"Nous sommes passés pas loin de la catastrophe", admet Sébastien Lecornu lors de ses premiers pas de sa visite de trois jours à La Réunion. "Catastrophe parce qu'il y avait des naufragés. Catastrophe aussi parce que ce bâtiment aurait pu être plein de fioul lourd", fait-il remarquer.
Depuis cette semaine, les activités de dépollution ont commencé, "il se trouve que la manoeuvre est délicate et complexe", reconnaît le ministre qui a survolé le bateau échoué.
"On retrouve quand même des résidus dans les cales d'hydrocarbures, en petite quantité, mais on en découvre au fur et à mesure que les acteurs de la dépollution progressent", dresse-t-il un point actualisé de la situation.
"Nous sommons l'armateur de prendre ses responsabilités. L'Etat est là, la solidarité nationale est là - c'est le contribuable donc il est bien naturel qu'on le fasse - mais il faut aussi que l'amateur prenne ses responsabilités", exhorte-t-il l'armateur à "débloquer le maximum de moyens".
Depuis cette semaine, les activités de dépollution ont commencé, "il se trouve que la manoeuvre est délicate et complexe", reconnaît le ministre qui a survolé le bateau échoué.
"On retrouve quand même des résidus dans les cales d'hydrocarbures, en petite quantité, mais on en découvre au fur et à mesure que les acteurs de la dépollution progressent", dresse-t-il un point actualisé de la situation.
"Nous sommons l'armateur de prendre ses responsabilités. L'Etat est là, la solidarité nationale est là - c'est le contribuable donc il est bien naturel qu'on le fasse - mais il faut aussi que l'amateur prenne ses responsabilités", exhorte-t-il l'armateur à "débloquer le maximum de moyens".
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