Les entreprises ont une grande responsabilité à jouer en ce qui concerne les questions environnementales et sociétales.
Parmi celles qui ont décidé d’agir : le Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
L’entreprise s’engage à reverser chaque année 15% de ses bénéfices nets.
pour soutenir des projets environnementaux et solidaires.
Si l’année 2022 suit les traces de l’année précédente (3,5 milliards d’euro de bénéfices nets), cela pourrait représenter environ 500 millions d’euros.
À notre connaissance, c'est la première fois qu'une entreprise française de cette taille met en place une telle mesure, Cécile Duflot, directrice générale de l'ONG Oxfam France.
La moitié de cette somme serait versée à un fonds d’investissement sans objectif de rentabilité financière pour soutenir le entrepreneurs environnementaux et sociaux et dans des projets non rentables.
La MAIF a également décidé d’être précurseuse en créant un "dividende écologique".
La société d’assurance consacrera 10% de ses bénéfices au financement de projets de solidarité climatique et de protection de la biodiversité.
Cela pourrait représenter environ 10 millions d’euros en 2022.
Le dividende écologique se répartit en 3 types d’actions :
- "Des projets de préservation et de régénération de la biodiversité".
- "L’accompagnement des sociétaires MAIF face au dérèglement climatique par un bouquet de services de prévention".
- "Les mesures de l’association Prévention MAIF en faveur du climat".
Reste à savoir si d’autres grandes entreprises vont leur emboîter le pas.
Selon Nicolas Théry, président du Crédit Mutuel Alliance Fédérale, si 199 autres grandes entreprises appliquaient des mesures similaires, cela permettrait de couvrir les besoins d’investissement dans la transition écologique et énergétique en France (chantiers estimés entre 80 et 120 milliards d’euros).
Parmi celles qui ont décidé d’agir : le Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
L’entreprise s’engage à reverser chaque année 15% de ses bénéfices nets.
pour soutenir des projets environnementaux et solidaires.
Si l’année 2022 suit les traces de l’année précédente (3,5 milliards d’euro de bénéfices nets), cela pourrait représenter environ 500 millions d’euros.
À notre connaissance, c'est la première fois qu'une entreprise française de cette taille met en place une telle mesure, Cécile Duflot, directrice générale de l'ONG Oxfam France.
La moitié de cette somme serait versée à un fonds d’investissement sans objectif de rentabilité financière pour soutenir le entrepreneurs environnementaux et sociaux et dans des projets non rentables.
La MAIF a également décidé d’être précurseuse en créant un "dividende écologique".
La société d’assurance consacrera 10% de ses bénéfices au financement de projets de solidarité climatique et de protection de la biodiversité.
Cela pourrait représenter environ 10 millions d’euros en 2022.
Le dividende écologique se répartit en 3 types d’actions :
- "Des projets de préservation et de régénération de la biodiversité".
- "L’accompagnement des sociétaires MAIF face au dérèglement climatique par un bouquet de services de prévention".
- "Les mesures de l’association Prévention MAIF en faveur du climat".
Reste à savoir si d’autres grandes entreprises vont leur emboîter le pas.
Selon Nicolas Théry, président du Crédit Mutuel Alliance Fédérale, si 199 autres grandes entreprises appliquaient des mesures similaires, cela permettrait de couvrir les besoins d’investissement dans la transition écologique et énergétique en France (chantiers estimés entre 80 et 120 milliards d’euros).
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