"Nous avons ensemble franchi un pas historique." Steven Guilbeault, le ministre de l'Environnement du Canada
Le 19 décembre 2022 marque une avancée majeure dans la lutte pour la préservation de l’environnement.
Au cours de la COP15 qui se déroulait à Montréal, 195 pays du monde entier ont conclu un "pacte de paix avec la nature".
L'accord de Kunming-Montréal naît après 4 ans de discussions.
Le but : Protéger les terres, les océans et les espèces de la pollution, de la dégradation et de la crise climatique.
Que contient cet accord ?
Les États ont pour ambition de protéger 30% de la planète et de restaurer 30% des écosystèmes d’ici 2030.
Dans ce cadre, la présidence chinoise propose d’atteindre au moins 20 milliards de dollars d’aide annuelle d’ici 2025 pour permettre aux pays en développement de mettre en application cet accord, avant de passer à au moins 30 milliards d’ici 2030.
À l’heure actuelle, seuls 17% des terres et 8% des mers sont protégées.
Si les associations se félicitent de cet accord, elles considèrent néanmoins que ces mesures restent insuffisantes.
"[Ce texte est] un pas en avant significatif dans la lutte pour la protection de la vie sur Terre, mais cela ne suffira pas. Les gouvernements devraient écouter ce que dit la science et accroître rapidement leurs ambitions pour protéger la moitié de la Terre d'ici 2030."Bert Wander de l'ONG Avaaz pour l’AFP.
Le 19 décembre 2022 marque une avancée majeure dans la lutte pour la préservation de l’environnement.
Au cours de la COP15 qui se déroulait à Montréal, 195 pays du monde entier ont conclu un "pacte de paix avec la nature".
L'accord de Kunming-Montréal naît après 4 ans de discussions.
Le but : Protéger les terres, les océans et les espèces de la pollution, de la dégradation et de la crise climatique.
Que contient cet accord ?
Les États ont pour ambition de protéger 30% de la planète et de restaurer 30% des écosystèmes d’ici 2030.
Dans ce cadre, la présidence chinoise propose d’atteindre au moins 20 milliards de dollars d’aide annuelle d’ici 2025 pour permettre aux pays en développement de mettre en application cet accord, avant de passer à au moins 30 milliards d’ici 2030.
À l’heure actuelle, seuls 17% des terres et 8% des mers sont protégées.
Si les associations se félicitent de cet accord, elles considèrent néanmoins que ces mesures restent insuffisantes.
"[Ce texte est] un pas en avant significatif dans la lutte pour la protection de la vie sur Terre, mais cela ne suffira pas. Les gouvernements devraient écouter ce que dit la science et accroître rapidement leurs ambitions pour protéger la moitié de la Terre d'ici 2030."Bert Wander de l'ONG Avaaz pour l’AFP.
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