Emmanuel Macron a affirmé samedi soir vouloir prendre rapidement "des décisions fortes, complémentaires" pour que les violences qui ont émaillé l'acte 18 des "gilets jaunes" à Paris "n'adviennent plus", lors d'un point de situation à la cellule de crise du ministère de l'Intérieur.
"Beaucoup de choses ont été faites depuis novembre mais très clairement, la journée d'aujourd'hui montre que sur ce sujet-là et pour ces cas-là, nous n'y sommes pas", a ajouté le président rentré plus tôt que prévu de son week-end de ski. Il a estimé, devant la presse, que "tous ceux qui étaient là se sont rendus complices" du saccage des Champs-Elysées.
"Je veux qu'on analyse les choses, et que, dans les meilleurs délais, on puisse prendre des décisions fortes, complémentaires, pour que cela n'advienne plus", a-t-il affirmé. "C'était l'objectif de la réunion de ce soir qui sera suivi par des propositions faites par les ministre et le Premier ministre", a-t-il dit, précisant être attaché "au droit constitutionnel".
"Nous avons aujourd'hui des gens qui essayent par tous les moyens (...) d'abîmer la République pour casser, pour détruire au risque de tuer. On l'a encore vu avec l'incendie qui s'est produit ce matin", a souligné Emmanuel Macron, entouré du Premier ministre Edouard Philippe, du ministre de l'Intérieur Christophe Castaner et de Nicole Belloubet, ministre de la Justice.
Tout au long de la journée, des scènes de violences ont éclaté sur le haut des Champs Elysées où plusieurs commerces et restaurants comme le célèbre Fouquet's ont été incendiés, vandalisés, ou pillés. Plus tôt dans la journée, Édouard Philippe, venu apporter "son plus grand soutien" aux forces de l'ordre sur les Champs-Elysées, avait indiqué que "tous ceux qui excusent ou qui encouragent les actes" violents "s'en rendent complices".
"Beaucoup de choses ont été faites depuis novembre mais très clairement, la journée d'aujourd'hui montre que sur ce sujet-là et pour ces cas-là, nous n'y sommes pas", a ajouté le président rentré plus tôt que prévu de son week-end de ski. Il a estimé, devant la presse, que "tous ceux qui étaient là se sont rendus complices" du saccage des Champs-Elysées.
"Je veux qu'on analyse les choses, et que, dans les meilleurs délais, on puisse prendre des décisions fortes, complémentaires, pour que cela n'advienne plus", a-t-il affirmé. "C'était l'objectif de la réunion de ce soir qui sera suivi par des propositions faites par les ministre et le Premier ministre", a-t-il dit, précisant être attaché "au droit constitutionnel".
"Nous avons aujourd'hui des gens qui essayent par tous les moyens (...) d'abîmer la République pour casser, pour détruire au risque de tuer. On l'a encore vu avec l'incendie qui s'est produit ce matin", a souligné Emmanuel Macron, entouré du Premier ministre Edouard Philippe, du ministre de l'Intérieur Christophe Castaner et de Nicole Belloubet, ministre de la Justice.
Tout au long de la journée, des scènes de violences ont éclaté sur le haut des Champs Elysées où plusieurs commerces et restaurants comme le célèbre Fouquet's ont été incendiés, vandalisés, ou pillés. Plus tôt dans la journée, Édouard Philippe, venu apporter "son plus grand soutien" aux forces de l'ordre sur les Champs-Elysées, avait indiqué que "tous ceux qui excusent ou qui encouragent les actes" violents "s'en rendent complices".
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