• l’année dernière
Karima Brikh : «La justice, par son laxisme, nous fait comprendre que quand vous lancez des planches de bois à des policiers, c’est comme si c’étaient des confettis […] Vous donnez à cet individu une tape dans le dos et vous l’incitez à continuer. Le message c’est : faîtes ce que vous voulez dans les manifestations, il n’y aura pas de sanction» 

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Transcription
00:00 quand même, dans une manifestation avec des policiers, une dizaine de policiers armés
00:04 jusqu'aux dents devant lui littéralement. - Il faut une certaine forme d'inconscience,
00:07 en effet. - Exactement, donc une forme de violence. Et
00:10 ce que nous dit finalement la justice en ce moment par ce laxisme, c'est que quand vous
00:14 lancez des planches de bois, des policiers, c'est comme si vous leur lanciez des confettis
00:18 en soi. C'est à peu près qu'est-ce qu'il faudrait de plus, finalement. Donc là, je
00:22 pense qu'il y a vraiment une question de laxisme ici. Et aussi, bien, sur cette jeunesse-là,
00:27 on parle d'un individu qui a 19 ans. Donc qu'est-ce que c'est quand on n'a pas de réponse?
00:32 - Ne pas le sanctionner, ce n'est même pas lui rendre service, en fait.
00:34 - Exactement, c'est finalement lui donner... - Vous ne prenez pas un parcours...
00:36 - Vous lui donner une table dans le dos. - Un blonde sang.
00:38 - Et une invitation à continuer. - Un blanc sang et une médaille, exactement.
00:40 - Et le message que ça envoie finalement, c'est faites ce que vous voulez dans les
00:43 manifestations parce que de toute manière, il n'y aura pas de sanctions.
00:46 (Générique)
00:50 [SILENCE]

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