [Applaudissements]
00:53 Alors, vous voyez la séquence là ?
00:55 C'est la première fois qu'une ministre intervient comme ça.
01:01 C'est la première fois qu'une ministre de la culture ose répondre lors d'une cérémonie.
01:04 Mais je vais vous raconter l'histoire et je voudrais remercier Challenge.
01:07 Parce que ça va sortir dans Challenge jeudi, ils vont tout vous raconter.
01:10 Exactement, dans les détails de ce que je vais vous dire là,
01:12 parce qu'on avait apparemment les mêmes infos.
01:14 Les deux artistes ont eu un communiqué de la CGT.
01:18 Elles, bon bah super, elles ont écrit leur truc tout ça.
01:20 Mais on leur a dit "on va vous mettre le texte au prompteur".
01:25 Donc, ils ont donné le texte.
01:26 Puisqu'on voit bien qu'elles disent le texte au prompteur.
01:28 Donc le texte au prompteur, ils savaient, les organisateurs de la cérémonie des Molières,
01:33 savaient qu'il allait y avoir deux personnes de la CGT qui allaient interpeller la ministre.
01:37 Et ils leur ont donné le texte.
01:39 Donc la ministre, qu'est-ce qu'elle a fait ?
01:41 Elle a dit "bon bah vous me préparez un micro".
01:43 Vous croyez que le micro il arrive comme ça ?
01:44 Vous croyez qu'un micro qui arrive comme ça, c'est Magouille et compagnie.
01:48 Nous ici, on est en direct, pour avoir un micro c'est une demi-heure.
01:51 Là-bas, il y a un mec à la ministre qui veut parler, il y a un micro, tiens il est sous son siège.
01:55 Donc il y a le mec qui lui donne le micro, il l'attendait en plus, vous avez vu ?
01:58 Il l'attendait, on le voyait, il est dans l'aller, le gars.
02:01 Et on voit qu'il va lui donner.
02:02 Donc qu'est-ce qu'elle a fait ?
02:03 Elle a préparé et elle a travaillé la phrase de Gérard Philippe.
02:08 Elle a dit "oui c'était pour ça, nanana".
02:09 Donc tout était préparé.
02:11 Elle a préparé son texte.
02:13 Ils lui ont filé le texte en fait, les organisateurs,
02:15 le texte à la ministre, le texte des deux personnes de la CGT.
02:18 Et elle a préparé sa réponse, notamment la citation de Gérard Philippe de 1957.
02:22 Donc elle a dit "allez t'y voir pourquoi ils avaient dit ça".
02:25 Donc ils lui ont préparé un micro en salle, comme je vous l'ai dit,
02:29 et les téléspectateurs, comme on me dit là, doivent savoir que tout était orchestré.
02:33 En fait, tout était du mytho.
02:35 Pas pour les militants de la CGT, mais pour la ministre.
02:37 Oui, exactement.
02:38 Elle n'a pas réagi à chaud.
02:41 En fait, ils les ont piégés.
02:42 Ils ont dit "donnez-nous le texte, vous allez intervenir",
02:45 "vous nous donnez le texte et on va le mettre au prompteur".
02:47 C'était le piège, parce qu'ils l'ont donné à la ministre.
02:51 Et à la ministre, ils lui ont dit "voilà ce qu'il va se dire ce soir".
02:53 Mais moi je vois pas où est le problème en fait.
02:55 Bah si, bah si, c'est choquant.
02:57 C'est déjà le problème.
02:58 C'est déjà le spectateur qui est dupé.
03:00 Non mais je trouve ça bien qu'elle réponde malgré tout.
03:04 Vous trouvez pas mieux qu'elle reste assise et qu'elle réponde pas
03:07 et qu'elle sourit bêtement comme ça ?
03:09 On n'arrête pas de dire que les ministres ne parlent pas ?
03:11 Je préfère qu'elle réponde malgré tout.
03:13 Non mais là Géraldine, c'est scandaleux.
03:15 On fait croire aux gens que c'est une réponse spontanée.
03:17 Quand on entend effectivement Gérard Philippe...
03:19 Moi à un moment j'ai pensé que c'était spontané.
03:21 Non mais Géraldine, Gérard Philippe 1957, c'est un génie cette ministre.
03:26 En fait tout est bidon, tout est bidon, elle a eu le texte.
03:29 Je vais pas pouvoir parler puisque je suis pas d'accord avec vous.
03:31 Mais non, mais on t'a pas demandé de réagir, on te donne une info.
03:33 Bah oui mais je suis pas d'accord, je trouve pas ça scandaleux en fait.
03:36 Bah si, c'est ce qu'il a dit, tu trouves pas ça scandaleux Gilles ?
