Comme prévu, je haute le pantalon de Straid, effectivement exposant les jambes du jambon en faisant de la place pour la gaufrette - ayant échoué plusieurs fois avec l'épée carbonisée, semblablement je mets toute ma foi en l'ultra espadon de pierre, anciennement propriété du Fumerolle...cette façon de penser qui consiste de moi automatiquement supposant ma victoire contre tout dès que j'équipe une certaine arme rend notre personnage entièrement offensif mort beaucoup avant qu'il puisse même approcher la place de la fontaine jusqu'à l'instant où je commence à m’inquiéter de l'incapacité d'avancer dans ce "premier tiers" (et surtout ne pas pouvoir atteindre la partie disponible après l’arrêt des tempêtes de neige) autant que j'équipe le grand arc aux cranes de chèvres - le même que j'ai ramassé au bout d'un des couloirs près de la Cathédrale. Évidemment, en prenant en considération mon impatience, incompétence et globalement - idiotie complète - ce n'est point surprenant que je me rends encerclé en me braquant aux adversaires manuellement pour tirer des flèches et donc, dans des situations où mon manque de désir de faire des efforts devient clair...quand-même, malgré tout, l'option de lancer des projectiles de distance me donne la possibilité de reculer quand les ennemis approchants, transformant toute la nature de cette confrontation dans "un abus de la distance maximale de poursuite des guerriers, tirés dessus par un archer paresseux", compensant aussi pour le fait que le jambon roule bien lourdement à cause du poids de cet arc.
J'arrive enfin au bâtiment, dont l'entrée est enfin disponible, à coté du pont cassé et le jambon descend vers la ville d'Eleum Loyce elle-même avec un ascenseur...parmi des colonnes des constructions j'y trouve quelques genre de lapins épineux qui se nourrissent avec des cadavres de mort-vivants...en effet, comme je m'exclame en les remarquant, ces créatures représentent la chose la plus proche aux squelettes-roues du premier jeu, car ils roulent en traquant leur cible et les épines piquent au contact physique avec ces hérissons de glace, sans importance s'ils attaquent ou pas. Pas trop loin de là, je suis envahi par Nicholai le Sombre - un Père Noël (considérant l’environnement et le fait que cet Esprit Sombre utilise que des miracles et maléfices, étant habillé comme un clerc, je crois que l'explication de la référence est inutile) qui lance le même sort des astrologues du Passage de Fer, ralentissant le jambon même plus, pendant qu'il puisse librement faire des explosions de sphères sombres, pareille à Affinité - avec l'aide des arbres-sorciers qui également s'y trouvent et sont constamment à l'offensif, je suis vaincu une fois, tuant l'envahisseur à peine à la tentative suivante, juste pour mourir à nouveau contre les épines d'un lapin...Sur mes essais de me refaire le chemin du feu, je me mets à chanter "Vive les Chouans", mais des telles mélodies royalistes ne m'aident pas à survivre, car c'est une "révolution"...
J'arrive enfin au bâtiment, dont l'entrée est enfin disponible, à coté du pont cassé et le jambon descend vers la ville d'Eleum Loyce elle-même avec un ascenseur...parmi des colonnes des constructions j'y trouve quelques genre de lapins épineux qui se nourrissent avec des cadavres de mort-vivants...en effet, comme je m'exclame en les remarquant, ces créatures représentent la chose la plus proche aux squelettes-roues du premier jeu, car ils roulent en traquant leur cible et les épines piquent au contact physique avec ces hérissons de glace, sans importance s'ils attaquent ou pas. Pas trop loin de là, je suis envahi par Nicholai le Sombre - un Père Noël (considérant l’environnement et le fait que cet Esprit Sombre utilise que des miracles et maléfices, étant habillé comme un clerc, je crois que l'explication de la référence est inutile) qui lance le même sort des astrologues du Passage de Fer, ralentissant le jambon même plus, pendant qu'il puisse librement faire des explosions de sphères sombres, pareille à Affinité - avec l'aide des arbres-sorciers qui également s'y trouvent et sont constamment à l'offensif, je suis vaincu une fois, tuant l'envahisseur à peine à la tentative suivante, juste pour mourir à nouveau contre les épines d'un lapin...Sur mes essais de me refaire le chemin du feu, je me mets à chanter "Vive les Chouans", mais des telles mélodies royalistes ne m'aident pas à survivre, car c'est une "révolution"...
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