Ames obscures 2 - partie 221 - Les sacrifices nécessaires pour naître une République

Le processus de préparation d'une révolution est normalement toujours une série d'évènements, remplie de souffrances et d' émotions profondément négatives (au moins de la part du peuple). On peut seulement s'imaginer par quels états de pensée ces personnes passent pour enfin collectivement décider qu'un changement est leur seul salut et que leur colère doit être inévitablement constatée à tous ceux qui refusent à leur fournir les droits de liberté désirés ou - au moins - les ressources à travers lesquelles ils pourront continuer à exister dans des conditions plus acceptables. Je ne m'exprime point en défense ni de l'Ancien Régime, ni dans le nom de l'idéologie de la bourgeoisie mais j'ose à constater que la tension et la déformation de la nature humaine pendant les années de tels changements brusques devaient être réellement extraordinaires. Après autant de guerres perdues en Amérique au temps de Louis XV, il s'avère que le successeur de la lignée royale est semblablement une personnalité, correspondante à la définition précise d'un "faiblard", dont la femme qui - en réalité - s’intéresse surtout de son propre bien-être et abuse de sa position de Reine de la Monarchie Française pour rassurer cette qualité de vie extrêmement haute, d'un perspectif de justice ultime, les résidents dans le centre ville - ceux qui ont quand-même quelques ressources pour théoriquement pouvoir imposer des changements - se lèveront. Enfin, il n'y a pas de manière d’être sûr si Marie Antoinette a précisément vocalisé la fameuse réplique à propos du pain et la brioche mais certainement il y avait une bonne raison pour laquelle on résumait son comportement avec une telle expression. Et même sur la table de négociations chacun essaye d'imposer les propres intérêts - pendant que la bourgeoisie de la gauche est en train d’être pratiquement moquée par l'Abbé Maury, la droite - surtout étant représentée par la noblesse - remarquez - des féodales qui ont déjà été reconnus par le Roi - utilise le manque de stabilité pour augmenter les propres privilèges en diminuant le Pouvoir Absolu du Dirigeant de l’État...et quand tout ça échoue, la Bastille est renversée avec un mécontentement puissante des révolutionnaires, le Roi ce prépare à s'échapper - tout ce temps quand les bourgeois comptaient sur la compréhension de Louis XVI et son accord avec les constitutions variables qui étaient en train d’être développés, ça devient clair que...son égoïsme lui empêche de lâcher son influence et il représentait toujours la Contre-Révolution, à la fin fuyant pour sa vie mais condamné à être décapité par la lame froide de la guillotine...
Donc, oui...le jambon continue à chasser celui avec l’émanation blanche qui court à travers le portail ouvert par notre personnage entièrement offensif. Mes essais de maximiser mes dégâts en prenant la gaufrette et ayant l'anneau de lames ensemble avec la bague de larme rouge avec presque pas de santé échouent et le coureur s’arrête prêt d'un Démon Convoiteux...