Depuis une dizaine d'années, des attaques de loups récurrentes handicapent les éleveurs. Et les récents moyens de protection mis en place par l'Etat ne semblent pas calmer la profession.
Face à cette expansion de plus en plus rapide, le préfet d'Auvergne-Rhône-Alpes, en charge du dossier, a ainsi proposé d'augmenter le nombre de loups pouvant être tués ( de 10-12% à 17-19%), de renforcer la protection des troupeaux, de faciliter les tirs et d'augmenter les indemnisations.
Loin d'être satisfaits, les éleveurs, ont notamment dénoncé les pertes énormes engendrées par ces attaques. «Il va falloir apprendre au loup à reprendre peur de l'homme et à retourner dans le bois c'est-à-dire ne pas se servir des troupeaux comme garde-manger», confie un éleveur à CNEWS.
En 2018, le nombre de loups a augmenté de 20 % et 3 674 attaques ont eu lieu.
Face à cette expansion de plus en plus rapide, le préfet d'Auvergne-Rhône-Alpes, en charge du dossier, a ainsi proposé d'augmenter le nombre de loups pouvant être tués ( de 10-12% à 17-19%), de renforcer la protection des troupeaux, de faciliter les tirs et d'augmenter les indemnisations.
Loin d'être satisfaits, les éleveurs, ont notamment dénoncé les pertes énormes engendrées par ces attaques. «Il va falloir apprendre au loup à reprendre peur de l'homme et à retourner dans le bois c'est-à-dire ne pas se servir des troupeaux comme garde-manger», confie un éleveur à CNEWS.
En 2018, le nombre de loups a augmenté de 20 % et 3 674 attaques ont eu lieu.
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