Elle a beau avoir fait l'objet de nombreuses moqueries après l'affaire de son lissage brésilien ou encore plus récemment lorsqu'elle a cité Spiderman dans le dossier du cyber-harcèlement, Marlène Schiappa ne chôme pas. La Ministre déléguée auprès du ministre de l'Intérieur de France, chargée de la Citoyenneté, était hier soir l'invitée de Cyril Hanouna, sur le plateau de Touche pas à mon poste. Et elle a raconté ce qui l'a motivée à lancer son opération "quartiers sans relous".Harcèlement en citéPour lutter contre le harcèlement de rue, dont elle a également été victime, la femme politique a eu l'idée de mettre en place un baromètre pour mesurer l’ampleur du phénomène de façon géolocalisée, une sorte de carte des zones rouges... Pour défendre son projet, Marlène Schiappa a raconté 2 histoires différentes qui se sont produites dans deux contextes très différents.Elle a d'abord raconté qu'elle avait grandi "dans une cité au nord du périphérique" et que presque tous les jours, avant de sortir dans la rue avec sa soeur, elle avait l'habitude de "fomenter des stratégies d’évitement". "Ça c’était la vie en cité" a-t-elle ajouté, à propos de son enfance. La ministre a toutefois précisé que le problème pouvait se présenter dans les beaux quartiers aussi...C'est pas mieux dans le 16èmeElle a poursuivi son récit avec une autre anecdote : "J’étais déjà mère de famille, j’étais trentenaire, j’ai été suivie dans un train par un type qui était bien sous tous rapports, à la gare Montparnasse. Il était en costume-cravate, avec une petite mallette et un gobelet Starbucks. Il m’a suivie, j’ai eu la peur de ma vie, je m’en suis sortie je ne sais pas comment". Et de conclure, "Avoir un costard et habiter dans le 16ème" ne garantie rien...
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😹
Amusant