La condition des femmes en Inde est particulièrement alarmante, depuis des années.
Une nouvelle découverte des autorités locales lève le voile sur une autre violence faite aux femmes.
Dans le centre du pays, les coupeuses de cannes à sucre subissent une ablation de l’utérus…
C’est l’ONG Tathapi qui déclare avoir découvert un nombre disproportionnés d’hystérectomies dans le district de Beed.
36% des femmes qui travaillent sur les champs de canne à sucre ont subi une ablation de l’urtérus en 2018.
Sur l’année 2019, on recense déjà 21% des travailleuses qui ont vu la même intervention chirurgicale.
Ce n’est pas une norme en Inde, puisque la moyenne des femmes qui font cette opération est à environ 3,2 %.
Ces opérations en masse qui meurtrissent le corps des femmes sont orchestrées par les employeurs.
L’objectif est que “les ouvrières n’aient plus leurs règles et puissent ainsi travailler sans discontinuité”.
Les femmes encourent des risques très sérieux puisqu’elles ne sont pas faites dans des conditions hygiéniques optimales.
Une nouvelle découverte des autorités locales lève le voile sur une autre violence faite aux femmes.
Dans le centre du pays, les coupeuses de cannes à sucre subissent une ablation de l’utérus…
C’est l’ONG Tathapi qui déclare avoir découvert un nombre disproportionnés d’hystérectomies dans le district de Beed.
36% des femmes qui travaillent sur les champs de canne à sucre ont subi une ablation de l’urtérus en 2018.
Sur l’année 2019, on recense déjà 21% des travailleuses qui ont vu la même intervention chirurgicale.
Ce n’est pas une norme en Inde, puisque la moyenne des femmes qui font cette opération est à environ 3,2 %.
Ces opérations en masse qui meurtrissent le corps des femmes sont orchestrées par les employeurs.
L’objectif est que “les ouvrières n’aient plus leurs règles et puissent ainsi travailler sans discontinuité”.
Les femmes encourent des risques très sérieux puisqu’elles ne sont pas faites dans des conditions hygiéniques optimales.
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