Léo Pellissard s'exprime sur les vidéos chocs de ses parents dans TPMP !
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TVTranscript
00:00 Comment tu te sens, Léo ? Laissez-le parler.
00:02 -Bah moi, je me sens bien.
00:03 Après, c'est sûr que ça amène à se poser des questions,
00:06 que mes parents aient fait un choix pareil.
00:10 Ils m'en ont parlé avant, et comme ils m'ont dit,
00:13 si j'aurais mis un frein à ça, ils ne l'auraient pas fait.
00:16 Et moi, à travers ça, eux aussi, ils voyaient en plus de ça
00:19 une liberté d'agir, d'être et de penser,
00:21 parce que nous, on est tous élevés dans une liberté d'être et de parler.
00:25 On essaie d'avoir le moins de tabou possible
00:27 pour qu'on ait rien à se reprocher, rien à cacher,
00:30 qu'on puisse parler de tout avec nos parents.
00:32 Et moi, j'ai des professeurs, et ça, je peux le dire,
00:34 ils savent même pas c'est quoi, le sexe,
00:36 donc c'est sûr, ils vont pas aller chercher, eux, sur Internet,
00:39 des vidéos de mes parents à poil.
00:41 D'ailleurs, même moi, ça m'aime pas triper
00:42 de voir mes parents niquer sur Internet,
00:43 donc je vais pas le chercher.
00:44 -Moi, ça me fait pas rire, Cyril.
00:46 -Mais vous êtes honnête.
00:47 -Vous êtes honnête, on a pas d'information.
00:49 -C'est horrible d'attaquer pas Léo, le pauvre.
00:51 -C'est tragique.
00:52 -C'est compliqué pour le pauvre, Vivien.
00:54 -C'est mon fils tranquille, en fait.
00:56 -On est pas là pour renfoncer Léo qui a 17 ans.
00:58 -Vous êtes très étriqués, dans votre truc,
01:00 faut penser comme vous, sinon, dès que tout le monde pense comme moi.
01:03 -Pas Gilles Bernet.
01:04 (acclamations)
01:06 -Alors, laissez-le, laissez-le.
01:08 -On va en parler avec tout le monde.
01:10 -Alors, pas Gilles Bernet.
01:12 -Et quand vous traitez votre copain comme ça ?
01:14 -Pas Gilles Bernet, qui n'a pas de canapé.
01:16 Non, non, juste.
01:17 Léo, Léo, juste, quand on dit que c'est...
01:20 Est-ce que, toi, ça te dérange ou pas du tout ?
01:23 Est-ce que, dans ta vie de tous les jours, ça a changé quelque chose ?
01:26 -Moi, dans ma vie de tous les jours, non, ça a rien changé,
01:29 dans le sens où, dans tous les cas,
01:31 même si mes parents sont orientés sur d'autres activités,
01:34 eux, ils sont heureux de faire ce qu'ils font,
01:37 donc moi, je suis content pour eux.
01:39 Après, forcément, je me suis dit,
01:41 "Putain, peut-être qu'on va me faire chier à l'école,
01:43 "peut-être qu'on va se foutre de ma gueule et tout."
01:45 Non, moi, j'ai pas vu, j'ai pas constaté,
01:47 je peux constater ça, non, parce qu'après, forcément,
01:49 déjà, c'est déplatant, c'est sécurisé,
01:51 c'est fait en sorte pour que tout ne fuite pas partout non plus,
01:54 et dans le pire des cas... -Quand ça fuite, c'est traqué.
01:56 -Quand ça fuite, c'est traqué. -On est pas en mode poursuivre.
01:58 J'ai une liste comme ça, tous les jours.
02:00 Alors, parenthèse pour les leaks, les fuites,
02:02 en fait, les délinquants, c'est eux, c'est pas nous.
02:04 Nous, on est sur des plateformes cadrées, sécurisées, encadrées par la loi,
02:07 on est soumis à un régime de l'Ursaf et on paye des impôts.
02:09 Les leaks, donc les fuites, tous les médias sont traqués,
02:12 tous les jours, les plateformes, et on a embauché quelqu'un,
02:14 donc, récemment, justement, pour traquer les fuites sur le web
02:17 et les plateformes adjacentes, parce qu'avec tout ce merdier,
02:20 tout ce buzz, tout ce bordel, évidemment, il y a des petits malins,
02:23 ils prennent les contenus, ils les achètent, ils les repartagent.
02:26 C'est eux, les délinquants, c'est pas nous.
02:28 Ne mélangeons pas tout, en fait. C'est eux, les délinquants, c'est pas nous.
02:30 Quand vous vous faites craquer, c'est pas de votre faute,
02:32 parce que vous avez un simple vitrage, en fait.
02:34 -Amandine, laisse parler Léo et... -Non, mais j'entends "lol"
02:36 quand on parle de fuite. -Elle a raison.
02:38 -Léo, donc aujourd'hui, toi, Léo, tu leur dis quoi, tes parents ?
02:42 Tu leur dis si ça va...
02:44 -Moi, mes parents, ils ont décidé de faire ça.
02:47 Après, voilà, c'était leur choix. Moi, je respectais leur choix.
02:50 Et puis, ils m'ont expliqué pourquoi ils voulaient faire ça,
02:52 ils m'ont expliqué ce qu'ils voulaient en tirer, en fait.
02:55 -Qu'est-ce qu'ils voulaient en tirer ?
02:57 -De... Comment dire ?
02:59 D'exprimer... Déjà, de... Comment dire ?
03:02 Pas de banaliser ça, mais plus de...
