L’acteur Gérard Darmon et le patron de Mediapart Edwy Plenel étaient présents sur le plateau de l'émission présentée par Laurent Ruquier et Léa Salamé On est en direct sur France 2.L'acteur en a profité de dire ce qu'il pensait du journaliste, sans hausser la voix mais de façon très déterminée.
Gérard Darmon a lancé : "Edwy Plenel est un homme qui tremble quand il parle, c’est quelque chose d’assez troublant. il a un discours Tartuffe qu'on a l’impression d’entendre depuis quatre siècles. Vous êtes en fait une sorte de père fouettard de la politique, même des rapports humains.
Je vais vous donner un exemple. Vous ne voulez pas parler de Patrick Balkany ce soir pour parler de l'écologie mais vous en faites la Une dans votre journal, ensuite vous nous alertez du discours de Zemmour, des dangers de la démocratie, du pouvoir des riches sur les médias comme si personne n'était au courant. Vous savez tout et rien d'autre, je vous reproche d'être un juge, un policier, de donner des infos en loucedé."
“Vous ne me connaissez pas”, s’est défendu Edwy Plenel avant de déplorer “une caricature et un préjugé” faits par son interlocuteur à son propos, mais surtout aux journalistes qui “apportent les mauvaises nouvelles et disent des vérités qu’on n’a pas envie d’entendre. On est habitués au fait que des gens nous voient comme des chiens qui aboient, des inquisiteurs, des persécuteurs.
Citez-moi une information publiée par Mediapart qui n’ait pas été d’intérêt public. Souvenez-vous de l’affaire Cahuzac ou encore de façon plus récentes les vacances de Jean-Michel Blanquer à Ibiza alors que le Ministre annonçait les règles sanitaires dans les écoles."
Gérard Darmon a lancé : "Edwy Plenel est un homme qui tremble quand il parle, c’est quelque chose d’assez troublant. il a un discours Tartuffe qu'on a l’impression d’entendre depuis quatre siècles. Vous êtes en fait une sorte de père fouettard de la politique, même des rapports humains.
Je vais vous donner un exemple. Vous ne voulez pas parler de Patrick Balkany ce soir pour parler de l'écologie mais vous en faites la Une dans votre journal, ensuite vous nous alertez du discours de Zemmour, des dangers de la démocratie, du pouvoir des riches sur les médias comme si personne n'était au courant. Vous savez tout et rien d'autre, je vous reproche d'être un juge, un policier, de donner des infos en loucedé."
“Vous ne me connaissez pas”, s’est défendu Edwy Plenel avant de déplorer “une caricature et un préjugé” faits par son interlocuteur à son propos, mais surtout aux journalistes qui “apportent les mauvaises nouvelles et disent des vérités qu’on n’a pas envie d’entendre. On est habitués au fait que des gens nous voient comme des chiens qui aboient, des inquisiteurs, des persécuteurs.
Citez-moi une information publiée par Mediapart qui n’ait pas été d’intérêt public. Souvenez-vous de l’affaire Cahuzac ou encore de façon plus récentes les vacances de Jean-Michel Blanquer à Ibiza alors que le Ministre annonçait les règles sanitaires dans les écoles."
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