11 novembre à Auxerre le drapeau de la mémoire entre dans les lycées et collèges
Cérémonie du 11 novembre renouvelée avec des temps forts et émouvants, samedi en fin de matinée à Auxerre.
Les photos de Clémenceau le président du conseil, de Joffre et Foch les généraux ainsi qu'un tableau représentant la signature de la capitulation décoraient le monument aux morts qui prolonge l'esplanade où est érigée en bas, la statue du maréchal Davout, maréchal d'Empire, stratège de Napoléon, qui n'a jamais perdu une bataille et fut absent car nommé ministre de l'Intérieur par Napoléon qui craignait une nouvelle guerre civile.
Beaucoup de monde autour du théâtre de la cérémonie malgré une pluie menaçante le ciel ayant cessé de pleurer le temps de l'hommage, avant d'ouvrir à nouveau les vannes célestes.
Le plus poignant furent deux Saynètes.
En entrée, le chant de la Marseillaise par des élèves du collège Bienvenu-Martin. Tout en douceur et humanité.
Ensuite plus tard, la remise du drapeau de la mémoire à une lycéenne de Jacques-Amyot. Ce drapeau tournera tous les six mois dans les établissements scolaires d'Auxerre.
Il y eu les traditionnelles médailles remises aux récipiendaires, le dépôt scénarisé des gerbes, des enfants ou collégiens accompagnant les autorités.
Il y eu la lecture des discours relatant la capitulation et le message de la ministre Florence Parly ex-candidate socialiste dans l'Yonne aux législatives.
Et puis il y eu cette trompette annonçant la fin de la guerre, qui trouva écho
Les photos de Clémenceau le président du conseil, de Joffre et Foch les généraux ainsi qu'un tableau représentant la signature de la capitulation décoraient le monument aux morts qui prolonge l'esplanade où est érigée en bas, la statue du maréchal Davout, maréchal d'Empire, stratège de Napoléon, qui n'a jamais perdu une bataille et fut absent car nommé ministre de l'Intérieur par Napoléon qui craignait une nouvelle guerre civile.
Beaucoup de monde autour du théâtre de la cérémonie malgré une pluie menaçante le ciel ayant cessé de pleurer le temps de l'hommage, avant d'ouvrir à nouveau les vannes célestes.
Le plus poignant furent deux Saynètes.
En entrée, le chant de la Marseillaise par des élèves du collège Bienvenu-Martin. Tout en douceur et humanité.
Ensuite plus tard, la remise du drapeau de la mémoire à une lycéenne de Jacques-Amyot. Ce drapeau tournera tous les six mois dans les établissements scolaires d'Auxerre.
Il y eu les traditionnelles médailles remises aux récipiendaires, le dépôt scénarisé des gerbes, des enfants ou collégiens accompagnant les autorités.
Il y eu la lecture des discours relatant la capitulation et le message de la ministre Florence Parly ex-candidate socialiste dans l'Yonne aux législatives.
Et puis il y eu cette trompette annonçant la fin de la guerre, qui trouva écho