03:38 C'est incroyable Géraldine, c'est à dire qu'on bidonne un truc et la ministre fait semblant d'être spontanée.
03:45 Et c'est tout le téléspectateur, tous les téléspectateurs qui sont dupés alors que tout était préparé.
03:50 Mais c'est incroyable, c'est scénarisé.
03:52 Moi quand je les vois partir, quand il y a des casseroleades, on a vu sur les extraits d'avant,
03:56 ils snobent les gens, ils rigolent, ils leur parlent pas, ils marchent comme si les gens n'existaient pas.
04:00 Le mec il demande des trucs sur les AEH et il a pas les moyens.
04:04 Quand on interpelle les ministres d'éducation, ils répondent pas.
04:07 Là moi j'étais content, vous m'avez cassé mon rêve.
04:09 Parce que j'étais content, je me suis dit voilà, elle a le courage.
04:11 On l'a interpellé, elle a le courage, elle sait, elle parle.
04:14 Et là maintenant que tu me dis que c'est un fake et que tu me dis que tout était préparé,
04:17 bah ça me dégoûte encore plus de la politique.
04:19 C'est un fake parce qu'elle a la réponse.
04:21 A partir du moment où elle avait le texte, ça l'avance.
04:24 Elle a le texte, ça l'avance.
04:26 Elle a un micro-carolisme.
04:28 C'est pas parce que c'était préparé que le fond de ce qu'elle dit, elle le pense pas.
04:32 On veut la vraie politique.
04:34 On veut pas de la politique préparée quand plein de choses sont préparées.
04:37 Tais-toi mon chéri.
04:38 Quand on parle, tu laisses les autres parler pareil.
04:40 On veut pas de la politique préparée, c'est ça qui nous écœure de la politique.
04:42 Ça veut dire que c'est de la triche, vous foutez de la gueule des Français.
04:45 Elle triche parce qu'elle a déjà la question.
04:47 Elle se lève, c'est pas pour un con.
04:49 Moi je veux des politiques qui sont formés.
04:51 Je veux que quand on leur parle dans la rue avec les casserolades,
04:53 qu'ils aillent parler au français comme elle s'est levée là, elle a fait la fière.
04:56 Dans les fauteuils rouges, bien enfermés entre eux, là ça se lève et ça prend le micro.
05:01 Eh bah parle aux gens quand ils viennent te voir dans la rue avec des casseroles.
05:04 Va leur parler sans texte, sans qu'on dise ce qu'ils doivent dire.
05:07 Réponse. Réponse, c'est gratuit.
05:09 Ça t'es chiant.
05:11 C'est des magots.
05:13 Tu veux que je te dise la vérité ?
05:15 Moi quand j'ai vu hier le truc, j'ai dit "Ah, franchement pas mal, elle a suré".
05:19 Oui mais moi aussi je l'ai cru.
05:21 Mais arrêtez, quand on sait que...
05:23 Mais bien sûr que j'ai cru, tout le monde y a cru.
05:25 Bah toi tu crois en rien toi.
05:27 Tu crois qu'au vaccin toi.
05:29 Surtout qu'une fois après que tu sais que c'est préparé, le souci c'est que tu peux même te dire
05:33 encore pire, tu peux aller plus loin et tu peux dire que c'est même pas elle qui l'a écrit.
05:36 Bah bien sûr, mais c'est sûr que c'est pas elle qui l'a écrit.
05:39 C'est là où le fake nous pose problème, c'est que c'est pas spontané.
05:43 Et c'est pas une réponse.
05:45 Bah si c'est un fake, parce que c'est préparé, c'est pas un fake.
05:47 Donc si c'est un mec qui lui a écrit à sa place, j'appelle ça du fake.
05:49 Mais comment t'as fait ça ?
05:51 La séquence est orchestrée.
05:53 Je vais vous dire pourquoi c'est un fake.
05:55 C'est parce que c'est un fake, on te donne les réponses à l'avance.
05:57 C'est tout le vrai, c'est un fake, t'as piqué.
05:59 Elle donne des informations, elle avait rendez-vous avec les mecs de la CGT,
06:01 trois fois ils sont pas venus, moi je savais pas.
06:03 C'est un énorme piège, c'est un piège pour les téléspectateurs, on leur fait croire que c'est spontané.
06:07 Et c'est un piège pour les deux filles de la CGT.
06:10 C'est comme si tu faisais un débat avec quelqu'un et qu'en scred on te donne les arguments de l'autre
06:14 pour que tu le mettes débastos complètement.
06:16 C'est pas faire du tout.
06:18 Et en plus, dans la séquence, elle ressort gagnante du truc parce que les deux femmes se font applaudir.
