Ames obscures 2 - partie 219 - Devant le portail qui mène au-delà de 1789

  • 5 years ago
De courir du feu hors de l'entrée officielle d'Eleum Loyce vers l'ascenseur qui mène à - comme je me suis exprimé l'avis avant - les résidences actuelles de la ville - commence à me sembler de représenter une action, dont l’efficacité et probabilité de réussite sont pratiquement directement proportionnelles avec le degré de ma colère, s'augmentant à un rythme rapide (heureusement pour ma progression et malheureusement pour ma santé mentale). Une autre chose qui parait d'influencer l'atmosphère de la lutte du jambon - c'est mes références de plus en plus fréquentes de la Révolution Française...et pendant que les mentions constantes des événements autour de la chute de l'Absolutisme certainement revigorent ma détermination, je doute que les chansons avec lesquelles les anciens royalistes étaient loués ont le potentiel de me mettre en humeur de tuer un Roi et ses chevaliers carbonisés aux profondeurs du Chaos, car sans importance si je me rends compte ou pas, chaque fois quand la mélodie de "Les Chouans du Morbihan" ou "Vive Henri IV" se manifeste à travers mes cordes vocales, je suis en réalité en train de faire un hommage à un régime qui a échoué précisément à cause de ces lacunes qui l'ont privé de véritable soutien...
En tous cas, les lapins épineux, attendant à l'étage inférieur (où l'ascenseur s’arrête), me causent ce qui seulement peut être décrit comme "des problèmes d'un grandeur calculé en avance de ma part" - c'est-à-dire, je savais qu'ils seront autant problématiques et que je ne trouverais pas de résolution inaliénable contre eux. Sur un des essais, j'équipe même la lance de Sir Yorgh, espérant qu'une arme avec une telle variété de manière d'attaques m'aidera mais ces hérissons de glace toujours trouvent une façon de tuer notre personnage entièrement offensif...
Enfin, je réussis à avancer sur la route entre les bâtiments en se protégeant des sorcelleries des sapins magiques, bientôt quand-même je me rends devant un portail fermé, m'obligeant à grimper sur l’échelle à coté et monter sur la hauteur des "terrasses". De là, je trouve un passage dans une des édifices et quand je remarque un escalier en bois qui mène plus haut, je lâche ma prudence en étant absorbé par de la curiosité et j'y monte...là-haut reste ce qui semble d’être un personnage, émanant la blancheur les esprits invoqués - cet être bipède fait le geste de "Bienvenue" au jambon, puis celui de "Salutations" et malgré mes doutes, associés avec le fait qu'il tient un grand bouclier et une grande lance, combiné avec ma permission de viser son corps, je le laisse à donner le premier coup s'il a l'intention d'attaquer, pendant je j'avance dans un couloir seulement pour tourner et...à peine pouvoir bloquer la poussée de cet adversaire que je viens de laisser derrière moi. Tuant le jambon, cet individu blanc fait le geste de "Décapitation" et avant que je puisse mentionner l'approche sarcastique de l'Abbé Maury envers la gauche, apparemment Robespierre est assoiffé pour du sang!