Le groupe médias de l’homme d’affaires Matthieu Pigasse, Les Nouvelles Editions indépendantes, change et se rebaptise Combat, un titre mythique de la presse. Pour Emmanuel Hoog, « c’est dans l’ADN du groupe de combattre pour la culture sous toutes ses formes. Et c’est une marque formidable qu’on a souhaité mettre en avant au moment où on espère sortir du confinement et relancer les médias du groupe.
Parmi eux, Les Inrockuptibles, dont un changement de périodicité est annoncé pour juin prochain. « Dès mon arrivée (en 2019-ndlr), j’ai entendu parler de la mensualisation et du rythme effréné de l’hebdo, explique le Dg. On y a réfléchi et maintenant, on passe de la réflexion à l’action. Et on le fait coïncider avec la réouverture des théâtres, des salles de spectacles… pour mieux coller à l’actualité culturelle. » Selon Emmanuel Hoog, il s’agit d’ « un projet global, avec une radio en DAB+, des offres vidéos sur le site et un festival des Inrocks que j’espère pouvoir faire renaître en juin. »
Concernant les licenciements en cours dans le magazine, le dirigeant estime qu’ « il faut regarder devant, c’est mieux que de regarder dans le rétroviseur. Et demain, l’équipe sera constituée d’une vingtaine de journalistes, ce qui en fera en Europe de la plus grande rédaction pour un mensuel dédié à la culture. C’est une vraie relance, qui peut s’accompagner d’une réorganisation administrative et technique mais ce n’est pas le cœur du projet. »
La situation du titre, qui diffuse aujourd’hui autour de 30 000 exemplaires dont la moitié en numérique, est symptomatique de la situation de la presse en général. Mais son représentant pense qu’ « il existe un réservoir fantastique pour un nouvel Inrock. Et on a constaté que, à chaque fois qu’on gardait un titre en kiosque plusieurs semaines, ce sont des dizaines de milliers d’achats supplémentaires parce que le lectorat ne suivait plus le rythme hebdomadaire.
Concernant un autre média phare du groupe, Radio Nova, il faut « continuer à la déployer sur le digital ». La nouvelle plateforme lancée en janvier dernier « a connu immédiatement une croissance de + 20% de son audience » se réjouit Emmanuel Hoog. Mais pour le 3e pilier de Combat, les événements avec par exemple le festival Rock en Seine, ou encore le festival des Inrocks, « c’est très compliqué de se projeter. Nous avons réussi en 2020 grâce à Radio France et France TV à faire un très bel événement. Nous sommes dans le même état d’esprit », conclue le Dg.
Parmi eux, Les Inrockuptibles, dont un changement de périodicité est annoncé pour juin prochain. « Dès mon arrivée (en 2019-ndlr), j’ai entendu parler de la mensualisation et du rythme effréné de l’hebdo, explique le Dg. On y a réfléchi et maintenant, on passe de la réflexion à l’action. Et on le fait coïncider avec la réouverture des théâtres, des salles de spectacles… pour mieux coller à l’actualité culturelle. » Selon Emmanuel Hoog, il s’agit d’ « un projet global, avec une radio en DAB+, des offres vidéos sur le site et un festival des Inrocks que j’espère pouvoir faire renaître en juin. »
Concernant les licenciements en cours dans le magazine, le dirigeant estime qu’ « il faut regarder devant, c’est mieux que de regarder dans le rétroviseur. Et demain, l’équipe sera constituée d’une vingtaine de journalistes, ce qui en fera en Europe de la plus grande rédaction pour un mensuel dédié à la culture. C’est une vraie relance, qui peut s’accompagner d’une réorganisation administrative et technique mais ce n’est pas le cœur du projet. »
La situation du titre, qui diffuse aujourd’hui autour de 30 000 exemplaires dont la moitié en numérique, est symptomatique de la situation de la presse en général. Mais son représentant pense qu’ « il existe un réservoir fantastique pour un nouvel Inrock. Et on a constaté que, à chaque fois qu’on gardait un titre en kiosque plusieurs semaines, ce sont des dizaines de milliers d’achats supplémentaires parce que le lectorat ne suivait plus le rythme hebdomadaire.
Concernant un autre média phare du groupe, Radio Nova, il faut « continuer à la déployer sur le digital ». La nouvelle plateforme lancée en janvier dernier « a connu immédiatement une croissance de + 20% de son audience » se réjouit Emmanuel Hoog. Mais pour le 3e pilier de Combat, les événements avec par exemple le festival Rock en Seine, ou encore le festival des Inrocks, « c’est très compliqué de se projeter. Nous avons réussi en 2020 grâce à Radio France et France TV à faire un très bel événement. Nous sommes dans le même état d’esprit », conclue le Dg.
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