• l’année dernière
Le secrétaire national Unité SGP, Jean-Christophe Couvy, au sujet des fauteurs de troubles dans les manifestations : «Ce qui est compliqué c'est qu'on a des black blocs mélangés aux manifestants. Ils sont capables très rapidement de se réfugier là où il y a des manifestants». 

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Transcription
00:00 On voit bien sur les images que tout ce qui est compliqué,
00:02 je vous rejoins par rapport aux gens qui sont masqués,
00:05 ce qui est compliqué en fait, si vous voulez, c'est qu'on a des black blocs,
00:07 on a des ultras, mais qui sont aussi mélangés à des manifestants.
00:10 Et en fait, on ne sait pas trop, et c'est toute leur ingéniosité, j'allais dire,
00:15 c'est-à-dire qu'ils sont capables très rapidement de se réfugier là où il y a des manifestants
00:20 qui paraissent neutres en fait.
00:22 Et donc c'est compliqué parce que dès lors qu'on fait une charge ou qu'on lance une gaz lacrymogène,
00:25 après on a aussi toute une partie qui vient un chouiner en disant
00:28 "Voilà, moi regardez, j'ai été molesté, j'ai pris du gaz lacrymogène alors que j'ai rien fait,
00:32 je ne suis pas un violent", et c'est très compliqué pour nous de manœuvrer.
00:35 Et ils connaissent nos défauts, ils connaissent nos failles par rapport à ça,
00:38 et dès lors on a du mal à faire de la DN, c'est très compliqué.
00:42 En revanche, quand c'est dans les cortèges encadrés par un service d'ordre des syndicats,
00:47 on n'a pas ces images-là, parce que justement c'est encadré,
00:49 il y a un service d'ordre et on marche de concert avec la police.
00:52 Oui.
00:53 [Musique]
00:55 [Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org]

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