Le Kona, c’est le petit SUV de Hyundai, qui vient se placer dans la gamme sous le Tucson. Il fait 4,18 m de long, soit 5 cm de plus qu’un Captur et 2 cm de plus qu’un 2008. Il a été lancé fin 2017 et depuis mi-2018, il existe en version 100 % électrique. Il est intéressant parce que c’est le seul petit SUV 100 % électrique, si on excepte le Kia Soul EV, un peu à part car il commence à être ancien. Ce Kona électrique existe avec deux niveaux de capacité de batterie : 39 kWh ou 64 kWh. Avec la petite batterie, il a droit à un moteur de 136 ch ; avec la grosse batterie comme la nôtre, il reçoit un moteur de 204 ch, envoyés aux seules roues avant. La version 64 kWh existe avec 2 niveaux de finition. Le Kona électrique se reconnaît du Kona « normal » grâce à sa calandre pleine et à ses jantes au design spécifique.
A l’intérieur, le Kona électrique reprend en gros la planche de bord des autres Kona mais avec pas mal de différence au niveau de la console centrale entièrement réaménagée qui accueille des touches pour la commande de boîte. L’écran central affiche plusieurs informations concernant la consommation électrique, l’autonomie ou les points de recharge. Le combiné d’instrument est spécifique avec un seul compteur central au lieu de 2 sur les Kona thermiques. Derrière le volant, deux palettes, permettent de gérer le frein moteur en continu : très pratique et agréable. L’équipement de cette version haut de gamme est complet, y compris en aides à la conduite modernes ou en équipements de confort comme les sièges en cuir à réglages électriques à l’avant. A l’arrière, l’habitabilité n’est pas des plus généreuse pour la catégorie, notamment pour l’espace aux jambes. Le coffre perd légèrement par rapport au Kona thermique qui est déjà un peu faiblard dans la catégorie. Il reste 300 dm3, soit le coffre d’une citadine moyenne.
On est dans un véhicule 100 % électrique, je vous épargne le couplet habituel sur le silence en roulant, à basse vitesse en tout cas, sur le couple instantané au démarrage. Ce qui est moins habituel, c’est qu’on a un engin de la taille d’un Captur qui affiche à peu près 200 ch et presque 400 Nm de couple, et du coup, et du coup il y a de bonnes performances : on a mesuré l’engin à moins de 8 secondes au 0 à 100 km/h et moins de 29 s pour le 1000 m départ arrêté. Vraiment pas mal. Malgré tout, il ne faut pas considérer ce Kona électrique comme un sportif, d’une part parce qu’il fait quand même 1,7 tonne : les batteries, ça pèse ! Et ça se sent dans le comportement. La voiture de toute façon n’est pas du tout réglée sportive, elle s’apprécie plutôt au contraire par son bon confort de suspension, un bon niveau de filtrage. Si vous attaquez un peu trop, il y a pas mal de mouvements de caisse, le couple sature le train avant. Mais si on ne considère pas ce Kona électrique comme un sportif, il constitue une bonne surprise, agréable et confortable.
Autre bonne surprise, nous avons mesuré presque 400 km d’autonomie réelle, soit l’un des
A l’intérieur, le Kona électrique reprend en gros la planche de bord des autres Kona mais avec pas mal de différence au niveau de la console centrale entièrement réaménagée qui accueille des touches pour la commande de boîte. L’écran central affiche plusieurs informations concernant la consommation électrique, l’autonomie ou les points de recharge. Le combiné d’instrument est spécifique avec un seul compteur central au lieu de 2 sur les Kona thermiques. Derrière le volant, deux palettes, permettent de gérer le frein moteur en continu : très pratique et agréable. L’équipement de cette version haut de gamme est complet, y compris en aides à la conduite modernes ou en équipements de confort comme les sièges en cuir à réglages électriques à l’avant. A l’arrière, l’habitabilité n’est pas des plus généreuse pour la catégorie, notamment pour l’espace aux jambes. Le coffre perd légèrement par rapport au Kona thermique qui est déjà un peu faiblard dans la catégorie. Il reste 300 dm3, soit le coffre d’une citadine moyenne.
On est dans un véhicule 100 % électrique, je vous épargne le couplet habituel sur le silence en roulant, à basse vitesse en tout cas, sur le couple instantané au démarrage. Ce qui est moins habituel, c’est qu’on a un engin de la taille d’un Captur qui affiche à peu près 200 ch et presque 400 Nm de couple, et du coup, et du coup il y a de bonnes performances : on a mesuré l’engin à moins de 8 secondes au 0 à 100 km/h et moins de 29 s pour le 1000 m départ arrêté. Vraiment pas mal. Malgré tout, il ne faut pas considérer ce Kona électrique comme un sportif, d’une part parce qu’il fait quand même 1,7 tonne : les batteries, ça pèse ! Et ça se sent dans le comportement. La voiture de toute façon n’est pas du tout réglée sportive, elle s’apprécie plutôt au contraire par son bon confort de suspension, un bon niveau de filtrage. Si vous attaquez un peu trop, il y a pas mal de mouvements de caisse, le couple sature le train avant. Mais si on ne considère pas ce Kona électrique comme un sportif, il constitue une bonne surprise, agréable et confortable.
Autre bonne surprise, nous avons mesuré presque 400 km d’autonomie réelle, soit l’un des
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