• l’année dernière
Le rédacteur en chef du Figaro, Alexandre Devecchio, au sujet d'Elisabeth Borne : «Elle ne met pas d'énergie là-dedans. Elle reste robotique, technocratique. C'est quand même difficile le baptême du feu politique d'Elisabeth Borne». 

Category

🗞
News
Transcription
00:00 Il y a cette réunion qui, on le dit tous, sert sans doute pas à grand chose,
00:05 à part peut-être remobiliser les syndicats pour le lendemain.
00:09 - Peut-être, ça c'est une possibilité. - Réunion mercredi, Mali le jeudi.
00:11 - L'effet boomerang et l'effet rebond, d'ailleurs je pense qu'ils ne vont pas s'en priver
00:15 quand ils vont sortir d'essayer de remobiliser les syndicats.
00:18 - Les gens partent, est-ce que 5 minutes, 10 minutes, un quart d'heure ?
00:21 - Et puis vous notez l'incohérence du gouvernement, a dit
00:24 "Ah, on va pouvoir parler de sujets qui du coup ont surgi
00:28 durant le débat des retraites, comme le sujet des conditions de travail,
00:31 du travail dans ce pays." C'est peut-être au gouvernement de réfléchir à ça
00:35 avant de faire la réforme des retraites. Ces sujets n'ont pas surgi
00:37 pendant la réforme des retraites, ils étaient déjà là.
00:40 Et enfin, Elisabeth Pornes, quand on veut faire de la kalinothérapie,
00:43 faire de la politique en réalité, on le fait avec un peu de cœur.
00:46 Enfin, je veux dire, pardon, mais je ne dis pas qu'elle n'a pas de cœur,
00:49 je n'en sais rien, je ne suis pas dans ses tripes, mais en tout cas, ça ne se voit pas.
00:52 Elle ne met pas d'énergie là-dedans.
00:55 Elle reste robotique, technocratique. C'est quand même difficile,
00:58 le baptême du feu politique d'Elisabeth Pornes.
01:01 Sous-titrage Société Radio-Canada
01:04 [SILENCE]

Recommandations