Retrouvez « Le billet d'Alexandre Kominek » dans la Bande Originale sur France Inter et sur https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/le-billet-d-alexandre-kominek
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AmusantTranscription
00:00 d'abord, signor Carlos !
00:02 - Carlos !
00:04 - Carlos, en plus !
00:06 - Je suis très content !
00:08 - Hola Carlos ! - Hola !
00:10 - Vous avez compris pourquoi François Damien s'est fait marquer ?
00:16 - Si, j'ai compris. Bon, vous l'avez remarqué, c'est pas Alessandro aujourd'hui, c'est Carlos.
00:20 Mais oui, j'ai compris Nagui. Leila, ça va ?
00:22 - Oui !
00:24 - J'adore !
00:26 - Rodel, qu'il regarde, il a pas besoin de barbecue.
00:30 Si tu regardes les merguez, elles sont cuites.
00:32 Bon, Laura, François, bonjour, c'est Carlos.
00:38 Vous êtes là pour nous présenter complices, l'histoire de Karim et Stéphanie, couple de voisins,
00:42 qui aident Max à se reconvertir professionnellement.
00:44 Le souci, c'est que Max était tueur à gage et que le pauvre s'évanouit désormais à la vision de la moindre goutte de sang.
00:50 Rodel, ça me rappelle un ami qui me dit quand il a ses règles, ça me dégoûte.
00:56 Mais c'est quoi cette mentalité de merde ?
01:00 Moi, je vous l'ai dit, j'aime les femmes tous les jours du mois, tous les jours.
01:04 Bien sûr, les règles, c'est pas un problème, il suffit que tu mettes une tranche de limon derrière la molette,
01:08 une tranche d'orange sur la langue, c'est plus inconnu, c'est une sangrière.
01:12 Et les règles, ça fait partie de la vie.
01:18 En plus, c'est drôle, quand tu couches avec une nana qui a ses règles, tu remets ton slip,
01:22 tu rentres, tu enlèves ton slip, ça te fait un test d'errors sasses.
01:26 Tu vois, erreurs sasses, les gars, erreurs sasses.
01:28 Tu sais quand tu vas chez le psychologue, il met une tache d'encre entre deux feuilles, il l'applique.
01:34 Mon ex, elle adorait ça.
01:37 Quand on couchait ensemble, c'était un concert de flamenco.
01:41 On l'appelait ça le flamencu.
01:47 Ça va, Laura ?
01:49 Discoule pas, j'ai mes gards.
01:51 J'ai compris.
01:52 Non, la vérité, je ne comprends pas pourquoi, qu'est-ce qui dégoûte ?
01:55 C'est comme les mecs qui n'aiment pas les poils.
01:57 Moi, je préfère quand il y a.
01:58 Pourquoi sinon on dirait des sequillettes de poulet les gaulois.
02:04 Et je préfère les poils, pourquoi même si je préfère Nada la fédérère, faut dire que je suis meilleur sur gasson.
02:10 C'est mon petit côté Wimbledon.
02:13 D'ailleurs, ma vie, c'est comme au tennis.
02:15 15-30-40.
02:20 Et quand on fait trop de bruit, le voisin me dirait l'arbitre.
02:24 Parce qu'il tape contre le mur et il dit "s'il vous plaît".
02:27 Il faut accepter les femmes au naturel, l'hébergeture, j'adore, ça donne un côté sauvage.
02:32 On dirait que t'as été griffé par une tigre.
02:35 Et c'est pareil pour la cellulite.
02:37 C'est le côté de la part des hommes de critiquer des trous en plus, alors qu'on rêve de tous les subtiliser.
02:42 Non mais je vous l'ai dit, Carlos, c'est l'inclusivité la plus totale.
02:46 Moi, les femmes, je les prends comme elles sont.
02:48 La dernière fois, je suis sorti avec une handicapée incroyablement sessie.
02:55 Elle avait plus de jambes.
02:56 Mais je l'ai fait tourner très vite sur moi et avec la force centrifuga, elle a décollé.
03:02 C'est Thomas Pesquet qui me l'a retrouvée.
03:05 Non mais t'es l'enculé, tu veux savoir le comble ?
03:08 Non, écoute, si, si.
03:10 Elle s'appelait Ariane.
03:13 Mais pour résumer, si tu supportes pas la vue du sang, badraguer la cinquantaine,
03:17 las madres, que j'adore, vous le savez, Carlos adore les mamans.
03:20 J'adore les femmes comme du vécu.
03:22 Pour te dire, j'ai arrêté Tinder, maintenant j'ai fait affaire conclue.
03:27 Non mais les femmes, on les aime toute la vie, tous les jours, tous les mois.
03:30 Même si en février, c'est plus compliqué.
03:32 Il y a moins de deux jours pour vous chimer.
03:35 (Applaudissements)
03:38 (Sous-titres par Charrette_Man)