03:05 Qu'il y ait moins de tabous à propos du sexe vis-à-vis ça,
03:08 de vulgariser la chose. -C'est pour l'argent aussi.
03:10 -C'est de la monétisation de contenu,
03:12 comme des influenceurs, tout simplement.
03:15 -Vous êtes des "influenthubs".
03:17 Non, mais voilà, c'est vrai.
03:19 -Non, mais c'est de la monétisation de contenu, effectivement,
03:23 mais qui n'est absolument pas interdite, en fait.
03:26 -Alexandre, ce qu'on n'a pas entendu depuis qu'il est venu...
03:29 Quand Raymond te dit, Alexandre...
03:32 -Tu l'as dit, déjà.
03:34 -Parce que c'est beau de faire des vidéos sur Internet
03:37 pour faire le beau sur Internet,
03:39 mais je lui dis juste, fais attention à tes enfants,
03:41 reprends ta famille en main.
03:43 Si t'as une femme qui part dans tous les sens
03:45 parce qu'elle veut ta lumière,
03:47 essaie-toi de reprendre les choses, de dire,
03:49 "Faut que je fasse attention, ne pas me laisser embarquer."
03:52 Les enfants ont 3 ans, 6 ans, évidemment qu'ils parlent pas.
03:55 Evidemment que t'as un enfant de 3 ans qui va pas venir.
03:58 C'est pas bien, ce que vous faites avec le canap'.
04:00 Ils ont 3 ans. Je pense à après.
04:02 -Mais on fait rien d'interdit.
04:04 -Je te regarde dans les yeux, c'est beau de faire des trucs sur Instagram,
04:07 mais reprends ta famille en main.
04:09 Tu dois être l'homme, tu dois être le patriarche.
04:11 Fais attention de pas te faire engrainer
04:13 par ta femme qui est en train de faire n'importe quoi.
04:15 -En fait, toi, t'es hyper objectif.
04:17 -Je te pardonne pas !
04:19 -T'es très objectif, hein !
04:21 (Acclamations)
04:23 -Moi, je te participe, en fait !
04:25 (Acclamations)
04:27 -S'il vous plaît !
04:29 S'il vous plaît !
04:31 -On aimerait qu'Alexandre lui réponde, Amandine.
04:34 -Ton homme, il va parler comme un homme !
04:36 -Allez, Alexandre.
04:38 -Il fait des vidéos sur Internet, laisse-le parler !
04:40 -C'est vrai, Amandine. -Il y a des macarons dans la chambre d'hôtel !
04:44 -Mais il nous suit, c'est un fan, putain !
04:46 C'est un fan dans le lit, en fait !
04:48 -Il est abonné, lui, je pense.
04:50 -Alexandre, t'as envie de s'exprimer ?
04:52 -T'as pas peur pour tes enfants, Alex ?
04:54 -Non, j'ai pas peur pour mes enfants.
04:56 -On sera toujours là pour eux.
04:58 -C'est bien.
05:00 -Le truc, c'est qu'on peut peut-être...
05:02 -Laisse-le parler. -On fait ça le soir.
05:04 -Mais même si tu le fais au moins, écarte-toi.
05:06 -On fait des sorties, on va dans les bois.
05:08 On vit avec eux. -Génial.
05:10 -En fait, on fait des sorties, on n'est pas des...
05:12 -Vous achetez des yaourts, des îles flottantes ?
05:14 -Tu le laisses pas parler ! -Laisse parler.
05:16 -T'es irrespectueux, en fait, tu as le seum !
05:18 Tu peux pas nous plairer, c'est tout !
05:20 T'es pas objectif ! -Alexandre, vas-y.
05:22 -On fait des contenus le soir.
05:24 -Elle l'a dit. -Allez, laisse-le parler !
05:26 -C'est nous. -On colle.
05:28 -C'est notre truc à nous.
05:30 Nos enfants, ça n'a rien à voir. Pourquoi nos enfants ?
05:32 On se lève le matin, on s'occupe d'eux.
05:34 Voilà, stop ! Pourquoi mélanger tous les enfants
05:36 avec les contenus ? -C'est ça.
05:38 -Non, là, vous mélangez tout, c'est ça, le truc.
05:40 Quand je vous entends dire, ouais,
05:42 il faut leur enlever les enfants, oui, il faut leur enlever...
05:44 -J'ai dit non, hier. -T'as dit non,
05:46 mais tu nous tailles ! -C'est dégueulasse.
05:48 Nous, nos enfants, on les aime.
05:50 On a 8 enfants.
05:52 Si on a fait 8 enfants, c'est pas pour les laisser de côté.
05:54 -Je veux pas que tu enlèves tes enfants.
05:56 -On s'occupe de nos enfants. -Laisse-le parler !
05:58 -Il faut arrêter de juger. Vous jugez.
06:00 Vous savez pas ce que vous dites, que vous jugez.
06:02 Moi, je trouve ça pas normal de juger les gens comme ça.
06:04 Juste parce qu'on fait, voilà,
06:06 des contenus pour adultes le soir,
06:08 dans une plateforme privée. -Laisse-le parler.
06:10 -Si quelqu'un...
06:12 Si c'est sur YouTube, ça veut dire que c'est des délinquants,
06:14 comme elle disait, qui les ont fait.
06:16 Ça veut dire qu'il y a du trafic, là-dedans.
06:18 Que les gens gagnent de l'argent sur nous.
06:20 -On fait de notre contenu, c'est tout.
06:22 -Des victimes, en fait. -Chut, oh !
06:24 [Musique]