Laurent Ardourel, 59 ans, est installé en individuel à St-Igne, commune de Ginals (Tarn-et-Garonne) depuis 1979. Engagé dans l'agriculture biologique depuis 2013, son élevage compte aujourd'hui 450 mères croisées Bleu du Maine et Bérichonne de l'Indre, sur une SAU de 200 ha, dont la moitié de cultures, plus des parcours de Causse et de Ségala.
Ses agneaux abattus à Villefranche -de-Rouergue (Aveyron) sont ensuite mis sous vide dans son atelier de transformation. La totalité de ses agneaux AB est commercialisée en vente directe à des particuliers et, pour moitié, aux comités d'entreprises, à Toulouse, Montauban, Bordeaux... Il livre et vend environ 400 agneaux/an. Et refuse des clients, précise-t-il.
Son système de production est autonome en fourrages avec des céréales, méteils, et des prairies composées de onze espèces différentes, dont six légumineuses, sans ensilage ni enrubannage. Herbe, foin et céréales composent donc la ration de ses animaux.
Ses agneaux abattus à Villefranche -de-Rouergue (Aveyron) sont ensuite mis sous vide dans son atelier de transformation. La totalité de ses agneaux AB est commercialisée en vente directe à des particuliers et, pour moitié, aux comités d'entreprises, à Toulouse, Montauban, Bordeaux... Il livre et vend environ 400 agneaux/an. Et refuse des clients, précise-t-il.
Son système de production est autonome en fourrages avec des céréales, méteils, et des prairies composées de onze espèces différentes, dont six légumineuses, sans ensilage ni enrubannage. Herbe, foin et céréales composent donc la ration de ses animaux.
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