J'adore les mamans - Alexandre Kominek n'a pas compris
Retrouvez « Le billet d'Alexandre Kominek » dans la Bande Originale sur France Inter et sur https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/le-billet-d-alexandre-kominek
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00:00 Ici Carlos !
00:02 Carlos, avez-vous compris pourquoi Claire Borotra et Claire Cam était nos invités ?
00:09 Oui, alors j'ai compris Nagui, donc Alejandro n'est pas là aujourd'hui, pourquoi il sert
00:13 de modèle nu dans une prison des provinces ? Donc c'est l'occasion pour moi de montrer
00:16 mes talents d'acteur, tu vois ? Oui, pourquoi moi je veux faire du cinéma, tu vois, et
00:20 pour Pastèque avec Bissorek et Pastureau, t'as compris ?
00:22 Bref, encantado tout le monde, je m'appelle Carlos, Leila, qu'est-ce que t'as là ?
00:26 Ah bien !
00:27 Ça fait un bail, ça a boussé, vraiment ça a boussé Leila, tout de bien depuis la
00:30 dernière fois ? Oui !
00:31 Parce que, je l'ai vu sortir d'un bar à 4 pattes et c'était pas pour faire la prière,
00:35 c'était lui !
00:36 Bref, mais non, c'est pas le propos, ok ? Claire et Claire, vous venez nous parler
00:42 de votre film "Maman a disparu", l'histoire de Louis et Céline, deux soeurs de la vie
00:45 qui a éloigné, que la vie a éloigné mais qui se retrouve après la disparition inquiétante
00:49 de leur madre et qui décide donc d'inquiéter de leur côté.
00:52 Alors déjà, chers auditeurs, si votre madre, elle disparaît, n'hésitez pas à me lancer
00:55 un coup de fil, elle est peut-être chez moi, en mi-cassa, sous la couette ou sur la table
00:59 du salon.
01:00 C'est vrai, pourquoi j'adore les mamans, j'adore les mamans, pourquoi les mamans, c'est
01:04 les femmes qui ont envie de s'amuser, tu vois, elles ont des vies pas faciles à gérer,
01:07 entre les gosses, le travail, le stress et leur connard d'ex-mari, je peux te dire que
01:11 quand j'arrive dans leur vie, je suis comme une potato sur le milieu des frites, quoi.
01:14 Ça fait plaisir, tu vois, c'est Carlos.
01:16 En plus, il y en a, ça fait tellement longtemps qu'elles ont plus fait l'amour que quand
01:21 tu ouvres leurs...
01:22 Les portes ! Il y a de la vapeur chaude qui sort.
01:24 Comme une lave-vaisselle, je vais te dire la vérité, on dirait un dragon qui est ternu.
01:29 C'est vrai que j'adore coucher avec les mamans, pourquoi ? Elles ont du vécu, elles connaissent,
01:33 elles ont de l'expérience, il n'y a pas de souci, tu viens, tu viens dedans et tu dégages.
01:37 Coucher avec une maman, c'est comme le tiki-taka des guerriolas.
01:40 J'adore les mamans, j'adore les mamans, en plus dans l'armoire ou les frigos, il y a toujours
01:45 de quoi prendre le goûter.
01:46 Moi j'adore, après l'amour, avoir un petit Kinder Pingouille, un Choco-Bien, j'en ai
01:51 même une, Valérie, qui m'a fait découvrir la pipe à la compote, c'est extraordinaire,
01:57 et tu as ce petit sentiment de coupabilidad sublime, quand tu entends les gosses crier
02:01 "Maman, il n'y a plus de pompote" ! C'est le cas de l'énigme, il n'y a plus de pompote,
02:07 maman, elle a fait le plein de vitamines et de protéines, d'ailleurs c'est le moment
02:10 pour Carlos de partir, tu peux m'appeler Nutriscore à plus.
02:13 En fait, à ma façon, moi, aujourd'hui, j'ai voulu rendre hommage à ces mamans qui, de
02:18 temps en temps, perdent confiance parce qu'elles sont sous la pression de la vie.
02:21 N'oubliez pas, mesdames, que vous êtes belles, vous accomplissez des choses extraordinaires,
02:25 vous êtes des piliers, des sources d'inspiration.
02:27 Alors, clair et clair, oui, je comprends pourquoi vous êtes là ce matin, je comprends pourquoi
02:30 dans le film vous tenez absolument à retrouver votre madre, une mère c'est ce qu'il y a
02:33 de plus rare au monde, et c'est bien pour ça qu'on n'en a qu'une seule.
02:36 Allez, bonne émission tout le monde !
02:37 - Merci, Carlito !
02:39 (rires)