Des invités peu ou pas réceptifs, Bertrand Chameroy et Philippe Caverivière ont en vu abondamment...
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00:00 personnalité face à laquelle vous n'êtes pas pressé de refaire une chronique.
00:03 Wow ! Philippe Cabrivière ! Il y a votre grand ami Christiane Taubira.
00:08 Oui parce que je pense que l'humour c'est une fréquence et je pense qu'on n'est pas sur la même fréquence avec Christiane.
00:15 Vous n'êtes pas connecté. Non, elle ne s'emmerde quand je fais mes chroniques.
00:20 Je l'ai vu deux fois en radio, mais elle était comme ça.
00:25 Mais vraiment avec tout l'ennui du monde, il y avait un peu de pitié pour moi,
00:31 il y avait de la condescendance d'entendre un texte aussi merdique.
00:35 Mais rien sinon. Il y en a un autre, excusez-moi, qui préfère prendre le train pour aller en Alsace.
00:40 Il part en Alsace, Nicolas Dupont. Il me dit "Vous êtes dans l'œil de Philippe Cabrivière".
00:46 Non, je prends le train pour aller en Alsace.
00:50 Et là j'entends les auditeurs qui m'envoient toutes les captures d'écran des trains pour l'Alsace.
00:59 Ça ne marchait pas, il n'y en avait aucun qui était à 9h.
01:03 Oui, il avait inventé un pifo pour pouvoir vous fuir.
01:06 Oui, le premier c'était 10h44.
01:08 Ça ne l'amuse pas du tout Nicolas.
01:09 Et vous Bertrand Chameroy, des invités à qui vous avez du mal à décrocher un sourire
01:13 et qui se concentrent davantage sur ce qu'ils sont en train de manger que sur ce que vous dites, ça arrive parfois ?
01:17 Oui, ça arrive parfois. Il y en a un, je ne peux pas dire son nom.
01:21 Il va bientôt revenir. Je vous donne un indice, vous verrez, c'est un acteur français qui regardera le plafond.
01:29 Moi aussi, je suis beau gosse.
01:31 Si vous le savez, vous êtes faux cul, dites-le.
01:33 Il est beau gosse.
01:34 Donnez-nous un indice bande de faux cul, vous savez tous, vous ne pouvez pas le dire.
01:37 Mais non, c'est un petit jeu de piste que je crée avec les invités à la télé.
01:40 Vous verrez, il reviendra prochainement.
01:41 On ne se décourage pas dans ce cas-là quand on voit que ça ne prend pas et qu'on sent qu'on s'enlise un peu.
01:45 On arrive à maintenir le cap quand même.
01:46 Depuis cet invité, parce qu'avant j'essayais de chercher un peu de soutien dans le regard des invités.
01:50 J'essaye toujours d'avoir une petite complicité, un eye contact avant la chronique pour essayer de me les mettre un peu dans la poche.
01:56 Mais maintenant, je ne compte plus sur les invités.
01:58 Si ils se marrent, tant mieux, et là j'y vais.
01:59 Mais sinon, je reste focus sur la caméra et sur mes camarades.
02:03 Anne-Elisabeth, Pierre, Patrick, moi, Jérôme, Robert.
02:06 Oui, pour le coup, vous pouvez compter sur elle, elle est votre première fan, elle vous accompagne.
02:10 C'est un rêve quand on est chroniqueur d'avoir une animatrice qui soutient à ce point-là et elle ne se force pas.