Gilles-William Goldnadel : «Si cette loi ne passe je n'en ferai pas une maladie»

  • l’année dernière
Gilles-William Goldnadel : «Si cette loi ne passe je n'en ferai pas une maladie, compte tenu de toutes les concessions qui ont été faites, l'économie est très faible»
Transcript
00:00 Moi, ça ne me dérangerait pas.
00:01 J'ai utilisé l'argument de principe.
00:03 J'ai la faiblesse d'avoir des principes.
00:06 Que cette loi ne passe pas, je n'en ferais pas une maladie.
00:09 Compte tenu de toutes les concessions qui ont été faites,
00:13 l'économie est très faible.
00:16 Et en plus, moi, si j'étais à la droite,
00:20 et qui ne soit pas...
00:22 -Mais vous êtes à droite.
00:24 -Justement,
00:27 moi qui assume effectivement ma droititude
00:30 et ma rectitude,
00:32 voilà, je serais pour dire
00:36 à la majorité
00:38 que s'ils n'acceptent pas
00:41 ma proposition sur les...
00:45 les emplois spéciaux.
00:48 -Les régimes spéciaux.
00:50 -Les régimes spéciaux et la suppression
00:53 de la clause du grand-père, je ne vote pas.
00:56 Moi, si j'étais jusqu'au bout de la logique, je ne vote pas.
00:59 Ce serait drôle, ça.
01:00 Pour le reste, pardon de le dire,
01:02 l'argument de la CGT Énergie,
01:04 qui est pour faire le...
01:06 qui est pour couper l'électricité
01:09 à ses opposants, pardon,
01:11 mais j'ai du mal à dialoguer
01:13 dans le cadre de l'esprit, justement, de la loi,
01:16 pour savoir si véritablement c'est une loi liberticide ou pas.
01:20 J'ai du mal à raisonner avec ces gens-là,
01:23 avec notamment M. Ménespillier,
01:24 qui veut couper le courant aux opposants.
01:26 ...
01:30 [SILENCE]

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