Arras. Une fillette de 2 ans brûlée à la cigarette par sa belle-mère.
- il y a 6 ans
Arras. Une fillette de 2 ans brûlée à la cigarette par sa belle-mère.
Une petite fille âgée de 2 ans aurait été gravement violentée par sa belle-mère, jeudi 1er mars à Arras. L’enfant présentait notamment des traces de brûlures de cigarettes et de fer à friser. La suspecte âgée de 22 ans comparaîtra au mois prochain pour ces faits.
Une fillette de 2 ans aurait été victime de graves sévices jeudi 1er mars. Sa belle-mère âgée de 22 ans aurait brûlé l’enfant avec des cigarettes et un fer à friser. La jeune femme a été déférée au parquet d’Arras (Pas-de-Calais) ce lundi, rapporte La Voix du Nord.
Comparution en avril
Les faits auraient eu lieu dans cette même ville, pendant l’absence du père parti au travail. En plus des brûlures, des traces de coups, notamment des morsures, ont été relevées sur la petite fille. Ses jours ne sont pas en danger mais un examen médical doit être pratiqué pour identifier l’ensemble des blessures.
Le parquet a confirmé au journal régional la nature des violences dont a été victime l’enfant. La suspecte devrait comparaître devant le tribunal correctionnel au mois d’avril. En attendant, elle a été relâchée et placée sous contrôle judiciaire.
Une petite fille âgée de 2 ans aurait été gravement violentée par sa belle-mère, jeudi 1er mars à Arras. L’enfant présentait notamment des traces de brûlures de cigarettes et de fer à friser. La suspecte âgée de 22 ans comparaîtra au mois prochain pour ces faits.
Une fillette de 2 ans aurait été victime de graves sévices jeudi 1er mars. Sa belle-mère âgée de 22 ans aurait brûlé l’enfant avec des cigarettes et un fer à friser. La jeune femme a été déférée au parquet d’Arras (Pas-de-Calais) ce lundi, rapporte La Voix du Nord.
Comparution en avril
Les faits auraient eu lieu dans cette même ville, pendant l’absence du père parti au travail. En plus des brûlures, des traces de coups, notamment des morsures, ont été relevées sur la petite fille. Ses jours ne sont pas en danger mais un examen médical doit être pratiqué pour identifier l’ensemble des blessures.
Le parquet a confirmé au journal régional la nature des violences dont a été victime l’enfant. La suspecte devrait comparaître devant le tribunal correctionnel au mois d’avril. En attendant, elle a été relâchée et placée sous contrôle judiciaire.