06:22 Elle, elle se refait applaudir derrière, c'est à se demander s'il n'y avait pas des applaudissements qui étaient lancés.
06:25 On a payé les gens pour l'applaudir, tu penses ?
06:27 C'est pas impossible.
06:29 Parce qu'elle se fait siffler au début et à la fin elle se fait applaudir.
06:33 Et merci à Challenge de m'avoir donné les infos.
06:35 Et là où c'est encore plus hypocrite, c'est qu'il faut pas être dupe.
06:38 Les organisateurs des Molières sont très proches du pouvoir d'Emmanuel Macron, du ministère.
06:43 Du coup c'est une opération de propagande politique organisée par le gouvernement sur une chaîne publique, sur le dos des Français.
06:49 Ni l'article de Challenge ni l'article de Molière, c'est exactement ce qu'il dit.
06:51 Là c'est dégueulasse, franchement. Là c'est impossible.
06:53 On peut pas faire ça. On peut pas tromper les gens.
06:55 Elle remet des vérités en place. Aujourd'hui, excuse-moi, les artistes, ils ont en France des chances inouïes par rapport à d'autres pays.
07:01 Il y a plein d'avantages pendant le Covid. Ils ont été préparés puissance 1000, ils ont été préservés puissance 1000,
07:06 ils ont eu je sais pas combien d'aides.
07:08 Non, je suis désolé, tout ce qu'elle dit sur le fond, le fond compte.
07:12 C'est-à-dire que même si elle l'a préparé, ce qu'elle dit c'est juste.
07:16 Et je m'en fous qu'elle l'ait préparé parce que dans plein d'interventions comme ça, parfois tu prépares, tu prépares, ce que tu dis c'est pas si choquant.
07:21 Mais tu mens aux téléspectateurs.
07:23 C'est un mensonge gouvernemental orchestré pour duper les Français.
07:26 Vous vous tombez dans le piège directement. Vous êtes malade.
07:29 Laisse-le parler, s'il te plaît.
07:30 Non mais vous êtes complètement malade.
07:31 C'est une opération de propagande orchestrée de bout en bout et vous vous dites "c'est merveilleux".
07:35 Alors, le porte-parole du gouvernement, qu'est-ce qu'il dit ?
07:38 Alors là, comment c'est comme ça ? Moi je vais vous dire.
07:46 Là, il s'est dit dans sa tête "qui vais-je sucer ?"
07:50 Non, non, non.
07:51 Là, il y a eu dans sa tête, toute sa vie qui a défilé "qui vais-je sucer ?"
07:56 Alors là, en fait, il avait d'un côté maqueté, de l'autre côté la ministre.
08:01 Il s'est dit "qui vais-je sucer ?"
08:03 Et là, il s'est dit "ne sucerez-vous pas les deux ?"
08:06 J'espérais que vous m'oubliez.
08:08 Non, alors, vas-y.
08:09 Alors, je vais vous dire une chose. Hier soir, moi j'ai vu la scène, je l'ai trouvé formidable.
08:12 Je lui ai envoyé un mot, je lui ai dit "tu as été formidable".
08:15 Non, non, non. Je maintiens, elle a été formidable.
08:19 Maintenant, le côté préparé ou pas préparé, je vais vous dire, sa réponse, elle a été quand même très efficace.
08:24 C'est quand elle dit que les syndicats ont refusé 3-4 fois les rendez-vous, encore cette semaine.
08:29 Tu vois, je te dis, toi t'es toujours contre les syndicats.
08:31 Mais non, je n'ai jamais été contre les syndicats.
08:33 Toi, tu es toujours du côté du gouvernement.
08:34 Mais pas du tout.
08:35 C'est vous qui me présentez comme ça chaque fois qu'ils m'embarassent.
08:37 Parce que toi, tu veux toujours aller manger tes petits fours.
08:39 Ah oui, ben non, on n'y va pas justement.
08:41 Mais Bernard, c'est un bêtisage.
08:42 Tu veux aller manger tes petits fours ce week-end, n'y a-t-il pas ?
08:44 Non, non plus.
08:45 Bah si, ça doit être ça.
08:46 Je n'ai pas besoin d'aller manger, vous venez dire.
08:47 Les syndicats et les Français, ils n'y vont pas.
08:49 De quoi ?
08:50 Ils ne vont pas manger des petits fours.
08:51 Mais moi non plus.
08:52 Je te dis.
08:53 Non, mais que ça a été préparé, tu ne trouves pas ça ouf ?
08:55 Alors ça, je ne savais pas votre histoire.
08:56 Et maintenant que tu le sais ?
08:57 Ça ne change rien, elle a été bonne quand même.
