C’était inattendu. Qui plus est de la part de Charles de Courson, l’un des plus anciens députés présents à l’Assemblée nationale. En plein examen du projet de loi de finance 2018 dans l’hémicycle jeudi, l’élu de la Marne a utilisé une métaphore plutôt osée.
En effet dans son argumentaire sur le suramortissement, il a évoqué la «[px_nbsp:nbsp]coke[px_nbsp:nbsp]», c’est-à-dire la cocaïne. «[px_nbsp:nbsp]Les industriels qui produisent les robots n’ont pas besoin d’une accélération puis d’une dépression (...) comme la coke[px_nbsp:nbsp]» a lancé le député. Puis il a ajouté : «[px_nbsp:nbsp]je n’ai pas d’expérience en la matière mais c’est comme la coke donc non à la coke[px_nbsp:nbsp]». La présidente de la séance a clos cette séquence en disant : «[px_nbsp:nbsp]je vous rassure, nous ne sommes absolument pas drogués dans cette Assemblée[px_nbsp:nbsp]». Le comparatif aura eu le mérite de détendre les députés...
En effet dans son argumentaire sur le suramortissement, il a évoqué la «[px_nbsp:nbsp]coke[px_nbsp:nbsp]», c’est-à-dire la cocaïne. «[px_nbsp:nbsp]Les industriels qui produisent les robots n’ont pas besoin d’une accélération puis d’une dépression (...) comme la coke[px_nbsp:nbsp]» a lancé le député. Puis il a ajouté : «[px_nbsp:nbsp]je n’ai pas d’expérience en la matière mais c’est comme la coke donc non à la coke[px_nbsp:nbsp]». La présidente de la séance a clos cette séquence en disant : «[px_nbsp:nbsp]je vous rassure, nous ne sommes absolument pas drogués dans cette Assemblée[px_nbsp:nbsp]». Le comparatif aura eu le mérite de détendre les députés...
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