Le bilan après confinement n’est pas très positif….
L’Ifop a mené une enquête pour Malakoff Humanis en interrogeant 3504 salariés du secteur privé entre le 19 juin et le 15 juillet.
Le résultat est sans appel : La crise sanitaire a eu des répercussions négatives sur l’état de santé globale des employés.
- 45% des interrogés se sentent plus fatigués physiquement et psychologiquement
- 28% considèrent que leur qualité de vie au travail s’est dégradée
- 40% considèrent que leur rythme de travail s’est accéléré (22% considèrent au contraire qu’il s’est ralenti)
- 18% ont le sentiment de faire un travail qui a moins de sens pour eux
- 23% estiment que leur travail empiète sur leur vie personnelle (contre 13% avant la crise)
- 14% disent subir des tensions au travail (contre 3% avant la crise).
"Si 82% de salariés se trouvent en bonne santé, 12% ont le sentiment que leur état de santé s’est dégradé." Anne-Sophie Godon, directrice innovation chez Malakoff Humanis pour l’AFP.
Parmi eux, 21% des salariés étaient déjà atteints de maladies chroniques.
On peut faire l’hypothèse que c’est en lien avec le renoncement aux soins ou la difficulté d’y avoir accès pendant la période.
"Les salariés fragiles ont le sentiment d’être encore plus fragiles et, pour tous les autres, la fatigue physique et psychologique tout comme l’inquiétude se font ressentir." Anne-Sophie Godon, directrice innovation chez Malakoff Humanis pour l’AFP.
Et du côté du porte-monnaie, ce n’est pas beaucoup mieux...
- 16% des salariés considèrent leur situation financière comme étant compliquée.
D'ailleurs, 20% des salariés craignent de perdre leur emploi (contre 3% avant la crise).
L’Ifop a mené une enquête pour Malakoff Humanis en interrogeant 3504 salariés du secteur privé entre le 19 juin et le 15 juillet.
Le résultat est sans appel : La crise sanitaire a eu des répercussions négatives sur l’état de santé globale des employés.
- 45% des interrogés se sentent plus fatigués physiquement et psychologiquement
- 28% considèrent que leur qualité de vie au travail s’est dégradée
- 40% considèrent que leur rythme de travail s’est accéléré (22% considèrent au contraire qu’il s’est ralenti)
- 18% ont le sentiment de faire un travail qui a moins de sens pour eux
- 23% estiment que leur travail empiète sur leur vie personnelle (contre 13% avant la crise)
- 14% disent subir des tensions au travail (contre 3% avant la crise).
"Si 82% de salariés se trouvent en bonne santé, 12% ont le sentiment que leur état de santé s’est dégradé." Anne-Sophie Godon, directrice innovation chez Malakoff Humanis pour l’AFP.
Parmi eux, 21% des salariés étaient déjà atteints de maladies chroniques.
On peut faire l’hypothèse que c’est en lien avec le renoncement aux soins ou la difficulté d’y avoir accès pendant la période.
"Les salariés fragiles ont le sentiment d’être encore plus fragiles et, pour tous les autres, la fatigue physique et psychologique tout comme l’inquiétude se font ressentir." Anne-Sophie Godon, directrice innovation chez Malakoff Humanis pour l’AFP.
Et du côté du porte-monnaie, ce n’est pas beaucoup mieux...
- 16% des salariés considèrent leur situation financière comme étant compliquée.
D'ailleurs, 20% des salariés craignent de perdre leur emploi (contre 3% avant la crise).
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