08:59 Pendant le magnéto, il m'a dit "tu es sûr de ça ?"
09:03 Oui, parce que je trouve ça un peu gênant.
09:05 Mais bien sûr que c'est un peu gênant.
09:07 Mais maintenant, sa réponse, elle était très efficace.
09:09 Là, ils t'ont enlevé les blinis au profil.
09:11 Là, tu vas manger tout le saumon sur ta main.
09:15 Il n'y aura pas de blinis, tu vas le manger comme ça.
09:18 On ne mange pas à l'Élysée.
09:20 Mais quoi qu'il en soit, non, je l'ai trouvé.
09:22 Tu lui as envoyé un texto, donc ça veut dire que tu la connais ?
09:24 Bien sûr que je la connais.
09:25 Donc tu es obligé de...
09:26 Je suis obligé de rien du tout.
09:28 Est-ce que j'ai balancé sur elle quand elle s'est présentée ?
09:30 Vous ne faites pas la part des choses, vous.
09:32 Quand j'ai râlé, quand elle dansait...
09:34 C'est toi qui l'as fait ?
09:35 Oui, je fais la part des choses.
09:36 Mais non, mais vous, vous faites tout blanc, tout noir.
09:38 C'est vrai, quand elle a dansé avec Chanel...
09:40 Après, il s'est rattrapé le lendemain, il a dit oui, mais bon.
09:42 Non, pas du tout.
09:43 J'ai dit que quand elle est allée voir et danser avec Rihanna,
09:45 à la soirée privée Fondation Louis Vuitton, j'ai trouvé que c'était nul.
09:49 J'ai rien sucé du tout.
09:50 Et là, hier soir, je l'ai trouvé très bonne et je vous emmerde.
09:53 Donc tu as ressucé.
09:54 Non, mais...
09:55 (Applaudissements)
09:57 - Tout le monde a ? - Quoi ?
09:58 Je vais te dire un truc.
09:59 Déjà, moi, je ne suis pas la ministre, je te le dis.
10:02 Moi, je ne vais pas manger des petits fours avec les gars, tout ça, avec toi, tout ça.
10:05 - Bah si ! - Je ne vais pas dans une soirée.
10:06 - C'est quand tu es plein de ministres, vous.
10:07 - Moi, je ferai quand même...
10:08 Est-ce que tu m'as déjà vu, moi, aller manger un petit four avec quelqu'un
10:10 ou quelque chose comme ça, dans une soirée ?
10:11 - Oui, oui, oui. - Arrête, t'arrêtes pas.
10:13 T'es dans toutes les soirées.
10:14 - Ah oui ? - Bien sûr, arrête.
10:15 - En 30 ans, oui, je suis là. - En 30 ans, c'est normal.
10:17 - En 30 ans, on a lu Paris Match.
10:19 - On a lu les dernières pages de Galin, frère, et de Voici.
10:22 - On t'a mis, vous fantasmez.
10:23 - À toutes les soirées, il y avait un armontier.
10:25 - Fantasmez, il y a un jumeau.
10:26 - Et moi, je connais les ministres pour le travail.
10:28 J'ai côtoyé, oui, Olivier Véran parce qu'on a fait une émission ensemble.
10:31 Gérald Darmanin, et je l'ai toujours dit...
10:33 - Votre nouveau copain, Darmanin.
10:34 - J'aime beaucoup Gérald Darmanin.
10:36 Il est venu et il m'a fait l'honneur de venir.
10:37 Marlène Schiappa, oui.
10:38 Après, le reste, c'est pas mes amis.
10:40 Rimal Boumala, qui est pas mon ami.
10:41 - C'est moi qui vous ai dit que c'était mes amis.
10:42 - Si t'as son portable et que tu dis qu'elle était supérieure,
10:45 c'est que c'est ton ami.
10:46 - Elle félicite.
10:47 - Moi, je félicite pas des gens que je connais pas.
10:49 - Ah, mais je l'ai jamais dit.
10:50 Je la connaissais pas, j'ai dit que je la connais.
10:52 Je lui ai envoyé un mot que je trouvais très brillant.
10:54 - Votre histoire, c'est vrai que c'est un peu gênant.
10:57 - Voilà.
10:58 - Sa réponse était quand même très bonne.
11:01 - À l'arrivée, tu suces qui ?
11:03 - Les deux, là.
11:04 Il y a une redouble, là.
11:05 - Vous et la ministre.
11:07 - J'ai, j'ai.
11:08 - Une de chaque côté.
11:09 - Il a deux bouches.
11:10 (rires)
11:11 (applaudissements)
11:12 - Bravo.
11:13 (rires)
11:14 (musique)
11:15 (rires)
11:16 [Musique]

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