Plus de cent jours de grève. Depuis le 19 octobre, la majorité des femmes de chambre, gouvernantes, plongeurs et équipiers de l’hôtel Holiday Inn de la porte de Clichy sont en grève. Trois mois à braver la pluie, le vent, le froid devant l’établissement.
En cause, la mutation d’une des salariés du sous-traitant de ménage Héméra.
Autres revendications : le respect des contrats de travail, la suppression de la clause de mobilité, le paiement de toutes les heures travaillées et l’arrêt des modifications de planning.
Ils accusent l’hôtel et son sous-traitant d’« esclavage moderne ».
Après plus de trois mois de grève, toutes les parties se sont pour la première fois réunies à la demande du préfet des Hauts-de-Seine le 31 janvier. Mais les propositions de la direction de l’hôtel ont pour l’instant été rejetées par les 12 salariés.
En cause, la mutation d’une des salariés du sous-traitant de ménage Héméra.
Autres revendications : le respect des contrats de travail, la suppression de la clause de mobilité, le paiement de toutes les heures travaillées et l’arrêt des modifications de planning.
Ils accusent l’hôtel et son sous-traitant d’« esclavage moderne ».
Après plus de trois mois de grève, toutes les parties se sont pour la première fois réunies à la demande du préfet des Hauts-de-Seine le 31 janvier. Mais les propositions de la direction de l’hôtel ont pour l’instant été rejetées par les 12 salariés.
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